Cela fait un bon moment depuis que j'avais commencé mon voyage à travers les différentes régions du globe en tant que hors la loi confirmé. J'avais bien débuté dans ce petit milieu qui était la piraterie en exécutant de petits délits tel que le vol ou l'agression histoire de monter progressivement les échelons et de finir par m'habituer à cette vie de renégat. Mais cependant en tant que pirate, je passais les 3/4 de mon temps à me battre, soit contre la marine pour ma liberté ou soit contre un confrère pirate pour ma propre survie et dans ce domaine des combats, il s'était avéré que j'avais encore un long chemin à faire.
C'était dans ce genre de contexte que j'avais fait escale, à bord de ma barque, sur l'île de Shimotsuki qui était réputé pour ses écoles du maniement du sabre afin de m'améliorer un peu dans ce registre. Après avoir amarré ma barque au quai, je foulais la terre ce territoire inconnu en ayant qu'une chose en tête qui était de trouver une école de sabre digne de ce nom et de m'y inscrire.
Munis de mon sac en bandoulière, une écharpe rouge autour du cou et d'une brindille posée sur les lèvres, je me baladais dans les entrailles de cette île tel un homme perdu qui était à la recherche de son chemin et il fallait dire que c'était effectivement le cas. En scrutant chaque coin et recoin de la ville, mes yeux finirent par s'arrêter sur une vieille dame qui était en train de faire les cent pas devant une boulangerie, l'air inquiet. Bingo ! J'eus l'idée de lui demander mon chemin. Je me dirigeai ainsi vers elle avant de l'interpeller :
- YoOo ! Vieille cruche, tu ne saurais p...
- Ooh ! T'es un étranger toi, c'est ta premiere fois sur l'île
Me demanda-t-elle en m'interrompant
- Heu..... Oui !
- Ca tombe bien, on aime pas les fainéant sur cette île alors tu seras très bien pour ce petit boulot.
- Hein ?!? Qui, quoi, Quaaaaand ?
Avant même que je ne puisse comprendre, il s'agrippa à mon écharpe et se mis à me trainer de force dans la boulangerie avant de me jeter dans une petite pièce un peu isolé.
- Hééhoo ! Te fous pas de moi, vieille cruche. Tu sais qui je suis ? Je suis un pir..
- Je m'en foOOOUS ! Tiens, enfile ça. Espèce de mérinos mal peigner.
Répondis elle en me jetant un uniforme à la visage et en blessant, par la même occasion, mon amour propre avec cette insulte tout pourris. Tsss... ! Moi, mal peigner ? C'était qu'elle devait avoir besoin de lunettes cette vieille vipère. La bouche grandement ouverte et les yeux écarquillés, je tenais l'uniforme entre mes mains en regardant la vieille dame avec une expression qui illustrait tant bien que mal, mon étonnement et mon esprit confus dans une telle situation.
Un coup de cane dans les entre jambes de la part de la vieille dame, me fit reprendre mes esprits, mais il me fit aussi atrocement mal. D'ailleurs ce fut le coup de grace qui me fit capituler face à cette vielle sorcière.
- Alors, c'est pour aujourd'hui ou demain ?
- " Argh" Mes couilles ! ....... c'es...C'est pour tout de suite m'dame.
Quelques minutes plus tard, j'avais fini par succomber aux demandes de la vieille dame et j'étais ainsi en train de travailler dans le restaurant en tant que serveur. Tsss... ! Vie de merde.
J'étais en même temps le vendeur et celui qui cuisinait le pain, en effet il fallait souligner que ma patronne du jour n'avait pas du tout de personnelle. En même temps, ça ne m'avait pas surpris vu le caractère qu'elle avait. Après quatre heures de long et dur travail, installé sur mon tabouret, je m'étais endormi, la tête sur le comptoir avec la bouche qui était grandement ouverte en bavant sur ce qui me servait de coussin. Tout allait bien jusqu'au moment où je reçu ce client. C'était un jeune homme de 19 ans, habillé en mode samurai, mais disons un peu plus moderne et cool, avec des lunettes d'intello sur les yeux et des cheveux bruns. Munis de deux sabres qui se trouvaient au niveau de sa ceinture, Il s'avança vers le comptoir avec une démarche fière et cria en frappant sur le comptoir:
Je me relevai aussitôt en sursautant et en m'écriant << AHHHHH ! Je m'y mets tout de suite vieille dame, ne vous fâchez surtout pas>> car j'avais été un peu plutôt traumatisé par cette vieille cruche qui n'arrêtait pas de me foutre de violents coups avec sa cane pour me motiver. Mais bon, je fus un soulagé quand je me rendis compte que ce n'était pas elle.
- " Hrumpg" " ... T'es qui toi ?
- L'homme que tu dois à présent servir... Fainéant !!
Répondit-il sur un ton hautain. Evidemment, je n'aimais pas sa façon de me parler et sa tête non plus donc je le pris par le col avant de le rapprocher vers mon visage puis je lui dis avec une tête terrifiante digne d'un film d'horreur.
- Comment tu viens de m'appeler ?
- héhé ! Parce que t'es sourd en plus d'être con ?
Avant même que je ne puisse terminer ma phrase, un violent coup de cane que je reçu sur le crane vint nous interrompre et évidemment cela n'était personne d'autre que cette vieille sorcière. Tsss.... il ne manquait plus qu'elle.
- Lache le jeune homme, morveux.
- Aiie ! Occupe toi de tes affaires grand mère, ceci est une discussion entre homme.
Elle m'asséna un autre violent coup sur le crane
- Je m'en fooOOOOUS !!!
- " Argh " D'acc.. D'accord !
Je lâchai aussitôt ce type arrogant et à cause de cette vieille sorcière, il ne me servira pas de punch ball. Grr ! C'était fou comme je la détestai
- Veuillez l'excuser, il n'est pas du tout habituer à l'atmosphère de l'île. Que pouvons nous faire pour vous silvousplait, Danté ?
- Je comprends. J'aimerais silvousplait avoir une dizaine de kilo de pains.
- Ookay ! T'a entendu morveux ? Allez satisfait le client.
- Tsss .. !
- QU'EST-CE QUE TU DIS ???
S'écria-t-elle en brandissant sa cane vers le plafond, prêt à me fendre la crane.
Dis-je avant de m'éclipser rapidement pour aller exécuter la commande et la donner au client avec un sourire forcé qui était imposé par la patronne. Le type me fit en retour un léger sourire au coin des lèvres pour me narguer avant de s'en aller. Grrr ! Il ne perdait rien pour attendre.
Je me trouvais toujours à la boulangerie, installé sur le tabouret en m'ennuyant avant que la vieille dame ne puisse me rejoindre pour faire savoir que j'étais désormais libre de partir. Apparemment selon elle, j'avais suffisamment et très bien travaillé aujourd'hui :
- Allez, tu peux y aller maintenant. T'a bien travaillé aujourd'hui en plus j'ai pas du tout envie que tu fasses fuir ma clientèle.
Disait-elle à travers une voix qui montrait de la sympathie pour ma personne. Elle me remit une bourse d'argent avant de m'indiquer le chemin pour rejoindre l'ancien temple Toriyama qui selon elle, était l'école où je devais me rendre si je voulais vraiment m'entraîner au maniement de l'épée. Après l'avoir remercié, je repris la route, direction l'ancien temple Toriyama. Il était temps de rencontrer mon destin.
Après un petit moment passé à imaginer ce dont ça allait être ou à quoi ressemblait le maitre de cette école, j'arrivai enfin à l'école des lames aux quatre mains. Je m'introduis à l'enceinte du temple et apparemment c'était un bon timing vu que j'arrivais juste à temps pour assister à un entrainement. Des individus munis de shinai (sabre composé de quatre lattes de bambou attachées en elles) donné des coups dans le vide, sous les ordres d'une personne qui les dirigeait
Mais cependant, je tombais de haut en voyant celui qui les dirigeait. En effet celui-ci n'était personne d'autre que l'intello de la boulangerie, le type qui me cassait les noix de coco un peu plus tôt. Merde c'était quoi ce bordel ?
C'était dans ce genre de contexte que j'avais fait escale, à bord de ma barque, sur l'île de Shimotsuki qui était réputé pour ses écoles du maniement du sabre afin de m'améliorer un peu dans ce registre. Après avoir amarré ma barque au quai, je foulais la terre ce territoire inconnu en ayant qu'une chose en tête qui était de trouver une école de sabre digne de ce nom et de m'y inscrire.
Munis de mon sac en bandoulière, une écharpe rouge autour du cou et d'une brindille posée sur les lèvres, je me baladais dans les entrailles de cette île tel un homme perdu qui était à la recherche de son chemin et il fallait dire que c'était effectivement le cas. En scrutant chaque coin et recoin de la ville, mes yeux finirent par s'arrêter sur une vieille dame qui était en train de faire les cent pas devant une boulangerie, l'air inquiet. Bingo ! J'eus l'idée de lui demander mon chemin. Je me dirigeai ainsi vers elle avant de l'interpeller :
- YoOo ! Vieille cruche, tu ne saurais p...
- Ooh ! T'es un étranger toi, c'est ta premiere fois sur l'île
Me demanda-t-elle en m'interrompant
- Heu..... Oui !
- Ca tombe bien, on aime pas les fainéant sur cette île alors tu seras très bien pour ce petit boulot.
- Hein ?!? Qui, quoi, Quaaaaand ?
Avant même que je ne puisse comprendre, il s'agrippa à mon écharpe et se mis à me trainer de force dans la boulangerie avant de me jeter dans une petite pièce un peu isolé.
- Hééhoo ! Te fous pas de moi, vieille cruche. Tu sais qui je suis ? Je suis un pir..
- Je m'en foOOOUS ! Tiens, enfile ça. Espèce de mérinos mal peigner.
Répondis elle en me jetant un uniforme à la visage et en blessant, par la même occasion, mon amour propre avec cette insulte tout pourris. Tsss... ! Moi, mal peigner ? C'était qu'elle devait avoir besoin de lunettes cette vieille vipère. La bouche grandement ouverte et les yeux écarquillés, je tenais l'uniforme entre mes mains en regardant la vieille dame avec une expression qui illustrait tant bien que mal, mon étonnement et mon esprit confus dans une telle situation.
" Biiim "
Un coup de cane dans les entre jambes de la part de la vieille dame, me fit reprendre mes esprits, mais il me fit aussi atrocement mal. D'ailleurs ce fut le coup de grace qui me fit capituler face à cette vielle sorcière.
- Alors, c'est pour aujourd'hui ou demain ?
- " Argh" Mes couilles ! ....... c'es...C'est pour tout de suite m'dame.
Quelques minutes plus tard, j'avais fini par succomber aux demandes de la vieille dame et j'étais ainsi en train de travailler dans le restaurant en tant que serveur. Tsss... ! Vie de merde.
J'étais en même temps le vendeur et celui qui cuisinait le pain, en effet il fallait souligner que ma patronne du jour n'avait pas du tout de personnelle. En même temps, ça ne m'avait pas surpris vu le caractère qu'elle avait. Après quatre heures de long et dur travail, installé sur mon tabouret, je m'étais endormi, la tête sur le comptoir avec la bouche qui était grandement ouverte en bavant sur ce qui me servait de coussin. Tout allait bien jusqu'au moment où je reçu ce client. C'était un jeune homme de 19 ans, habillé en mode samurai, mais disons un peu plus moderne et cool, avec des lunettes d'intello sur les yeux et des cheveux bruns. Munis de deux sabres qui se trouvaient au niveau de sa ceinture, Il s'avança vers le comptoir avec une démarche fière et cria en frappant sur le comptoir:
- Spoiler:
Je me relevai aussitôt en sursautant et en m'écriant << AHHHHH ! Je m'y mets tout de suite vieille dame, ne vous fâchez surtout pas>> car j'avais été un peu plutôt traumatisé par cette vieille cruche qui n'arrêtait pas de me foutre de violents coups avec sa cane pour me motiver. Mais bon, je fus un soulagé quand je me rendis compte que ce n'était pas elle.
- " Hrumpg" " ... T'es qui toi ?
- L'homme que tu dois à présent servir... Fainéant !!
Répondit-il sur un ton hautain. Evidemment, je n'aimais pas sa façon de me parler et sa tête non plus donc je le pris par le col avant de le rapprocher vers mon visage puis je lui dis avec une tête terrifiante digne d'un film d'horreur.
- Comment tu viens de m'appeler ?
- héhé ! Parce que t'es sourd en plus d'être con ?
" Biiim "
Avant même que je ne puisse terminer ma phrase, un violent coup de cane que je reçu sur le crane vint nous interrompre et évidemment cela n'était personne d'autre que cette vieille sorcière. Tsss.... il ne manquait plus qu'elle.
- Lache le jeune homme, morveux.
- Aiie ! Occupe toi de tes affaires grand mère, ceci est une discussion entre homme.
" BiiiM "
Elle m'asséna un autre violent coup sur le crane
- Je m'en fooOOOOUS !!!
- " Argh " D'acc.. D'accord !
Je lâchai aussitôt ce type arrogant et à cause de cette vieille sorcière, il ne me servira pas de punch ball. Grr ! C'était fou comme je la détestai
- Veuillez l'excuser, il n'est pas du tout habituer à l'atmosphère de l'île. Que pouvons nous faire pour vous silvousplait, Danté ?
- Je comprends. J'aimerais silvousplait avoir une dizaine de kilo de pains.
- Ookay ! T'a entendu morveux ? Allez satisfait le client.
- Tsss .. !
- QU'EST-CE QUE TU DIS ???
S'écria-t-elle en brandissant sa cane vers le plafond, prêt à me fendre la crane.
Dis-je avant de m'éclipser rapidement pour aller exécuter la commande et la donner au client avec un sourire forcé qui était imposé par la patronne. Le type me fit en retour un léger sourire au coin des lèvres pour me narguer avant de s'en aller. Grrr ! Il ne perdait rien pour attendre.
Quelques instants plus tard :
Je me trouvais toujours à la boulangerie, installé sur le tabouret en m'ennuyant avant que la vieille dame ne puisse me rejoindre pour faire savoir que j'étais désormais libre de partir. Apparemment selon elle, j'avais suffisamment et très bien travaillé aujourd'hui :
- Allez, tu peux y aller maintenant. T'a bien travaillé aujourd'hui en plus j'ai pas du tout envie que tu fasses fuir ma clientèle.
Disait-elle à travers une voix qui montrait de la sympathie pour ma personne. Elle me remit une bourse d'argent avant de m'indiquer le chemin pour rejoindre l'ancien temple Toriyama qui selon elle, était l'école où je devais me rendre si je voulais vraiment m'entraîner au maniement de l'épée. Après l'avoir remercié, je repris la route, direction l'ancien temple Toriyama. Il était temps de rencontrer mon destin.
Après un petit moment passé à imaginer ce dont ça allait être ou à quoi ressemblait le maitre de cette école, j'arrivai enfin à l'école des lames aux quatre mains. Je m'introduis à l'enceinte du temple et apparemment c'était un bon timing vu que j'arrivais juste à temps pour assister à un entrainement. Des individus munis de shinai (sabre composé de quatre lattes de bambou attachées en elles) donné des coups dans le vide, sous les ordres d'une personne qui les dirigeait
Mais cependant, je tombais de haut en voyant celui qui les dirigeait. En effet celui-ci n'était personne d'autre que l'intello de la boulangerie, le type qui me cassait les noix de coco un peu plus tôt. Merde c'était quoi ce bordel ?