>>Abacchio Anasui
une image 200*300 | Pseudonyme : Aucun pour l'instant Age: 26 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Cuistot Groupe : Pirates apriori Déjà un équipage : Aucun pour le moment But : Cuisiner pour ceux qui on faims tout en soutirant à ces bâtards de la marine toute cette nourriture qu'ils gardent pour la "haute populace". Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Un Fdd mais je garde les détails secrets Équipements : Des couteaux de cuisines. Codes du règlement (2) : Parrain : Non Ce compte est-il un DC ? : Oui, de Ayzami Lin Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Plud, à la base je pouvais reprendre Zelko, j'ai voulu changer, on m'a dit ok. |
>> Physique Anasui est un jeune homme de taille moyenne (1m80 pour l'univers d'op c'est assez moyen), tout en finesse, du torse à tous les autres membres de son corps, la taille longiligne du cuisinier se marie très bien avec les tenues élégantes qu'il aime porter. De la même façon l'on pourra constater à quels point ses doigts sont fins, comme ceux d'une femme diraient les mauvaises langues, mais pour notre héros ses mains sont les plus magnifiques outils de travail qui soient. Son visage est tout aussi fin que son corps, ses yeux châtains surplombés de fin sourcils bruns ne peuvent être appréciés à leurs juste valeurs, l'oeil droit étant caché par les cheveux bruns, mi-long et ondulés que Anasui coiffe de façon à toujours avoir un oeil couvert... Il s'agit sans aucun doute d'un effet de style douteux, mais chacun ses goûts après tout. En parlant de goûts parlons de ses goûts vestimentaires, notre pirate bouclé aime s'habiller d'une façon qu'il qualifie de "classe", il porte essentiellement des costards ou des vêtements coupés comme des costards, privilégiant parfois la chemise à la veste, toujours légèrement ouverte. Il prend le plus grand soins de sa tenue détestant tout ce qui est faux plis, tâches et autres inconvénient que l'on peut rencontrer lorsqu'on vadrouille en pleine nature. Cette manie de toujours vouloir être présentable s'applique aussi à son propre corps ! Notre ami fait toujours tout pour être propre malgré sa situation aujourd'hui précaire. En cuisine bien entendu il porte un tablier pour ne pas tâcher ses vêtements et surtout il attache ses cheveux en arrière, car il est juste hors de question de prendre le risque de faire tomber un cheveu dans ses préparations. Dans son attitude corporel Abacchio est très expressif, toujours à faire de grands mouvements de bras et de mains pour appuyer ses dires, accentuant parfois les fins de ses phrases pour se faire bien comprendre il est également très tactile avec la gente féminine sans être un de ces dragueurs qu'il déteste plus que tout. >> Psychologie Nous avons ici affaire à un homme possédant une haute estime de lui-même, ayant été élevée dans des milieux riches cela n'a rien d'étonnant, son assurance en toute circonstance pourra même en faire chier certains, car oui c'est toujours chiant quand quelqu'un vous soutiens qu'une chose est vraie rejetant tout débat qu'il ai raison ou non... Vous l'aurez compris Abacchio crois dur comme fer en ce qu'il pense et il sera difficile de le faire changer d'avis, il y'a une seule exception qui confirme la règle à ceci c'est le domaine de la cuisine. Son maitre Buccelati ayant formé son élève de façon à ce qu'il se remette toujours en question pour continuer d'évoluer, qu'il soit curieux de voir comment font les autres, ce genre de choses, mais si pour beaucoup il aurait été normal d'appliquer ces conseils à beaucoup d'autres domaines de la vie ce ne fut pas une évidence pour notre cuisinier qui hors de sa cuisine reste totalement sur ses positions. Malgré cette attitude à toujours vouloir avoir raison Anasui n'est absolument pas quelqu'un prêt à s'énerver pour si peu bien au contraire, il est d'une nature calme et aprioris réfléchie, privilégiant les mots à l'affrontement. Notre héros est d'ailleurs très expressif quand il parle, comme nous le disions en partie physique, il aime accentuer ses phrases de vifs mouvements de bras et de mains tout en appuyant bien sûr la fin de certains mots. Le sourire aux lèvres, parlant fort et bien nous avons ici affaire à un jeune cuisinier pleins de bonne humeur malgré cette sale manie de croire que ce qu'il croit est juste. Mais dès que nous entrons dans une cuisine il perd son sourire et devient tout de suite plus sérieux, la cuisine c'est pas une affaire de rigolo hein ! C'est également au combat que l'on peut voir disparaitre sa bonne humeur, prêt à tout pour la victoire même à recourir à des moyens pas très recommandables il vaut mieux éviter de provoquer le courroux de Abacchio qui malgré son apparence maigrichonne se donne corps et âme en combat pour vaincre son adversaire, encore plus lorsqu'il s'agit de se battre pour un compagnon d'arme. Il y'a deux types de personnes que Anasui ne supporte particulièrement pas, les dragueurs et les traitres, dans les deux cas il s'agit d'êtres méprisables qui méritent la mort. Les dragueurs ne font qu'importunés les femmes, les harcelant, leurs faisant toute sorte de promesses frauduleuses pour arriver à leurs fins brefs, des déchets pour un homme comme Abacchio qui préconise le respect de la gente féminine qui la mérite après tout. Concernant les traitres ils sont même pires, ces gens ont prêté allégeances à une autorité, on acquis la confiance de compagnons pour ensuite les trompés, les trahir, souillés le respect dû à ces personnes qui avaient confiance en le dit traitre. Il n'y a pas pire gangrène dans une organisation qu'un homme qui trahit ses pairs pour arriver à ses fins et ça, Anasui est prêt à tout pour l'endiguer. >> Biographie Notre histoire commence sur l'Île de Dawn, dans le Town Center, c'est dans une famille issus de la haute bourgeoisie qu'a vu le jourle héros de cette histoire, Abacchio Anasui. Élevé donc dans un milieux hautement bourgeois, Abacchio a reçu une éducation exemplaire, il ne manquait de rien et était gâté par ses parents en échange de quoi il avait appris à faire bonne figure et à montrer une bonne image de sa famille lors de dîner mondains et autres célébrations du genre. Avec un cadre pareil rien ne pourrait venir perturber cette famille de bourgeois parmi les autres du Royaume cependant Anasui n'était pas irréprochable, enfin du moins pour une personne de son "rang" car depuis sa plus tendre enfance il nourrissait un rêve il voulait devenir cuisiner, oui cuisinier ! Un métier de petites mains qu'exercent les roturiers ! Les parents de Anasui faisaient donc tout pour enlever de la tête de leur enfant ce rêve stupide, mais malgré les années qui passaient il persistait à vouloir suivre ce qu'il voulait faire. Il y'avait une raison à cela en fait, le gamin passait beaucoup de temps à l'insu de ses parents dans les cuisines de leur grande maison à parler avec les cuisiniers employés par la famille, contrairement à la majorité de la population locale qui aime se la péter plus haut que son cul Anasui n'était pas sensible au "lavage de cerveau" de ses parents et considérait tout le monde à la même enseigne noble ou non. Vint un jour où le chef des cuisines, un vieux monsieur dû prendre sa retraite, il était apprécié de tous et son départ faisait même peine aux parents de notre héros qui connaissaient le vieil homme depuis leurs enfances. Avant de partir le vieux chef tenu à s'adresser aux parents de Anasui. - Écoutez, je sais qu'ici vous devez maintenir une certaine image à l'égard de la société, mais vous êtes trop durs avec votre enfant, ce n'est pas en lui interdisant les choses que vous le détournerez son but bien au contraire. J'ai choisi mon remplaçant, il s'agit d'un homme de confiance et de grand talent ayant même exercé pour de grands noms... laissez le prendre Anasui sous son aile, en grandissant qui sait il se désintéressera peut être de la cuisine, car après tout, cela demande beaucoup de travail et d'investissement... Il partit peu après, laissant derrière lui le sous entendu qu'un enfant de ce milieux n'aurait pas la volonté de faire des "efforts". Lorsque le nouveau chef arriva quelques semaines après, Anasui avait 12 ans, un grand homme fin entra un jour dans la résidence familiale, vêtus d'un costard blanc d'une grande élégance il fit forte impression à la famille Abacchio. - Je vous salut chères employeurs, je me prénomme Buccelati et à partir d'aujourd'hui je serais le chef cuisinier de cette maison en espérant que mes plats puissent ravir votre fin et délicat palais. Beaucoup de courbettes et de phrases bien tournées pour se mettre les parents dans la poche, on lui avait aussi dit qu'il enseignerait la cuisine au fils unique de cette maison qui rencontra Buccelati en cuisine pour la première fois le soir même de son arrivée. - Alors c'est toi, Abacchio Anasui... Tout de suite le ton du chef changea. - Autant que je sois tout de suite claire avec toi, je ne suis pas ici pour te faire des courbettes ou quoi que ce soit, ici dans cette cuisine je suis celui qui donne les ordres et ne croit pas que je serais tendre avec toi parce que tu es le fils de ceux qui me paient. La couleur était annoncée, pour Buccelati la cuisine était une affaire sérieuse, une forme d'art même et hors de question qu'un fils de bourgeois viennent la ramener parce que c'est trop dur ou quoique ce soir du genre. Anasui était surpris, surpris parce que c'était bien la première fois qu'une personne de son entourage était aussi franche avec lui et face au charisme de son professeur il ne pensait qu'une seule chose, "waow il est trop cool !". Les jours, les semaines et même les mois passèrent, Anasui suivait les cours auprès du chef et se faisait réprimander à la moindre erreur par un coup sur la tête et quelques insultes orales promulgué par son maitre. Malgré tout le jeune garçon ne lâchait pas le morceau et travaillait dur pour être à la hauteur des exigences de son chef, Buccelati lui de son côté devait bien reconnaitre que le gamin bossait bien et était surpris d'autant de volonté de sa part, aussi il ne perdit pas de temps pour lui enseigner d'autres choses fondamentales pour un vrai cuisinier, comme par exemple ne pas gâcher les restes, ne pas utiliser plus d'ingrédient que nécessaire. La cuisine était un art, une philosophie de vie pour lui et cela se sentait lorsqu'il en parlait, très vite Anasui adopta cette optique et supportait de moins en moins de voir ses parents et même son entourage gâcher la nourriture ainsi ! Pour son maitre c'était simple, on ne jetait pas les restes, alors les cuisiniers mangeait ce qu'il restait pour ne pas gâcher la nourriture vu qu'il était inconcevable de servir des restes à un noble. Les années passèrent, Anasui grandit et ouvrit les yeux de plus en plus grands faces à la pourriture qui l'entourait, ses "amis", ses parents, les autres bourgeois et autres nobles, tant de nourriture gâchée, tant de plats que des pauvres auraient pu savourer sans en gâcher une miette s'en était pitoyable... encore plus maintenant que notre héros avait appris à cuisiner et savait le travail que cela représentait. Notre jeune cuistot de 17 ans en parlât un soir à son maitre. - Chef... ça fait maintenant quelques années qu'on se connait, j'ai tout appris grâce à vous et maintenant je comprends pourquoi vous étiez si dur et si peu confiant vis-à-vis de moi au début... je comprends quand je vois tous ces porcs se bâfrant d'une nourriture qu'ils ne méritent pas. Buccelati ricana. - Quelle ironie, le jeune coq qui se rend compte que les autres volatils de la bassecour sont tous atteint de la peste. Je ne te cacherais pas que je suis assez content que tu te sois rendu compte par toi-même de cela après tout moi je t'ai juste enseigné comment devenir un bon cuisinier. - Vous prenez cela avec beaucoup de légèreté, mais vous êtes dans le métier depuis longtemps, comment vous faites pour supporter ça ? - Tu veux vraiment le savoir ? La mine du chef devint plus sombre. - O-oui bien sûr, vous avez peur que j'aille raconter ça à quelqu'un ? Je suis votre élève, j'ai juré de garder tous vos secrets. - Très bien, Anasui je commence à te connaitre, je pense que je ne fais pas une erreur en te faisant confiance. N'as-tu jamais remarquer que malgré mes leçons concernant la juste mesure des ingrédients je prenais toujours plus qu'il me fallait dans votre garde-manger ? - Si mais... où voulez-vous en venir ? - C'est extrêmement simple, quand je cuisine, j'utilise les ingrédients nécessaires au plat, puis pendant que vous mangez je prends ce que je n'ai pas utilisé pour le faire passer à des amis qui font passer la nourriture vers les quartiers pauvres et ainsi donner à manger à ceux qui en ont besoin. Je fais ça depuis plus de dix ans, voilà comment je fais pour tenir aux milieux de cette injustice. - Vous.... vous êtes vraiment incroyable maitre ! - Voyons Anasui ! Je ne suis qu'un simple cuisiner qui veut donner à manger à tous ceux qui ont faims ! Son maitre prit la pose tel un héros et Anasui, totalement fan de son maître se leva les poings fermés. - Chef ! Moi aussi je veux nourrir ceux qui ont faim ! Peu importe le milieux social ! - Tu es sur de toi Anasui ? En faisant ça tu deviendras techniquement un hors la loi, en plus de voler ta propre famille. Déterminé Anasui hocha la tête. - Multo Bene ! Anasui ! Je vais t'apprendre comment on vole aux riches pour donner aux pauvres ! Durant les années qui suivirent, Anasui continua d'apprendre auprès de Buccelati, au grand désespoir de ses parents qui cherchaient encore un moyen de détourner leurs fils de la cuisine, mais avec un maitre pour qui leurs fils avait tant d'admirations cela relevait de l'impossible. De plus sans savoir que le chef volait en douce de la nourriture pour la donner aux pauvres ils se mirent en tête de faire tomber ce cuisinier qui détournait leurs fils du droit chemin. Cela commença doucement, cherchant le moindre prétexte pour descendre en flamme les plats que produisait Buccelati, les renvoyant en cuisine, trouvant cela infecte, bref tout pour décourager le cuisinier professionnel qu'il était. Si Buccelati ne se décourageait pas et continuait ses opérations, Anasui lui se contentait d'aller prendre la nourriture supplémentaire dans le garde-manger pour facilité les opérations à son maître, mais jamais il ne sortait. Puis vint un soir décisif, notre héros avait désormais 23 ans et secondait Buccelati pour servir le repas lors d'une grande réception réunissant de nombreuses familles riches du quartier, si c'était l'occasion de prendre encore plus de nourriture pour les pauvres c'était aussi l'occasion rêvée pour les parents d'Anasui de discréditer auprès du gratin le chef Buccelati et ainsi avoir une bonne raison de le virer. L'équipe en cuisine préparât le repas et Buccelati envoya son élève chercher les ingrédients sans oublier le "bonus" cependant cette machine si bien huilé ne pouvait pas rester sans faille éternellement, un des convives, ayant déjà bus de nombreux verres de vins se mit à chercher les toilettes qui étaient non loin des cuisines, en y entrant il aperçut Anasui apportant la nourriture en cuisine, mais en y sortant quelle fut sa surprise quand il vue Anasui ressortir de la cuisine, un sac de nourriture qu'il semblait porter avec beaucoup trop de précautions loin du garde-manger. - Hey toi ! Anasui était pris la mains dans le sac et bien vite le convive s'empara du voleur pour l'amener à la vue de tous, y compris de l'équipe en cuisine qui était en train de servir le repas. - Mais dites moi Abacchio ne serait-ce pas votre fils que j'ai pris en train de voler dans votre propre garde-manger ? - Comment ? Anasui ? Dis moi que tu as une explication à ça fils indigne ! Tous le toisait comme un animal nuisible, même ses propres parents, le jeune homme ne savaient pas comment réagir il fut prit de panique et... - Anasui n'a rien fait. Buccelati arriva ôtant son tablier et sa toque. - C'est moi qui ai volé la nourriture. - Baliverne c'est ce gamin que j'ai pris la mains dans le sac. - Je vous dis que c'est mon œuvre, j'ai trompé et manipulé ce jeune idiot pour qu'il fasse ce que je veux ! Buccelati mis sa main sur son front, attirant l'intention de son élève. Très vite l'on s'empara du chef cuisinier désormais accusé de vols et de manipulation. Notre héros ne savais pas quoi faire, regardant son maitre se faire embarquer, lui qui venait de se sacrifier pour sauver son élève. - Maitre ! - C'est finis Anasui, je ne suis plus ton maitre. Buccelati en se faisant emporter promulgua son derniers message à son élève. - Continue de faire ce que tu pense juste ! Je suis sûr que tu deviendras un grand chef ! Les larmes se mirent à couler sur le visage du jeune homme qui tentait de rejoindre le chef malgré ses parents qui le retenait. - M-maitre ! Je vous le promet.... JE VOUS LE PROMET BUCCELATI ! Buccelati disparus, après cela plus jamais il n'en entendit parler, les parents d'Anasui étouffant l'affaire pour ne pas que l'on sache que leurs fils s'était fait manipuler, mais lui il savait, il connaissait la vérité et trouvait tout cela tellement injuste... Aussi il prit une décision, il ne savait pas ce qu'il était advenu de son maitre, mais il comptait continuer de faire ce qu'il semblait juste, ce que son maitre lui avait appris, nourrir ceux qui ont faim. Il réunit ses affaires personnelles, son matériel de cuisinier et décida de s'enfuir de cet endroit maudit. Il partit pour les quartier pauvre du Royaume, direction Edge Town ! Il n'eut que peu de difficultés à s'enfuir, une fois sur place, lui qui était rarement sorti hors des beaux quartiers fut surpris par la misère des lieux, mais aussi par l'ambiance qui s'en dégageait, on lui disait souvent que c'était dangereux ici, mais il se sentait plus en sécurité ici que chez lui allez savoir pourquoi. Il chercha une auberge où il se présenta comme cuisinier itinérant, il trouva assez vite un travail et même quelques connaissances de son maitre Buccelati qui ne savaient pas non plus ce qu'il était advenu de lui. Anasui eu alors une idée, il comptait reprendre les opérations de son maitre et pour cela il avait besoin de l'aide des autres cuisiniers mais également de personnes sachant s'y prendre pour pénétrer dans les maisons d'autruis. Ainsi commencèrent les opérations orchestrés par Anasui, lui et ceux qui l'aidaient repéraient des maisons potentielles à voler et attendaient la nuit pour simplement cambrioler les réserves de nourritures des riches pour ensuite en faire profiter les pauvres. C'était moins fin que la méthode d'infiltration de Buccelati mais cela avait au moins le mérite de marcher, au début l'on ignorait ces casses, mais plus le temps passait et plus on s'intéressait à ces mystérieux cambrioleurs qui vidaient les réserves des maisons de bourgeois voir même en quelques occasions de nobles ! Le jeune Abacchio était très méthodique et devait faire attention, car il était déjà de base recherché par ses parents pour s'être enfuis de chez lui alors valait mieux pas qu'on lui tombe dessus durant un casse. Toutes les bonnes choses ont cependant une fin, le problème quand on fait appels à des inconnus pour nous aider c'est qu'on ne sait jamais sur qui on va tomber, surtout à Edge Town où les autorités ont tendances à mettre la pression à la population locale. Un des voleurs, déjà recherché pour quelques larcins s'était fait attraper par les gardes locaux et pour monnayer sa libération il se contenta très simplement de balancer l'identité du Robin des Bois local, Abacchio Anasui, le jeune héritier de la famille Abacchio déjà rechercher pour avoir fuit le domaine familial. Des avis de recherches locaux furent émis, des gens attirés par l'argent se mirent à rechercher le jeune voleur dans la ville-basse pour le livrer aux autorités, pour le cuisinier la seule solution était désormais de quitter la ville, il fit appel à l'aubergiste qui le logeait pour l'aider à s'enfuir la nuit suivante. La lune était pleine, très peu de nuage dans le ciel, l'aubergiste s'était arrangé pour que le capitaine d'un navire prenne Anasui à son bord pour le faire quitter le royaume. L'ancien bourgeois remercia ceux qui l'avaient aidé et s'excusa de les avoir mis en danger, tous lui souhaitèrent bon voyage et lui devait maintenant regarder de l'avant, car il ne pourrait surement plus revenir ici désormais. En tout cas alors qu'il se dirigeait vers le navire il gardait en tête ce que lui avait appris son maitre Buccelati et peu importe s'il devait devenir un voleurs partout où il irait, il continuerait de faire ce qui lui semble juste, donner à manger à ceux qui ont faims et délester cette noblesse de leur nourriture quitte à se mettre la marine et pourquoi pas le gouvernement à dos. >> Test RP Suite aux tragiques événements qui venaient de se produire, Anasui avait prit la décision de s'enfuir de chez lui. Quelques jours après avoir pris sa décision il faisait ses premiers pas dans Edge Town. Contrairement aux quartiers supérieurs de la ville ici la pauvreté était omniprésente, que ce soit dans l'apparence des habitants, les bâtiments délabrés ou encore le grandnombre de soldats qui patrouillaient et inspiraient la crainte à ceux qui se trouvaient sur leur passage. L'ancien bourgeois errait dans les rues, attirant les regards avec son costard aux couleurs vives qu'il portait. Il marchât un petit moment avant de tomber sur ce qui semblait être une petite auberge de fortune, il y entra et entama le dialogue avec la jeune femme qui se trouvait au comptoir. - Bienvenue dans notre auberge, vous désirez ? - Bonsoirs, une chambre s'il vous plait. Alors que son interlocutrice était en train de chercher une clef pour Anasui ce dernier regardait les lieux, malgré des efforts remarquables pour maintenir une certaine propreté on sentait un manque de moyens flagrants au vu de l'état de certains murs et étagères présentes dans la pièce. Une affiche attira alors l'oeil de notre cuisinier, l'auberge cherchait un cuisinier justement pour servir les clients en échange d'un maigre salaire. Il arracha l'affiche et la montra à la tenancière qui lui tendait maintenant sa clé. - Dites-moi vous recherchez toujours un cuisinier ? Il se trouve que je serais très intéressée par un travail aussi peu payé soi-t-il. - V-vous êtes sûrs ? Elle ne semblait pas convaincue, il est vrai que dans son apparence propre sur lui-même actuelle Abacchio ne donnait pas l'image d'un crève la faim en quête du moindre Berry, il répondit avec le sourire et un certain détachement. - Bien sûr que je le suis, un cuisinier n'a pas de raison d'être s'il ne peut nourrir ceux qui on faims. Après ceci il discuta des termes du contrats de travail avec Trish, sa nouvelle patronne, si l'auberge était très peu fréquentée ils avaient tout de même quelques clients récurrents, garantissant au jeune homme de quoi travailler tous les jours en cuisine. La nuit passa et le lendemain notre héros fit connaissance avec la cuisine des lieux, ce n'était pas très propre, mais au moins les quelques équipements présents étaient en bons états. Première chose à faire avant d'investir les lieux donc, nettoyer toute cette crasse et cela lui prit facilement toute l'après-midi ! Le timing était relativement parfait, car il termina à l'heure de se mettre au travail pour le service du soir. Mais il se trouva face à un nouveau problème, les ingrédients... dans le garde-manger peu de choses, mais surtout peu de choses fraiches. *Hum, je vous comprends maintenant... maître..* Malgré tout il fit avec et prépara un repas de fortune avec les ingrédients utilisables, ce manque de moyen avait au moins le mérite d'être un bon moyen pour le cuisinier de s'entraîner. Aussi il fit avec pendant quelques jours, prenant même la décision d'accompagner Trish au marché local pour contrôler la qualité des aliments achetés et là il comprit pourquoi il y'avait peu d'ingrédients de premières fraîcheurs dans les réserves de l'hôtel, outre leurs relative rareté sur le marché, les aliments frais présents étaient très chères ! Ce qui ne manqua pas de provoquer l'exclamation du jeune homme en pleins devant le vendeurs de légumes. - Comment ? Tout ça pour même pas un pauvre kilos ?! Mamma mia c'est du vol ! - Si t'es pas content mon gars tu peux toujours aller voirs ailleurs ! - Vous devriez avoir honte, vous savez très bien qu'ici les clients nous roulent pas sur l'or et vous leurs vendez JUSTEMENT à prix d'or vos articles. Vous êtes sûrs que vous ne vous êtes pas trompés de quartier ? On est à Edge Town ici pas dans le quartier noble de la ville ! - Ahah... t'es nouveau ici non ? Tu crois qu'on les sorts d'où nos articles ? Sais-tu la difficulté que l'on peut éprouver à récupérer ne serait-ce qu'un kilos de tomates fraiches ? C'était une discussion de sourds, mais Anasui ne voulait pas lâcher l'affaire, si bien que Trish dû limite le tirer de force pour stopper cette engueulade. Un peu plus loin dans la rue, elle engueulait son employé. - Non mais qu'est-ce qui vous a prit ? Vous êtes ici depuis une bonne dizaine de jours maintenant et vous n'avez toujours pas vu à quel point il est dur de vivre convenablement ici ? - Si si patronne je le sais bien... c'est juste que.. rahh ! Ça me révolte tout ça, n'importe quelle petite boutique dans les quartiers au-dessus on des articles dix fois supérieurs à ici pour des prix totalement convenables et ici... non, ce n'est pas juste ! - Et oui, rien n'est juste ici, bienvenue dans le monde réel Anasui, tu à beau ne pas en parler, mais ton comportement, tes vêtements, tes manières... tu as sans doute grandit dans un milieux bien plus aisé qu'ici. Il baissa la tête, elle avait raison après tout, le jeune homme ne pouvait rien y faire. Ils rentrèrent à l'hôtel, le soir alors qu'il préparait le dîner il eu une idée, ça le frappa tellement fort qu'il en renversa presque la casserole qu'il avait dans la main ! - Patronne ! Patronne ! J'ai une idée ! - Hum ? - Si ici on ne peux pas obtenir de la bonne nourriture, nous irons la voler à ceux qui en on les moyens ! - Tu es devenue fou ? Tu as prit une poêle sur la tête au quoi ? Non seulement ton idée es stupide mais en plus tu l'annonce à haute voix comme ça... dieu merci aucun garde ne passe jamais ici ! - Stupide ? - Oui stupide, pourquoi risquerais-tu ta vie en allant voler chez les bourgeois là-haut ? C'est un coup à juste finir en prison ça... - C'est vrai vous avez raison patronne... Cependant, si en devenant stupide je peux permettre aux gens d'ici d'au moins manger à leurs faim alors je veux bien devenir l'homme le plus stupide de la ville ! Trish regardât Anasui avec nostalgie, ouvrant grand ses yeux à l'entente de ces mots. - Un problème patronne ? - Non non, c'est juste que... t'es pas le premiers idiot à t'être servit de ces casseroles ici. Avant toi il y'avait un autre idiot en costard qui racontait ça. Elle parlait sans doute de Buccelati qui avait manifestement des liens avec ce quartier, ne serait-ce que part ses anciennes opérations ici avant son arrestation. - M'enfin, si tu veux arriver à tes fins vas falloirs te trouver des gens sur qui compter mon gars, car tout seul t'a juste aucune chance de réussir. - Vous m'semblez drôlement bien informée patronne. - Oh tu sais... on vas dire que j'ai appris certaines choses aux fils des années dans ce quartier. Les jours qui suivirent l'objectif de Abacchio fut de trouver une équipe pour mener à bien son plan ! Trish aussi de son côté regardait dans son carnet d'adresse pour trouver d'éventuels anciens collègue de Buccelati qui seraient partant pour reprendre les opérations. Le jeune homme déambulait dans les rues, bien visible à cause de ses vêtements d'un beau blanc cassé il n'était vraiment pas discret. Il tomba alors sur une scène bien singulière. - Arrêtez ! - Ta gueule misérable cloporte ! - Espèce de voleur ! Deux gardes étaient en train de malmener un jeune homme, un petit voleur surement. Il était au sol et se faisait rouer de coup par les deux hommes, Abacchio intervint. - Hey que faites-vous à ce gamin ? - Hein ? On corrige ce voleur comme il se doit ! - Vous êtes pas d'ici vous hein ? Retournez dans le Town Center avec des fringues pareils vous y serrez plus à votre place ! Et ils reprirent leurs maltraitances, face à une telle injustice le jeune homme n'hésita pas longtemps avant de foncer sur les gardes. - LAISSEZ-LE TRANQUILLE MISÉRABLES ! - Quoi ? Il en frappa un premier qui ne semblait pas extrêmement affecter, faut dire que le jeune cuisinier était pas une montagne de muscle. Le second garde plaqua notre héros à terre et c'est maintenant lui qui se faisait maltraiter, protégeant sa tête comme il le pouvait. - Alors ? C'est quoi ça ? On t'a à peine poussé que t'es déjà à terre ! - Pitoyable ! Les gardes se moquaient de l'ex-bourgeois, quand au gamin qui était la première victime de ces brimades. Il s'était enfui pour revenir avec des amis à lui, une bande de quatre ou cinq gars. - Regardez c'est eux ! - Aller les gars on vas leurs montrer à ces chiens du gouvernement ! Ils se jetèrent sur les gardes qui ne tardèrent pas à prendre leurs jambes à leurs cou. Une fois tout ça finis, le jeune voleur aida Anasui à se relever. - M..merci... - Non, merci à toi, sans toi qui sait ce qu'ils m'auraient fait ! J'm'appel Narancia et toi ? - Anasui. Il se releva, observant le groupe de voyous qui avaient l'air bien plus sympathiques que les apparences ne semblaient l'indiquer. Ils passèrent le reste de la journée ensemble, Anasui racontant son histoire et les jeunes expliquant au cuisinier la situation de Edge Town plus en détails. Les jours suivants, Anasui revit ses nouveaux amis à plusieurs reprises, parlant beaucoup avec eux de la situation de la ville et les aidant même parfois dans leurs larcins envers les gardes. Finalement il sedécida à parler de ses plans à ses nouveaux nakama, après avoir autant parlé avec eux, partager leurs peines et leurs colères envers le gouvernement locale, il pensait pouvoir avoir confiance envers Narancia et sa bande. - Donc tu veux carrément monter dans le Town Center, rentrer chez des bourgeois et leurs voler leurs bouffes tout ça pour simplement permettre aux habitants de Edge City de manger à leurs faims. - T'as tout compris mon chère Narancia. - Il est fou ! Déclama Fugo un des gars du groupe. - Au contraire il a des couilles lui ! Intervint Hina la seule fille du groupe. - Et comment tu compte ne serait-ce que t'introduire dans le Town Center de nuit sans te faire remarquer ? Toi encore ça va avec tes fringues de bourgeois tu peux y entrer sans trop de probleme mais nous ? - Bien vu j'ai en effet des fringues de bourgeois, encore mieux que ça je suis né dans le Town Center et j'en connais tous les coins et recoins. Après tout j'ai réussis à m'enfuir de chez moi sans aucun problème non ? Tous acquiescèrent, Abacchio leurs expliqua le plan en donnant plus de détails et parlant surtout des risques encourus, le vol est un délit après tout. Blono, le plus vieux du groupe avait une question qui interessait tout le groupe, mais il était le seul à oser la posée. - Mais dis-nous Anasui, on va donc aller piller les garde-manger trop pleins de ces riches mais qu'en est t'il de leurs richesses ? Tu crois vraiment qu'on ne sautera pas sur l'opportunitée de leurs soutirer un ou deux objets de valeurs en passant? - J'ai déjà envisagé ce scénario Blono et ma réponse sera très simple, si tu veux leur voler toute autre chose que de la nourriture fais le, mais cela doit être du bonus. La seule chose que je demande c'est qu'à la fin on ai la nourriture, si au passage t'a pu t'en mettre dans les poches tant mieux pour toi mon gars. Voilà qui ravissait tout le groupe, même si Anasui était peut-être un peu naïf et fou de vouloir faire cela il n'empêchait qu'il était couillu et ça tout le monde le respectait. Notre héros s'était fait des alliés des poids et même sa patronne, Trish, avait réussi à trouver d'ancien collègue de boulot de Buccelati de son côté. Ça faisait bientôt un mois que Anasui était dans Edge Town, il avait découvert la pauvreté locale, trouver un boulot et surtout il avait réussi à former un groupe de gars aussi fou que lui pour braquer les riches. Et alors que notre héros organisait tout ça de son côté, dans le Town Center, ses parents avaient déjà lancé des avis de recherche pour retrouver leurs fils depuis facilement deux semaines, récompenses à la clé et si le Town Center était rempli de ces affiches, ce n'était qu'une question de temps avant qu'elles ne parviennent dans Edge Town. |
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Informations IRL
- Prénom : Arturo mais tu peux m'appeler Apo
Age : 20 ans
Aime : Des trucs
N'aime pas : D'autres trucs (flemme de répeter ce que j'ai dis sur la fiche de Lin)
Personnage préféré de One Piece : Aokiji, Lucci
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Chieurs, pour plus de détail voir la fiche de Lin.
Fais du RP depuis : Assez longtemps pour douter de ma sanité
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Assez pour pas que ce perso finisse dans le groupe des morts.
Comment avez vous connu le forum ?
Tu veux pas savoir
Dernière édition par Abacchio Anasui le Dim 27 Jan 2013 - 22:05, édité 6 fois