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[FB solo] 14 ans, Marine 1ière classe

14 ans, un âge que l’on distingue assez souvent par le développement subtile et plus visible de certaine partie d’une fille. Ça ne passait pas inaperçu au milieu de tous ces marines. Elle avait du succès, mais le problème demeurait qu’elle était trop jeune pour tous ces vieux matelots. Le malheur, c’était qu’elle ne s’en rendait pas compte. *Mais pourquoi il me regarde tous comme ça* alors qu’elle commençait à bouger d’une façon sexy.

Comme d’habitude elle se dirigeait vers la cuisine pour aller travailler. Quand elle cuisinait, Les hommes ne pouvaient s’empêcher de la regarder fixement. Une belle paire de hum… et un … non bon. *Mais t’a fini sal pervers* Hin, qui moi? *Ben oui toi, t’arrête de me décrire comme une bombe sexuelle? T’enchaîne sur la suite ce serait mieux*

Hummm… Donc, en faisant la vaisselle, elle attendait toujours la promesse du dit sergent. Il n’était guère apparu ses derniers temps. Elle n’avait pas non plus de nouvelle de lui. Ce qui semblait bizarre, c’était la vitesse à laquelle les gens pouvaient oubliés ce qu’une promesse pouvait représenter.


Dans la cuisine, le désordre régnait tout le temps. Le caporal qui était responsable de cet endroit, était réellement un incapable. Il faisait n’importe quoi, même ses ordres n’arrangeait pas la chose. Aoko s’en foutait royalement de ce type, c’était son problème et elle n’était pas amie avec lui.


*Il ferait mieux de ce ressaisir sinon tout le monde va se moquer de lui* Aoko avait raison, mais il était déjà trop tard. Le dit sergent qu’elle n’avait pas vu depuis un petit temps débarquait dans la cantine. d'un pas pressé, il alla engueulé ce petit caporal. Il n’eut rien à l'esprit pour rétorquer dans la face du sergent. Voyant que le caporal ne put rien faire, il le dépassa pour se diriger vers la cuisine

Par après, en apercevant Aoko, Il alla directement vers celle-ci et évita tous les commentaires que pouvait proliférer le caporal à son encontre qui essaya de répondre, mais il fut dix minutes trop tard. Le sergent esquissa un sourire quand il vit Aoko. Elle avait grandie depuis le temps qu’il ne l’avait plus vu, il s’imaginait bien toute sorte de chose indécente à son sujet, mais à son âge c'était interdit, malheureusement pour lui.

Aoko, quant à elle, le regardait directement dans les yeux. Elle avait perdu un peu de sa splendeur de jeunesse qui voulait tant de chose et tout de suite, mais son cœur désirait apprendre le maniement des armes plus qu’autre chose. Elle commença par afficher quelque chose de nouveau, un semblant de sourire carnassier apparu sur son visage. Elle finit par parler au sergent, en se mettant au garde à vous. Elle n'eut pas peur, ce fut quand même un mètre quatre-vingt-cinq de muscle en face d'elle.


« Sergent, quel nouvelle? »

Le sergent prit une grande inspiration pour répondre à la jeune adolescente d’un mètre soixante-cinq. Elle avait grossie au niveau de la poitrine et pas qu’un peu… Bon j’y reviendrais plus tard. Il parla d’une voix normale envers elle, mais elle sut que ça n’allait pas durer.

« Les nouvelles sont bonnes, je viens juste d’apprendre que le commandant accepte que tu passes en tant que Marine de 1ier rang, par contre il va falloir que tu aille le voir pour signer tous les papiers. Il veut aussi te parler par la même occasion. Je te laisse, tu commenceras demain. »

Le sergent partit sans dire au revoir, il fut direct au moins. C’était bien ça qui était génial avec lui, il ne passait pas par quatre chemin pour tout expliquer. *Enfin, je vais pouvoir arrêter la cuisine, ça me fera du bien. Bon aller maintenant je vais chez le commandant. Si je me rappelle bien, pour aller à son bureau, c’était au dernier étage de la caserne. J’espère qu'il s'y trouve toujours *, elle partit pour atteindre ce fameux bureau.
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*Ah, voilà le fameux bureau du commandant. Finalement, ce n’était pas si loin. J’aurais pu prendre à gauche au lieu de droite au dernier croisement. Ah! Un officier qui sort, bon je me mets au garde à vous. Pfeuh, comment est-ce qu’il me regarde ce mec, je ne sais pas ce qu’ils ont, mais ils sont tous bizarre avec moi. Ce serait à cause de ma poitrine? Et puis ce narrateur de mes deux qui me décrit comme je ne sais pas…*

« Grrr, J’aurais dû lui foutre une bonne baffe »

« Hinn ? »

*Ah merde l’officier est toujours là*

« A euh… rien Lieutenant, je parlais toute seule »

*Et merde qu’est-ce que je raconte, ce n’est pas moi de me laisser aller comme ça. Faut que je réfléchisse avant de parler. Mais, c’est qu’il me prend pour une conne avec son air à se demander ce que je fou ici.*

« Faite gaffe à ce que vous dites jeune fille, quelqu’un pourrait le prendre mal »

« Oui monsieur »

*Je t’emmerde, sal con, un jour je viendrais te foutre une baffe que tu te rendras même pas compte de ce qui c’est passé. C’est ça, fuit, va-t’en*

« Aoko, tu peux rentrer »

*Comment a-t-il su que j’étais là? J’ai sûrement parlé trop fort, oui ça doit être le cas. Je vois rien d’autre, mais bon… euh, ah faut que je lui réponde*

« Oui, Commandant »

« Ah, . . . , WoW tu as bien grandie à ce que je vois. Mais bon, Étant donné ce que tu as fait, logiquement je devrais te mettre une sanction mais… Je pense que ce gars le méritait. C’est bien pour ça que j’ai accepté que tu passes en tant que marine 1ière classe. »

*Ouaip, ce gars le méritait bien fort, mais je ne vais pas me laisser aller et te dire ce que je pense nah…*

« Donc, revenons à nos moutons. Le gars que tu as foutu par terre a tellement été humilié qu’il a préféré déserter la marine. Malheureusement pour lui, on ne peut pas le laisser partir comme ça, surtout qu’il a fait du grabuge dans la taverne tenu par ton père. Donc voilà le deal, tu le ramène ici et on te fait passer Marine 1ière classe qu’en dis-tu? »

*Ahahahaha, je vais pouvoir lui refaire le portrait, je n’ai vraiment pas apprécié quand il m’avait parlé sur ce ton.*

« Dans quel condition dois-je le ramener commandant? »

« Que veux-tu dire? »

« Et bien on a le choix, Encore vivant ou à moitié mort ou au porte de la mort… »

*Je vais lui montrer de quel bois je me chauffe, je vais lui faire sa fête à ce marine*

« AOKO, C’EST QUOI CE COMPORTEMENT, TU LE RAMÈNE UN POINT C’EST TOUT. ROMPEZ MARINE.»

*WoW, merde, je me suis laissé encore aller. Il est vraiment énervé, faut que je me casse vite fait d’ici.*

« Tout de suite, commandant »

*Bon, après avoir quitté le bureau je vais à droite puis je descends vers le village*
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Aoko venait de sortir de la caserne. Elle retrouva la route principale facilement, celle-ci fut assez large pour accueillir n’importe quel chargement. Surtout que la plupart de ceux-ci arrivaient par la mer. Elle parcouru donc la route vers la ville en direction de la taverne de son père. Elle avait un sentiment bizarre en elle. Cela faisait deux ans qu’elle n’avait pas revu ses parents et pour cause, elle était restée tout ce temps à la caserne. Entrainement, travaille, tout ça s’empilait facilement dans la vie de marine. On ne pouvait même pas penser à la famille. Quelque fois, Aoko passait du temps avec la bibliothécaire au début, mais c’était du passé. Elle n’allait plus la voir du faite qu’elles ce c’étaient disputées sur une chose irrécupérable pour Aoko.

[......]

La bibliothécaire tendait de plus en plus à vouloir faire la mère d’Aoko alors qu’elle se rendait compte de ce qui se passait. Quand la bibliothécaire voulu fêter l’anniversaire d’Aoko pour ses quatorze-ans, celle-ci refusa. La raison fut qu’elle ne voulu plus être considérée comme une petite fille et être cajolée par cette femme. De faite, La bibliothécaire la gifla comme-ci ce fut sa mère... Erreur, parce qu’Aoko se lâcha complètement. Elle se jeta à la gorge de celle-ci et fut en rage... Malgré son âge, La bibliothécaire n’arriva pas à se libérer. Quand, tout d’un coup, le commandant attrapa la jeune fille à la taille et lui ordonna de se calmer.

«Calme toi Aoko, ce n’est pas comme ça que tu finiras assez haut pour pouvoir ordonner du monde. Calme toi... Calmeeee. Ca va aller. Vous par contre, vous devriez partir et loin... C’est le meilleur conseil que je puisse vous donner.»

«Oui, oui commandant,» elle respira difficilement et su que les yeux d’Aoko n’eurent que de la rage envers elle.

[......]

Durant la route, certain de ces souvenirs passèrent dans sa tête, elle la secoua pour ne pas retomber dans sa rage. Elle pensait surtout qu’elle devait faire quelque chose pour sa rage, ce n’était pas normal de tomber si bas alors qu’elle voulait atteindre les positions les plus haute dans la marine. Elle se rappela les histoires que son père lui raconta parfois sur ce qu’il subit à la caserne à ses débuts. Ca ne fut pas facile, au début il dut faire toutes les corvées de la caserne, et ensuite quand il passa de grade, il fut tellement dégouté qu’il fit n’importe quoi. C’était son excuse pour rentrer tous les jours complètement bourré.

*Je me demande ce qu’il est devenu, il me manque et ma mère aussi. Je veux vraiment les retrouver pour pouvoir leur dire tout ce que j’ai pu accomplir depuis que je suis à la caserne et que j’ai vécu également ce que papa à pu avoir comme expérience.*

Surtout sa mère qui lui manqua, elle versa une petite larme et la sécha rapidement. Elle se devait de durcir son entrainement pour oublier ce genre de sentiment même si c’était nécessaire pour survivre dans ce monde. S'énerver, pleurer, se réjouir, être heureux, être de mauvaise humeur, cela faisait partie de la vie et elle se devait d’apprendre à les contrôler au lieu de les oublier.

*je dois les contrôler pas les oublier, m’endurcir le coeur est mauvais*

La continuation de la route était éternelle, elle repensa encore à d’autre chose. Parmi ces choses, il y avait le faite qu’elle était seule maintenant. Elle était dans un groupe qu’elle venait de quitter mais seule, complètement seule.

*Faudrait que je pense à me faire des amis à la caserne ce serait bien plus sympa que rester seule. Peu-être que dans ma nouvelle occupation je pourrais m’en faire. D’après ce que j’ai lu dans certain bouquin, il faut pouvoir s’afficher soit-même et utiliser aussi son corps pour attirer du monde... Je me demande si je m’habille avec des vêtements plus léger ça pourrait attirer du monde... J’ai vu aussi que des filles avaient beaucoup de succès avec des bouts de tissu qui les recouvraient à peine... Et j’ai entendu aussi miss marine, si c’est un concours je pourrais me présenter. cool !!*

Elle arrivait enfin au village, un peu essoufflée, mais ce n’était rien comparé à ce qu’elle faisait tous les jours pour continuer dans la marine sans problème. Elle avança doucement, ne se rappelant pas vraiment du chemin qu’elle devait prendre pour rejoindre la maison de ses parents. Un chien aboya sur son côté, elle tourna la tête pour le regarder avec ses yeux jaunes. Elle grogna à son tour et le chien se calma en rentrant dans sa niche. On pouvait voir de l’extérieur les yeux complètement effrayé du chien. Par contre de son côté, on remarquait qu’Aoko faisait un regard méchant, plein de sang... Elle allait sûrement devoir corriger ça également. Elle continua son chemin dans le village puis croisa quelque personne.

«Excusez-moi, vous savez où se trouverait cette taverne»

«Euh... ouais c’est un peu plus bas, tu prends la deuxième rue à gauche»

«merci»

Aoko partit dans cette direction. Mais elle entendit en arrière quand l’autre pensa qu’elle ne l’entendit pas.


«même pas un bonjour, ni un s’il vous plaît, ni un au revoir, je vous jure les enfants aujourd’hui»

Elle ne fit rien à propos de ce commentaire, mais cette personne avait raison. Elle se devait également d’améliorer sa façon d’être. Autant à corriger en peu de temps. Cela ne le ferait pas pour elle, vu son temps libre.

Elle voyait que le village avait changé un tantinet. Plusieurs maisons avaient été construite dans tel ou tel coin, la couleur n’était plus la même pour celle-ci ou bien un magasin avait disparu pour être remplacé par un autre. Que de souvenir qui remontait encore en elle. Elle s'assit sur un banc sur le côté de la rue, reprenant son souffle. Elle posa les deux mains sur le banc et regarda le ciel. Il était beau, elle ne voulait plus bouger. Elle ferma les yeux doucement prenant de grande bouffée de respiration puis sentit une présence proche. Elle restait sans bougée faisant croire qu’elle ne l’avait pas remarquée. D’un coup elle entendit une voix familière, quelqu’un qu’elle reconnut très bien.

«Aoko, Ma fille»

Elle fut serrée très fort dans ces bras. C’était sa mère. Elle ne l’avait plus vu depuis un petit temps... Elle se lâcha loin de tout et pleura. Ca lui fit beaucoup de bien, elle fut heureuse et serra très fort sa mère en ne disant rien. Elle le sentit que ce fut elle. Comme une odeur particulière ou un lien qui ne se voyait pas. Sa mère la lâcha un peu pour la regarder. Elle fit de grand yeux en l’observant comme elle ne la reconnaissait pas complètement, mais c’était bien sa fille. Un lien entre une fille et sa mère était quelque chose d’unique.


«Tu a bien changée. Vient, ton père sera ravie de te revoir»

Elles partirent tous les deux dans une autre direction que la personne lui avait montrée. Comme quoi, il ne fallait pas toujours ce fier aux inconnus. Elle était très pressée de voir son père.
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Aoko arriva chez elle avec sa mère. Ils n’étaient pas aller directement à la taverne. Celle-ci était ouverte, mais elle était tenue par un employé de son père. Elles entraient par la porte de devant pour atteindre ensuite le salon où ils s’installèrent pour discuter. Elles avaient plein de chose à ce dire, même si Aoko n’avait pas vraiment le temps de discuter, elle le prit pour un moment. Elle essayerait de faire comprendre au commandant le pourquoi de son retard, quoi que, il n’avait pas donné d’heure de retour exacte. Dans son cas ici, cela dépendait entièrement à quand est-ce qu’elle retrouverait le gars qu’elle devait ramener. Sa mère commença par lui poser toute une série de question sur ce qu’elle était devenue dans cette caserne.

« Alors ma chérie, comment ça va à la marine? Tout va bien? On ne t’ennuie pas trop? Je pense que si, vu comment tu as changé, tu me rappelle mon jeune âge. »

*Effectivement j’ai changé depuis que je suis partie, j’ai gagné pas mal de forme... Qui m’embête plus qu’autre chose pour l’entrainement. Surtout ce poids sur le devant. Je vais devoir faire plein d’exercice pour solidifier mon dos. Faudrait vraiment que t’arrête de faire grossir mes seins comme ça narrateur*
Désolé, je suis un gros pervers donc bon, je peu pas m’empêcher d’avoir une bombe...

*Ouais mais quand même, ça va m’embêter plus tard quand je serais plus grande non?*
Euh... Oui et non, j’ai prévu pas mal d’entrainement à la marine pour que tu puisse changer pas mal et avoir des muscles suffisant pour quoi que ce soit.

*Cool, et tu me fais ça quand?*
Quand j’aurais le temps.

*Ah, bon ben j’attendrais, on continue?*
Ok.


Aoko était vraiment contente de revoir sa mère. Celle-ci n’avait pas changé, pour elle, elle était toujours aussi belle. La jeune fille voulu commencer sa phrase pour pouvoir répondre à sa mère quand le père entra dans la maison en haletant.

« Ah,ah,ah »

Il respirait difficilement, il avait couru pendant tout ce temps pour arriver à la maison. Quelque chose le tracassait mais qu’était-ce donc? Dans quel but avait-il couru jusqu’ici? Peu-être que quelqu’un l’avait poursuivi jusqu’ici dans le but d’en finir avec sa vie. Il reprit son souffle puis commença à parler de sa voix grave habituel.

« Il faut appeler la marine, cet enfoiré est de nouveau en train de mettre le bordel dans la taverne. Il est revenu pour finir en prison ce salaud. J’aimerais bien me le faire, mais il est trop fort pour moi »

La mère toute affolée répondit précipitamment à son mari en coupant en même temps ce que voulait dire Aoko.

« Non pas lui, ça fait la dixième fois qu’on lui demande de partir et de ne plus revenir. En plus de ça, la marine a de plus en plus de difficulté pour le mettre dehors. Pourquoi il a pas encore fini à la prison celui-là »

Aoko ne voyait pas bien de qui ils parlaient étant donné qu’elle ne connaissait pas la clientèle qui fréquentait l’établissement de ses parents. Son père la regarda un moment en s’exclamant.

« Je sais, je sais, mais il arrive toujours à s’échapper, cette fois-ci... Qui c’est celle-là. Depuis quand tu invite tes amies à la maison? »

« ...C’est notre fille triple idiot »

Le père fit de grands yeux... Il se gratta la tête, la regarda de plus près. Souleva un sourcil puis parla sans réfléchir à ce qu’il disait... Une vieille habitude.

« Je me rappelais pas que notre fille avait d’aussi belle forme... Si je n’étais pas marié, je la prendrais tout de suite... hahahahahahaa... hum... Ca fait plaisir de te revoir Aoko», et il la prit dans ses bras en la serrant bien fort, « Je suis désolé de te couper avec ta mère, mais c’est urgent. »

Son père lâcha prise pour continuer à lui parler tranquillement. Aoko n’avait pas vraiment réagi par rapport à son père, reconnaissant son ton désagréable. C’était quand même son père mais elle préférait sa mère pour sa tranquillité. Elle répondit quand même à sa mère en premier en lui parlant directement en évitant son père.

« Oui, il ne m’embête pas trop, pour la plupart, ils me connaissent et savent que je sais me défendre et frapper fort là où il ne faut pas »

Puis elle se tourna vers son père pour l’enchainer. Celui-ci avait lever un sourcil n’ayant pas eu connaissance de la question de la mère.

« Oui j’ai grandi, et même si j’ai fort grandi je te remercie de me le faire remarquer. Même si je sais que c’est le narrateur qui écrit ces lignes », Le père leva un sourcil ne sachant pas de quoi elle parlait en citant le narrateur, « d’ailleurs pour ton problème à la taverne je crois savoir qui sait et je venu ici pour l’arrêter. D’ailleurs c’est moi qui l’ait mis dans l’embarra donc je vous présente mes excuses étant donné que c’est moi qui ait crée le problème. »

« D’accord, je vais quand même venir avec toi pour voir à quel point tu t’es amélioré »

Finalement, elle n’était pas rester longtemps avec sa mère. L’avoir revu lui avait donné du baume au coeur, mais elle se devait de continuer sa mission pour la marine. On voulait ce déserteur vivant ce qui allait être assez dur à effectuer. D’après du peu que son père avait pu dire, il était devenu fort à force de faire le con. Donc en clair, la facilité avec laquelle elle aurait à l’arrêter se réduisait à vue d’oeil, mais elle ne perdait pas espoir parce que la suite de sa carrière allait se profiler juste après cet événement.
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En arrivant dans la taverne, les yeux couleur soleil d’Aoko croisèrent ceux du déserteur. Il avait mis un bon gros bordel dans la taverne et plusieurs marine c’étaient retrouvé à terre. Le père d’Aoko n’en revenait pas, sa belle taverne mis sans dessus dessous. Il avait mis tant d’économie à bien la décorée et tout placé par lui-même. Maintenant tout était foutu. Sur le moment il perdit la tête et fonça sur le déserteur. Il l’arrêta d’un coup. Apparemment, son père manquait d’exercice pour pouvoir affronté quelqu’un d’aussi fort, donc on pouvait supposer qu’Aoko était devenue plus forte que son père. Il fut aussitôt assommé par le déserteur. Il se tourna vers elle doucement tout en lui parlant... Comme tout bon ennemi qui voulait faire son speech, mais pas trop long non plus.

« Et bien gamine, ça fait un petit temps que je t’ai plus vu. J’espère que tu t’amuse bien à la caserne... Moi c’est le pieds ici comme tu l’aura remarqué. En plus de ça, je vois que le patron de la taverne a fait appel à toi pour régler le problème... Bouahahahaaa, tu ne réussira pas à me mettre par terre cette fois. Je te le promets je me suis amélioré depuis la dernière fois. Yaaaaarrrhhhhh !! »

Avec une grande confiance en soi - parce que c’était assez visible - il se lança sur Aoko qui n’eut pas le temps de réagir. Le coup fut assez violent pour la balancer sur le mur du fond.

PAFFFF, CCRRAAAACCCCC,
« Oufffff »

Sur le choc, Aoko recracha du sang. Heureusement pour elle, il avait frappé dans le ventre au lieu de la poitrine. Ce qui lui permettait de continuer à respirer malgré la forte douleur qui s’échappait maintenant du point d’impact. Heureusement parce que sa poitrine était très fragile. Elle sentit du liquide chaud sortant de sa bouche. Du sang, personne ne l’avait réussi à la faire saigner depuis pas mal de temps.

« Kaufff », elle s’essuya la bouche du revers, « tu va me le payer »

Elle se releva assez facilement vu l’entrainement qu’elle s’obligeait à faire depuis un moment. la douleur remontait de temps en temps. On pouvait voir son petit sourire apparaître petit à petit avec ses yeux brillant d’une malice. Maintenant le problème était de ramener ce gars à la caserne, ça n’allait pas être une mince à faire.

*Bon, maintenant, comment je fais pour le mettre à terre sans lui faire trop de mal mal. J’ai appris quelque technique mais je sais pas si elles feront effet sur lui. Ce gars a vachement changer depuis la dernière fois. Dis, le narrateur là, tu pourrais pas bâcler le combat pour passer à autre chose?*
Euh, non désolé, je préfère finir correctement, sauf si ça t’ennuie réellement de devoir te le faire.

*Ben, je sais pas, j’aimerais pouvoir continuer la suite de mon histoire.. J’aimerais m’amuser moi... même si je sais que je pourrais entrer en enfer durant l’entrainement.*
Ouais bon, tu sais, je t’ai créé, c’est moi qui décide non? Je pourrais abuser de toi que tu t’en rendrais même pas compte et même tu en demanderais encore.
*Abuser de moi? Mais t’es fou? T’es pire qu’un pervers !*
Hum..., je m’excuse j’aurais pas du dire ça. Je te promets de faire un effort pour finir tout ça dés que je peu.
*Heureusement.... PERVERS !*
Ouais bon ça va, j’ai compris, pas besoin d'exagérer aussi. Bon je passe à la suite moi si tu me le permets.

Ses vêtements la gênaient pour le combat au corps à corps. Ceux-ci étaient trop serrée et une partie s’était déjà déchirée lorsqu’elle s’était écrasée contre le mur. Ce fut alors qu’elle décida quelque chose d'insensée... d’immoral... Qu’une fille de son âge n’aurait pas pensé à faire que ce soit dans cette situation ou une autre. Elle enleva tout le restant de ses vêtements. Elle se retrouva en sous vêtement, un string... MAIS... UN string???

*Ben oui, les petites culottes normales me gênait pour mon entrainement, alors j’ai regarder pour avoir quelque chose de plus petit... Et puis c’est agréable, j’trouve* Bon... je vais rien dire - Le narrateur saigna un peu du nez.

Ce fut alors avec une attaque sournoise qu’elle se lança sur le déserteur qui faisait de grands yeux... Il en prit plein la tête. Ce fut tout doux et tellement gros. Une attaque de paire de sein ça peut faire mal... Le gars tomba par terre complètement sidéré par l’attaque. Il se remit sur pieds assez rapidement n’ayant pas subit autant qu’Aoko aurait pensé...

« Alors là, si j’avais su que tu aurais aussi bien grand... », il ne put finir sa phrase.

Aoko en profita pour lui foutre une autre raclée - pas avec les seins cette-fois ci. Elle se lança sur lui avec une certaine élégance et lui foutu un coup de pied retournée prenant de la vitesse en faisant un tour supplémentaire sur elle-même. Elle redescendit sur le sol doucement. Sa poitrine gonflant doucement au gré de sa respiration qu’elle s’imposait pour un combat. Être sûr de soi-même était la chose la plus importante qui soit. Elle se rassurait en se disant qu’elle possédait une force supérieure à ce gars-là. D’ailleurs, celui-ci sortait du mur assez énervé mais bien abîmé. Il saignait au niveau de la tête et de son bras gauche. Apparemment, il s’était entaillé le bras en s’écrasant contre le mur. Ah ! cela donnait au moins un avantage à Aoko qui prit le temps de bien se préparer pour lui foncer dessus à nouveau.

*Bon, je dois l'assommer. Je vais viser la tête pour qu’il soit dans les pommes et que j’ai le temps de le ramener à la caserne. Si je le fais pas, ça va barder pour mon matricule... Et puis, je suis toute nue maintenant... Enfin pas complètement, j’ai encore mes sous-vêtements quand même. Je devrais pouvoir me rhabiller avant de repartir pour rejoindre la caserne.*

Elle fut surprise par le type qui s’était remis plus vite que prévu. Il lui donna un gros coup de poing et sa tête frappa le planché de la taverne. A deux centimètre d’un clou, un peu plus prêt et elle perdait un oeil. Elle agrippa une des jambes du mec avec sa main gauche et frappa de l’autre côté de sa jambe avec sa main droite... CRAKKK. Le déserteur tomba par terre et se tint la jambe en hurlant comme un chien. Son os ayant éclaté par la force du coup. Elle se releva en quelque secondes, se préparant pour lui en foutre encore une dernière.

« Rah salope... Je vais te casser en d... »

Il ne put finir sa phrase recevant un gros coup dans les poumons qui lui fit un gros OUFFFF. Puis une grosse tarte sur la tête et il tomba dans les pommes. De là, Aoko se pressa de prendre le restant des lambeaux de vêtements pour se couvrir. Heureusement pour elle, les curieux arrivaient peu après qu’elle ait fini de se rhabiller. Elle prit des cordes qu’il y avait sur le côté et saucissonna le déserteur pour qu’il ne puisse plus bouger. Avant de partir en tirant son prisonnier, elle fit un petit bisous sur la joue de son père. Elle était heureuse d’avoir pu le revoir aussi même si cela n’avait pas duré.

Elle n’eut pas réellement de problème sur le chemin, frappant de temps en temps son prisonnier pour que celui-ci ne se réveille pas ou n’eut pas envie de vouloir foutre le camp... Difficile en mode saucisson. Les marine de garde prirent en charge le prisonnier et...

« Wow, belle paire de... »

Elle se retourna voyant quand même qu’il y avait pas mal de marine la regardant... Ces vêtements étaient assez bien déchiré... Elle n’avait rien calculé et surtout pas ça. Sa réaction fut surprenante, elle se couvrit comme elle put et couru dans sa chambre pour aller se changer. Elle ne pouvait pas se présenter dans cette attirail au commandant pour le prévenir qu’elle avait déjà conduit le prisonnier vivant dans sa cage... Enfin, il se trouvait à l’infirmerie pour le moment.

Elle réfléchis en se rhabillant correctement, mettant son foulard de marine.


*Quelle aventure quand même, n’empêche t’a vu tout ces marine qui me regardaient.*
Effectivement, tu as du succès, tu pourrais sortir avec n’importe lequel.
*Bof, ça m'intéresse pas pour le moment... Tu crois qu’ils ont trouvé mignon et sexy la façon dont je me suis couvert et enfuit?*
Ouaip, tout à fait clair, ils aiment sûrement ce genre de fille... Surtout qu’il ne t’en croyait pas capable vu ton caractère habituel. Ce doit être l’émotion d’avoir revu tes parents... Puis quelque chose c’est sûrement réveillé en toi.
*Ah ouais, pas bête... mais quand même, pour l’entrainement que je vais suivre par après faudrait que je me renforce non?*
Oui et non, faudra voir pour ça. Pour le moment, on va arrêter là et passer à la suite avec le commandant si tu veux bien.
*D’accord, je fini de m’habiller si tu veux bien.*
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Après avoir fini de s’habiller, elle couru pour rejoindre le bureau du Commandant. Bousculant tout sur son passage. Elle était heureuse de pouvoir passer marine 1ière classe. Si ceux-ci - le commandant et le sergent - tenaient leur promesse. En arrivant devant le bureau, elle remarqua le monde qui s’y trouvait. Plusieurs marines dans le bureau se faisaient engueuler. Peu-être avaient ils fait une faute sur laquelle on ne pouvait pas les pardonner. Dans le futur elle devrait faire en sorte de ne pas faire d’erreur pour ne pas subir les foudres du commandant.

*J’espère que j’aurais le poste que je convoite, ça me ferait tellement plaisir. Oh et puis je pourrais enfin apprendre l’entrainement de sniper. J’ai adoré l’année passée. Ca devrait rester de même cette année-ci et les années futur. Enfin, j’espère. Je me demande bien jusqu’où je pourrais arriver dans le monde de la marine. J’aimerais tellement devenir Amiral en chef un jour et pouvoir avoir la puissance de la marine sous la main.*

Puis - sortant de son état pensif - elle entendit le commandant gueuler son nom.

« AOKOOO !!! »

« Oui, j’arrive... Désolé commandant, je réfléchissais »

Elle avait changée de vêtement et mit son uniforme réglementaire au lieu de garder ceux qu’elle avait déchirée ou enlevée... Elle s’en rappelait plus vraiment de ce qu’elle en avait fait exactement pendant sa petite bagarre. D’ailleurs ceux-ci étaient toujours dans sa chambre, elle devait encore décider de ce qu’elle allait en faire. Soit les recoudre ou soit les jeter. Mais ça le ferait pas réellement de jeter des vêtements ne lui appartenant pas. D’ailleurs, la marine avait de la difficulté à en trouver à sa taille. Le responsable des habits de la marine hésitait encore... du L ou du S... Une taille fine pour une grosse poitrine... Ben du L ça serait mieux. Mais bon, ça c’était une autre histoire. Là, elle devait se concentrer sur la rencontre avec le commandant. Elle se tint au garde à vous, attendant les ordres du Commandant.

« Repos Aoko. Bon, voyons ça. D’après ce que l’on a pu me rapporter, tu lui a mis une bonne raclée », il y avait encore du sang coulant du front d’Aoko et de sa bouche, « Tu me fera le plaisir d’aller voir l’infirmerie par après, fait moi ton rapport sur ce qui c’est passé. »

« euh... bien, donc, je suis allé en ville pour découvrir que le déserteur continuait à mettre en désordre une taverne. Il avait déjà blessé plusieurs marine quand je suis intervenue. J’ai pu en venir à bout rapidement non sans le blessé gravement à la jambe. Il est parti à l’infirmerie sous bonne garde, il ira en prison d’ici à ce que ces blessures soit soignée. »

« Bien, c’était assez complet dans l’ensemble », il ouvrit le tiroir de son bureau et en sorti un papier qu’il signa, puis la main replongea pour prendre une insigne, « voilà, tu commence ton entraînement demain en tant que Marine 1ière classe, félicitation, maintenant prouve-moi que tu le vaux réellement. Rompez marine. »

« Oui Commandant, merci Commandant. »

Elle afficha un sourire avant de quitter la pièce.

*Cool, j’ai eu ma promotion... Aieuh... ma tête me fait encore mal. L’infirmerie, elle se trouve au premier je crois.*

Après une longue marche dans les couloirs de la caserne, elle arriva enfin à l’infirmerie. Elle sut à l’instant en entrant dans l’infirmerie qu’on lui ferait plein de test. La plupart du temps, elle évitait d’aller à l’infirmerie ne supportant pas d’avoir une seringue enfoncée dans le bras. Dans le cas présent, elle n’avait pas le choix. En entrant, l’infirmière se retourna vers elle, la jugeant de haut en bas avec un sourire s’affichant petit à petit.

« Enfin, il fallait qu’on voit la plus jeune marine de la caserne pour une fois. Malheureusement, tu va être retenue plus longtemps que prévu, on a un tas de test à te faire, plus les vaccins bien sûr. A ton âge, même si tu veux le nier, c’est important. »

Aoko ne put malheureusement opposer aucune résistance. Elle subissait une batterie pour sa santé et put aller dormir dans son petit lit par la suite, bourrée de médicament.


.....


En se réveillant le lendemain matin, - désolé pour le saut dans le temps mais je n’ai rien relevé d’intéressant dans ses rêves - elle vit un beau soleil éblouissant, ce qui annonçait une journée magnifique. Son entrainement devait commencer dans 20 minute. Elle prit le temps de s’habiller et de prendre ce qu’il fallait. Ensuite elle couru vers la cours pour voir où se rassemblait tout le monde pour l’entrainement de sniper. D’ailleurs, elle allait devoir changer de dortoir pour passer à celui des filles et ne pas rester dans son horrible chambre sous-toit. Elle ferait ça après avoir terminé son entrainement de la journée. En espérant pouvoir être encore en vie après celui-ci.

L’entrainement se résuma à quelque chose de basique, courir, musculation, souplesse. ce fut la journée entière qu’elle subissait l’étirement de tous ses muscles dans tous les sens. D’un autre côté, elle se sentait revivre de pouvoir avoir un entrainement pareil. Cela lui permettait de s’améliorer pour inventer d’autre technique de combat. Après son déménagement dans son nouveau dortoir parmi d’autre fille d’autre unité de la caserne, elle continua les entraînements jour après jour obligeant son corps à s’améliorer. Elle Apprit également la chasse, à apprécier la forêt et la dompter. Elle s’était faite également plein d’ami dans son unité qui acceptait de participer à des petites parties de chasse lors des journées de repos qu’ils avaient. Elle avait de plus en plus une figure emblématique, allait-elle devenir la plus grande des chefs? Seul le futur pouvait nous le dire.

Mais, maintenant elle allait subir un test de la part de son sergent-chef qui allait peut-être la propulser dans les sphères du début d’apprentissage à devenir sous-officier. Nous arrivions sur la fin de ses 14 ans.
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Dans le camp installé par la team d’entrainement pour sniper, Aoko se mettait parfois bien à l’aise... Normalement, elle devait suivre les exercices comme les autres, mais elle avait de l’avance. Le sergent-chef lui donna tout simplement une heure de repos. Il voulait peu-être voir ce qu’elle allait faire. Ben, elle profitait tout simplement de la nature et de ses bruits. Elle se trouvait sur une branche bien en hauteur, entourée de mille et une feuille, sentant le vent caresser son visage et faisant virevolter ses cheveux. On aurait cru à une vision angélique, mais pas avec elle quand on la connaissait. Elle avait des pensées noir ces derniers temps. Ce manque d’action devenait pesant. On pouvait le sentir dans l’atmosphère que quelque chose allait bientôt éclater. Serait-ce une attaque pirate? ou bien des mercenaires qui serait assez fou pour s’attaquer à une élite de la marine? Parce-que oui, elle se répétait tout le temps qu’elle devenait de plus en plus l’élite de la marine - bien que celle-ci ne possède sa propre section.

Le sergent-chef s’approcha d’elle après lui avoir laissé tout le temps de réfléchir et de prendre son temps. Elle allait devoir passer aux choses sérieuse. Elle regarda celui-ci en bas de l’arbre, profitant de l’angle de vue pour observer son physique - il fallait bien le dire, il était aussi un homme. Il alla celle-ci pour la faire descendre.


« Aoko, au rapport »

Elle afficha son sourire carnassier - le célèbre sourire qu’elle prenait de plus en plus durant son entraînement, adorant malmener ses muscles pour s’améliorer - et descendit de l’arbre en sautant de branche en branche puis allant jusqu’au sol sans grande difficulté - elle aurait même pu faire du cirque. En arrivant devant le sergent-chef, elle n’afficha qu’un ton sérieux en se mettant au garde à vous en le saluant. Il répondit rapidement de même et prit de nouveau la parole pour lui explique la suite des événements.

« Hum... Bon, j’ai fait la classification de tous les membres ici présent. Aoko, tu as le mérite d’être première en tout ce qui concerne l’entrainement que je vous ai fait subir durant ces 9 dernier mois. Je vais maintenant te faire subir un test d’endurance pour savoir si oui ou non tu mérite une recommandation, » il reprit son souffle se préparant à expliquer ce qui allait se passer pour son test, « Je te laisse une demi-journée d’avance, tu va devoir m’affronter dans un duel où je devrais essayer de te retrouver dans une zone bien déterminée, tout action dépassant la limite de ses frontières annulera ma recommandation, Est-ce clair? »

« Oui Sergent, je ferais de mon mieux »

« Bien, va te préparer, tu prends ce que tu veux, mais un conseil, essaye de ne pas me faciliter la tâche. Au plus longtemps je devrais prendre de temps à te retrouver mieux se sera.»

« A vos ordres »

Elle releva sa poitrine étant fière de pouvoir se mesurer au sergent-chef. Tout ce qu’elle voulait, était de réussir le test pour connaître la suite des événements et ce qu’on lui préparait comme surprise derrière. Elle s’en alla préparer son paquetage pour pouvoir survivre dans la forêt.

En revenant, elle parla un peu avec les autres, certains étaient dégoutée que ce soit elle qui fut choisie pour faire cette mise à pieds faire d’autre échelon que simple fantassin. Mais bon, soit on était destinée à une plus grande tâche soit on se débrouillait pour survivre dans cette jungle sans fin.

Le sergent-chef s’approcha d’Aoko pour vérifier son équipement et il fut satisfait. En effet, une tête comme celle-là, on ne la voyait pas souvent. L’équipement qu’elle prenait, était un petit sac pour pouvoir voyager léger, un couteau de chasse et son fusil. Elle savait qu’elle n’allait pas s’en servir, mais au cas où un prédateur sortirait de son coin habituel. Normalement le coin que le sergent avait choisi comportait le moins de prédateur possible. Il essayait de faire en sorte que quatre-vingt-dix pour-cent de son unité s’en sorte toujours saine et sauve.

Et c’était parti, le sergent-chef tapota l’épaule d’Aoko et celle-ci partait en courant. En premier lieu, courir le plus loin possible dans le territoire défini. Au nord, il y avait un gros rocher définissant une des limites, au sud on avait la plage, à l’est se trouvait le camp de sniper et à l’ouest la jungle épaisse. On pouvait y pénétrer et un arbre géant avec ses racines délimité la zone.

Après avoir couru pendant une heure sans s'arrêter et à rythme régulier, elle arriva au gros rocher au nord. La zone délimitée était petite mais permettait de pouvoir vraiment tester son endurance ainsi que sa volonté de vivre. Elle monta directement dans l’arbre le plus proche oubliant d’effacer ses traces. Elle commença à réfléchir à sa situation sachant que cela n’allait pas être facile.


« Bon, » elle ouvrit sa carte et l’étala sur une branche pour l’observer. Elle visualisa les points qu’elle pouvait utiliser à son avantage, « Si j’utilise ce point d’eau je vais me faire repérer assez rapidement étant donné que c’est le seul qu’il y est de potable dans les environs. Mais je dois quand même faire des stop pour les vivres. Si je tire avec mon flingue je me ferais repérer. »

Elle regarda alors les branches autour d’elle. En y pensant, elle pouvait se fabriquer facilement un arc qui pouvait l’aider à chasser l’animal dans la jungle. Elle le fit, elle prit quand même une bonne heure pour trouver une bonne branche et avoir de la corde.

Elle continua de bouger par après, essayant de supprimer ses traces derrière elle. Puis, soudain au loin, elle entendit le signal retentissant, le sergent-chef était parti. Elle ne savait pas du tout où il allait se trouver. Ni par où il irait. En examinant la chose de plus près, l’endroit où elle était ne possédait pas assez de couvert. Elle se dirigea alors illico presto vers la jungle à l’ouest. Elle sentit le danger qui s’échappait de cette forêt sombre et oppressante, mais son courage pris le dessus. Elle décida de grimper aux arbres les plus haut et de s’y installer jusqu’au lendemain.


.....


En se levant, elle eut une surprise. Elle vu au loin le sergent-chef s’approcher. Celui-ci n’était pas discret du tout, mais on sentait bien qu’il savait pister quelqu’un pendant plusieurs kilomètre d'affiler sans s’arrêter. la nature, il en était habitué et ce n’était pas la première fois qu’il faisait l’expérience de ce genre de test. Il s’approchait dangereusement de Aoko. Elle se situait loin en hauteur dans un arbre parmi ces branchages. La sécurité, on pouvait la sentir, elle ne se sentait pas menacée du tout par la présence du sergent-chef. Il était arrivé en bas de son arbre. Il cherchait tout autour toute trace qu’il pouvait trouver. De part son ingéniosité, Aoko avait prévu un petit truc, elle avait fait de fausse trace partant de l’arbre puis disparaissant sur de la rocaille. Un bon plan en soit. Voyant le sergent-chef prendre l’appât, elle descendit de l’arbre faisant confiance à son instinct - qui n’était pas encore assez entrainé. Ce fut alors son erreur, le sergent-chef sauta d’un coup sur elle sortant d’un buisson non loin. Il c’était caché sachant très bien où elle se trouvait, mais elle ne se laissa pas faire.

De prime abord, elle roula sur le côté pour essayer d’échapper au sergent-chef l’ayant agripper. Elle était sûre d’elle de pouvoir s’enfuir de nouveau mais malheureusement ce ne fut pas le cas. Elle ne put voir ce qui allait lui arriver sous peu. Le sergent-chef resta d’un calme olympien puis commença à lui parler doucement dans l’oreille.


« je rêvais depuis un moment de pouvoir te faire tout ce que je veux... Héhéhé, maintenant t’es coincé, depuis quand tu crois que l’on fait ce genre de test pour faire passer quelqu’un à un grade supérieur? T’es la première et je t’ai coincé, ce n’est pas comme-ci tu pouvais t’échapper quand tu voulais. »

Voyant la situation devant elle, elle ne put s’empêcher de commencer à paniquer. Ce n’était pas ce qu’elle souhaitait de la marine, mais elle voyait bien qu’il y avait aussi une grosse bande de pervers dans ce groupe. Celui-ci d’ailleurs ne se priva pas de sortir son couteau laissant une partie du corps d’Aoko libre d’action.

Celle-ci en profita pour sortir son propre couteau pour l’enfoncer dans le ventre du sergent-chef. Self-protection comme ils disent, elle l’avait appris par elle-même pendant ses temps libre. Elle avait eu aussi l’expérience de nombreux marine essayant de la draguer ou bien l’obligeant de sortir avec eux. Malheureusement pour le sergent-chef, il ne s’était pas attendu à ce genre de coup, croyant qu’elle éviterait de frapper un supérieur direct. Le sergent-chef - surpris par cette attaque - se releva touchant son ventre portant une marque bien rouge. Aoko prit cette opportunité pour s’échapper de la prise du sergent-chef. Elle se débarrassa de son barda pour avoir plus de champ libre. Sur le coup, elle était paniquée. Elle réfléchit rapidement pour essayer de voir la situation en face. De base, elle pensait que ce n’était qu’un test pour qu’elle atteigne un rang supérieur après environ presque 1 an d’entrainement. Mais non, le sergent-chef avait simplement envie de jouer. La réaction d’Aoko se fit attendre, le sergent-chef prit cette opportunité pour essayer de la tranchée en deux. Elle put éviter l’attaque de justice, serrant les dents en esquivant l’attaque. Cela ne se finissait pas uniquement sur celle-ci, Il continua encore et encore avec son couteau essayant de la toucher malgré la blessure qu’il avait au ventre.

Les deux, était assez essoufflé, surtout le sergent-chef n’ayant presque pas dormi. On pouvait voir dans ces yeux les veines de sang dû au manque de sommeil prolongé. Normalement, il avait l’habitude de ce genre de chose, mais là, il était tellement obsédé par Aoko qu’il ne réfléchissait pas beaucoup. Elle prit sur elle pour attaquer son supérieur encore une fois. Elle profita d’une ouverture dans son attaque pour lui porter une attaque sur la jambe pour l’empêcher de la poursuivre. Malheureusement, elle savait tout au fond d’elle qu’elle ne pouvait pas poursuivre le combat. Le sergent-chef était plus expérimenté et bien mieux entrainée. Elle fuit vers l’est pour rejoindre la caserne de la marine... Elle avait encore une grande partie de son énergie qu’elle mit dans ses jambes pour courir le plus rapidement possible.

Deux heures plus tard, elle était arrivée complètement épuisée à la caserne. Elle s’effondrait au sol n’ayant que de la fatigue dans ses jambes, ses vêtements bien sali par la course folle. Elle se devait de dénoncer le sergent-chef, mais pour le moment elle n’avait plus de force pour faire quoi que ce soit et finit clouer au lit à l’infirmerie.

Elle se réveilla quelque heures plus tard, en nage, ayant fait un cauchemar. Ce fut bien la première fois qu’elle en faisait un. Elle était toujours un peu inquiète de ce qui pouvait lui arriver, mais au final, elle était en sécurité. Son angoisse ne s’échappa que quand elle alla voir le commandant quelque heures plus tard.


« Qu’est-ce que tu dis, le sergent-chef a essayé de t’agresser sexuellement? »
« Oui commandant, je ne me suis pas laissé faire mais... », elle détourna les yeux pensant encore à ce qui c’était passé, elle se disait qu’elle devait encore s’endurcir pour continuer dans la marine, voir virer folle, « je voulais vous dire que ce n’est pas pour autant que je quitterais la marine, je ne me laisserais pas faire par ce genre de type encore une fois... Je vais m’assurer que cela n’arrive plus. »

Le commandant prit le temps de réfléchir pour encadrer la situation dans laquelle Aoko se trouvait. Ce n’était pas facile de gérer ce genre de situation surtout que ce n’était pas la première fois que ça arrivait dans la marine. Même si leur mot d’ordre était de faire régner la justice, il ne pouvait contrôler l’état mental de chacun de leur marine.

« Bon, d’après ce que tu m’a dis et ce qui se passe pour le moment... Je vais devoir te suspendre jusqu’à ce que l’on résolve l’affaire. Ca ne devrait pas prendre trop de temps, le sergent-chef dont tu parle a disparu, nous le cherchons dans la jungle mais apparemment il est parti de l’île. Mais ne t’inquiète pas, il est toujours question que tu puisse passer Caporal par la suite... ahh.... zut j’aurais pas du te parler de ça mais bon, maintenant tu le sais, rompez !! »

Elle n’avait pas la tête à passer caporal pour le moment, elle du prendre le congé forcé qu’ont lui imposait.
Par la suite, elle allait passer Caporal avec un nombre impressionnant de paperasse qu’elle devait signer. L’enquête avait fini sur la chose suivante: agression de la part d’un supérieur sur son subordonné, Déserteur, subordonné déclarée innocente et apte à continuer son entrainement dans la marine.

Aoko avait passé tout son temps chez ses parents. Ceux-ci s’en occupaient très bien, comme des parents devaient le faire. Aoko de son côté essayait de se durcir personnellement pour pouvoir surmonter quoi que ce soit qui puisse devenir plus décourageant que ce qu’elle avait subit.
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