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Rencontre impromptu

Grey Terminal... C’était assez étrange, mais je me sentais plutôt bien ici... Je n’aimais pas vraiment les grandes villes luxuriantes de toute façon. Bon Grey terminal n’est pas vraiment non plus une ville, mais plus un dépotoir pour les vagabonds et crapule à la recherche de deux ou trois berrys dans le coin. Mais surtout c’est le coin ou des bandes se forment et surtout ou elle amasse plus de trésor. Bien que mon intention ne fût pas de devenir riche, je trouvais que laisser certaines de ses fortunes à des types pareils est un gâchis et vu que j’étais ici pour un petit moment, je trouvais normal que je récupère à ses voleurs leurs larcins... Mon plan était d’une simplicité enfantine, je devais trouver un groupe de voleur plutôt bien fournis et pique leur magot avant de fuir dans la forêt le temps de me faire oublier. Ensuite je reprenais un bateau et en route pour de nouvelle aventure.

Voilà comment je voyais un peu les choses, mais je savais qu’il y avait toujours des imprévus et malheureusement je ne pouvais pas les prévoir. Apres une journée de recherche... Je pouvais observer un groupe qui semblait être à ma convenance. Un peu stupide et qui n’avait pas peur de dire qu’il avait trouvé un trésor la cible idéal quoi. Discrètement je les prenais en filature pour trouver leur planque. La nuit était pour moi le meilleur moment pour filer et voler des gens. Habiller en noir et plutôt petit, j’étais à peine visible. J’entrais donc dans la planque des bandits après avoir faire un tour des lieux. Je me méfiais des planques et autres danger qu’il pouvait y avoir. Ayant déjà volé quelques fois je savais que la vie était faite d’imprévu et surtout quand on exerce le métier de voleur.

Au début tout se passais bien, la moitié des hommes présent était déjà bien trop saoul pour pourvoir remarquer quoi que ce soit. Il me suffisait d’être discret et de faire attention pour rapidement trouver un petit sac contenant quelques bijoux et berrys... il ne devait pas y avoir plus de 50 000 berrys mais c’était bien assez pour moi... je vivais pratiquement que d’eau fraiche, je n’avais pas besoin d’avoir des millions... Enfin bref, le vol se passait à merveille, j’avais réussi à sortir assez rapidement sans me faire voir, je pensais donc que je n’aurais qu’à quitter l’endroit et tout serait fini, mais la chance n’était pas avec moi... Pour changer... Je pouvais entendre alors que j’avais déjà quitter la planque de ses criminels depuis quelques minutes, ceux-ci crié qu’on les avait volés. Avec le sac que j’avais sur moi j’allais vite être repéré... Sans compter qu’avec ce bruit j’allais vite trouver d’autre gens qui tenteraient de s’en prendre à moi.

La forêt prête du Mont Corbo était assez loin encore et aux lieux de foncer à pleine vitesse j’avais choisi de prendre la solution de la finesse essayant de passer par des endroits sombre. Cela apporta que deux hommes qui me cherchais finirent pas me trouver. En moins d’une minute ils avaient compris que j’étais leur voleur. Une combat qui par chance était bref eu lieu. Le premier m’attaqua avec une épée que j’esquivais assez facilement en fessant un pas sur le côté, je lui infligeais alors un coup de pied dans le ventre pour lui couper la respiration pendant que le second sortir un pistolet pour m’abattre. Son ami recroqueviller sur lui me servit de bouclier. J’utilisais encore son ami pour prendre appuis et saute assez haut et frapper d’un coup de plein visage le tireur. Les deux hommes Ko, je sortis rapidement mon sabre pour abréger leur souffrance. Je savais que les autres allaient vite les trouver et déduire la direction de ma fuite. Mais au moins cela prendrais un peu plus de temps... Vu que ses deux types ne pouvaient plus parler...

Une fois dans la forêt au pied du Mont Corbo, je pouvais me sentir un peu plus en sécurité... il y avait des arbres un peu partout et des animaux sauvages pour les ralentir... Moi j’étais toute seule et le seul danger que j’avais c’était de m’endormir... Mais à peine je prenais le temps de respirer que quelques bruits de faisaient entendre. Un animal ? Un ennemi ? Vu l’heure je doutais que ce soit une personne qui se promenais... Je sortais alors le sabre de mon fourreau en disant :


Qui est là !? Montrez-vous.


Dernière édition par Yumi Matsu le Mer 30 Jan 2013 - 23:19, édité 1 fois
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Tatalayayal atatalalal tataallaa

Chantonnait-il en trottinant un pied après l'autre comme les petites écolières.

Une petite chansonnette, sur cette île de méchant, dans le seul endroit paisible, la forêt !
Une forêt assez fleuri et rempli d'animaux en tout genres !

Brüno et Sam, la parcoururent toute la journée, assez loin de la ville, pour être seuls, au calme, serein, quoi de meilleur que la nature ?!

Et puis qui dit forêt, dit, arbres, arbustes, fruits, BAIES !

Du sucré, pourquoi pas trouvé du sucré ?...

Cela faisait déjà des heures que les deux compères s'aventuraient dans cette forêt touffue.
Aussi pour esquiver tout ces méchants, qui dès leur arrivés les avaient repérés et semblaient leurs vouloir du mal, un vol ou viol, ou autre !

Et impossible de tous les battre, en pleine villes, remplis de vilains garçon !

Donc la logique même était d'esquiver par la forêt la plus proche, celle-ci.
Bien sûr il ne fallait pas y rester indéfiniment, mais attendre le lendemain matin, au moins...

Enfin c'est ce qu'avais prévu notre jeune borgne avant d'entendre...
Avant d'entendre...


Qui est là !? Montrez-vous.

Oh non, j'ai chanté trop fort !? M'ont-ils retrouver ?
La voix semblait-être une personne seule, hum et non vilaine, ... un jeune homme, une jeune femme ?

Brüno niait comme personne d'autre, cru en la bonne foi de l'humanité et sans crainte,
répliqua

Coucouuuuuuuuuuu, houhouuuhouuu je suis là !

En gigotant sa main, comme vore mère dans un magasin qui vous retrouve au loin...

Je suis là ! Qui êtes-vous ?!

Demandât-il tout mielleusement, en espérant que la personne soit un gentil !
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Rien ne me garantissait que j’étais vraiment à l’abri, mais je pensais que ma fuite qui était quand même assez longue suffirait pour que ses types me perdes de vu... Mais alors que j’avais à peine repris mon souffle, un petit bruit à peine audible de faisait entendre. Je croyais qu’encore une fois la malchance se jouait de moi... Il faut dire qu’à chaque fois que je vois un peu plus loin que d’habitude je me fais choper et un combat infernal s’en suit. Je pensais donc évidemment que l’homme qui venait de se montrer à moi était un ennemi, la nuit sombre ne me permettrais pas de deviner si la personne était un ennemi ou un ennemi... Même si en réfléchissant un peu j’aurais pu facilement le deviner en écoutant sa façon de parler... J’avais 16 ans et je n’étais pas encore vraiment un adulte, mais ce genre de comportement était digne un petit enfant beaucoup trop naïf.

Trop méfiant ou trop sur mes gardes, ma réaction était des plus brutal... Si on la compare au jeune homme. Il n’avait dit que deux petite phrases que j’avais écoutées mais toujours pas répondu. Au faite, alors qui prononçait ses derniers mots, j’avançais à vive allure sur lui. J’avais toujours mon sabre en main que je gardais légèrement en arrière. Une fois arriver à la hauteur du jeune homme plus grand que moins de deux bonne tête, je le toisais du regarde pendant un bref instant et la seconde qui suivit j’attaquais sans prévenir.

Coup de genoux dans l’estomac pour le faire plier, glissement de jambe pour le faire tomber et écrasement du corps pour l’immobiliser. Sur le dos, avec moi sur lui et mon sabre que je venais de planter à quelques centimètres de sa tête. Il suffisait d’un simple mouvement pour que je tranche sa gorge. Je regardais du coin de l’œil son animal pour lui faire comprendre que s’il attaquait c’était son maitre qui risquait d’en payer le prix. Il ne semblait pas être tenu en laisse et donc être dresser... ce qui voulait dire qu’il était un minimum intelligent... Pour une bête. Mais évidemment mon but n’était pas te tuer ce gars, j’avais compris qu’il n’avait rien avoir avec les bandits qui me poursuivait... Qui ferrait des grands signes en parlant comme un petit enfant !? Surement pas un criminel. Quoi qu’il en soit, après un bref instant de silence je lui dis :

Deux choses. Avant de me demander mon nom, tu devrais me le dire vu que c’est toi qui viens d’arriver. Ensuite, si tu ne veux pas mourir je te conseil d’être un peu plus malin et méfiant... Compris.

Je laissais une courte pause pour laisse au jeune homme le temps de répondre avant d’ajouter :

Pour le reste je m’appelle Matsu Yumi.

Encore une fois je laissais un moment de silence avant de libérer pauvre garçon de mon emprise si je peux m’exprimer ainsi. Je me relevais, remit mon sabre dans son fourreaux et je me trouvais un arbre sur lequel m’appuyer... Je ne savais pas ce qu’allait faire le jeune homme mais je l’observerais car les apparences son parfois trompeuse et que je préfère me méfier de tout le monde que me faire poignarder dans le dos. Je l’observais et j’attendais que le jour arrive... Car mes poursuivant me faisait la course tout le nuit, il allait sans doute retourner à Grey terminal au lever du soleil pour faire leur rapport... Le moment idéal pour trouver une issu de secours.
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Aie, j'ai eu mal, j'ai rien vu venir, Sam' non plus, à terre en quelque secondes, j'était une fois encore trop gentil.


Brüno trop gentil, trop bête, trop con.
Il c'était fait avoir encore une fois, pas par son manque d'intelligence, mais par son manque de vérité face à la vrai vie, même si les évènements précédents auraient pu le laisser de marbre, là il agissait encore comme un enfant en pensait que tout le monde il est beau tout le monde il est gentil.

Au sol le jeune devant lui le maintenu avant d'ouvrir la bouche, enfin.

Deux choses. Avant de me demander mon nom, tu devrais me le dire vu que c’est toi qui viens d’arriver. Ensuite, si tu ne veux pas mourir je te conseil d’être un peu plus malin et méfiant... Compris.

Il avait raison, c'était bête, idiot,abruti, absurde, arriéré, bête, crétin, débile, imbécile, inepte, innocent, sot, stupide.. bref tout se que vous voulez mais pas une action réfléchi.

Pour le reste je m’appelle Matsu Yumi.

Hum un prénom.. il répondit enfin donc, il voulait surement s'assurer du danger.. bizarre, hors du commun même.

Bonjour, désolé, mais tu était obligé de me défoncer comme ça, 'tain tu mas pas raté, mais c'est pas grave !

Il s'excusa... encore une fois pour rien...
Disait-il en se relevant comme si de rien n'était en agitant sa main devant la tête de l'autre très proche, pour dire coucou, une fois délivrer de son maintient.

Enchanté moi c'est Brüno Esthyr !

Là il se recula et semblait l'analyser sous toute part,

Hey heu tu fait quoi en fait ici ? et ta réaction... t'as peur de quelque chose ?


Avait-il touché la corde sensible ?
Un jeune homme, qui est sur ces gardes, la nuit, qui attaques sans raison, qui met à terre et attends des réponses sans tuer ou presque, la lame était à un cheveux de son crâne.
Là il avait trouver un numéro.. un numéro spécial...
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Même s’il avait deux à trois tête de plus que moi, ce type semblait être un parfait imbécile. Nous étions à même pas une heure de Grey Terminal, endroit ou des criminels de tout type rodaient et celui-ci semblait croire encore au père-noël. Je me demandais même si je n’avais pas été trop gentil avec lui. Une bonne droite lui aurait fait comprendre que j’avais été l’instant d’avant encore très gentil. En tout cas, son comportement me confirmait que je n’avais pas affaire à une personne foncièrement méchante. Un avantage ou un problème je n’en savais rien, mais c’était sans doute le type le plus naïf du monde... Je m’étais installé sur le tronc d’un arbre essayant de mettre tous les sens aux aguets au cas où l’ennemi arriverais. J’avais couru un bon moment, mais je devais aussi faire en sorte de ne pas me perdre et donc de ne pas trop m’éloigner de Grey Terminal... Vu que j’avais l’intention d’y retourner une fois les tensions un peu retomber. Bien que j’étais focalisé sur l’ensemble des environnements, c’était tout naturellement sur le jeune homme présent que mes yeux était fixé... Celui-ci se mit alors à déblatérer des stupidités d’une énormité sans nom... Je laissais quelques secondes de silence avant de lui répondre :

Soit pas stupide, j’ai peur de rien, ni personne... J’ai juste quelques amis qui risquent d’arriver et j’aimerais éviter d’être surpris de leur arriver.

Une personne qui est assez malin comprendrait assez vite, mais je n’étais pas sûr que ce soit son cas. Quand je parlais d’ami, je parlais des types qui me pourchassais et qui voulais me faire la peau... Et ceux-ci me pourchassais à cause du sac que je transportais avec moi. Quoi qu’il en soit, je ne lui offrais pas de réponse claire car je ne lui faisais toujours pas confiance. J’étais sûr qu’il ne représentait pas de danger direct... Mais on a tous une langue et certains aime une peu trop l’utilisé. Quoi qu’il en soit, ce type avec sa bestiole était toujours là... Pourquoi ? C’était la question que je me posais, il n’avait aucune raison de rester ici et moi j’avais pris l’habitude d’être seul. C’est donc avec un ton plutôt direct et légèrement froid que je lui posais une question... Plutôt légitime :

Que fais-tu ici ? Tu ne devrais pas rentre chez toi ? Ce n’est pas un endroit pour les faibles la forêt la nuit.

J’aurais pu encore dire rentre chez ta maman, mais j’étais encore trop gentil dans le fond. Toujours est-il que j’attendais sa réponse qui ne devait plus tarder.

Un peu plus tard un bruit se fit entendre des lumières commençais doucement à apparaître... Je n’avais pas besoin de réfléchir longtemps pour savoir que c’était les amis que j’attendais tellement... Mon instinct me disais qu’il allait me retrouver et comme on pouvait le voir j’avais raison... Je pris mon sac sortir mon sabre et dit à ce Brüno :

Voilà mes amis... Je te conseil de partir ou de bien te cacher si tu tiens à vivre quelques jours de plus...

La seconde suivante, je sautais sur l’arbre qui me servait d’appuis depuis le début pour m’installer sur une branche. Le sac avec le trésor voler était attaché sur une branche voisine cacher par quelques feuilles... Moi j’étais positionner sur ma branche immobile le sabre pointé vers le bas, j’attendais mes ennemis qui s’approchais de plus en plus... D’ici une minute ou deux ceux-ci serait présent... Je devais être concentrer sur mes cibles, mais une partie de moi se demandais aussi que faisais l’autre gugusse
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Soit pas stupide, j’ai peur de rien, ni personne... J’ai juste quelques amis qui risquent d’arriver et j’aimerais éviter d’être surpris de leur arriver.

Pff quel machisme, pur et dur, je suis le plus fort du monde je suis le boss, j'ai peur de rien, je suis superman, mais je suis caché dans une forêt et je saute sur tout ce qui bouge.
Non mais Brüno détestait ce genre de personnage, ces énergumènes l’exaspère au plus haut point. Rien de pire, ou presque.. Un mec qui se sens plus comme ça, médiocre. Bref toujours gentiment le borgne ne parla pas et écouta.

Que fais-tu ici ? Tu ne devrais pas rentre chez toi ? Ce n’est pas un endroit pour les faibles la forêt la nuit.


MAMAN au secours j'ai peur je veux rentre, je veux ma mamannnnnnnnnnnn, c'est ce qu'il voulait entendre ou quoi, il le prend pour un con ca va se retourner contre lui...
Si je suis faible, crois tu que je serais toujours en vie en étant à découvert comme ça tout le temps, j'ai beaucoup voyagé et j'en ai vues plus que toi, alors.. ne parle pas quand tu sais pas ok, c'est bon je suis tout gentil mais me prend pas pour un con. Murmurât-il dans sa barbe.

Des bruits... des ombres... de la lumière...

Voilà mes amis... Je te conseil de partir ou de bien te cacher si tu tiens à vivre quelques jours de plus...

Pff, ok, c'était sûr si il avait dit des amis, dans une forêt, et il voulait ne pas être surpris par eux.. c'était louche, et niais encore.

Le jeune grimpa sur un arbre tel un singe aussi agile.
Là, les bruits se rapprochèrent, lui protégé avec ces affaires, Brüno et Sam au sol.
Le moment fatidique allait venir, que faire, se cacher ? attendre ?

Pris de court, Lui et sam coururent sans faire le bruit, du moins essayant de pas en faire vers un buisson et s'accroupirent dedans.

Les bruits s’arrêtaient. Des souffles chaud surgirent, des murmures s’estompèrent...

Qu'allait-il arriver.. ?
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Il pouvait croire ce qu’il voulait de moi ce type, je m’en fichais éperdument, mais je ne pouvais pas non plus lui accorder ma confiance. Je n’étais pas méfiant envers lui, mais rare étaient les gens à qui je donnais ma confiance. L’homme qui m’avait pris soin de m’apprendre à me battre l’avait, mais même pour lui cette confiance était cacher. Peut-être que je donnais l’impression d’être une personne sans cœur, froide... Mais en réalité c’était une façade. Peur... On a tous peur de quelques choses, mais pour mon cas c’était un peu diffèrent. La peur des gens ou des choses était pour moi inconnu, mais la peur des sentiments elle était présente. M’attacher à quelqu’un pour la perdre encore une fois... Je ne voulais plus vivre ce moment si difficile.

Mais ce type, il était stupide ou il le faisait exprès ? Je lui avais dit de partir, que cet endroit n’était pas fait pour lui et son toutou, mais il répliqua de façon un peu agressive... Enfin agressive si on compare à ses paroles du début... Il croyait que je le prenais pour un con ? Ce n’était pas le cas à ce moment-là, mais cela allait peut-être bien changer... Je pensais lui avoir bien fait comprendre que mes amis n’étaient pas des enfants de cœur et que s’il voulait vivre il devait partir, mais au lieu de ça il se mit à me parler comme s’il savait plus que moi... Bon, il faisait trois tête de plus que moi et alors ? L’habit ne fait pas le moine comme on dit et s’il savait seulement tout ce que j’avais vécu, il ne parlerait pas aussi stupidement.

Pff... On verra si tu survie à ce qui risque d’arriver.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Les bruits et les lumières de mes amis se présentaient, j’offrais donc un dernier conseil à ce type avant de me cacher dans un arbre. Cacher sur une branche, j’attendais l’arrivée des premiers hommes. Un, deux, trois... Bon, il était trois pour commencer, c’était donc techniquement du gâteau pour moi tout seul. J’avais déjà un plan pour la première attaque histoire de prendre l’avantage. Une pièce en main et au moment ils seraient au-dessus de moi, elle tomberait à leurs pieds. Celui qui se trouverait devant la pièce se baisserait pour la ramasser forcement et mon attaque pouvait alors avoir lieu.

Au moment où l’homme se baissait pour prendre la pièce qui était tombé devant lui, moi je sautais pour l’embrocher au niveau du plexus. Le dos vouté, je pouvais en même temps m’appuyer sur son dos pour sauter et me retrouver en une fraction de seconde derrière les deux. Alors qu’il allait se retourner, je sectionnais les tendons des jambes du second. Le dernier à peine retourné voulait sortir son sabre, mais je ne lui laissais pas le temps de réagir, je passais ma lame sur son flanc droit, ensuite au niveau du dos, la glissais sur le flanc gauche avant de planter ma lame dans son ventre... Avant de finir en tournant la lame un fois... Histoire que la plais soit à coup sûr mortel... En l’espace d’une minute j’avais réussi à tuer un homme, un autre à l’agonie et handicaper un dernier de ses jambes.

Pourtant, je ne voulais pas m’arrêter là. L’homme que j’avais embroché était toujours vivant, même s’il ne pouvait plus bouger non plus. J’abrégeais ses souffrances d’un coup dans le cœur. Il ne restait plus qu’un homme qui allait mourir la gorge trancher. Je m’avançais vers lui pointant mon sabre sur sa cible et dit avec un sourire en coin :

Si tu veux, tu peux crier pour ton salut... Même si c’est trop tard.

Je lui laissais bien entendu le temps de crier, qu’il prévienne ses amis... Une fois le petit cri poussé je lui tranchais bien entendu la gorge. Je lui avais laissé se petit plaisir pour qu’il prévienne ses amis. Je savais qu’il devait y avoir encore 10 ou 15 personne dans cette forêt et qu’avec un peu de chance, je pouvais les avoir. J’étais seul dans un endroit sombre, j’avais donc un avantage car je pouvais plus facilement me cacher pour attaquer dans l’ombre... Non, c’est vrai je n’étais pas tout à fait seul, j’avais aussi le garçon au chien... Était-il toujours-là ? Sans doute toujours cacher dans un buisson, alors sans vraiment chercher ou exactement je dis :

As-tu déjà fait ce genre de chose ? Car si tu continu à rester dans le coin, ils vont te prendre pour mon allier...
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Barbare ? Peut-être, violent sûrement, sans coeur je ne pense pas, tout donner pour rester en vie ? Oui, sûr.

En tout cas c'est ce qu'on pouvait en penser après cette attaque calculée et mise en pratique à la perfection.
Tout fait précieusement, sans la moindre interruption, tout concordais.
Gestes après gestes, coups après coups, retranchement après retranchement, un, deux, trois, mort, même si pour le troisième ceci n'était pas instantané.

Le jeune doté de la lame, lui laissa le temps de crier.

Un cri qui venait du fin fond de ses tripes, maintenant décédé.
Un cri qui devait être fait exprès.

Car, quelques secondes après, Brüno fut appelé, enfin parlé.

As-tu déjà fait ce genre de chose ? Car si tu continu à rester dans le coin, ils vont te prendre pour mon allier...

Ce que venait de voir notre jeune borgne ne le choqua pas vraiment, mis à part le sang qui giclait.

Il avait réussi à regarder ce massacre, et en profita pour se relevé et révéler sa cachette.

Là yeux dans les yeux avec un regarde mielleux, il lui expliqua,

Tu l'as fait crier exprès, je vais t'aider.

Quelle bêtise ? niaiserie ? oui, c'est Brüno. Trop bon trop con, surtout que, l'homme enfin le jeune homme en face de lui n'avais pas été très gentil avec lui...

...

Après un silence de plusieurs secondes, aucun de bougeait, mais les feuillages frissonnèrent, la terre se souleva, tous ces bruits se centralisait sur les deux, debout, qui attendait...
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Rapide et net, voilà comment je voyais les choses, pas la peine de faire trop d’histoire, je voulais les abattre rapidement et sans leur donner une chance de contre-attaque et c’était ce que je venais de faire et sans voilà me vanter c’était un vrai travail de pro... Il faut dire que rare sont les brigands à avoir beaucoup de jugeotes ici. Ce qui était une chance d’ailleurs... Le combat ne se trouvait que facilité. Je venais donc d’éliminer ses trois types assez rapidement laissant à l’un d’eux la possibilité de signaler notre position avant de l’exécuter. Dans mon plan que j’avais mis en place un peu à la vas vite, j’avais l’intention de massacrer tous ses bandits les uns après les autres profitant de l’obscurité et de ma vitesse. Je ne voulais laisser qu’un homme en vie pour qu’il puisse faire comprendre à ses amis quel terrible personne je pouvais être et que leurs trésor m’appartenait à présent. Meurtre et intimidation, voilà en claire mon plan. Le seul bémol était ce jeune homme et sa bestiole. Je savais qu’il n’était pas mon ennemie, mais je ne savais pas ce qu’il voulait et surtout je m’inquiétais un peu... Je ne m’inquiétais pas pour lui, mais plutôt pour parce que j’espérais qu’il ne serait pas une gêne pour moi. Il se disait expérimenter, même plus que moi, c’était donc le moment de vérité... S’il était si fort que ça il allait bien me le montrer...

En tout cas, c’était ce qu’il semblait dire et vouloir faire. Il faut dire que je l’avais un peu provoqué aussi... Il me disait qu’il allait m’aider, j’étais un peu perplexe sur le niveau d’aide qu’il pouvait apporter, mais qu’importe. S’il ne pouvait pas m’aider à me battre, il pourrait sans doute me servir de chair à canon... Oui je sais dis comme ça c’est cruel, mais je n’avais pas le temps de joué les baby-sitters en plus de m’occuper des criminels à ma poursuite. Quoi qu’il en soit, on n’avait que quelques minutes pour se préparer psychologiquement. Pas la peine de préparer un plan d’attaque comme l’autre fois, cette fois je savais que mes ennemis seraient vraiment sur leur garde. Je pensais donc déjà opter plutôt pour l’attaque rapide et brutale. Tuer ou au moins blesser gravement le plus d’ennemi possible. Ceux-ci ne devaient pas être plus de 10 ou 15. Sans oublié qu’avec un peu de chance il arriveraient par petite vague de trois ou quatre maximum. Je l’espérais car si c’était le cas nos chances de victoire seraient pratiquement sur...

Enfin bref, rapidement, Le bruit se faisait de plus en plus insistant, des lumières apparaissait et illuminait de plus en plus. Je savais que dans quelques secondes nos ennemis seraient à notre porter je dis donc à l’autre gars :


Je te laisse t’occuper de la première vague... Histoire de voir ce que tu vaux.

Deux hommes arrivaient vers la droite, c’était les premiers et donc ses cibles. Je n’avais nullement l’intention de bouger bien au contraire, je plaçais ma main sur le dos de Brüno et le poussa pour aller au combat. Aucun doute que ses ennemis n’allait pas attendre ou discuter, moi j’allais juste observer l’affrontement tout en restant prudent d’autre ennemi allais surement apparaître d’une minutes à l’autre. Mais ce que je voulais savoir avant tout. Est-ce que ce pauvre garçon avait l’étoffe d’un combattant ? Le combat allait-il être sanglant ? Ou allait-il être humiliant ? Il n’y en avait que deux s’il pensait être fort il avait tous ses chances... De toute façon s’il venait à mourir c’était pas moi qui allait le pleurer.


Mais rapidement alors qu’il affrontait ses hommes un autre groupe fessait son apparition comme prévu... J’avais intelligemment profité du combat pour me cacher dans l’ombre en attendant l’arrivée de ses types. Ceux-ci étaient sur le point d’attaquer le jeune garçon par derrière quand j’arrivais pour à mon tour les attaques par dernière. Le premier fut transpercé par mon sabre qui perfora un poumon. Rapidement on pouvait voir des crachas de sang apparaître sur cet homme, le second tenta de répliquer en sortant pointant un pistolet vers moi. Un simple mouvement du bras sur le sien me permettait de dévié la balle Pour lui sectionner le bras. Il n’avait pas eu le temps de crier car la seconde qui suivais-je lui tranchait la gorge pour faire apparaître une fontaine de sang...

Apres tous ses moments le garçon avait fini avec ses cibles, je nettoyais rapidement mon sabre avec une bout de tissus avant de le remettre dans son fourreau. J’observais ensuite ce type qui était en quelques sortes intervenus dans mon affaire pour lui dire :

Je te conseil de partir et tout de suite. Normalement les autres qui vont arriver vont paniquez en voyant le spectacle et rentrer chez eux. Profiter en pour te cacher et m’oublier...

C’est sur ses mots que je remontais prendre mon trésor et partir à un endroit plus sécuritaire... Mon plan ne c’était pas dérouler comme prévu mais le résultat était là, j’avais mon trésor et cela allait me permettre de régler quelques affaires.



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