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On continue de l'appeler petit Yama

-Non, Mr. Kogaku je ne peux pas vous laissez y aller.

-Je ne pense pas que tu puisses me donner des ordres

-Ecoute gamin, ca fait 50 ans que je suis un doc de la marine, et je ne t’autorise pas à me tutoyer !

-Et moi…Kkkk…officier depuis quelque temps et je peux t’envoyer au trou d’un claquement de doigts…et pis faut foutre ce salopard en taule

L’homme en blouse blanche s’accroupi face à moi, son regard semblait plus doux.

-Ecoute…Yama, c’est contre mon éthique de te laisser l’affronter dans cet état, tu n’es pas remis complètement de la guerre, et tu a des spasmes du à la douleur…laisse des gens plus expérimenté sans occuper et repose toi…comme un enfant de ton âge devrait le faire

J’ai 18 ans ducon, crétins des iles, doc d’eau d’chiotte…Ha ha tu me tutoyes, tu n’as pas pus résisté à mon charme.

-Je suis sans doute le seul a…Kkkk…pouvoir le vaincre laisse moi passer.

Il soupira et alla chercher une seringue qu’il remplit d’une mixture rosâtre en grognant sur les têtes de mules.

- Tu ne vas pas sortir dans cet état tu risque de clamser ou pire d’être tellement amoché que j’aurais des heures sup’--

- Tu ne parlais pas d’éthique, des fois ?

-Grr…avec ce remède tu seras remis sur pied, ta fièvre va baisser et ton corps n’aurait plus vraiment de problèmes…j’dis pas que tu ne va pas quelques fois morfler, mais tant que les effets dureront t’auras pas de trop gros problèmes, j’accepte de t’en injecter jusqu’a ce que tu finisses ta mission…Mais comme contrecoup tu va salement morfler quand y’en aura plus dans tes veines

-Elle marche comment ta « potion magique » ?

-Ca m’étonne qu’un adepte du close combat dans ton genre s’intéresse à ca mais bon…ton corps est en lambeau, avec ca ton corps va oublier qu’il est en lambeau, tu va bouger avec un corps en lambeau comme si il était en pleine santé donc ton corps va morfler et tu t’en rendras compte lorsqu’il fera plus d’effets…C’était assez simplifié ?

J’accepte

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*On fait quoi cette fois*

*On trouve des gars, on les tabasse, on les questionne*

*J’adore ce plan, héhé *

J’avais choppé les vêtements d’un pirate, capturé précédemment, il n’en avait plus besoin la où il était. Nous débarquâmes dans une petite crique, si on peut appeler ca comme ca, à l’abri des regards indiscrets. Nous avions « banalisé » le vaisseau, cachant toutes preuves pouvant montrer notre appartenance à la marine. Je laissais mes hommes à son bord, ils n’étaient pas discret avec leur dégaine de flic macho, heureusement que mes propres hommes relevait un peu le tout…mais pas de beaucoup.

L’ile, si c’en était une, n’étais qu’un amas d’épaves, des débris de bâtiment de tous les coté, y’avait pas mal de bois pourri, l’humidité et l’ancienneté sans doute. Comment certains pirates aimaient « vivre » dans ce coin… faudrait y foutre une fois le feu, on en serait débarrassé…quoique: Lancé une série d’enquête, voir le type de rassemblement, évacuer les trucs pas trop pourris et éliminer ce qui reste, ensuite envoyer des commandos pour ratisser le coin et explorer les épaves pour en retirer les trucs précieux, enfin poser une base, récupéré le bois et le réutilisé ou le distribué au peuple.

J’arrivais enfin dans une partie un peu plus animée où des navires avaient été « transformés » en habitation ou truc du genre, des gus la bouteille à la main, des groupes aux regards suspicieux ou encore des cadavres, m’entouraient. .
Un gars se détacha d’un groupe et m’aborda.

-Salut, t’a l’air fort mec, ca te dirait de rejoindre notre équipage toi te ton loup…on butera des tas de putains de marins de merde et d’autres putains de citoyens de mes deux

Quel être abject.

-Je cherche…sorus Hadou (à ce bon vieux sorus) de la révolution.

J’avais inventé ce nom à la con, et je crois qu’il va encore me servir longtemps. Le nom de Mandrake était trop dangereux.

-T’es un revo…tu vois mon gars moi j’aime bien buter ces types.

Il sortit un couteau, je lui attrapai le bras, le lui tordit dans le dos, lui enfonçait mon genou dans les cotes.

-Où Sont les révos !

-derrière, le drakkar la bas, me bute pas

Je lui enfonçais mon poignard dans les tripes, pas de pitié pour les enfoirés, un deuxième me fonça dessus, mon 42 fillette l’accueillit et l’envoya dans le pays des rêves. Le restant du groupe se concerta avant de passer à l’attaque. Ils se disposèrent en arc de cercle lame au clair. Je m’élançais au coté de mon loup et dégainai mon poignard, je déviai la lame du mec central avant de lui briser le nez et de l’envoyer trois mètres plus loin d’un coup de poing, J’attrapai ensuite la tête de deux pirate et les entrechoquèrent comme dans les dessins animés je me retournai pour mettre à terre mon dernier assaillant mais le loup, l’avait mis hors d’état de nuire. Les autres gars présent dans le coin regardèrent la scène d’un œil presque indifférent avant de recommencer à conspirer.

Je sortis ensuite un den den et ordonnait à mes hommes de se demerder pour retrouver les mecs que j’avais foutu à terre et des les incarcéré, je les priais aussi d’éviter de venir en marin, mieux valait ne pas attirer la méfiance.

Je me rendis vers la direction indiquée, mais il n’y avait personne. Ce n’était qu’une « place » vide entourée d’épaves transformés en entrepôts vide. Je fis plusieurs tours, espionnant les discussions par-ci par-là, tabassant par-ci par-là, mais aucune info sur Mandrake, je déambulais ainsi jusqu’a ce que la nuit tombe et je revins vers la place.

Un petit groupe déblatérait, je m’adossais à une sorte d’arche assez grande pour me cacher et assez petite pour que je puisse agir….au cas où. Je dus à peine haussez mon ouïe pour les entendre clairement à ce rythme je pouvais tenir dix bonnes minutes.

-Plus qu’à attendre Clark et nous parlerons du plan.

-Sinon on aura quoi comme rétribution ?

-Le mérite d’entrer dans l’histoire de la révolution et le commanditaire possède une énorme somme d’argent, qui pourrait payer vos proches…Et pis faut bien entretenir la révolution pour gagner

Bingo !

-En effet, la révolution est comme un vélo, lorsqu’il n’avance pas il tombe.

Jolie c’était l’une des meilleures que j’avais entendues.

-Eddy Merkx ?

-Non, Cheguevarra ! ... bordel t’es qui ?

-Merde

-Buttez le !

Tant pis pour, mon espionnage la vie de ce gars qui que se soit était plus importante, je n’aurais qu’as faire un entretien privé avec le « chef ».Je roulais sur le bois dégainant mon sabre, six gars, tenant en joue un petit vieux dans une ligne presque parfaite… merci, enfin j’espère. Je contractai le muscle de mon bras droit et envoyas mon bras le plus fort possible.

Dans un grand sifflement, la lame d’air sifflante, trancha les canons avant de laissé une marque bien nette dans le bois. Le coup m’arracha le bras, un peu comme quand l’on frappait dans le vide de toutes ses force, ce qui était en partie le cas… Foutu doc, je ne suis pas à 100%, j’étais habitué à recevoir des chocs dans le bras, mais la mon bras droit sera inapte pour ce combat.

Le petit vieux était toujours adossé au mur vert de peur et… jaune de pisse… deux gars avaient pris la fuite.
Soudain, la bile me remonta à la gorge, je n’me rendis pas vraiment compte et je la ravalais de suite, mais, le vomit sortit avec d’autant plus de force, je dus me retenir au mur pantelant pour ne pas tomber, le loup grogna pour que mes ennemis s’éloignent, mais cela ne pas tellement d’effet.

Les quatre restants approchaient de moi armé de couteau ou du morceau restant de leur flingue comme massue. Je fis un crochet du gauche au premier, qui recula un peu sonné, je lui en envoyais un deuxième, je n’étais plus du tout à fond. Qui l’envoya à terre. Deux de plus s’enfuirent, ils me prenaient vraiment pour un surhomme, ou quoi ?

Il se releva et fondit sur moi avec son poignard, je fis passer ma lame dans la main gauche, une chance que je sois ambidextre et presque aussi adroit et fort des deux bras.je parais son coups et le repoussais. D’un claquement, de langue j’ordonnais au loup d’attaquer l’autre. Je concentrai ce qui me restait de force « Same Kosho », je coupais en deux la lame et son porteur avec…Merde.Ca faisait un petit temps que je n’avais plus utilisé cette attaque, je le saurais la prochaine fois, il aurait du être paralysé momentanément…pas à vie.

L’adrénaline et le surestiment du sous-estiment du surestiment du sous-estiment… oulah j’ai de la fièvre ou quoi la ? Ce qui est sur c’est que je ne m’attendais pas à développer une telle force, je m’accroupis…ou tomber sur un mec qui m’attaque avec un couteau en fer blanc…SERIEUX, depuis quand on se battait avec du fer blanc ! Mêmes un jouet serait une meilleure arme, certes ca pouvait bien trancher (des légumes…et encore) mais même un gosse pouvait peter un objet dans cette matière à main nue.

Le loup entre temps avait foutu l’adversaire à terre et lui menaçait la gorge.

*Œil, tu peux me l’amener dans cette bâtisse *

Il attrapa la jambe du pauvre gars entre ses crocs et le tira dans le bâtiment. Je fis le tour de la « salle « suivit de prés par mon loup qui trainait un mec dont la jambe était à présent en lambeau. Je m’arrêtais devant un poteau et sortit plusieurs paires de menottes. Je l’attrapai par la peau du cou, et le collai au poteau, je lui menottais les bras, les jambes et le ventre au poteau, de façon à le mettre dans une position la plus inconfortable possible.

C’était un petit homme au crane rasé mais à la barbe abondante, qui me dardait avec une lueur de défit dans les yeux. Il devait bien avoir une quarantaine d’années.

-Prêt à te mettre à table ?

-J’ai pas faim sale chien

-Mon loup si…

Il blêmit.

-Même pas peur, t’auras beau me torturer j’te dirais rien sur le plan

-Où est Mandrake


-Même pas de s’ il vous plait….Tsss même pas poli les gamins de nos jours

Je lui fonçais dessus et lui envoyai mon poing dans sa face.

-Où es Mandrake ?

Je n’oubliais bien entendu pas la « politesse ».

*tape dans sa jambe blessée*

Il se mordilla la lèvre

- Sur Grand line avec ses potes à s’qu’on dit

Il semblait sincère… Mec du gouvernement de mes deux, même pas capable de trouver des infos valable.

-Sinon tu c’est quoi le plan ? « s’il vous plait »

-Trop poli gamin, j’ai oublié

-J’ai un marché pour toi, soit tu me dis tout et tu auras p’tet de soin…soit je te te fais pendre par les poignets, te coupe la langue, t’entaille à d’autres endroits et te laisse crever comme un chien. Tes plaies vont s’infecter et tu mettras plusieurs putain de longs jours pour crever

Comme il semblait hésiter, je commençais à lui asticoter sa blessure de la pointe de Yugure. Comme j’eu l’impression qu’il allait passer aux aveux j’augmentais mon ouïe.

-Une attaque sur Bliss… C’est Brown qui devait nous donner les détails…tu pourrais le retrouver dans son bateau, un voilier rouge avec une grande cabine à l’arrière nommée « Le lutin rouge »

Il ne mentait pas.

-Pourquoi voulais tu accepter cette mission

-j’ai mes gosses à nourrir et aucun moyen de quitter l’ile, mais j’le jure j’ai jamais buté personne


-Qui t’empêche de te barrer ?

-Brown…il garde mes gosses et ma femme, ainsi que d’autres gens en otage pour qu’on travaille pour lui

Je le libérai, et lui ordonnait de rester la, j’allais voir ce que je pouvais faire…il n’avait pas l’air de mentir. A mon grand étonnement l’homme se jeta à mes pieds en pleurant et baragouinant des remerciements.

*Œil surveille le *

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Brown rentra chez lui, il avait réussi à récupéré une pétoire chez un pote…enfin jusqu’a ce qu’il teste l’arme…
Il passa la main dans ses longs cheveux grisonnant, il faudrait qu’y se trouve un autre surnom, c’est moche de vieillir, et se gratta sa barbe de trois jours, il envoya son manteau dans un coin.
Il lança ensuite son arme rebondir sur son matelas et dans la pénombre se servit un verre d’alcool, mais d’où venait cette impression de ne pas être seul

-Qui est la ?

Rien, il avait dut rêver, putain de vieillesse oaui.

Soudain sa lampe de chevet s’alluma, un gamin était assis, son flingue en main, la balle lui traversa l’épaule

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Voyant que l’homme n’était pas encore la, je m’étais mis dans un coin sombre, prés de son lit.
Il eut la « stupidité » de jeter son arme juste à coté de moi.
Il se retourna pour fuir, cette fois je tirais dans son mollet. Il s’affalât de tous son long. Il était un peu plus grand que moi, la cinquantaine, de longs cheveux brun grisonnant. Il avait l’air encore vigoureux pour son âge.

-Ca t’apprendra à acheter de trop bonnes armes…Dis moi tout sur Bliss et tes otages et tu vivras, sinon tu mourras en souffrant

[color=brown]-T’es qui ?[ color]

-Le forgeron

-Même pas peur forgemerde ce sera un bordel assez gros pour être gravé dans l’histoire et tu pourras rien faire

Toi t’es mort, les monstre de ton espèce ne mérite ni justice ni vie.
Je lui collai le canon sur la main et pressai la détente, il hurla de douleur et se roula par terre tenant ce qui restait de sa main.

-Et maintenant ?

-Va crever en enfer trou du cul

J’ouvris le barillet, encore quatre balles, je lui attrapai la main déjà blessée, et tirai à travers le bras de façon à ce que la balle traverse le plus de chair possible.

-Alors ?

-Va te faire foutre Cow-boy

Je sortis mon briquet et brulait ses blessures autant pour les cautériser que pour le faire souffrir encore plus. Je mis une de mes petites bombes dans le trou de balle (l’artificiel je précise) et menaçais d’allumer la mèche…il ne restait plus qu’un morceau d’avant bras d’une vingtaine de centimètre .Je posai ensuite le canon sur le service trois pièces dans une tentative désespéré de découvrir la vérité, la rage commençait à se faire ronger par le doute, j’aurais dus moins le laminer.

-Non, non monsieur, ne tirez pas, je dirais tout… je dirais tout…

Monsieur, héhé…j’augmentais mon ouie tout se jouait la, son cœur était agité la ce sera chaud.

-J’ai été contacté…PAS TIREZ (d’une voix super aigue qui me vrilla les tympans)…par un homme qui avait contacté tous ceux capable de lui envoyer de la chair à canon

Je faillis vomir et lui envoyai mon pied dans son moignon. La révolution n’était vraiment pas aussi bien que je ne le pensais.

-Ouch…C’est quoi le problème…il voulait les armer, ensuite, les mêler avec des soldats entrainer, leur faire miroiter des promesses et boum, plus de chantier…plus de preuve

-Où, quand, comment ?

-Tout es la…me donneras tu une mort digne ?

Je lançais un coup d’œil sur le Viel homme, il macérait dans une mare de sang, son bras inutile à jamais, son vieux costume imbibé de sang (pauvre costume). Qu’es que j’avais fais la, la colère m’avait emporté, Je vomis, je non je ne pouvais pas me conduire comme ca, j’expierais mes fautes plus tard, priorité aux vivants.

-Les otages ?

-En face… entendras tu la dernière volonté d’un vieil homme ?

-Dis toujours

-Fais de la mer mon tombeau

Je fis une rapide vérification, une lettre avec un colis parlant de bliss. Merde…je me dépêchai de stopper mon « don » mes oreilles, sifflaient pas mal encore un peu et je serais sourd pour le reste de la semaine. Il semblait bien avoir des gens enfermé dans … je ne sais trop quoi.

-Pourquoi m’avoir dis tout ca ?

-Ils pourront te buter, moi j’vais clamser d’façon

Je dégainai Yugure et le décapitais d’un geste fouillai et jetai son cadavre à la mer.

-Sayonara Connard

Je pris ensuite la lettre.

Yamamoto Kogaku a écrit:


Cher héros de la révolution, je….blablabla…sauveur des masse…blablabla….tel Boris pierrebleu le ….blablabla….l’élite de la nation…rien à battre blablabla….foutu bagou de mes deux…blablabla….chiwawa…blabla….le peuple chantera notre (Mort ?)…ah non…blablabla…Ravioli…hein…albalbalb…Nous ne sommes pas une vulgaire boite de raviolis…ah non encore des conneries…le peuple nous aime (des enfoirés qui font des otages pour avoir de la chair à canon ?)…blablabla…mon chat à la diarrhée…connerie, connerie, connerie…ah enfin…Ce projet, vise à détruire Le chantier naval de Bliss où sont fabriqué ces putains de cuirassés, si possible dérober un cuirassé et assassi asissa assassi zigouiller (illettré de mes deux) d’hauts membres du gouvernement, des artisans et tous ce gratin. Je vous demande d’envoyé au moins dix hommes prêt à mourir et dont la perte n’est pas importante. Ils sauteront avec la charge aux endroits clés tandis qu’un commando fera la peau aux ennemis hors du périmètre et qui juste âpres le boum qui feront le ménage
Fais les amener la lettre et porter ce qui se trouve dans le colis, le … dans six jours, à l’hangar nord situé sur la carte ci-jointe.

Ps : plus d’infos sur place




Ca puait pas mal, va falloir que je trouve un plan,, dans le colis, étaient entassé plusieurs costumes.Je quittais le bateau perdu dans mes pensées et rentrais dans le…la ?...L’otagerie ?
Je pétais la porte à coups de pieds, y’avait une dizaine de gosses et de gonzesses, j’écoutais leur récriminations, leur racontais la mort (en édulcoré), ils chialèrent (enfoiré d’Helsinki) et je leur « ordonnais » de rentrer chez eux.
Arrivé au hangar, je demandais au gars de rentrer chez lui ce qu’il fit en chialant (tapette) sa jambe était d’ailleurs bien emballée et il s’était improvisé une béquille.

Arrivé au bateau, j’ordonnais à mes hommes de conduire l’embarcation du macchabé jusque ici et de se préparé à partir. J’attrapais mon den den.

« -Allo, ici le commandant Kogaku, passez moi le colonel de la base… oui… une attaque aura lieue dans dix jours sur le chantier naval…non ce n’est pas une blague…a votre avis si je vous dis mon nom et mon grade, ce n’est pas un canular….j’ai pas d’ordres à vous donnez…Trou-du-culte !...ah il a raccroché…face de pets »

J’avais de toute façon décidé d’intervenir mais bon, il me restait dix jours pour échafauder une stratégie, je me marrais bien en vo…
BOUM

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