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Putain la vache !

Precedently

Nous larguons les amarres et je commence à donner des ordres avec une voix triste...Mes compagnons d'armes sont loin de moi. Un petit air abattu et une démarche nonchalante font qu'appuyer mon humeur qui n'est pas au summum de sa forme. J'ai dû envoyer les gars pour une mission de reconnaissance sur le royaume de Goa sous les ordres d'un autre supérieur qui m'a promu Commandant et m'a obligé de servir sur ce rafiot de fortune...Enfin sur ce grand bateau de la marine et devinez à côté de qui, je dois servir l'ordre mondial ? Aoko Longshot ! Commandante Aoko à la grosse poitrine. Comment tu veux que je me concentre avec ces obus devant les yeux toute la journée. Mamamia Mamamia ! ça me rend malade !

Je me récure le nez et demande à ma camarade les informations reçue par nos supérieurs concernant cette île. J'essaie de la regarder au dessus de ses épaules, mais rien y fait, mon corps entier m'empêche d'être sérieux et je dérive dans mes pensées les plus obscènes, jusqu'à l'écoulement nasal d'un filet de sang.


Sirup, île composée de plaines et de villages tous aussi tranquille les uns que les autres ? Muni d'un grand manoir réputé pour être la cible d'infâmes pirates...Rien d'extraordinaire quoi. Je propose à Aoko d'aller inspecter les lieux. Plus nous avançons vers le village le plus proche, plus nous trouvons louches certains signes. Des champs d'herbes avec de jolies pâquerettes à perte de vue... Des animaux de fermes avec une grande robustesse et pourtant des villageois avec une mauvaise mine et une certaine inquiétude dans le ventre. Je vais voir ce qui se trame en questionnant un vioc et voilà ce qu'il me dit...

-Hey le vieux ! On a mauvaise mine ? Oui ? Moi aussi, je suis loin de mes amis, du coup je suis pas bien et toi pourquoi t'es pas bien ?

-C' à cause d'cte foutue fantôme. A c'qu'il parait...il est gros, grand et gros et grand.

Il me semble que le vieux a perdu la boule.

-Grosse Poitrine Chan...Je vais voir le maire du village pour voir pourquoi ces gens ont l'air triste...Je sais ce que ça fait et j'ai envie qu'il retrouve le sourire !

Comment ça ? C'est pas notre job de s'assurer de la sécurité des civils ainsi que de leur bonne humeur, c'est ça la paix, non ? Dans le corps et dans l'âme.
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Être commandante, ça a du bon. Je dois me servir d’un vieux rafiot tout usé et partager les ordres avec ce foutu pervers qui n’arrête pas de me reluquer. J’en ai marre, quand est-ce que je vais avoir le commandement de mon propre vaisseau? Et pourquoi l’île de Sirup surtout? Un problème d fantôme qui effraye les vaches et les habitants, comme-ci c’était à nous de le régler. Mais bon, je m’y fais petit à petit, je n’ai pas le choix de toute façon.

Le voyage devient assez bien épuisant et on ne nous a pas beaucoup donné de ressource. Je ne me suis encore jamais aventuré aussi loin dans l’east blue, faut dire, je ne suis jamais venu auparavant. C’est un endroit qui a son charme et il y fait assez bon comparé au froid dans norh bue.

Tant qu’on y est, je vais beugler quelque ordre histoire de me donner un air.

« VOUS ! Bougez de là et aider le caporal »

« Toi là, tu me fais quoi? Bouge ton cul sinon c’est à la nage que tu devras retourner chez toi »

« Reste pas à me regarder comme ça sans réagir, bouge de là. »

Ah, ça fait du bien. Je m’attends toujours à une catastrophe comparé à ce que j’ai dû subir avec mon patrouiller, mais les gens dans ce vaisseau savent mieux gérer que les autres. Et puis de temps en temps, je peux prendre un peu le soleil. Heureusement que j’ai pris mon bikini.

Arf, déjà arrivé? Et zut, moi qui voulais prendre un peu de bon temps… Bon, revoyons un peu les ordres des supérieurs : « Bonjour commandant, il semble y avoir des problèmes sur Sirup. Étant donné votre proximité avec le lieu, nous vous envoyons sur place pour vérifier auprès des habitants pour avoir leur explication. Nous aimerions que vous régliez ce problème le plus vite possible pour que l’on vous envoie sur d’autre mission plus urgente. Signez Colonel Massepin » Raahhhh… j’en peux plus, je ne veux pas rester ici… Bon, je vais voir ce que mister pervers fait dans son coin pour m’occuper l’esprit.

Interroger les gens du coin, bah c’est bien une mission pour lui ça. Et puis maintenant quoi, le vieux là, il raconte n’importe quoi, ils ont sûrement fumé sur cette île. Je pense que l’on devra les arrêter pour avoir des produits illicites… Mais bon, de simples civils ça n’en vaut même pas la peine. Ah tien, il a des amis le pervers? J’ai jamais fait attention en tout cas.

Okey, il va voir le maire bah, il fait ce qu’il veut après tout. La campagne, le grand air.

« Pas de problème, de mon côté, je vais explorer les lieux, ne te perds pas, pervers. »

Oh et puis il peut bien aller voir le maire, je m’en fou complètement, si il veut le rassurer c’est son droit. Moi, je vais voir un peu ce qui se passe aux niveaux des villages pour confirmer cette histoire de fantôme. Je pari que ce sont des gamins qui se joue des adultes pour leur faire peur. Je peux peut-être me planquer pour le leur rendre? Non, ça ne servirait à rien.

Bon alors dans ce village, c’est calme paisible, pas un chat. Ah si, une chatte… enfin, une jeune femme, je vais lui parler.

« Bonjour, comme vous pouvez le voir je suis de la marine, on m’a envoyé pour mettre un terme aux problèmes sur l’île. Pourriez-vous m’en dire plus? »

« Ah dieu merci, la marine vient à notre secours… »

Qu’est-ce qu’elle a celle-là? Comme si on avait que ça à faire de leur petit problème. Ca me manque de castagner du pirate.

« Je l’ai vu, il se balade la nuit, c’est un fantôme, j’en suis certaine. Il allait voyager au milieu des champs et faisait peur aux vaches. »

« Oui mais à quoi il ressemblait? »

« Euhh…. Il… il était transparent, oui c’est ça transparent… Puis, il avait des chaînes accrochées à lui comme un prisonnier et il faisait du bruit comme… »

C’est Quoi ce visage à faire peur?

« Boooouuuuuuhhhhhhhh…. Quelque chose comme ça »

« Ah… Merci… Est-ce que vous savez où il apparaît? »

« Pas vraiment, ça dépend du jour, en tout cas le dimanche il apparaît ici dans la clairière habituellement… »

« Et vous n’avez rien tenté pour l’attraper ou quoi que ce soit? »

« Vous êtes folle? L’attraper pour quoi faire? Il pourrait peut-être même nous envoyer en enfer à ce qu’il paraît »

« Bon, merci, je vais voir ce que je peux faire »

Bon, ils sont vraiment terrifiant les gens par ici. Et puis celle-là, faudrait l’envoyer à l’asile.
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J'y vais d'un pas décidé ! Oui, je suis sur le chemin ! Mais où ? Je sors le petit carnet et regarde le chapitre : Sauver une ville d'évènements étranges. Mm... Faut vraiment que je pense à contrôler mes pulsions, encore une putain de page blanche et sans doute à cause de mon problème d’inattention en cours. Ah je sais que c'est pas bien de penser aux filles, mais j'y peux vraiment rien si j'ai ça dans le sang. Pourtant Papa, il a pas l'air d'un coureur de jupon... J'avoue moi non plus. Suis-je un raté ? Ou'ais, on peut le dire, faut pas se mentir à soit-même. La preuve, la pimbêche de Commandant ne répond même pas à mes avances.


Enfin bref, après tout, j'ai que faire d'une jeune femme de sa trempe. Donc je n'en ai rien à battre de ce qu'elle pense...ou pas. Dire que j'ai été son petit toutou la dernière fois. Ffffffiouu Un souffle désespéré et je continue à marcher jusqu'à la baraque du maire. Elle est pas du tout compliquée à trouver cette putain de maison...Elle est pareil que les autres du village, y'a juste un truc différent, c'est une bannière en bois où il y'a écrit : Mairie J'ai juste mis un peu de temps à trouver, je le savais, j'aurai dû demander à quelqu'un, mais ils ont l'air pas net dans le coin. Je rentre et tout de suite, y'a un truc qui me tilte.

Meuuuuuh ! Meuuuuuh !

Mais, what is the fuque ! Y'a un vieil homme en train de caresser une vache en plein milieu de son salon ! Dîtes-moi que ce n'est pas monsieur le maire car je vais péter un câble. Bordel, c'est bien lui. Du coup, machin-chose habituel, les salutations respectées d'un marin qui veut bien aider, les présentations et tout le blabla, donc la suite logique, c'est les explications... Mais non, M'sieur préfère me proposer du thé ! Du thé au lait ! Au lait de vache !

Meuuuuuuuuuuh !

Je me récure le nez et reste calme. Je m'assoie et prend une gorgée de ce cocktail bien chaud et attend avec impatience le moment où le maire va finir par parler. Il n'arrête pas de siroter dans sa tasse, à caresser sa barbe tout en me fixant du regard. C'est ennuyant à en mourir...J'aurai préféré avoir une gonzesse devant moi.

-Mademoiselle Cow est la seule ! L'unique.

Sympa le vieux, développe steuplait !

-Oui, je comprends. Dis-je en préservant la zen attitude

-Mademoiselle Cow est la dernière vache. Oui la dernière qui arrive à faire du lait...les autres ne vont pas bien, elles sont perturbées. Les gens soupçonnent un fantôme, mais de vous à moi, nous savons que ce n'est qu'histoire à dormir debout...Nous le savons !

Enfin quelqu'un de raisonnable...Et il commence à parler, c'est cool.

-Mademoiselle Cow est ma précieuse, mon unique...sans elle, notre thé au lait, spécialité locale de la région tend à disparaître... à jamais ! Je soupçonne les aliens ! C'est entièrement de leur faute !

J'ai parlé trop vite, il est aussi fou que les autres...Faudrait les emmener en cure. J’acquiesce ses dires et récolte quelques informations qui pourront me mener à une piste viable. Le fantôme, les aliens et c'est quoi la suite ? La team rocket ?! Je remercie le maire et le moral au plus bas, je vais retrouver Aoko pour lui dire qu'ils sont tous cinglés et que je suis sûr que les supérieurs se sont foutus de notre gueule en nous envoyant ici...

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Aoko continuait de se balader dans le village en voyant tout autour d’elle des gens avec des comportements vraiment bizarres. Elle continua son enquête et eu plusieurs informations quant aux apparitions du fantôme. Elle eut tous les jours de la semaine avec des endroits plus ou moins précis. Après avoir discuté avec une autre femme, elle s’approcha d’un jeune homme, beau, musclé et tout. Normalement, un pure paradis pour une femme, mais elle resta de glace. Par contre, lui, il regarda directement la poitrine d’Aoko et s’intéressa à celle-ci pensant pouvoir la manipuler comme il veut.

« Ouah, hey mademoiselle, ça vous direz de venir avec moi dans ma maison et prendre un peu de bon temps? »

Elle souleva un sourcil, afficha son sourire carnassier et croqua sur sa cigarette.


« Hin, tu crois que tu saurais tenir mon endurance petit? »

Elle disait ça alors que le jeune homme devant elle faisait deux mètre dix de haut par rapport à son petit mètre soixante-cinq, soixante-dix. Aoko le remarqua tout de suite, les femmes furent jalouses d’elle parce que ce beau chevalier sans armure lui parla avec un de ces tons charmeurs. Par contre, il fit un geste qu’il regretta. Il posa sa main là où il ne fallait pas. D’un coup, les yeux d’Aoko tournèrent au rouge, elle le plaqua au sol et lui mit un flingue sur la tempe.


« Ne refait plus ça, gamin »

« Wooaaahh, t’es chaude ma petite, on peut continuer si tu veux »

Apparemment le type était cinglé, qu’es ce qui se passait sur cette île. Tout le monde semblait anormal et elle l’avait remarquée depuis son arrivé ici. Ce n’était pas dans ses habitudes de voir quelque chose d’aussi étrange. Elle se releva et rangea son arme puis posa des questions au jeune homme en faisant exprès d’oublier ce qu’il venait de faire.

« T’es pas normal si tu veux mourir comme ça, mais bon, je suis venu ici pour enquêter sur un soi-disant fantôme. Est-ce que tu pourrais me dire quelque chose à ce sujet? »

« Héhé, si tu veux une réponse ma belle, je te le dirais uniquement après t’avoir fait grimper aux rideaux. »

Elle ne perdit pas son sang-froid une seconde fois, elle tourna les talons et fichu le camp de ce premier village. Elle ne supportait pas le comportement de ce jeune homme. Après quelque mètre, en marchant le long du chemin, elle croisa plusieurs paysans avec leur vache. Ils étaient en train de les câliner comme-ci c’était leur femme.

* Ils ne sont vraiment pas bien ici, je pense que je ne vais pas rester. Et j’ai également l’impression que nos supérieurs se sont foutu de notre gueule avec cette mission.*

Tout en réfléchissant et en s’allumant une cigarette, elle croisa le pervers qui sembla être de retour de chez le maire.


« Alors, quels sont les nouvelles de ton côté? »

Elle prit une pose assez sexy, croisant ses bras sous sa poitrine qui la faisait remontée un petit peu. Elle eut malheureusement un regard dépité du faite que cette mission n’allait mener à rien.

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Je marche d'un air dépité, le dégoût sur le coin de la lèvre. ça parle de vache qui sont en phase de dépression, ça parle de martiens, des petits hommes verts ? C'est pas une race particulière dans le nouveau monde ? Quoi que mes connaissances au sujet du shinsekai ne sont pas tip-top et pendant que mes pensées se mélangent... ''Ouais ces vaches particulières qui vivent dans le nouveau monde, en plus elles sont vertes'' ... Et là, au moment où ces pensées plus que constructives aurait pû m'amener à la conclusion de cette histoire, j'entends la voix d'Aoko...

Les nouvelles de mon côté ? Je relève la tête fièrement, mes yeux rivés sur la poit....Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Mes yeux fixés sur son regard de sniper, prenant une grande inspiration et me mettant l'index dans le nez, je lui dis avec une voix pimenté d'ennuie... Pas l'ennuie qui nous assassine au fond de notre lit, non ! L'ennuie qui cherche la petite bête et qui fera place à une aventure démesurément folle ! Enfin... Je me comprends

- Oh douce Commandante, enfin, ma douce. Je me souviens plus trop de l'ordre de mission, mais je pense que c'est un truc du genre, régler le blem de ces gens là... Y 'a un moyen simple, on prend toutes les vaches du villages et on les emmène sur l'autre île et pendant que tu vas faire ça, je reste ici pour réfléchir à la cause de cette dépression majeure qui n'atteint pas que les animaux, d'après les comportements plus que zarbi des villageois...

Puis je la fixe et impose un silence pesant qui ne durera qu'un instant...



...Un instant avant de craquer et de péter les plombs... Je ne m'imaginais pas réagir ainsi...

- Je t'aime ! Oui ! Ton charme me tue, me fend le coeur, j'ai envie de t'offrir des roses... On se mariera ! On aura des enfants et on les appellera Chloé et Charlotte et on vivra heureux dans ses prairies là... Y'a des gens sympa et le vieux maire et tip top cool.

Puis je me suis pas arrêté d'afficher un sourire bête, une expression qui ne cessera d'arrêter malgré tout.
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Aoko le regarda bêtement et puis FACEPALM... Mais qu’est-ce qui se passait là? Oliver n’était plus le même. Elle se devait de réagir au plus vite pour régler son problème, parce que là, ça dépassait tout son imagination.

*il a sûrement bu ou manger quelque chose, je ne me sens pas du tout bizarre. J’ai rien gouté sur l’île. Faut que je prévienne les marines sur le navire de ne rien manger sur cette île.*

Elle prit son denden-mushi dans la main et essaya de joindre le navire. Heureusement pour elle, quelqu’un répondit rapidement vu la situation qui allait sûrement s’aggraver dans les minutes suivantes.

« Sergent Milheure au rapport »

« sergent, c’est urgent, c’est le commandant longshot, il faut empêcher qui que ce soit de goûter ou de boire quoi que ce soit sur cette île. Prévenez le commandement de passer l’île en quarantaine. Il faut empêcher quiconque de quitter l’île. Faites vite !! »

« Bien commandant. »

Aoko raccrocha son appareil et vit qu’Oliver était vraiment dangereux sur le moment. Elle se devait de faire quelque chose mais quoi? L'assommer? Il venait de la marine d’élite. Même son sourire bête ne le rendait pas moins fort. Il n’allait pas se laisser faire pour sûr. De plus, il possédait une de ces obsessions sur elle depuis qu’il l’avait vu sur cette île où elle lui avait pseudo-sauvé la vie après s’en être servi comme appât. Comme quoi, elle était dans une merde totale pour le moment. Elle dut réfléchir rapidement pour savoir ce qu’elle avait comme solution.

*Si j’essaye de le calmer, il se défendra. Si j’essaye de fuir, il me poursuivra, il faudrait que j’essaye de le persuader que je suis dans le même délire que lui et essayer de voir durant la nuit où se trouve ce foutu soit-disant fantôme... Et je suis sûre que c’est un enfoiré qui empoisonne l’île avec une concoction des plus nocives pour le cerveau. Heureusement, je ne suis pas touché. Il n’y a que les gens qui ont mangé ou bu sur l’île qui en sont atteint. Il a sûrement pris quelque chose chez le maire... Il a du oublié que dans le règlement, on ne mange, ni ne bois quoi que ce soit d’offert par quelqu’un d’autre durant une mission? Bon, si je ne fais rien, il va me sauter dessus et me violer si ça continue*

Elle le regarda droit dans les yeux avec une intensité... puis se força à sourire à celui-ci puis de répondre d’une façon qui la dégoutait elle-même.

« Cool, d’accord, et bien, la première chose que tu fera, c’est attendre ici, je vais voir ce que je peu faire pour qu’on puisse s’installer sur l’île d’accord? Et ne me suis pas, c’est une surprise que je te réserve. Si tu me suis, tu gâchera tout. Je reviens dans un moment d’accord? Va te reposer un peu dans les champs, tu verra ça fait du bien. Aller à tantôt »

Elle se retint de dire... Mon chéri... Argh... elle vomissait presque les paroles qu’elle venait de dire. Un gout amer resta dans sa gorge, elle se doutait que cela avait peu de chance de marcher, mais le choix se réduisait à ça. Ceci dit, elle savait néanmoins qu’elle avait gagné un peu de temps. Elle allait régler ça en un jour et en finir avec ce problème. D’après tout ce qu’elle avait analysée, elle connaissait les jours où ce soit-disant fantôme se trouvait. Elle allait le punir et le finir.

*Saleté, j’ai pas besoin d’un obsédé derrière moi pour accomplir un truc aussi stupide. Je pari que je vais pouvoir trouver cet enfoiré et le faire payer pour ce qu’il a fait à cette île. S’il agit à l’endroit qu’on m’a décrit... je le prendrais par surprise et je l’aurais. Je vais d’abord retourner vers le navire pour prendre tout le matériel dont j’ai besoin. En espérant que le sergent a su passer le message.*

Sur le chemin, elle vit des gens - sûrement des villageois - aller vers le navire. Apparemment, il y avait du grabuge. Elle n'aperçut rien de suite, mais en arrivant au navire c’était le bordel. certain marines avaient débarqué pour sécurisé la berge et essayaient de commencer une quarantaine. Le seul problème qui se posait à présent, c’était les villageois qui avait apporté du thé mélangé au lait de vache. Les plus résistants des marines ne se laissaient pas faire, mais les autres par contre... Elle les voyait tout bizarre, comme-ci ils avaient déjà consommée tout ce que l’ont leur offraient.


« et merde... Bon, je fais ça vite. »

En haut de la colline, d’où elle voyait le navire, elle s’installa. Elle posa les mains à terre comme-ci elle allait commencer un marathon. Elle avait reçu une seule médaille pour le temps qu’elle avait fait pour courir d’un point A à un point B. Le problème dans ce cas-ci, c’était qu’elle devait parcourir d’un point A au point B où se trouvait son matériel, le récupérer rapidement, et se rendre au point C sans plus attendre. Elle se ferait peu être remarquée par les marines et les villageois, mais elle arriverait à les semer dans la forêt si ceux-ci la poursuivaient dans la forêt.

Et elle partit dans une course folle, elle croisa tout ce beau monde en passant à travers les marines complètement atteint qui s’avançaient comme des zombies vers les saints d’esprits. Ceux-ci ce défendaient comme ils pouvaient en les repoussant gentiment voyant leur état. Le sergent vit Aoko arriver vers eux. Il ordonna aux marines présent de se bouger pour la laisser passer. En évitant tout ce beau monde, elle arriva enfin sur le pont du navire où tout était encore calme.


« J’avais dit de mettre l’île en quarantaine sergent, que ce passe t’il ici? »

« désolé commandant, ils sont arrivé peu de temps avant que vous nous le signaliez, comme vous le voyez, il est trop tard pour ces marines, que devons nous faire? »

« prenez la mer le temps que l’on règle le problème et faite en sorte de rester vivant, n’embarquer personne à bord du navire qui soit touché de cette maladie étrange. Apparemment, ça se répands avec le lait des vaches. Ce doit être un individu qui empoisonne tout ce beau monde. Je ne sais pas comment il fait mais je crois savoir comment le trouver donc, je vais camper sur l’île pendant maximum un jour, voir deux. je vous enverrais un signal pour que vous puissiez venir nous récupérer. Je reviens Sergent, je vais chercher mon matériel et ensuite vous pourrez y aller »

Elle le laissa planter là, attendant patiemment qu’elle revienne. Elle prit en bas dans sa cabine, son flingue sniper, ses deux pistolets et caressa sa panthère qui allait devoir rester là. Elle ne voulait pas risquer la vie de son petit chat adoré. Puis elle remonta en vérifiant ce qu’elle avait pris. Elle remarqua qu’elle allait manquée de nourriture pour pouvoir passer une journée entière. Elle prit un gros sac et le remplit le plus possible de nourriture ‘Saine’. En arrivant vers la limite de son sac, elle entendit du grabuge sur le pont. Elle monta rapidement avec toutes ses armes bien attachée et son sac lourd. Sur le pont, cela devenait de plus en plus le bordel. Les marines qui avaient goutés à ce fameux thé, ce sont retrouvé sur le pont débordant le navire. Aoko devait faire un choix, soit abandonné ses hommes soit les aidés à repousser... ses hommes. La bizarrerie de cette situation était à son sommet. Elle n’en pouvait plus, elle était prête à lâcher tout sur le champs et foutre le camp vers l’endroit le plus proche.

*Je.... je peu pas les laisser comme ça, faut absolument faire en sorte qu’il n’y ait que les non-infectés sur le navire. Je sais, je vais les attirer sur moi.*

On pouvait voir dans ces mains qu’elle tenait fermement son arme. Elle appela tout haut, à l’intention de tous les contagieux. Les autres comprenaient plus ou moins ce qui se passait et donc aller devoir quitter la berge et les laisser là.

« Vous là », elle pointa son doigt sur tous les marines zombie, « si vous en avez le cran, essayez de me suivre et vous pourrez faire tout ce que vous voulez de moi !! »

Elle sauta par dessus-bord courant et atterrissant dans un endroit vide de monde. Elle couru vers l’île. Son souffle se faisait de plus en plus fort. Ses propre hommes en zombie la poursuivant. Une véritable vision d’horreur. Ils couraient tous plus ou moins vite, mais n’arrivaient pas à rattraper la donzelle. Un coup d’oeil derrière, elle ne vit plus les soldats la poursuivant, par contre, elle remarqua les voiles du navire s’éloigner un peu de l’île pour passer en patrouille et commencer la quarantaine de l’île. Elle mit sa main sur sa poitrine ayant assez mal... C’était dur d’avoir une poitrine aussi généreuse, elle pensait pourtant avoir mis un Soutien-gorge pour pouvoir se mouvoir librement... mais bon, il faut qu’elle pense à faire plus de sport et surtout améliorer la musculature de son dos.

Après cette vue splendide de la mer, elle retourna terre à terre pour affronter la réalité. C’était pas la première fois qu’elle faisait tout ça. La plupart de son temps, elle pouvait camper facilement dans la forêt, voir chasser des animaux sans problème. Elle regarda de nouveau devant elle et se lança alors à grande enjambée vers l’endroit où se trouvait Oliver. Il était toujours là et heureusement. Elle passa en coup de vent devant lui, l’invitant à venir avec elle.

« Vient, on va faire de la chasse, j’adore ça et j’aimerais te faire découvrir si tu n’en a pas encore fait. »

Elle espérait pouvoir le trainer avec elle jusqu’à l’endroit où pourrait se trouver la prochaine apparition de cet être fantomatique. Tout ce que l’on pouvait remarquer sur elle pour le moment c’était sa fatigue de plus en plus montante, un peu de sueur ici et là. Et surtout, elle avait son bon gros flingue dans sa main, deux pistolets à sa ceinture ainsi qu’un gros sacs à provision dans son dos. Elle s’alluma une cigarette pour se calmer et voir sa situation qui était... pas normale du tout. Son sourire carnassier finit par s’afficher et elle regarda dans le ciel en recrachant sa fumée tout doucement en réfléchissant pour la suite.
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Elle est partie... J'ai beau me dire qu'au fond c'est mieux, même si c'est douloureux, je vais rester là par ce que c'est beau... C'est comme une rengaine, quelque notes en peine, qui force mon coeur, qui force ma joie quand je pense à toi. J'ai peur d'oublier, j'ai peur d'accepter de vivre ainsi... Ne me laisse pas, ne part pas... Une journée entière à composer des chansons, à enlever les pétales de marguerites... Elle m'aime, un peu, beaucoup, à la folie... Pas du tout.

Une putain de journée que je viens de gâcher...Vlà le soir et je repense à ces conneries... Je suis dans le champs en train de pisser jaune sous le clair de lune et tout me revient, mon esprit reprend de l'avant, regagne du terrain et par la grâce, j'ai été touché... Je revis. Dad is home...

Suite à cela, j'aperçois Aoko chargée comme jamais... Elle est partie pour faire la guerre ?

- Par pité ! Me tue pas ! J'étais pas dans mon état normal. Quoi ? Comment ça faire la chasse ? Bon, ok je viens, si tu me fais découvrir la chasse, je pourrai te faire découvrir la joie d'un doux baiser ?

Je rigole et montre bien mon ton plaisantin, puis avance calmement derrière les pas de la commandante, index au fond du nez...

Nous sommes dans la forêt bien sombre, aux aguets d'une moindre apparition de pokémon... Animal étrange et surnaturel habitant les hautes herbes d'une certaine île... Qu'une légende... Nous arrivons tout prêt d'une petite place avec quelques buissons au alentours et Aoko décide de camper dans un de ces végétaux. Bien sûr d'elle, elle se pose et attend...Je suis à côté d'elle, j'admire ses yeux qui brillent à cause du reflet de la lune et j'attends timidement à côté d'elle... Mon coeur bat de plus en plus.... Qu'est ce que j'ai ?
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Aoko avait pris place dans un endroit bien caché dans un des buissons bordant une prairie. D’après ce que les villageois lui avaient expliqué, le fantôme devait apparaître dans ces environs. Elle avait vraiment peur qu’Oliver se lâche complètement, mais quelque chose semblait changer. Quand elle était revenue le chercher, il lui avait demandé de ne pas le tuer… Est-ce une réaction comparable ou bien il cherchait à s’excuser pour son comportement. En plus de cela, et elle n’avait pas réagi directement, il lui avait proposé de lui faire découvrir un doux baiser… Mon dieu que les hommes étaient vraiment bizarre. Elle se retourna deux secondes pour faire face à Oliver alors qu’elle devait surtout rester silencieuse.

« Ce n’est pas comme-ci j’avais jamais eu de doux baiser avant… Que crois-tu? Que j’ai eu une vie rempli de merde de pirate à buter? Les hommes se font souvent de mauvaise idée sur mon apparence et mon caractère… J’ai été aussi amoureuse bordel, mais toujours déçue à la fin. Surtout laisse-moi te dire un truc, t’es pas mon type, alors laisse tomber. »

Elle prit la décision de grimper à un arbre par la suite. Cela se sentait qu’elle faisait ça tout le temps, non pas grimper aux rideaux, mais aux arbres. Depuis sa tendre enfance, elle adorait pouvoir observer la nature depuis tout en haut et en silence. Là elle le faisait pour attraper un criminel qui s’amusait à défoncer une petite île pour son amusement. On pouvait encore entendre tout au loin les gens qui déliraient dans leur coin. En arrivant en haut de l’arbre, elle put mieux observer les alentour et surveiller avec la lunette de son fusil. Tout en cherchant l’enfoiré de criminel, elle continua à parler à Oliver.


« Bon, j’ai été brutal, je m’en excuse mais c’est ce que je pense. Maintenant, si tu n’as jamais fait de chasse avant, ce qui m’étonnerait, laisse-moi t’expliquer deux trucs essentiels. De un, ne jamais faire de feu quand tu veux t’installer pour chasser, de deux garder le silence, ce que je ne fais pas pour t’expliquer, mais on a de la chance, grâce au villageois qui font du boucan comme pas possible on se fera pas remarquer. Le fantôme, lui, il s’en fou. Et je pense que c’est mieux de s’adresser au villageois que d’aller baiser la main du maire du village directement. Surtout que t’a bu ou manger quelque chose de cette île, alors qu’il est fortement déconseillé de faire ce genre de chose. Enfin, j’ai deviné plus ou moins en observant tout autour ce que les gens consommaient, c’est pour ça que j’observe l’abreuvoir des vaches. D’après moi, c’est le meilleur moyen d’empoisonner ou de faire passer de la drogue. Enfin, reste calme et observe dans le buisson, tu verras »

Le temps qu’elle parlait, le loup se montrait dans la prairie. Une forme humanoïde dans l’ombre se déplaçait vers la mangeoire des vaches. Qu’est-ce qu’il pourrait bien trafiquer par là-bas? Aoko réfléchissait bien à qui pourrait venir si tard dans la prairie avec les vaches.


*Si tard, c’est pas normal que quelqu’un vienne ici surtout qu’il a une démarche assez bizarre. Comme si il voulait qu’on ne le remarque pas. C’est raté mon pote, je t’ai dans ma visée… Mais… C’est quoi ce bruit?*

Clink, clink, clink, la forme humanoïde faisait du bruit en avançant comme si elle portait des chaînes ou du métal se frappant l’un l’autre. En général, on ne mettait que des menottes aux prisonniers dans les brigues d’un navire prison. Quelqu’un se serait sûrement échapper de là et voudrait maintenant s’amuser avec la populace de cette paisible île. Le monde était bien rempli de méchants gars partout, surtout les pirates. Elles ne les aimaient pas du tout, ceux-ci faisaient des ravages partout où ils passaient. Ceci dit, elle devait revenir au présent. L’humanoïde était encore dans sa lunette.

« Je te tiens mon gars »

Elle pressa la détente, une balle sorti de son fusil et atteignit un endroit bien précis. Elle visait précisément la jambe de cette personne pour l’empêcher de pouvoir s’enfuir ou de courir trop loin le temps qu’elle vienne vérifier l’identité de ladite personne. On pouvait remarquer la rapidité de sa réaction. Elle sauta de la branche de l’arbre où elle se trouvait et couru dans la bonne direction. Par contre, elle n’attendait pas Oliver pour pouvoir arrêter ce qui pourrait sembler devenir le criminel de l’île.

En arrivant devant la soi-disant personne, elle reconnut tout de suite l’homme de tantôt qui voulait jouer avec ses nerfs. Si Oliver ne faisait rien pour arrêter Aoko, elle ferait un malheur.
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Mon Dieu !!! Je bois ces paroles en cette nuit qui est bien trop étoilées à mes yeux et pourtant j'ai l'impression que ma vue n'a guère changé, pourquoi je reste scotché comme un matelot première classe à suivre les actions inconscientes d'Aoko ? Je ne peux pas rester là dans ce buisson et simplement regarder que tout cela se passe, non, je ne suis pas comme ça, je suis quelqu'un qui fonce dans le tas, je ne ferai pas honneur à mon sabre, si je reste planté là comme un arbre... Bon sang, de bon soir ! Je suis Commandant de la Marine, oui ou crotte ! Je suis soudain pris d'un léger vertige, je retiens mon souffle, je pose ma main sur ma poitrine et observe la Commandante foncer droit devant, elle pense avoir trouvé son gars ? L'amour de sa vie ? Je comprends plus rien et mon corps commence à bouger avant même que mon esprit lui en ai donné l'ordre....

Save Me !

Un balancement au creux de mes reins et je m'élance à vive allure en direction de l’altercation pour empêcher la sniper de faire quelque chose de complètement stupide... J'arrive !

Si je n'interviens pas, elle va faire du pâté de cette personne, et va donc expliquer cela au QG... Mes yeux s'écarquillent, j'aperçois, la silhouette blessé donner un punch à ma douce marine... Est-ce vraiment notre homme ou juste un villageois qui à la rage d'avoir reçu une balle pour rien ? Soudain, cet énergumène esquive la marine pour lui donner un second punch et un troisième, le salaud, il boxe bien... A quelques mètres de l'affront, je cours pour sauver ma belle... Save me... Save me ! Je suis en feu et avec un élan, je saute pour me mettre entre les deux et pousser l'homme en arrière...

- Je serai ton adversaire ! Au nom du corps de la marine, vous êtes en droit de ne pas fuir et subir le cataclysme de ma lame pour obstruction à la justice et pour avoir mis tes pattes dégueulasse sur cet ange !

Il se désaxe au moment où j'allais lui trancher son coeur... Il me met un putain de coup de poing entre les côtes qui me fait valser quelques mètres plus loin et je crache un peu de sang, chié ! Il est balèze... Je me relève et essuie le filet rouge qui coule jusqu'au bas de mon menton... A Kind Of Magic Je commence à danser, un déhanché sexy dont les dames raffolent, ou pas. J'esquisse de quatre coups vers la brute aux poings mordants, je dessine une étoile... Il n'a aucune défense face à ça et le voilà qu'il recule en arrière, blessé grièvement au niveau du torse. Mais il a une forte conviction en lui et réussit tant bien que mal à se relever et venir courir vers moi pour essayer de donner un crochet du droit... Et VLAM ! Je mange ça en pleine poire... Je suis allongé à terre en un coup et j'entends un décompte de 10.

Infâme salaud, tu vas pas gagner ce round, je préférerai mourir que de perdre face à toi. Essayant de me relever, le bâtard écrase ma main qui tentait de reprendre mon sabre et il me provoque en duel sans aucune arme... J'accepte !

Nous nous faisons face et je tremble, je lance un dernier regard à Aoko en lui disant de ne pas intervenir, ce sont les règles d'un duel... Deux hommes, quatre mains... Le torse bombé, pendant qu'il s'élance vers moi, je chante haut et fort...

WE ARE THE CHAMPION !


Viens, je t'attends... Premier coup de poing, première esquive, je ré-hausse les épaules et fermement avec un petit déhanché, un coup de rein, une volonté de fer, je lui donne un sacré punch dans la gueule, et un second et au moment du troisième, il commence par prendre conscience qu'il perd peu à peu dans son domaine de prédilection et m'envoie valser avec un double punch dans le ventre... Zut ! J'aurai dû barrer... Je me bats rarement, seulement à trois conditions... Quand on m'insulte dans un bar, quand on frappe une nenette et la troisième, j'ai oublié, je crois que je suis un peu trop sonné. Paf ! Il me martèle avec ses mains et je n'arrive plus à tenir la cadence, je perds...

JE PERDS !! NOOOOON ! OLIVER continue à frapper jusqu'à la fin ! T'es un champion, merde... Je renifle et fait remonter le sang qui coule de mon nez, j'arrange ma frange, je serre les dents, je frappe.... Et un coup dans le vide, et un ! BAM ! J'ai la pression, ça craint, mes mouvements ne sont plus du tout fluide, comme si j'étais complètement bourré et que j'essayais de marcher droit, mais les mots n'arrêtent pas de résonner dans ma tête...Je suis un champion, je ne m'arrêterai pas... Non, pas jusqu'à la fin...

Challenge Accepted ! Je m'agenouille et met un coup de pied dans les genoux de mon adversaire qui se retrouve déséquilibré, je saute vers lui et le met à terre, au dessus lui, je commence à lui mettre une déflagration de poings dans la face...

...

10,9,8,7,6... 5... 4... 3... 2... 1 ! KO !

A peine debout, je mets les bras en l'air sans dire un mot...
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Aoko se tenait sur le côté. Elle fumait une cigarette et regardait le spectacle. En effet, sur le temps qu’elle réagisse et mette une balle entre les deux yeux de cet enfoiré juste devant elle qui ne tenta rien à ses yeux, Oliver était intervenu comme un enragé, comme-ci il défendait sa belle qui avait reçu sûrement des coups ou bien était en mauvaise posture. Elle le supportait de moins en moins, il se faisait trop souvent son petit film qui l’emmerdait plus qu’autre chose. Et puis sa perversitude était tel qu’elle ne voulait plus vraiment travailler avec lui pour le moment. Et puis son habitude à lui donner des petits noms lui déplaisait assez bien.

« Incroyable »

Elle dit cela alors qu’il continuait à se battre contre quelqu’un qui ne répliquait pas réellement ou pas complètement subissant tout sur la tête. Il en profitait des fois quand Oliver laissait des ouvertures dans son style de combat. Ce qui était assez dur à voir même pour Aoko étant donné que celui-ci venait de l’élite. Elle n’avait jamais suivi le cursus de l’élite et se disait qu’elle pourrait peu être les rejoindre vu leur liberté d’action. En tout cas, elle voulait un équipage souder. Ca l’emmerdait de changer tout le temps, elle voulait être stable un bon petit temps. Au moins le temps qu’elle atteigne son grade commodore où elle pourrait commander un gros navire de guerre.

*Qu’est-ce que je m’embête, pourquoi je peu pas être tranquille deux secondes. C’est vrai que j’aurais bien besoin de vacance au soleil. Je prendrais bien un congé, je vais voir avec le colonel si je peu en prendre quelques-unes de vacance pour me rafraichir un moment. Et puis, faudrait que je me trouve un mec aussi... ça me manque d’aimer quelqu’un... Le dernier, il était obsédé par mes seins... rien que ça. Pourtant je m’aime bien comme je suis, il pourrait pas avoir une autre fixation que ça. Je sais pas quoi, mes yeux sont bien aussi, mon cul aussi, j’ai de belle forme d’après ce que j’en sais... J’ai juste quelque cicatrice de la guerre qui me défigure... mais pas vraiment, je les aime bien.*

Elle remonta sa chemise pour regarder sa cicatrice sous son sein, puis elle en avait une aussi sur son bras, sa cuisse, des cicatrice de vrai guerre comparée à celle que la mère de sa panthère lui avait donnée qui ne valait pas grand chose. Une erreur de jeunesse d’affronter directement une panthère. Plus de détails dans son prochain FlashBack.

En revenant sur le combat, ayant fini de réfléchir sur sa vie. Elle voyait apparemment qu’Oliver avait fini sa cible. Il était tout content, levant les bras au ciel... Tout ce que fit Aoko était qu’elle allait mettre les menottes au gars complètement bousillé à terre. Elle le leva sans trop grande difficulté, prit une fusée éclairante et l’envoya dans le ciel. C’était encore le soir et la fusée se voyait clairement. Elle se précipita alors vers la plage la plus proche, ayant tiré dans une direction pour signifier au navire de venir à cet endroit-là.

Celui-ci ne prit pas longtemps pour arriver. Pour Aoko ici tout était fini et elle n’avait plus grand chose à faire. Elle avait repris également tout son barda laissé sur place. Le navire était assez proche pour le rejoindre. Les villageois ne c’étaient pas déplacé, occuper à faire d’autre chose. Elle n’en avait que faire, elle monta sur le navire avec le prisonnier accompagné par Oliver. Elle ne voulait même pas faire attention à lui. Sur le navire elle appela le sergent.


« Je laisse le commandement à Oliver le temps que l’on arrive à l’on rentre à Logue Town. »

« Bien Commandante »

« Mettez cette personne en prison également, on récupérera les marine quand ils auront cuvé leur drogue sur cette île. Ça prendra quelque temps pour se dissiper. Revenez sur celle-ci d’ici une couple de jour ou bien lorsqu’un marine aura décider d’appeler. La situation se sera calmer alors. La marine ne peut rien faire de plus que d’enlever le mal à la racine. En espérant qu’il s’en rappelle. Allez, bonne nuit sergent. »

En effet, on ne l’avait pas remarqué, mais les heures se sont écoulées assez vite sur l’île et il était déjà presque l’heure de prendre le diner. Ce qu’elle ne fit pas. Elle n’avait pas faim après toute cette aventure. Elle savait juste qu’elle n’allait plus revoir Oliver pendant un petit temps. Elle versa une petite larme quand même. Au fond, ce type pouvait quand même être sympa. Sur ce, elle s’endormait rejoins par sa panthère qui s’allongea sur le lit... Un peu lourde quand même, mais elle avait l’habitude.
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