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Quoi qu’il en soit, me voilà sur une ile d’apparence plutôt calme et bien Bourgeois... D’un côté on avait les paysans vivant de leur récolte et de l’autre les riches vivants... De ce qu’ils ont déjà... Moi enfant de la rue je n’avais rien et je ne connaissais que deux solutions pour me nourrir... La première est de trouver dans la nature et la seconde était de voler. Pas la peine de comprendre que celle que j’utilisais le plus était le vol. Il n’est pas toujours facile de trouver un endroit ou la nourriture est à tout le monde surtout sur les petites îles comme celle-ci... le vol était ma seule option, je n’avais que 15 ans et cela devais faire au mieux 1 mois que j’avais quitté mon maître... Mais en un seule moins j’avais réussi à devenir un assez bon voleur... Mais aujourd’hui la faim m’aveuglais et me forçais à prendre des risques. Un marchand de fruit accompagné de son épouse sans doute se trouvait au milieu de la place du village tentant de vendre leur récolte de la semaine... Je voyais une belle pomme juteuse mais aussi la bourse du marchant me faire de l’œil... Bien que la faim était mon besoin premier, je me disais que prendre la bourse allait me permettre d’ensuite m’offrir un repas décent et aussi un lit douillet depuis le temps que je n’avais pas dormit autre part que dans les cales d’un navire ou sur un arbre.
C’est d’une vitesse qui m’était propre que je volais une pomme au marchant pour ensuite glisse ma main sur sa bourse. Mais le marchant avait l’œil et me repéra la seconde après le larcin en disant :
Marchant : Voleur !!! Reviens ici tout de suite.
Une course poursuite eux alors lieu... Mais cette course fut des plus brèves. En effet en quelques minutes je tombais sur un croisement qui finissait en cul de sac. Coincé je n’avais pas d’autre solution que de me battre contre le marchant. Je ne voulais pas le tuer, je n’avais pas encore véritablement l’instinct du tueur. Mais après une minutes d’affrontement je réussi à l’attraper par la tête et le faire tomber pour qu’il se fracasse plutôt violemment le crane sur le sol. J’étais plutôt faible à cette époque, je ne connaissais pas encore le combat au corps à corps ou au sabre de façon convenable. En bref, je n’avais pour le moment que ma petite taille et mon agilité comme arme... Mais face à un type banal cela faisait largement l’affaire... Mais j’étais beaucoup moins sur face à un soldat de la marine...