Comme à son habitude, Daenerys se baladait dans ce grand océan bleu. Elle nageait au gré des ses envies, vagabondait là où elle voulait. Elle était libre, libre de s’amuser, de jouer, de faire du bruit, de chanter, de veiller la nui et dormir le jour… Bref, toutes ces choses qu’elle n’avait pas connu durant sa vie de poisson d’aquarium, elle les découvrait et pouvait les vivre. Mais elle était seule dans ce vaste océan. Elle n’avait encore trouvé personne avec qui rester, et surtout, elle n’avait pas retrouvé son précieux maître.
Alors, malgré sa joie due à la découverte de sa nouvelle vie, elle était souvent triste. Triste à cause de sa solitude trop longtemps endurée, triste de n’avoir personne à qui parler, avec qui jouer… Et afin de palier à cette tristesse, il lui arrivait de s’aventurer sur des îles peuplées. Oh, bien sur, elle ne choisissait pas vraiment d’aller sur telle où telle île, Daenerys ne faisait que en croiser et décidait ou non de se montrer au monde, selon son humeur et surtout, selon la tête des gens qu’elle pouvait voir depuis le large.
Cette fois ci, la jeune sirène, en plus d’avoir envie de jouer avec un ami, fut inévitablement attirée par de nouvelle chose qui avait l’air de se manger. Elle avait fait le tour de la plage et était arrivée sur la terre ferme dans un endroit où il n’y avait pas un chat, puis, prudemment, elle avait rampée jusqu’à derrière un arbre, et pouvait voir de nombreux enfants prendre des choses triangulaires avec une boule ronde dessus, un visage tout souriant suivit d’une langue venant léchouiller plus ou moins proprement la fameuse boule. Certain en avait une, d’autre deux, voire trois ! Mais ils avaient l’air tellement heureux avec leur nourriture, que cela intrigua la sirène.
Elle aussi, elle voulait un triangle avec une boule dessus. Alors, discrètement, elle sortie de sa cachette et commença à ramper vers la grosse boite blanche qui distribuait cela. Evidemment, même si elle se faisait la plus discrète possible, tous les regards se tournèrent bientôt vers elle. Mais ça, elle ne le remarqua pas. Alors elle avança, doucement. Et arriva devant la boite blanche qui distribuait des triangles avec des boules dessus. Elle vit qu’il y avait une ouverture, comme une fenêtre, mais de là où elle était, elle ne pouvait rien voir, excepter le plafond du cube.
Avec ces deux petits bras pas musclés, elle réussit à agripper le rebord de l’ouverture et tenta de hisser sur le rebord. Mais elle n’avait pas assez de force. Vraiment pas assez. Mais le vendeur de glace, lui, vit les deux petites mains. Et, intrigué, il se pencha pour mieux voir de quoi il était question. Dans sa tête, il imaginait un enfant, alors il prépara sa réplique habituelle:
Alors, alors, on veut une glace mais on est trop petit pour voir ce qu’il y a ?
Daenerys regarda l’homme qui venait d’apparaitre au dessus d’elle et voulu parler, mais le vendeur ne lui en laissa pas le temps.
HORS DE MA VUE SALE POISSON, JE NE SERS QUE LES HUMAINS MOI !
Daenerys ne pouvait pas se douter que, l’homme, avait perdu sa femme à cause de la race de la sirène, et que, depuis, il leur vouait une haine sans merci. Non, elle ne pouvait pas comprendre, et ce, même si elle avait su.
Surprise qu’on lui crie ainsi dessus sans motif, et qu’on lui ferme l’étalage au nez, pour ensuite fuir par derrière, Daenerys ne sut que faire. Alors, elle fit la seule chose qu’elle faisait mieux que quiconque : Elle pleura.
Alors, malgré sa joie due à la découverte de sa nouvelle vie, elle était souvent triste. Triste à cause de sa solitude trop longtemps endurée, triste de n’avoir personne à qui parler, avec qui jouer… Et afin de palier à cette tristesse, il lui arrivait de s’aventurer sur des îles peuplées. Oh, bien sur, elle ne choisissait pas vraiment d’aller sur telle où telle île, Daenerys ne faisait que en croiser et décidait ou non de se montrer au monde, selon son humeur et surtout, selon la tête des gens qu’elle pouvait voir depuis le large.
Cette fois ci, la jeune sirène, en plus d’avoir envie de jouer avec un ami, fut inévitablement attirée par de nouvelle chose qui avait l’air de se manger. Elle avait fait le tour de la plage et était arrivée sur la terre ferme dans un endroit où il n’y avait pas un chat, puis, prudemment, elle avait rampée jusqu’à derrière un arbre, et pouvait voir de nombreux enfants prendre des choses triangulaires avec une boule ronde dessus, un visage tout souriant suivit d’une langue venant léchouiller plus ou moins proprement la fameuse boule. Certain en avait une, d’autre deux, voire trois ! Mais ils avaient l’air tellement heureux avec leur nourriture, que cela intrigua la sirène.
Elle aussi, elle voulait un triangle avec une boule dessus. Alors, discrètement, elle sortie de sa cachette et commença à ramper vers la grosse boite blanche qui distribuait cela. Evidemment, même si elle se faisait la plus discrète possible, tous les regards se tournèrent bientôt vers elle. Mais ça, elle ne le remarqua pas. Alors elle avança, doucement. Et arriva devant la boite blanche qui distribuait des triangles avec des boules dessus. Elle vit qu’il y avait une ouverture, comme une fenêtre, mais de là où elle était, elle ne pouvait rien voir, excepter le plafond du cube.
Avec ces deux petits bras pas musclés, elle réussit à agripper le rebord de l’ouverture et tenta de hisser sur le rebord. Mais elle n’avait pas assez de force. Vraiment pas assez. Mais le vendeur de glace, lui, vit les deux petites mains. Et, intrigué, il se pencha pour mieux voir de quoi il était question. Dans sa tête, il imaginait un enfant, alors il prépara sa réplique habituelle:
Alors, alors, on veut une glace mais on est trop petit pour voir ce qu’il y a ?
Daenerys regarda l’homme qui venait d’apparaitre au dessus d’elle et voulu parler, mais le vendeur ne lui en laissa pas le temps.
HORS DE MA VUE SALE POISSON, JE NE SERS QUE LES HUMAINS MOI !
Daenerys ne pouvait pas se douter que, l’homme, avait perdu sa femme à cause de la race de la sirène, et que, depuis, il leur vouait une haine sans merci. Non, elle ne pouvait pas comprendre, et ce, même si elle avait su.
Surprise qu’on lui crie ainsi dessus sans motif, et qu’on lui ferme l’étalage au nez, pour ensuite fuir par derrière, Daenerys ne sut que faire. Alors, elle fit la seule chose qu’elle faisait mieux que quiconque : Elle pleura.