>> Viald
Pseudonyme : Briseur de crânes Age: 34 ans exactement Sexe : Masculin Race : Humain Métier : Cogneur, capitaine Groupe : Civil pour l'instant Déjà un équipage : Le mien ? But : S'amuser, profiter de la vie, parcourir les mers, cogner et découvrir l'île des hommes-poissons Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Haki ? Équipements : Ses poings, plusieurs clopes, des bouteilles d'alcool, un sac pour voyager avec des choses inutiles dedans et une grosse bourse contenant 10 000 berrys Codes du règlement (2) : Ce compte est-il un DC ? : Non changement de personnage (David Wimund) |
>> Physique Arrestation de Viald après avoir détruit une taverne de l'intérieur et en frapper le gérant. L'homme s'appelle Viald. Il a trente-quatre ans, dans la force de l'âge. Il mesure précisément un mètre et quatre-vingt-douze centimètres et pèse quatre-vingt-quinze kilos. C'est un homme robuste avec des muscles bien marqués, parfaitement dessinés. Muscles qu'il a dû acquérir après de longs entraînements intensifs. C'est sans doute avec cette force provenant de ses muscles qu'il aurait agressé le patron de la taverne détruite. L'homme à de courts cheveux noirs pas particulièrement coiffés. Il a un grand front se terminant par d'épais sourcils noirs surplombants de fins yeux de couleur marrons. Il possède également, juste en dessous un petit nez légèrement aquilin. Autour de sa bouche rose pulpeuse il a une barbe bien rasée toujours noire, à laquelle il doit sûrement prendre soin étant donné sa perfection. L'homme a de fines oreilles qui s'appuient parfaitement sur l'arrière de son crâne. Il a ensuite un long cou tenu par de larges épaules. Ses visiblement tout ce que l'on peut dire en ce qui concerne la carrure et le visage de l'homme nommé Viald. Passons à la partie vestimentaire. L'individu arbore une veste en cuir marron avec de la fourrure elle aussi marronne au niveau du col, des poignets et de la fin de la blouse. Une veste haut de gamme qui a dû coûter excessivement chère. Apparemment, il ne porte rien en dessous de celle-ci. Il a juste un collier autour du cou avec accroché une dent de requin. Il se sert comme ceinture d'un ruban beige qu'il a accroché autour de sa taille sans doute pour y disposer certains objets, comme sa bourse par exemple. Au bas de son corps, on peut apercevoir un simple jean de couleur marron. Pour finir, il porte sur lui de simples bottes elles aussi de couleur marron. Police Locale. >> Psychologie Belliqueux, vous connaissez ce mot . C'est le premier défaut que l'on pourrait déceler rapidement chez Viald. Cogner, toujours cogner. C'est un peu comme son passe-temps favori. Ce n'est pas pour rien que son surnom n'est autre que "Briseur de Crânes". Il brise des crânes, voilà. En effet, Viald est un personnage qui aime frapper et se battre. Surtout qu'il ne se bat en principe pour rien. C'est-à-dire que vous pouvez juste le taquiner, l'insulter mais toujours avec humour, il le prendra mal et vous finirez avec deux côtes brisées. Et je parle en connaissance de cause. Beh ouais, moi Billy, j'me suis fait fracasser la gueule par Viald après avoir juste piqué sa bouteille de whisky. J'vous jure qu'il m'a flanqué une de ces beignes. Tenez, j'ai encore la marque. Faut dire que Viald il l'aime sa gauche, il l'aime son poing. Il s'arait p Têt prêt à l'embrasser si elle avait bobo. je n'ai jamais vu quelqu'un se castagner autant. Lui c'qu'il pratique j'l'appelle le combat de tavernes. Il a appris à se battre dans les tavernes le bougre ! Par contre si vous l'enragez pour une véritable raison à ses yeux, c'est-à-dire que vous vous en prenez à un très cher ami ou autre mais alors là ! Alors là ! Vous êtes morts ! Au sens figuré bien sûr. D'ailleurs parlons de l'amitié. Pour lui, c'est quelque chose d'extrêmement important. Pour lui ses amis sont l'équivalent des membres de sa famille. Il tient énormément à ses amis et ne laisserait personne toucher à un de leurs cheveux sous peine de finir doublement mort. Viald est quand même un grand rigolo qui aime bien déconner avec ses amis autour d'une table avec de bonnes bouteilles d'alcool. Il serait même prêt à se sacrifier juste pour sauver ses amis. Ouaip ! Il est gentil. Un autre point que j'veux aborder, c'est le respect. Bien sûr petit gars. Si tu manques de respect à Viald, il te manquera de respect. Si tu le respectes, il te respecte, c'comme ça chez lui. Il est aussi d'une grande générosité ! Même s'il n'a pas un sou il peut aller t'acheter une bière ou payer une nouvelle tournée. C'est vrai que maintenant j'en profite mais bon. Ne faut pas qu'il le découvre, sinon malheur à moi ! Viald est également courageux. Mais un courage qui vire pratiquement à l'intrépidité. Fumer et boire, vous faites ça vous aussi . Viald il fait les deux en même temps, fortiche non . L'gars est aussi loyal, jamais il vous attaquera avec un pistolet alors que vous l'attaquez avec vos poings. Malheureusement la loyauté ne marche pas avec tout le monde. Généralement après un combat "amical" en quelque sorte, Viald félicite son adversaire et même s'il ne le fait pas, au grand jamais il ne lui crachera dessus. Comme dit plus haut l'respect est primordial pour lui. La curiosité, un des traits de caractère de Viald. Effectivement, il veut tout savoir, tout goûter. D'ailleurs en parlant de savoir, Viald est extrêmement cultivé. Même si au premier abord il paraît juste être une brute de première, c'est quelqu'un qui en a dans la cervelle. Il est surdoué. Bon, n'vous inquiétez pas il a aussi des défauts l'Viald. Il n'est pas parfait. Loin de là. Il est têtu par exemple, très têtu. Quand vous lui donnez un ordre et qu'il juge celui-ci "mauvais", il ne l’exécutera pas. Depuis tout jeune, Viald rêve de découvrir l'île des hommes-poissons. En effet c'est un de ses souhaits les plus chers car il en a tellement entendu parlait dans des contes. Il parait que c'est un endroit magique. >> Biographie Il était une fois Viald. Viald naquit en l'an 1590 au sein d'une famille relativement aisée. Ils vivaient bien, dans la joie et la bonne humeur. Le père de Viald était un révolutionnaire. L'était discret et ne parlait pratiquement jamais du métier qu'il exerçait. Faut dire qu'on se balade pas dans la rue en criant "J'suis un révolutionnaire, attrapez-moi !". La mère de Viald, en fait c'était une révolutionnaire elle aussi. L'garçon grandissait avec des parents rebelles mais ceux-ci ne l'avaient jamais incité à prendre les armes et à renverser le gouvernement. Comme dit plus haut, ils parlaient rarement de ce qu'ils faisaient, c'est pour cela que Viald n'en savait pas plus à ce sujet-là. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il vivait avec de gentils parents, qui ne le battaient pas, ne le violaient pas et ne l'obligeaient pas à faire des tâches ingrates. Vous êtes sûrement en train de vous dire que c'est nul et qu'il n'a aucune histoire ce fameux Viald. Lisez la suite. Quand il n'avait que treize ans, le jeune garçon, le sort écoutait ses parents discuter dans le salon. Pour cela, il laissait la porte entrouverte et laissait dépasser son oeil. De quoi parlait-il ? De l'armée révolutionnaire bien entendu. Ils disaient qu'il y avait un gros problème, en ce moment dans leur section, une sorte de crise. Apparemment, ils n'arrivaient pas à prendre le contrôle d'un certain royaume qui était sous l'emprise du gouvernement. Ils disaient aussi, que dans quelques semaines ils partaient sur le terrain pour détruire l'influence du gouvernement mondial sur l'île. Cela ne rassurait pas le jeune Viald, qui a l'époque, n'était pas un gros dur dans sa tête. La famille de Viald vivait sur East-Blue, dans une grande ville. Leur maison était construite dans les plus beaux quartiers de la ville. Viald était très doué à l'école, il reçut d'ailleurs les diplômes élevés et fréquenta ainsi les plus prestigieuses universités et autres. Il passa par les lettres, les sciences ou encore la navigation. De plus, tout lui plaisait et il excellait dans toutes les matières. Il était né surdoué. Chose que vous appreniez en une semaine, lui il l'apprenait en deux jours. Il en faut bien des surdoués, dans ce monde rempli d'atrocités et de méchantes personnes. L'île sur laquelle il vivait était en permanence protégée par la base de la marine qui gérait la ville. De ce fait, aux alentours, aucun pirate ne rôdait dans le coin. Quant à la racaille et la vermine, elle était retranchée dans les plus piteux quartiers de la ville, mais encore là, la police locale s'en occupait. On peut dire que c'était l'endroit idéal pour n'importe quel touriste cherchant des vacances. On pouvait également visiter tous les magnifiques monuments qui se trouvaient sur toute l'île. Vous l'aurez compris, c'était un endroit paradisiaque. Un endroit dont tout le monde rêve. Un endroit où tout le monde souhaite un jour ou l'autre habiter. Dans une histoire faut un évènement important, qui chamboule tout. En septembre 1608, un drame se produisit. Les parents de Viald qui étaient partis sur la fameuse île à problèmes ne revinrent jamais, mais dans la boîte aux lettres, à l’intérieur, une lettre. N'imaginez même pas la tête de Viald lorsqu'il lu cette fameuse lettre. Des vomissements et des larmes, des vomissements et des larmes... Des larmes de tristesse. Viald restait stoïque, puis éclatait d'un seul coup en sanglots, ne voulant pas une seule seconde avouer que ses parents ne reviendrait jamais. Qui avait bien pu faire une telle chose ? Viald ne le sut jamais. Finalement, après avoir reprit à moitié ses esprits il prit la lettre entre ses mains tremblantes et froides et la relu à voix haute.
Viald avait seize ans. Il mit plusieurs mois à s'en remettre. Un beau jour, un homme vint à la rencontre du jeune garçon désespéré. Cet homme se disait d'être son oncle. Il l'emmena avec lui et l'hébergea. L'oncle de Viald était une personne formidable, brave, généreuse, il avait toutes les qualités. Il s'occupait bien de son neveu. Il avait une belle femme et trois petits jumeaux. La vie de Viald reprit son cours et avança. L'oncle, c'est désormais comme cela qu'on va l'appeler ; avoua à son neveu qu'autrefois il fut capitaine pirate d'un magnifique galion. Avec ses camarades, ils voguaient sur les mers à la recherche de trésors et d'aventures. Pour eux la vie était belle, qu'il disait. Il avait une prime de cinquante millions de berrys. C'était d'ailleurs pour cela qu'il restait à l'écart du gouvernement Mondial. Mais un jour, lui et ses compagnons furent confrontés à un équipage plus puissant que le leur. Ils furent écrabouillés par la force numérique et durent se rendre à leurs ennemis. La capitaine adverse exécuta sous les yeux de l'oncle tous ses coéquipiers et lui expliqua que le monde dans lequel ils vivaient n'était pas tendre du tout. C'est ce que l'oncle expliqua à Viald. Chose qu'il comprit aussitôt. Viald lui demanda de l'entraîner car le jeune garçon voulait devenir plus fort pour pouvoir se défendre plus tard. L'entraînement fut excessivement long et important car il dura plus de cinq ans. Cinq ans durant lesquelles le jeune Viald s'endurcit et finit par devenir un homme robuste. Il quitta son oncle et ses cousins à l'âge de vingt-huit ans, où il explora toutes les blues, rencontra de bonnes et mauvaises personnes et découvrit de sublimes îles. Désormais, il a trente quatre ans et l'aventure ne fait que commencer pour lui ! >> Test RP Aïe. Aouch. Viald sortait du bar en mauvais état. Il ressentait d'atroces douleurs. Plusieurs gouttes de sang s'écoulaient le long de son visage, provenant de son arcade pratiquement ouverte. Son oeil était désormais décoré par une grosse tâche violette et il sentait que sa cage thoracique lui faisait affreusement mal, il appuyait dessus et chercher dix mille méthodes pour faire passer la douleur mais rien à faire, une de ses côtes était certainement cassée. Vous vous demandez probablement comment avait-il réussi à se faire amocher comme cela. Viald avait rencontré plus fort que lui ce jour-là. Après avoir déclenché une bagarre, il combattu un homme clairement plus balèze que lui. La dérouillée qu'il venait de se prendre était monumentale. Heureusement tout se termina bien dans l'histoire car l'adversaire était quand même aimable en lui offrant un verre pour oublier ça. Etant bon combattant, dans sa vie Viald ne s'était que rarement pris des roustes mais aujourd'hui, il ne pouvait pas nier qu'il venait de se prendre une frottée. Cela lui fit également penser qu'il n'était pas l'homme le plus fort du monde et qu'il avait encore énormément de chemin à parcourir pour se hisser à ce niveau. Pourtant Viald, avec un léger goût amer dans la bouche vouait un grand respect à celui-qui l'avait fracassé. Car celui-ci respectait aussi Viald. Notre héros l'avait quand même un peu égratigné, mais rien qui puisse vraiment dire que le combat fut égal. En plus c'était la première fois qu'il mettait les pieds dans ce bar et surtout dans cette ville. Cette ville était la célèbre Orange d'East-Blue, une île aux premiers abords relativement calme et paisible. Viald avait bel et bien déjà exploré un peu East-Bue mais jamais il n'était venu faire un tour à Orange, c'était sa première fois. Mais Viald ne savait pas que cette île renfermait des combattants aguerris, où peut-être était-ce lui qui n'était pas assez fort pour se mesurer à de tels hommes. En tout cas ce qui était certain, c'était qu'il se trouvait en piteux état. Sa belle veste était légèrement déchirée et la fourrure avait un peu disparue, son pantalon était ensanglanté et son jean était troué. Le combat fut rude. Son adversaire, lui, avait seulement un coquard et quelques fines coupures sur les avant-bras. Comme quoi c'était réellement lui qui domina ce duel. Les deux hommes avaient aussi foutus un bordel pas possible dans le bar. Les tables étaient renversées, les chaises étaient brisées en mille morceaux, il y avait du sang sur le rebord du comptoir. Au sol des tâches rouges de sang et du bouts de verres cassés. Heureusement tout se calma à l'intérieur avant l'arrivée de la police d'Orange. Celle-ci ne vint pas après que l'homme qui avait foutu une branlée à Viald lui tendit sa main amicalement, pour le relever. Main que notre cher Viald choppa tout de suite, car il n'avait visiblement pas la force de se relever. Enfin, maintenant tout c'était parfaitement bien terminé et notre héros pouvait désormais rentrer chez lui pour se mettre des bandages et se soigner. Une fois dehors, il s'étira un bon coup et se mit à marcher en pensant à ce qui venait de se produire. Il pensait qu'il allait devoir s'entraîner s'il voulait un jour rivaliser avec de puissantes personnes. Il souhaitait juste se perfectionner et devenir plus fort. Désormais, il allait pouvoir rentrer chez lui, au chaud. Viald se promenait tranquillement dans les rues pavés d'Orange, tout en suivant son itinéraire pour rentrer à l'hôtel. Il tira de sa poche une cigarette qu'il vint rapidement déposer sur sa bouche. De l'autre poche il sortit une allumette et brûla le bout de la cigarette pour en laisser s'échapper la fumée. Il y prit quelques bouffées et les laissa s'échapper de ses narines. L'homme remit sa veste droite, tout comme son collier. Il passa ensuite ses mains sur son visage pour s'essuyer du sang. Il tira ses cheveux en arrière et ajusta son jean. Il frotta sur ses bottes pour faire partir la poussière puis il se releva et reprit sa route. A cette heure-ci, les rues d'Orange étaient animés par la foule. On voyait des petites filles demander des barbes à papa à leurs parents, des petits garçons jouaient les pirates, des marchands vendaient leurs fruit et leurs légumes. Bref, le quotidien de la ville. Tous les magasins vestimentaires étaient ouverts et Viald se dit qu'il pourrait y faire un tour un de ses quatre. En passant dans les ruelles, Viald aperçut un vieillard assis sur un banc. Celui-ci fumait la pipe au coin de sa bouche. Il portait une sorte de capuche qui lui couvrait le haut de son visage. On pouvait voir ses joues creuses et ridés. Il devait au moins avoir quatre-vingt années. Il portait une longue tunique noire et une ceinture beige a laquelle était accroché un long sabre qui était rangé dans un beau fourreau de cuir. Aux pieds, il arborait de simples sandales de bois visiblement résistantes. Soudain, celui-ci interpella Viald toujours en respirant la fumée à tabac. La bagarre, tu pratiques. Mais la fuite, tu sembles chercher à travers les poings. Pourquoi fuis-tu, jeune homme ? Ce besoin de s'oublier dans la douleur, d'où vient-il ? Un sage ? Ou un vieux casse-couilles ? J'ai pas trop envie de perdre mon temps... Qu'est-ce que vous m'voulez ? Assieds-toi jeune homme. Viald se posa sur le banc en bois laissant s'échapper un léger grincement et écouta les paroles du vieillard. Répondre, à ma première question tu feras. Vous pouvez arrêter de parler comme ça ? C'pas cool. Sinon, d'abord, vous vous appelez comment ? Yoda est mon nom. C'est moche. Bref. Pourquoi je fuis en cognant c'est ça que vous voulez dire ? Déjà, je fuis pas. C'est les lopettes qui fuient. Cogner, je fais ça parce que je dois le faire. J'sais pas mais quand quelqu'un m'énerve je règle pas ça par la discussion, même si certains disent que je suis très intelligent. Cogner j'aime ça. Attention, j'suis pas un barbare sanguinaire qui aime tuer. Premièrement je ne tue personne. Je pense que même si une personne mériterait la mort, tout le monde doit avoir une chance de se racheter. Même les plus mauvais. Je cogne parce qu'il faut bien mettre en peu d'ordre dans c'foutu monde non ? Finalement j'vais vous expliquer. Je cogne parce que je cogne. |
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Informations IRL
- CF > David Wimund
Pourquoi j'ai changé ? Je ne me sentais pas à l'aise avec mon premier personnage c'est pourquoi j'ai décidé de le changer. Sinon le @ qui a accepté ma demande c'est Red. Bzou.
Dernière édition par Viald le Mar 5 Fév 2013 - 15:38, édité 29 fois