>> Wanajima Kanbei
Photo récente | Pseudonyme : Le Grand Khan Age: 22 ans Sexe : Homme Race : Homme Métier : Ingénieur Groupe : Civils Déjà un équipage : - But : Parfaire sa connaissance du monde de la mécanique et découvrir de nouveaux horizons. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Nous verrons. Équipements : Fusil un coup et un vieux pistolet. Codes du règlement : Parrain : Don Vito Corleone Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : - |
>> Physique Hmm. Un gros rectangle de chair de deux mètres de haut. Bon et quelques agréments en plus. Un corps taillé dans le grès, légèrement buriné par le soleil de sa région des Blues. Kanbei n'est pas un colosse à proprement parler mais son allure impose le respect, non pas dans sa démarche mais dans son regard. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, celui-ci ne dégage pas une certaine colère ou un état de folie démente mais plutôt une profonde détermination et une sérénité à toute épreuve. Une crinière blonde flamboyante faussement négligée et une démarche plutôt assurée le caractérisent. Loin d'être une masse de muscle, il n'est pas pour autant ce que l'on peut appeler un gringalet. L'image que l'on peut retenir de lui reste une charpente solide et des bras ayant passé des journées entières à travailler des matériaux. De prime abord, il ne présente pas de cicatrices-trophées ou de blessures monstrueuses mais ses mains sont clairsemées de zébrures blanches, représentatrices de nombreuses coupures dûes à des erreurs de jeunesse. Ses 80 kilos de chair permettent de combler un corps d'ascète et, malgré sa démarche rigoureuse, tout chez lui laisse à penser que ce n'est pas un enfant de joie. Au niveau comportemental, il présente quelques tics sans importance comme le fait de serrer les machoires quand il se trouve en présence de personnages peu agréables ou le fait de fumer une cigarette à chaque fois que ses émotions le submergent. Quant à son art rhétorique, que dire? Il n'est pas à proprement parler un jouteur oral ou un linguiste confirmé mais il présente néanmoins une certaine aisance avec la parole. Loin de là l'idée de s'en servir comme d'un instrument de pouvoir, il n'hésitera cependant pas à exposer clairement ses opinions ou à railler voire casser une personne peu agréable, quelle qu'elle soit. Son cynisme n'a cependant d'égal que son détachement vis à vis des situations encourues et il est tout à fait capable de blaguer pendant des moments périlleux. >> Psychologie Pouvant paraître froid au premier abord, Kanbei peut par la suite se révéler être un très bon ami si vous le caressez dans le sens du poil. Jovial et se voulant drôle, il reste une personne très droite et empreinte de certaines idées de morale. Ses idées éthiques restent très proches des notions d'honneur ou de dignité et c'est pour cela qu'il s'attache à être un individu très franc. Réprouvant la violence ou le fait de faire souffrir les gens, il n'hésitera pas à se salir les mains s'il le faut. Une part de lui reste détachée de ses attitudes habituelles et il peut à tout moment s'isoler du monde dans lequel il se trouve pour laisser place à un esprit froid, dénué de toutes notions de bien ou de mal. Un de ses principaux centre d'interets reste néanmoins la mécanique et le monde scientifique. Adorant par dessus tout converser sur les nouvelles découvertes technologiques et blablater sur les potins et habituels ragots, Kanbei présente une tête bien faite et se soucie généralement peu des conflits par delà le monde même s'il s'en tient informé. Son unique rêve serait de voyager par delà le monde et pour le moment son esprit n'a pu s'y résoudre, faute de bons coéquipiers ou d'âmes charitables. Fondamentalement empirique et pourtant non-violent, le Khan n'a néanmoins jamais ressenti de meilleurs sensations que lors de rixes ou de combats qu'il n'avait pas provoqué. Vice ou folie? Vous êtes libre d'en juger. >> Biographie Mon honneur m'est plus cher que ma vie Né un beau jour en 1602, rien ne destinait Kanbei Wanajima à devenir ce qu'il est aujourd'hui. Fils d'un simple artisan menuisier et d'une travailleuse du textile, celui-ci eut une enfance difficile. De ses cinq premières années d'existence ne lui restent que de vagues souvenirs comme les conditions de vie difficile et le début de la maladie de sa mère. Sa famille vivotant de petits salaires et la santé de sa mère déclinant, le jeune enfant se mit rapidement au travail dès l'âge de six ans en aidant son père à l'atelier. Il devint vite chevronné dans le travail du bois au cours de ses années d'apprentissage et montrait une ferveur à la tâche qui surpassait celle de tous les employés de la modeste menuiserie. L'entreprise paternelle fleurissant pendant l'adolescence du jeune homme, celui-ci se découvrit une passion pour la lecture et la mécanique, qu'il découvrit lors d'un de ses jobs d'été en tant que facteur. Un certain Mr. Smith, ancien ingénieur maritime de profession et voisin des Wanajima, lui prêta quelques revues sur la mécanique maritime ou l'art de concevoir des systèmes. Il s'éprit de ses livres et fut submergé par cette passion. Ses conditions de vie s'améliorèrent au fur et à mesure que le jeune homme implémentait les créations de bois de son père d'améliorations mécaniques qui faisaient la joie du client, prêt à payer de plus en plus cher. Son père était fier de lui et cette vie paisible continua pendant presque un an et demi. C'était sans compter sur le fait que Kanbei veuille réaliser son rêve. Il allait étudier la mécanique. Ne gagnant pas énormément d'argent, il commença à économiser peu à peu en secret et, le jour où l'argent nécéssaire à s'inscrire dans une école moyenne fut réuni, il révéla ses intentions à ses parents. Une dispute familiale sans précédents s'ensuivit. Son père lui reprochait de vouloir fuir le cocon familial afin d'aller séduire des jeunes filles alors que sa mère approuvait son choix. Kanbei partit tout de même en internat à l'école. Ayant à peine assez d'argent pour subsister, il se mit en tête l'idée que ces restrictions le rendraient plus forts. C'est ainsi que se forma involontairement son physique d'ascète. Ses notes à l'école étaient excellentes et ses camarades, fils de bourgeois mal éduqués, le détestaient pour cela. Ils en vinrent même à fréquemment le railler et à le rabaisser aux yeux de la gent féminine de l'école. Le jeune garçon n'en avait rien à faire. Il était là pour obtenir le diplôme d'ingénieur en mécanique et il l'aurait coûte que coûte. Parallèlement à cela, il entretenait une correspondance à sa mère qui lui permettait d'avoir des nouvelles du foyer. Il y apprit que son père lui en voulait toujours d'être parti et qu'il lui en ferait part à son retour. Mlaheureusement pour lui, la correspondance s'arrêta peu avant son diplôme. Inquiet, il passa d'abord ses examens avec succès et retourna le plus vite possible au foyer. Le choc fut terrible. Sa mère était morte depuis une semaine de son cancer et son père n'avait pas daigné lui adresser une lettre. La rage qu'il éprouva en fut terrible. Elle fut d'ailleurs démultipliés par la colère que son père libéra sur lui lors de leur entrevue à l'enterrement. C'est à ce moment que son esprit s'abima. Il devait partir pour oublier. Avec ses bas de laine, il prit un ticket pour la destination la plus lointaine à laquelle il pouvait accéder. Tanuki, sur North Blue. Il s'y établit dans le but de se reconstruire une vie. S'établissant ici en tant qu'ingénieur, il réussit difficilement à se faire une clientèle mais peu à peu, il guérissait. Ses mains ne tremblaient plus, la colère s'était apaisée. Sa soif de connaissances et de voyage était cependant sans limite et Kanbei se mit très vite à arpenter les tavernes ou les bars dans l'espoir d'entendre des récits de voyage. Une part de lui voulait voyager mais il ne pouvait s'y résoudre. Solder son auto-entreprise ne lui permettrait pas d'aller bien plus loin que la première fois. Il fallait qu'il obtienne plus d'argent mais tout était tellement cher par ici. Que faire? Tout d'abord se préparer. Le voyage sur Grand Line le tentait beaucoup mais il n'avait pas encore la condition. Un entrainement était d'abord nécessaire. Et quoi de plus efficace que l'apprentissage des arts martiaux? Avec le peu d'argent qu'il avait, il put se payer les cours d'un ancien instructeur de la Marine, un dénommé Ruth Gayford. Au bout de quelques années, le vieil homme n'avait plus rien à lui apprendre. Il lui faudrait maintenant faire ses preuves tout seul. >> Test RP |
Consigne: Raconte-nous donc le moment où ton prof t'a dit que tu devais te débrouiller tout seul. Encore.
L'heure de l'entrainement était venue. Encore un de ces examens de routine. L'ennui commençait à le prendre. Il lui fallait quelque chose de plus intense, plus fort, plus vivant. Mais il fallait s'y faire avec jusqu'à ce que ce vieux singe le comprenne. N'empêche qu'il était bougrement doué pour un vieux soldat de la marine. La plupart de leurs séances ces temps-ci se résumaient à des combats brutaux sans aucun logique. Jusqu'à ce que l'un des deux domine. A ce jeu là, Kanbei n'avait encore jamais gagné. Pourtant, il sentait qu'il pouvait amplement vaincre son maitre mais ne pouvait pas s'y résoudre. Son corps l'en empêchait. Kimono de rigueur. Les deux hommes se tenaient à trois mètres l'un de l'autre. Chacun fixait l'autre avec une intense détermination. Au premier abord, Ruth Gayford ressemblait à un sac à vin. Un pochard d'environ 90 kilos solidement bâti. Trapu, l'homme avait dans les cinquante ans et arborait une barbe rousse bien fournie. Rien ne laissait à penser que c'était un redoutable combattant. Et pourtant... En tout cas, ils ne discutaient pas beaucoup. Ruth se contentait d'expliquer et de donner des consignes. Cela suffisait amplement. Pendant ces deux années, Kanbei avait appris plus sur lui-même que toute sa vie durant. Il s'était retrouvé dans des situations impossibles et avait malmené son corps jusqu'à ses limites du moment. Pour lui, cette période avait agi comme une Renaissance, tant au niveau physique que psychologique. Il avait gagné en puissance, en agilité et dans bien d'autres domaines. Mais la question n'était pas là. Aujourd'hui il fallait vaincre. Pourquoi? C'était très simple. Ruth avait quelque peu changé la donne. Le combat était mortel. Le vainqueur avait le droit d'ôter la vie. La plupart des apprentis de Ruth avaient refusé et Kanbei s'était retrouvé seul dans la salle. L'enseignant avait souri et lui avait dit de s'installer en position de combat. Les enjeux n'étaient plus les mêmes.
Un flot d'adrénaline régulier se diffusait dans son système sanguin. D'instinct, il sut que c'était le moment de commencer. Le sablier venait d'égrener la fin du temps d'attente. Pourtant, aucun des deux hommes ne cilla et ils commencèrent à tourner autour du vieux tatami circulaire comme des fauves. La phase d'observation ne dura qu'un instant. Le jeune homme laissa une ouverture due à une erreur dans son jeu de jambes. Le quinquagénaire s'y engouffra et essaya de placer un coup de poing ventral après son déplacement rapide. S'ensuivit une parade du coup de Kanbei et une riposte par un laché de pied frontal. L'ancien sous-officier de la marine s'effaça devant l'assaut et, dans son élan, agrippa la jambe de l'ingénieur, le projetant à travers la pièce. Exécutant une roulade, le blondinet réagit d'instinct. Il venait d'entendre une simple impulsion au sol alors que plusieurs mètres les séparaient. Roulant de côté, il esquiva de justesse un coup de pied sauté meurtrier et contra en balayant l'appui de son enseignant. Celui-ci se récupéra sur ses deux mains et, dans le même geste, se propulsa sur son disciple. S'ensuivit un duel au sol des plus mémorables. Tous deux avaient oublié leurs gardes et cognaient ouvertement. Les crochets et autres droites fusaient en tous sens. Malheureusement pour le jeune Kanbei, son instructeur prit encore une fois le dessus et l'enserra par une prise d'étranglement. Sa situation était critique. Il avait de plus en plus de mal à respirer et ne doutait pas une seconde que son mentor mettrait sa menace à exécution. Il n'avait plus le choix. Ruant furieusement, il décocha une longue série de coups de coudes à son maître qui, déstabilisé, desserra sa prise. Kanbei le mordit violemment et, se redressant, commença à cogner son entraineur au sol, coup de poing après coup de poing, jusqu'à ce que son visage ne soit qu'une masse bosselée. Il s'arrêta soudainement, de peur de l'avoir tué après avoir entendu une pommette craquée. Un filet de sang coulait le long de ses mains.
Un flot d'adrénaline régulier se diffusait dans son système sanguin. D'instinct, il sut que c'était le moment de commencer. Le sablier venait d'égrener la fin du temps d'attente. Pourtant, aucun des deux hommes ne cilla et ils commencèrent à tourner autour du vieux tatami circulaire comme des fauves. La phase d'observation ne dura qu'un instant. Le jeune homme laissa une ouverture due à une erreur dans son jeu de jambes. Le quinquagénaire s'y engouffra et essaya de placer un coup de poing ventral après son déplacement rapide. S'ensuivit une parade du coup de Kanbei et une riposte par un laché de pied frontal. L'ancien sous-officier de la marine s'effaça devant l'assaut et, dans son élan, agrippa la jambe de l'ingénieur, le projetant à travers la pièce. Exécutant une roulade, le blondinet réagit d'instinct. Il venait d'entendre une simple impulsion au sol alors que plusieurs mètres les séparaient. Roulant de côté, il esquiva de justesse un coup de pied sauté meurtrier et contra en balayant l'appui de son enseignant. Celui-ci se récupéra sur ses deux mains et, dans le même geste, se propulsa sur son disciple. S'ensuivit un duel au sol des plus mémorables. Tous deux avaient oublié leurs gardes et cognaient ouvertement. Les crochets et autres droites fusaient en tous sens. Malheureusement pour le jeune Kanbei, son instructeur prit encore une fois le dessus et l'enserra par une prise d'étranglement. Sa situation était critique. Il avait de plus en plus de mal à respirer et ne doutait pas une seconde que son mentor mettrait sa menace à exécution. Il n'avait plus le choix. Ruant furieusement, il décocha une longue série de coups de coudes à son maître qui, déstabilisé, desserra sa prise. Kanbei le mordit violemment et, se redressant, commença à cogner son entraineur au sol, coup de poing après coup de poing, jusqu'à ce que son visage ne soit qu'une masse bosselée. Il s'arrêta soudainement, de peur de l'avoir tué après avoir entendu une pommette craquée. Un filet de sang coulait le long de ses mains.
"Petit fumier, éructa le vieil homme d'une voix faible. Tu m'as bien eu. Je n'aurais pas cru que tu y arrives si vite"
Sa tête était en feu et il ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Quel était le but de cet entrainement? Il ne le percevait pas et c'en était troublant. Dos à son maître, il déclara:
"Pourquoi?"
"C'était le seul moyen pour que tu te dépasses. Frôler la mort nous en apprend beaucoup et ce n'est que dans ces circonstances que l'on se dépasse réellement. Maintenant tu es prêt à te débrouiller seul. Je t'ai donné tout ce que j'avais. Pars."
Il ne réussit qu'à balbutier un simple merci et mit un pied devant l'autre, direction les vestiaires. Son maitre avait raison. S'approcher de la ligne rouge permettait de se dépasser et d'augmenter son potentiel. Le souffle court, il se rhabilla et sourit. Deux ans. Il ne lui avait fallu que deux ans et il était fin prêt. Il fallait juste trouver un équipage digne de ce nom. Pour cela, il n'avait qu'à attendre et garder la forme.
- Spoiler:
- PS: Désolé, j'avais zappé les codes =) Ils sont là.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
- Prénom : -
Age :-
Aime : Le steak et les carbonara.
N'aime pas : Le poisson.
Personnage préféré de One Piece : Pell le Faucon.
Caractère : Sociopathe et maniaco-dépressif. Non j'sais pas comment m'auto-décrire. Vous vous ferez un avis par vous même.
Fais du RP depuis : 5 ans depuis quelques mois.
Disponibilité : Ca dépend. Je dirais 3 jours par semaine.
Comment avez vous connu le forum ? Je sirotais une bière avec Pablo Escobar pas très loin de Medellin et d'un coup il se tourne vers moi, surexcité. Muchacho tou sé qué yé trouvé oun foroum One Piece qui déchiross. Viendoss con migo! Et c'est ainsi que Google le débusqua.
Dernière édition par Kanbei le Lun 4 Fév 2013 - 14:17, édité 4 fois