Gold Roger
Pseudonyme : Saint Xavier Age: 25ans Sexe : Homme Race : homme Métier : Anarchiste, Voleur, esclavagiste. Groupe : Pirate Déjà un équipage : Rainbow Spectrums But : Créer l'anarchie ! Combler ses désirs. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Équipements : Dizaine de collier d'esclave. Un briquet. Un sac. Des crochets pour ouvrir toute sorte de serrure. Codes du règlement (2) : Parrain : Ce compte est-il un DC ? : oui Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Messire Red |
>> Physique Notre homme possède deux styles vestimentaires. Le premier est le plus courant. C’est une petite chemise hawaïenne ouverte qui laisse paraitre la musculature. Des muscles pas tellement gros, non, ils sont bien dessinés. Les gros muscles réduisent la vitesse et la souplesse c’est bien connu. Le bas du corps est composé d’un pantalon classique avec une ceinture, salopette. Il ne reste plus qu’à citer les bandages qu’il a aux mains telles un boxeur, son petit chapeau qui lui donne un style de loubard et un collier pour faire classe. Voilà l’allure de notre anarchiste coiffé cheveux en arrière. Le second style est très bourgeois. Un chapeau haut comme couvre-chef, les cheveux laissés libres, un petit monocle qui fait bien classe. Un costume blanc accompagné d’une cape et d’un nœud papillon. Des gants blancs. Puis un pantalon noir. Avec cet accoutrement, il parle de manière bourgeoise, d’un ton supérieur, vous voyez ce que je veux dire très cher. Voilà en quelques mots les bases vestimentaires de Roger. Le premier avec un thème rouge pour rappeler le sang, le second blanc et noir comme tout homme classe. Mais j’oublie un détail important, la gourde remplie d’alcool. C’est un de ces plaisirs qu’il souhaite satisfaire. Il a commencé à boire assez jeune et ne compte pas s’arrêter. Donc oui, il est possible que vous le voyiez dans la rue à faire des choses comme un simple ivrogne. Puis comme autre plaisir il y a cette fascination pour les gâteaux. Il a mangé sa première sucrerie après être sorti de prison. C’était un choque pour ses papilles gustatives. Une symphonie se réaliser dans sa bouche. Un plaisir qu’il ne compte pas sans passer. En réalité nous avons là un comportement de gamin qui veut faire seulement ce qui lui plaît. Il a l’habitude de données des prénoms, des surnoms aux personnes, cela est peut-être dû au taux d’alcool ingurgité quotidiennement. Enfin, surtout ne paniquer pas s’il ne répond pas, il lui arrive d’avoir des absences. >> Psychologie Suite à une enfance chaotique, Roger ne connait pas les termes bien ou mal. Il a vécu avec des Hommes qui ne cherchent qu’à satisfaire leurs besoins. Pour lui, c’est ça la vie. La seule chose qui guide ces actions c'est ses désirs. Il veut se moquer du peuple. Créer l’anarchie et contempler ce ramassis de charognard souffrir. Pour créer ce chaos il utilise deux méthodes. La méthode supérieure et inférieure. La première consiste à rappeler aux Hommes qu’il est au-dessus d’eux. Roger s’habit de manière élégante et sort toute sorte de mensonge sur son rang. Il joue sur ce bluff qui marche particulièrement bien. Après tout, les nobles sont des hommes comme les autres, comment les différencier si ce n’est par leur façon de s’adresser au peuple et leur vêtement. Passons à l’autre méthode. Pour commencer, il s’habille de manière totalement différente pour que les hommes ne reconnaissent pas le soi-disant noble. Une fois dans cet accoutrement il rappelle aux Hommes qu’ils sont faibles par la violence. Voici donc les deux méthodes de base. A cela, il ne faut pas oublier un mensonge quotidien. Avec ça, il rajoute la torture mentale qu’il semble apprécié. Faire craquer les gens est une satisfaction pour lui. Le monde n’est rien qu’une immense plateforme de jeux. Il y a des niveaux plus difficiles que d’autres. Mais tous les joueurs ne sont pas égaux, certains sont plus intelligents que d’autres qui sont plus fort et il y a plein d’autres attributs. Dans ce jeu à grandeur nature, les hommes font ce qu’ils veulent. Il y a certaines règles, mais c’est le joueur qui décide de les respecter ou pas. Notre joueur souhaite détruire le système pour voir ce qui se passera. En tout cas ce qui est sûr c’est que cette voie lui plait bien et fait partie de ses petits plaisirs qu’il souhaite satisfaire. Si nous partons avec le principe qu’il veut l’anarchie, face à un adversaire il recherchera à effectuer l’action qui causera le plus de désordre. Peu importe que vous soyez, marine, pirate, révolutionnaire … Vous n’êtes qu’un joueur qui doit être déboussolé. >> Biographie La mère du personnage n’est pas une personne très digne. Le terme de mère ne lui va pas tellement d’ailleurs. Le seul sentiment qu’elle a envers sa progéniture c’est de la haine. Comment une mère peut-elle haïr son enfant ? C’est une question qui ne devrait pas exister… Mais hélas il y a des cas où elle existe. Le cas aujourd’hui est la grossesse non désirait d’une prostituée. Ces termes nous permettent de connaître plus facilement l’identité du père vous ne pensez pas ? Un père ? Non. L’homme n’est probablement pas au courant. Encore faut-il savoir de quel homme s’agit-il… Un client parmi tant d’autres probablement. La mère ne peut plus faire ce qu’elle aime à cause du gonflement de son ventre. Les choix des clients se dirigent sur les autres filles. Elle se met à serrer son ventre pour tuer le futur garçon et retrouver des clients mais le patron du bordel lui interdit de faire cela. L’homme veut avoir un enfant, un garçon pour héritier. Le patron est plutôt convaincant. Un homme grand, costaud, qui lance des menaces comme il respire. Les menaces ne sont pas des paroles en l’air, il a prouvé à plusieurs fois qu’il est capable de faire ce qu’il dit. Les mois passent, la haine de la future maman grandie. Elle maudit son ventre et celui qui y habite. Puis le jour de soulagement arrive. L’accouchement. Certes un accouchement est douloureux mais une fois qu’elle sera débarrassée de l’enfant, elle pourra retourner à ses petits plaisirs… L’homme prend en charge le nouveau né. Il a l’habitude de s’occuper d’affaire plus ou moins nette, un enfant ne lui posera pas de problème. La petite boule rose prend forme d’année en année. Mais pour ses trois ans, celui qu’il appelle papa vient de se faire assassiner. Il n'a pas réussi à honorer un contrat plutôt noir. Le monde qui travaille au bordel met le petit sous la responsabilité de la mère qui se retrouve de nouveau avec un frein. Elle ne supporte pas les pleurs et n’hésite pas à frapper le petit, elle y passe ces nerfs dessus. Les insultes à son égard son régulier et devienne son quotidien. Avec un âge inférieur à dix ans, il découvre le monde qui l’entoure. On ne lui a rien appris, il forge donc sa propre expérience qui est très souvent réprimandée par la force. Il n’est rien d’autre que le petit esclave du groupe. Il ne connaît pas le sourire. Il ne voit que la haine, la colère. Il subit, subit jusqu’à ces douze ans. Le jeune garçon est envoyé dans un dojo pour apprendre les arts martiaux. Pourquoi une telle décision ? Tout simplement pour se libérer un peu du garçon qui commence sa crise d’adolescence. De plus il pourra protéger le bordel en cas de problème. Le petit est plutôt résistant, après tout il a encaissé des coups toute sa vie. Avec l’habitude de recevoir des ordres et l’obligation d’effectuer cela sans erreur, il apprend rapidement les mouvements. Il devient rapidement bon dans de nombreux styles de combat. Après une journée d’entraînement, il part en direction du bordel comme son habitude. Sur le chemin il croise des clowns acrobatiques. Des individus avec le sourire aux lèvres. Il voit cela pour la première fois. Intriguer, il observe tout le numéro. Des rires, des acrobaties mais surtout, rien n’est en ordre. Rien n'est cadré. Les mouvements ne semblent pas définis à la base. Une sorte d’anarchie élaborée. C’est si beau. Les rires des spectateurs sont observés par le jeune qui ne fait qu’imiter. Avait-il déjà ri dans sa vie ? Non. En tout cas les personnes ici sont contentes. L’anarchie c’est ça qui fait rêver le petit. Il rentre au bordel en retard et une personne lui jette une bouteille de bière sur la tête qu’il reçoit sans broncher. -Alors t’était où ? Je t’attendais pour charger la cargaison de bibine ! J’ai du tout faire tout seul ! Alors maintenant je t’explique la suite. Tu vas tout déballer tout ranger, et faire le ménage avant que les premiers clients arrivent. Quoi ? C’est quoi sa sur ton visage ? Un sourire ? Arrête ça tout de suite sale merdeu ! Il lui jette une autre bouteille qui part en direction du visage. Cette fois l’adolescent attrape la bouteille en plein vol. Il se met au travail puis se retrouve rapidement seul dans le bar. Il commence à vider les bouteilles. Il en met partout. Il n’oublie pas de remplir sa gourde de cette liqueur qu’il aime tant et met le feu au bordel. Toutes les personnes qu’il a côtoyées durant son enfance sont à l’étage pour une réunion. Ils ne pourront pas s’échapper des flammes. Une fois dehors, il admire la vue. Les individus qui crient à l’intérieur puis l’attroupement des passants. C’est l’anarchie qu’il désirait. Le chaos le touche. Il se met à rire au milieu de la foule qui l’insulte, le traite de sans cœur. Les insultes n’amènent pas de réaction immédiate. Pour lui c’est quelque chose de normal. Mais il ne veut plus subir ça. Être traité comme un déchet, il en avait marre. Il veut à présent faire de sa vie ce qu’il veut et non ce que les autres veulent qu’ils fassent. Les civils le dénoncent à la marine qui ne tarde pas à l’attraper. Le jeune est de nouveau soumis à un ordre. Celui des prisonniers. Il est incarcéré deux ans. Pendant le temps passé en prison, il se renforce physiquement et se met à lire. N'ayant encore pas de nom, il décide de choisir le même que le plus grand anarchiste qu'il a pu trouver. Maintenant il se nomme Roger, Gold Roger. >> Test RP C’est dans un restaurant très coté que je passe la soirée avec une charmante demoiselle croisé quelques heures plus tôt. Elle m’a plu donc j’ai pas hésité à user de mes charmes de faux bourgeois pour accomplir ce que je que je veux. Vous voyez le genre de femme fatale, son seul regard fait fondre n’importe quel cœur. Les hommes lui courent après mais personne n’a réussi à l’inviter. Hé hé hé, ils doivent être bien jaloux maintenant. Enfin, après mettre bien moquer d’eux, je retrouve une ambiance calme, les tons bourgeois des environs me donnent envie de vomir. Avec leur manière de manger couteau fourchette. Ils sont assis sur des chaises confortables, le dos droit, enfin moi j’adore ce genre de chaise moelleuse, mais resté droit c’est pas cool. Puis pour finir les belles tables rondes couvertes d’une nappe rouge qui portent des plats inventés par des fous. Honnêtement, les cuisiniers font des choses avec les aliments, c’est n’importe quoi. J’aime ça ! Je regarde dans les yeux bleus de ma copine et lui susurre de commencer à manger. Par contre moi, je mange avec les mains ! Je retire mes gants blancs pour ne pas les salir et miam-miam. -Il mange avec ces doigts, quel sauvage. Dit une dame à son compagnon -Il faut prévenir le serveur, manger proche d’un phacochère, très peu pour moi. Dit l’homme d’un ton supérieur. Bon c’est pas que je m’ennui avec ma compagne du jour mais, je pense que je vais mettre un peu d’ambiance. Je m’essuie les mains. Un jeune homme est juste derrière moi. Ma cap couvre les poches de sa veste posés sur la chaise. J’en profite pour voler ce qu’il y avait à voler, puis me lève d’une manière digne. Je prends mes gants mais ne les enfile pas. Je m’approche de l’homme qui vient de m’insulter. Puis je passe à côté comme si de rien était. Enfin je viens de déposer la bague que je viens de trouver dans la poche de l’autre. Après avoir fait un léger tour dans la salle, je retourne à ma place. -Je l’ai perdu. Je trouve plus la bague de mariage de grand-mère. Où est elle passer ? Je me permets de me retourner délicatement et lui chuchote dans l’oreille que j’ai vu l’homme (celui qui m’a insulté) prendre quelque chose de sa poche. Après un bon repas, je peux maintenant me délecter du dessert. L’individu réclame sa bague ce qui surprend l’homme. Une incompréhension d’un côté une certaine colère de l’autre. Après de nombreuses secondes, le jeune met de force sa main dans la poche de son interlocuteur et trouve la bague. La scène est vue par tout le restaurant. Un grand « Ho » apparaît. Les menaces continuent mais finalement c’est plus décevant que ce que je m’attendais. Leur bonne manière… La soirée fini, je me sépare de la bombe atomique et je me change. J’ai une envie de violence. Maintenant place à l’action. Je retrouve le jeune homme qui n’a fait que se disputer oralement. Avec mon chapeau de loubar et mes vêtements couleur sang je lui fais face dans une ruelle avec son épouse. Je le plaque contre le mur avec brutalité. -Je suis Gold Roger. Toi tu n’es rien qu’un petit bourgeois. Alors que va-t-il se passer maintenant ? Tu ne peux pas me le dire, tu sais pourquoi ? Parce que t’es qu’un larbin qui fait ce qu’on lui dit. Les rumeurs vont vite. Toute la ville saura bientôt que tu t’es défilé dans le restaurant. Tu te fais voler et au final tu fais … Je sens que quelque chose qui tir sur ma chemise. Je regarde et voie un vieil homme. Une bonne calvitie, avec des cheveux blancs. Des petites lunettes rondes, une canne et pour finir, une pipe.
-Recul papi ! Tu sens la cigarette, je déteste cette odeur ! -Tu te nomme Gold Roger petit. Cela me rappelle mon capitaine. Gold D Roger. Le vrai. -On dit Gold Roger. Y’a pas de D au milieu. Ha les vieux j’vous juge. Puis tu peux pas être de son équipage, ça fait aux moins cent cinquante ans. -C’est mon âge ! J’ai cent cinquante ans. Je suis plus tout vieux hé hé hé. La discussion continue pendant une heure entière. Qui aurait cru ? Au début j’voulais juste partir, puis maintenant, sa petite tête de vieux et ces histoires commencent à me plaire, à m’inspirer. … Les jours passent, le vieux me lâche pas. Toujours à raconter ces histoires qui tiennent plus ou moins la route. C’est probablement qu’un fou qui se cherche une vie. Mais je pense que ce qui le pousse le plus à rester avec moi c’est le mensonge que je lui ai dit. Un petit mensonge classique pour faire classe. Comme quoi j’suis un descendant de la famille de Gold Roger. Parce qu’il avait fait des choses pas qu’à une femme. Après tout c’est un pirate hein. Mais bon là, c’est pas évident de mettre le bordel dans la ville quand on a un vieux dans les pattes. Puis j’ai un petit creux. -Eh papi, met la en veilleuse deux secondes. Je vais te faire une surprise, tu restes là je reviens. Il me fait des gros yeux, vous savez comme les yeux de chat qui vous dise que si vous le laissez la comme ça, vous êtes l’homme le plus cruel du monde. Enfin être cruel ou pas je m’en fiche. J’ai pas l’intention de le laisser. J’vais revenir le chercher. Si je vous jure. Mais si je reviens c’est juste pour mon plaisir et rien d’autre ! Faut pas croire que je suis un saint. Une fois dans une pâtisserie je demande de nombreuses choses. Attend là c’est oulalal. J’suis trop excité. Derrière la vitrine, des tas de bonbons et gâteaux. Du chocolat, de la fraise, du chocolat, de la vanille, du chocolat et puis du chocolat. J’en prends pour cinq kilos. Mais bon j’ai pas l’intention de payer ce marchand avec son chapeau rouge et blanc. D’ailleurs cette couleur me rappelle leur sucette rouge et blanche, j’en prends quelque une aussi. Puis j’vais partir mais je croise un homme avec des lunettes. Ça ressemble aux lunettes en réglisse que je décide de prendre aussi. Allé maintenant je peux partir. Je fais l’homme qui cherche encore quelque chose. Une fois que vendeur s’occupe d’un client je file ! Youhou ! Il a rien vu venir le ringard ! Je retrouve le papi et on s’assoie dans la rue. Normal. On déguste tout ça. Mais bon, même avec la bouche pleine il arrive à parler. Ça devient un peu comme un bruit de fond. C’est mon bruit de fond. Si on l’enlève c’est trop calme, si on s’ennuie on peut y faire attention, si on l’ignore ben il le remarque même pas ! C’est dans la bonne humeur qu’un groupe de marine nous coince dans une ruelle. Quatre en face, trois derrière. -Gold Roger. Vous êtes coupable du vol du trésor de la famille Yao, d’agression de noble, d’esclavagisme, de tentative de meurtre, de vol de friandise, de création de conflit entre trois dojos, de … -Eh Papi t’entend comme j’me débrouille bien. -Si si petit sacripant. Mais c’est bien loin de Gold D Roger. Je me rappelle que les marines ne cherchaient pas à énumérait tout ce que l’on a fait. Il y avait trop de choses. -Par contre j’ai bien signé mon nom lorsque j’ai fait exploser un convoi de la marine. Hep le marine. Tu peux rajouter ça hein ! Puis vos bibines elles sont trop bonnes. Vous avez du gout hein. J’ai encore le gout dans la bouche. Il m’en reste dans ma gourde. Vous me donnez envie. - Attrapez-les !! Il fonce sur moi. Je saute et pose un pied sur l’épaule de l’un, et l’autre pied sur un autre. En hauteur je savoure une bonne gorgée d’alcool ce qui les énerve. Puis, ce ne sont que des matelots avec un petit caporal. Je saute de mon perchoir en donnant un coup de fesse en pleine tête d’un soldat. Il se cogne contre un mur et se trouve déjà K.O. Il me reste six à éclater. Un soldat lance une attaque horizontale, je m’allonge simplement puis donne deux coups de pied dans les bijoux de famille de deux soldats. Plus que quatre. C’est trop facile. -Pas d’entourloupe ! Rend toi ou ton complice subira aussi. Le caporal vient d’attraper mon petit vieux et lui place son sabre sous la gorge. -Hein ? Quoi ? Tu fais quoi là ? Tu menaces un de mes plaisirs là. Tu touches à MON plaisirs ! Je le regard avec une tête de tueur sanguinaire, après tout c’est mon vieux à moi et à personne d’autre. Je m’approche de l’homme sans la moindre hésitation. J’ai pas tellement envie de perdre mon temps à parler avec des marines. Il va rien faire. Pourquoi ? Parce que c’est qu’un caporal, ensuite il a un vieux dans les bras et pour finir, il risque de se faire tuer s’il lui fait du mal, enfin le dernier il ne le sait probablement pas. Mais bon, j’attrape son bras avec toute ma haine, j’enlève mon papi de cette situation, puis je donne un bon coup de poing dans l’œil histoire qu’il soit bien marqué. Le soldat tombe par terre et saigne du nez. J’ai du toucher le nez en même temps.. Moué pas grave. En tout cas il est hors-service. Puis j’attrape les deux têtes des marines qui regardent leur caporal et je les écrase sur le sol. La situation est claire, c’est moi le boss et je pars avec mon papi comme si de rien était. -Eh Gold Roger quand est-ce que tu seras aussi connu que Gold D Roger ? -Je sais pas, dit le moi. -C’est aujourd’hui, aujourd’hui ! Ha ha ha. La vie nous réserve parfois des surprises. Moi qui joue en solo depuis bien longtemps, je me retrouve avec un vieux joueur un peu foufou. Enfin il ne le sait pas encore mais il est devenu ma propriété. Mon petit vieux à moi tout seul. |
Dernière édition par Gold Roger le Lun 18 Fév 2013 - 11:58, édité 8 fois