>> Rwana Marie
Pseudonyme : Drinky Lady Age: 20 ans Sexe : Femme Race : Humaine Métier : Groupe : Pirate Déjà un équipage : Oui mais en période d'essais But : Boire tous les alcools du monde ! Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Rien en tête pour l'instant Équipements : Rien en particulier Codes du règlement (2) : Parrain : Easton Sharp Ce compte est-il un DC ? : Nop |
>> Physique La jeune Marie est une superbe jeune femme dans la vingtaine arrivant à susciter l’admiration chez les hommes et à faire naître chez les autres créatures féminines un profond sentiment de jalousie. Comment fait-elle ? Tout simplement grâce à son corps qu’on peut considérer comme parfait car il allie une taille d’environ un mètre soixante-treize à un poids avoisinant les cinquante-cinq. Ajouté à cela une poitrine que l’on note avec du D et vous obtenez une superbe silhouette avec ce qu’il faut là où il faut. Sa taille de guêpe et ses formes ne sont pas ses seuls atouts, la jeune Rwana dispose aussi d’une superbe paire de jambes longues et fines. Leur forme attrayante est parfaitement épousée par sa paire de botte de cuir noir qu’elle porte la plupart du temps. Ses cheveux d’un exquis violet lui arrivent un peu en-dessous de la nuque et seule une mèche est laissée sur le devant afin de ne pas la gêner. Un chapeau noir avec une bande blanche d’une forme rappelant étrangement les chapeaux de sorcière des contes sommeille dessus et la demoiselle le tient, lors de vents violents ou quand il y a de l’action, avec l’une de ses fines mains où demeure un vernis d’un rose pâle. Quant à sa tenue vestimentaire bah, Marie préfère de loin porter des vêtements n’abordant qu’une seule couleur : le noir. La plupart du temps ces vêtements à la couleur obscure sont faits d’une telle façon qu’ils peuvent devenir violet ou bleu foncé à cause de la lumière environnante. Le fait qu’ils aussi majoritairement courts est aussi un choix car cela ne la gêne pas lors de ses mouvements et ajoute un petit plus qui est non-négligeable à son charme. Une gourde remplie d’un alcool qu’elle a fait elle-même se situe, accroché, à sa taille. >> Psychologie Comment définir l’esprit de Marie ? Et bien sachez que c’est une chose assez complexe à faire car il change en fonction du taux d’alcool dans ses veines. Car oui il faut savoir qu’elle aime l’alcool ! Elle l’adore ! Elle l’idolâtre !! Elle a passé une partie de sa vie avec !! Elle veut épouser un alcoolique comme elle !!! Bref…comme dit précédemment elle aime bien boire. Tout d’abord quand elle est sobre. Marie est une fille ayant un goût pour le shopping aussi important que chez celui de n’importe quelle autre fille et cela elle ne le cache pas. Elle adore les vêtements et ce même si elle balance la plupart de ses achats à la flotte car finalement, elle les trouve trop laid et n’allant pas avec son corps car oui elle aime son corps. Dès qu’elle le peut, elle s’admire dans le miroir et reste durant un bon moment devant à contempler son reflet. Ce n’est pas qu’elle est narcissique mais elle aime juste prendre soin d’elle et quel meilleur moyen sinon que de se regarder dès qu’il est possible afin de pouvoir apercevoir quelques défauts. Même si elle parait très soucieuse de son apparence elle n’hésitera pas longtemps avant de se jeter dans la boue si c’est nécessaire pour sauver un de ses camarades ou une tierce personne dans le besoin. Néanmoins elle se frotta la chair à vif avec du savon après s’être salie et le fera payer à celui qui est à l’origine de cette saleté. Marie est aussi une fille très respectueuse qui admire en secret les gens qui font des choses pour les autres et ce sans demander quoique ce soit en retour. Elle s’amuse aussi à défier tous ceux qu’elle croise dans les bars qu’elle fréquente dans des concours de boissons alcoolisées. Cette femme ne sachant pas mentir malgré une étonnante faculté d'apprentissage aime aussi utiliser les charmes que la nature lui a donnés afin d'obtenir ce qu'elle veut. Voyons maintenant la Marie légèrement éméchée. Pour elle les concours de boissons sont devenus une véritable religion. Elle ne suivra personne qui ne puisse répondre à ces atteintes et s’amusera à traiter tout le monde ne pouvant assumer le fait qu’il se soit fait battre par une femme de chochotte, tapette, tantouse et autre. Sa générosité est légèrement modifiée aussi. Bien sûr elle voudra toujours bien aider les gens mais seulement s’ils remplissent un certain quota de verres auparavant. Sa pudeur s’est, quant à elle, légèrement évaporée et il ne sera donc pas rare de la voir avec seulement un soutien-gorge en guise de haut et en compagnie d’hommes totalement saouls car ils ne seront pas parvenus à résister à cette femme démoniaque. Elle est aussi dans un tel état que lancer des défis stupides à la foule est un de ces jeux favoris. Voilà maintenant le descriptif de la Marie totalement, mais totalement bourrée. C’est devenu une véritable machine à boire qui n’hésitera pas une seule seconde à dire tout ce qui lui passera par la tête. Ce qui déclenchera souvent des bagarres. Heureusement son style de combat inspiré du Zui Quan, art martial qui sert à tromper l’ennemi via des mouvements inspirés des gens ivres. Dans cet état il ne faut donc guère la provoquer, en insultant les boissons ou ses amis, sous peine de se voir gravement sanctionné par la jeune femme. Dans cet état elle a une vision particulière des choses. Pour elle, le monde n’est plus qu’un endroit délirant où faire la folle est une priorité. Elle a aussi quelques problèmes de germophobie avec les inconnus ou ceux qu’elle connaît mal. Sa loyauté est aussi présente dans cet état donc veuillez éviter de bien la contrarier car alors ses hoquets, et autres traits prouvant son état, disparaitront momentanément pour laisser la place à une détermination de botter des culs assez impressionnante. En résumé, Marie est une alcoolique adorant se marrer et pleines de ces petites habitudes qu’on les femmes comme la folie du shopping. Cependant, il ne faut pas oublier qu’elle peut être charitable et qu’il peut lui arriver d’être sérieuse à certains moments. >> Biographie L’histoire débute en 1603 dans les Blues. Il n’y a pas grand-chose à retenir sur l’île en particulière où elle commence car ce n’était qu’un petit îlot avec à son effectif à peine un village ordinaire. Il avait son petit bar où l’on venait se saouler tous les soirs car après une journée de dur labeur rien ne valait la bonne ambiance et la chaleur d’une taverne afin de se détendre. Mais le moment qui nous intéresse pour l’instant ne se trouve pas dans l’un de ces bars, il se déroule même pas dans un des petits villages mais plutôt dans une de ces habitations se trouvant dans les collines. Les gens vivant là-dedans y vivaient soit pour raisons pratiques soit pour éviter les contacts humains. Bref, dans une de ces chaumières, vivait un couple où l’on attendait un enfant. Les parents étaient un homme blond avec un air rustre et une femme à l’apparence menue et qui était agoraphobe, d’où la raison de leur isolement. L’accouchement qui se déroula se fit dans de mauvaises conditions du à la précarité financière et la mère eut de telles douleurs qu’elle laissa sa vie après avoir mis au monde une jeune fille qu’elle eut le temps de nommer Marie. La petite Marie vécut quasiment seule avec son père qui ne parlait guère beaucoup et qui semblait vouloir l’éviter le plus possible tant la ressemblance avec sa mère était frappante. La petite avait les mêmes cheveux violets de sa génitrice et elles partageaient toutes les deux ce sourire franc plein d’innocence et de naïveté qui lui rappelait tant sa compagne disparue. Un des seuls habitants, autre que son père, qu’elle côtoyait était un gros bonhomme sentant la bière qui passait de temps en temps quand son père s’éclipsait mystérieusement pour des durées allant jusqu’à deux semaines. Elle l’adorait ce gros tonton puant avec lequel à s’amusait à faire des roulades et petit à petit commença à préférer sa présence à celle du paternel. Un événement cependant fit changer la jeune fille sur son père, il eut lieu alors qu’elle avait environ cinq ans. C’était un jour où le soleil brillait tranquillement et succombant à une pulsion elle avait décidée d’aller explorer les falaises. Activité pourtant défendue par son père. Elle décida donc pour la première fois de désobéir à cette figure paternelle qui l’intimidait grandement. Elle adorât bien vite cet endroit où les vagues venaient s’écraser avec fracas et joue tellement qu’elle oublia de rentrer alors que le soleil se couchait. Ce fut que lorsque la nuit noire fut sur elle qu’elle se rendit compte de son étourderie et mut par la peur à cause des histoires que son père lui racontait pour la forcer à obéir, elle se recroquevillât sur elle-même et implora son père de venir la chercher en pleurant. Quel ne fut sa surprise de voir cette personne qui était, ordinairement, d’une humeur plutôt froide pleuré en la prenant dans ses bras. Il lui fit part de sa peur à l’idée de perdre l’un des seuls trésors que lui avait laissé sa femme avant de décéder et lui présenta ses excuses pour son comportement passé. Émue, la petite Marie lui pardonna et petit à petit leur relation devint plus chaleureuse. Néanmoins, un événement sépara la fille de son père. La jeune Marie était maintenant une gamine de dix ans et allait au village afin de faire les courses pour la semaine. Quand elle arriva en vue du village où elle se dirigeait elle rencontra toute la troupe du village qui quittait ce dernier en proie des flammes. Un navire était ancré dans le petit port à la place des petits navires marchands et des barques des pécheurs. C’est alors qu’elle était figée par cette vision qu’on la prit par le bras. C’était le gros tonton tavernier qui l’avait ainsi prise ainsi et il lui dit qu’il allait la ramener chez son père afin qu’ils allaient se réfugier dans l’intérieur de l’île. Parvenu à la chaumière le duo rencontra le père de la jeune fille qui avait une arme à la main. Il demanda à son ami le tavernier de prendre soin de sa fille avant de se diriger droit vers le village. La jeune Marie avait beau l’appeler il se retourna pas et disparut rapidement de sa vue. Cela faisait maintenant huit longues années que le village avait été attaqué par des pirates et la vie de Marie avait grandement changée entre-temps. Elle était maintenant sous la garde du tavernier qu’elle considérait depuis qu’elle était toute petite comme son oncle et travaillait pour lui en tant que serveuse. Elle avait appris de drôles de choses sur lui ainsi que sur son père. Tout d’abord ils avaient été tous les deux pirates. Cependant, la rencontre entre ses parents mit fin à la carrière de piraterie de son père et son ami décida lui aussi d’arrêter car il trouvait la vie morne sans son meilleur ami à ses côtés. Ils s’établirent tous les trois sur cette petite île et tandis que l’un réalisait son rêve de tenir un bar, l’autre vécut tranquillement avec sa femme ne supportant pas la foule. Cela n’empêcha cependant pas aux deux compères de se voir quand il le pouvait. La jeune fille apprit aussi que si son père la quittait souvent c’était parce qu’il était devenu chasseur de primes et qu’il allait à la chasse aux pirates pour pouvoir subvenir aux besoins de sa fille. Ce n’était pas tout. La jeune Marie avait développé un certain goût prononcé pour l’alcool à force de côtoyer les fûts et à force d’être choyée elle était devenue un peu narcissique et réussissait à obtenir ce qu’elle voulait des hommes qu’elle charmait. Décidant de lui trouver une autre occupation et un moyen de se défendre elle-même son oncle lui apprit un art martial plutôt original que lui et son ami pratiquaient. Il consistait à imiter les mouvements de gens en pleine ivresse afin de faire baisser sa garde à l’adversaire avant de lui assener des coups à haute vitesse. La jeune fille y avait tellement prit goût qu’au lieu de faire semblant d’être vire elle l’était réellement mais cela ne l’empêchait pas d’exceller dans cette pratique guerrière. Croyant qu’elle ne s’en rappellera pas, le tavernier lui avait dit un jour que lui et le père de la jeune fille avait décidés de goûter à toutes les sortes d’alcool au monde. Malheureusement pour lui, elle grava ces paroles dans sa tête résolue à accomplir le but de son paternel quand elle s’estimera prête. Vint finalement je jour tant attendu pour la jeune Marie. Âgée de dix-neuf ans, elle s’estimait prête à arpenter le monde afin de réaliser le but de son père qui à force d’être répété était aussi devenu le sien. Elle fit donc le mur sachant pertinemment que son protecteur ferait tout pour l’en empêcher mais lui laissa quand même un mot. Elle quitta l’île grâce à un des marins qu’elle avait charmée la veille et qu’elle laissa ensuite complètement assommé par l’alcool qu’ils avaient partagés. Elle arpenta en priorité les Blues défiant quiconque la sous-estimai à un concours de boisson, qu’elle gagna ensuite. Une rencontre fut quand même gravée dans sa mémoire. Celle avec un musicien qui avait particulièrement bien tenu lors d’un de ces petits défis habituels et la couleur de ses cheveux la faisait penser quelques peu à son père. Elle était décidée à aller sur Grand Line afin de voir quelles sortes de besoin il y avait là-bas mais pour cela il valait mieux faire partie de la Marine ou d’un équipage pirate ou révolutionnaire. Rejetant de suite la première idée à cause de la rigueur chez les garants de l’ordre et n’ayant pas vraiment de goût pour les révolutions elle fut donc résolue à devenir pirate. Après tout, elle avait bien le même but que son père alors pourquoi ne pas suivre en grande partie le même chemin ? >> Test RP Cette histoire commence par un duo de petits bruits. Le premier est le claquement d’une main sur une fesse rebondie et le second est le petit cri aigu que poussa la jeune femme qui la détenait. Cette jeune femme n’était autre que Marie et sitôt remise de sa surprise, elle pivota et flanque un violent coup de pied dans le menton de cet individu qui n’avait pas compris que les attouchements de ce genre ne se faisaient pas sur une personne ne partageant pas sa vie. Cela elle le lui fit bien comprendre en le tenant par le cou et en le secouant tout en lui rappelant que sa femme n’apprécierait surement pas qu’on lui rapporte ce genre d’accident. Le poivrot, ainsi menacé, ne put que défaillir et fit de son possible afin de quitter le bar et d’aller décuver dans son foyer. Ceci était le quotidien de la jeune femme mais elle ne s’en plaignait jamais. Elle n’avait pas de raison de le faire après tout. Enfin, il y en avait peut-être une. Il y avait le visage de ce père bourru avec sa barbe blonde et son air sérieux et malgré tous les efforts que pouvait fournir son protecteur, il n’arriverait jamais à remplacer cette figure paternelle dans le cœur de la jeune femme. Les journées se suivaient et se ressemblaient presque toutes dans ce petit bar. Les seules différences que l’on pouvait noter étaient les altercations entre ivrogne, chose à laquelle la jeune Rwana mettait fin d’une manière ou d’une autre, et les histoires de son père qu’elle demandait tous les soirs à celui qui veillait sur elle. Il répondait positivement à ces requêtes mais il soupçonnait qu’elles avaient un effet négatif sur l’esprit de la jeune, le désir de faire plaisir à son ancien ami prenait à ce moment-là souvent le pas sur sa crainte. Plus elle en entendait plus il avait l’impression qu’elle devenait comme son défunt géniteur et alors qu’un soir il n’arrivait pas à s’endormir, il jeta un coup d’œil dans la chambre de sa pupille et l’entendit rêver. Au départ il ne comprit pas grand-chose mais en se concentrant il parvint à discerner les mots « rêve », « monde », « boissons ». Le bonhomme n’était pas le dernier des idiots comprit alors qu’elle était devenue une petite réplique de son ancien ami, mais avec plus de courbes. Il entreprit alors dans les jours qui suivent de l’accabler de corvées afin de ne pas lui laisser le temps de divaguer. Cela mit la mit en rogne et lui donna l’envie de partir afin d’échapper à ces corvées. Inconsciemment, c’était sans doute le but du vieux tavernier… C’est alors qu’un soir qui s’annonçait des plus ordinaires vint à la taverne un marchand étranger et son ami résidant de l’île. Les deux individus se révélèrent incapable de tenir plus de cinq chopes de rhum ce qui chagrina fortement la jeune serveuse. Elle avait décidée de faire un petit concours de boisson avec les deux hommes car il s’agissait des derniers clients encore présents donc elle en risquait pas d’oublier de servir d’autres personnes. Elle alla quitter la table et sa rustique chaise quand elle entendit le marchand déblatérer des histoires sur son voyage qui l’avait mené jusqu’aux autres Blues. Ce genre de récit fascinant la jeune femme, il ne fut pas étonnant de la voir se rasseoir mais il fut cependant important de noter combien elle était à l’écoute de cette personne alors qu’elle n’avait pas fait preuve d’autorité. Redoutant alors les effets que pouvait prodiguer cette écoute, le tavernier décida de les renvoyer. Aussitôt, Marie se proposa pour les ramener. Elle fit barrage des refus qu’elle voyait venir en argumentant qu’ils ne pourraient pas se rendre chez eux dans cet état seuls et que de toute façon ils ne logeaient pas très loin du bar. L’argument qui réussit cependant le plus à le faire changer d’avis fut de voir l’énormité du ménage qu’il y avait à faire, un véritable affront pour cet homme qui adorait voir ce qu’il considérait comme sa propriété en bon état. Bien évidemment, durant le court trajet qui séparait les deux bâtiments, Marie écouta les divagations de ce marin ivrogne et fut surprise en écoutant sa proposition. Il lui proposait de venir au port où il devait embarquer afin de livrer d’autres marchandises peu avant l’aube. Vu qu’il s’agissait d’un petit bateau, il était seul et ainsi personne ne les gênerait dans ce qu’il considérait comme un voyage en amoureux. Bien évidemment, elle n’éprouvait aucun sentiment pour lui mais la perspective de quitter cette île et toutes ses tâches ménagères qu’elle détestait pour aller naviguer sur des territoires étrangers et reprendre le voyage de son père là où il s’était arrêté était alléchante, raison pour laquelle elle accepta. Elle passa sa dernière nuit sur l’île à lutter contre le sommeil et à essayer de trouver les mots qu’elle inscrirait sur la lettre qu’elle dédiait à celui qui l’avait élevé. Relevant la tête, elle s’aperçut que le ciel commençait à s’éclaircir sur l’horizon. Elle fut soudainement remplie de doutes quant à ce qu’elle s’apprêtait à faire. Elle s’apprêtait à quitter cette personne qui avait généreusement pris soin d‘elle pour aller réaliser un rêve qui n’aboutirait surement pas. C’est alors qu’elle eut une illumination qui fit disparaitre ses doutes. Maintenant sûre de son choix, elle prit son baluchon prêt depuis quelques heures et sauta de sa fenêtre. Elle atterrit tranquillement sur ses deux pieds grâce à son agilité et parcourut rapidement les rues en direction du port où elle embarquerait pour vivre sa propre aventure bâtie sur les vestiges d’une autre. Alors que le bateau quittait l’île, et que son capitaine essayait de se remettre de son mal de tête, elle se retourna afin de contempler une dernière fois son île natale. Elle regardait plus précisément en direction de son ancienne chambre où trônait assez visiblement un bout de papier où il était simplement écrit « Merci ». Comment s’était-elle décidée à rompre avec cette vie tranquille et monotone qu’était la sienne ? Tout simplement parce qu’elle était sûre que c’était ce qu’aurai fait son pirate de père. |
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Informations IRL
- Prénom : Baptiste
Age : 16 ans
Aime : Blaguer + Dire du grand n'importe quoi (surtout avec des potes) + Autres
N'aime pas : Légumes verts + Mathématiques + Autres
Personnage préféré de One Piece : Trafy *O*
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Je suis principalement excité, bavard, stalker de CB et capable de dire les pires conneries. Je sais cependant me montrer sérieux aussi et suis ouvert à
Fais du RP depuis : 14/02/2012 donc presque un an
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Quasiment tout les jours même si je ne pourrais pas me co les jours de la semaine vu que je suis au lycée ^^.
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Dernière édition par Marie Rwana le Jeu 28 Fév 2013 - 14:52, édité 5 fois