C’est ça grande line ? Ça a pas l’air terrible. En tout cas, c’est sûr se grand rocher qui se nomme Banaro que j’me trouve. Si quelqu’un me demande qu’est-ce que je fou là, j’lui répondrais simplement j’sais pas. J’vais ou la vie m’amène. Bon, enfaite j’croie que j’me suis perdu. Ben j’ai vu un tunnel alors voilà j’ai mis ma tête puis la jambe droite, la gauche et finalement je m’enfonce jusqu’à me perdre. Bon c’est pas grave j’ai toujours ma gourde de saké avec moi. Après quelques gorgés j’ai une idée brillante. Si un bruit important se crée, des hommes viendront probablement. Alors une chanson à haute voix ça vous dit ?
-Il était un petit navireu, il était un petit navireu, qui n’avait ja ja jamais navigué qui n’avait ja ja jamais navigué ho hé ho hé ! *hic*
Mes pas ne sont pas très droit, c’est difficile de pas avancer en zigzagant. Je m’appuie sur les côtés en pierre du tunnel pour pas tombé. Heureusement qu’il y a des lanternes pour éclairer sinon ben, sinon rien. Il y a des bruits qui augmentent petit à petit. Enfin les secours, c’est pas trop tôt. C’est quoi cette chose.
Un rat un peu gros à mon goût. Ça a quel goût le rat ? Faut que j’goute à ça un jour.
Il est venu avec son copain, ils sont bien moches. C’est des griffes qu’ils ont ? Puis leur longue dent… Un rat bien étrange. C’est surement ça Grande Line. J’me frotte les yeux parce que j’ai cru rêvé. Puis là, un groupe entier est face à moi il me regarde comme un bifteck.
-*hic* J’ai même pas peur ! Regardez-vous. Vous êtes tout petit minuscule. C’est pas parce que vous êtes plus nombreux que vous allez m’avoir hein ! *hic*
Un me saute sur la jambe, il a le droit à un beau coup de pied !
-Heeein ! J’suis pas un bifteck sale taupe ! T’es aveugle, ouvre tes yeux !
Bon apparemment ils veulent la bagarre. Même pas peur ! Tous les rats me sautent dessus. J’me débats comme j’peux, mais leur nombre est impressionnant. Me reste qu’une solution. Courir ! Enfin quand on est saoul c’est pas évident, donc j’me déplace dans une direction aléatoire et donne des coups en même temps. J’me débrouille pas mal pour un ivrogne. Avec cette course folle, j’arrive finalement à la sortie. Les monstres ne sont plus dernière moi depuis je ne sais quand, en réalité j’ai pas arrêté de courir, de tomber, de me lever, de courir. Une boucle qui a duré une bonne demi-heure. Fatigué, j’décide de me reposer quelque temps devant le tunnel.
J’me suis endormi ! J’étais si fatigué que ça ? Bon pas grave. Enfin j’me sens léger. Le regard sur les habits. Des trous sont pas mal. C’est à cause des rats. Ma belle chemise, bon pas grave j’en volerais une plus tard. Mais non c’est pas ça, il y a quelque chose d’autre.. Ah mais j’ai plus mon sac ! Mes affaires. J’déteste les voleurs ! Enfin moi j’aime bien voler, mais me faire voler, non c’est pas bon. Faut que j’retrouve le gars qui a fait ça.
J’vais en ville. J’peux même pas m’habiller en bourgeois pour glaner des informations. Bon la méthode dure est de rigueur. J’traine dans les coins peu fréquenté. Deux hommes viennent. Moi, adosser contre le mur j’attends comme si de rien était. Une fois qu’il arrive à ma hauteur je les attrape au cou et les plaques contre le mur.
-Bon les sous merdes, vous avez deux options, soie vous me dîtes ce que j’veux savoir, soie j’vous fais découvrir l’enfer.
Je les relâche lentement, mais leur réaction est étrange, ils sourient. Ces deux hommes pensent peut-être qu’ils sont supérieurs à moi. D’ailleurs un met un coup du bas vers le haut sur mon chapeau qui tombe derrière. Puis des rires. Hé hé hé ça va être drôle.
-Tu veux quoi ? Tu penses que tu peux nous bousculer comme ça ? Aller, donne nous tes Berrys plutôt.
-Pas mal ton révolver. Mais voilà ma question. Vous savez pas si une personne à voler un sac vers les tunnels ?
-Mais c’est qui se clown ? File nous ton fric ou on te trou la peau.
-Je pense que t’as pas compris la situation. Je te signale que tu n’as pas répondu à ma question donc… Bienvenue en enfer !
Son arme est pointée sur moi au niveau de l’estomac. Je saute sur le côté et donne un coup de pied pour enlever l’arme de sa main. Celle-ci s’envole. Moi j’suis accroupie sur le côté et j’les provoque en fessant des grimaces. Le deuxième homme prend un bout de bois qu’il a trouvé par terre et me donne une attaque du haut vers le bas. Je fais un salto arrière et casse son arme du pied. J’me retrouve de nouveau accroupie. Il tente de me donner un coup de poing, j’esquive et lui donne une grande claque dans chaque oreille.
Il tombe par terre. Il ne risque pas de se lever tout de suite. J’me redresse, j’vois que l’autre a repris son arme. Il tire, je saute sur le côté et puis je cours sur le mur pendant quelques pas. J’arrive proche de lui, je fais une roulade alors qu’il tire de nouveau. Je me retrouve accroupie comme d’habitude et lui donne un bon coup de poing dans les bijoux de famille. La douleur lui fait lâcher son arme. Je la récupère alors que lui souffre comme un porc. J’rajoute un coup de pied dans la tête histoire de l’allonger. Je le traine et le mets sur son ami. Je m’assieds sur eux.
-Bon, j’vous rappelle pas la question, j’ai pas que ça à faire. Vous devez avoir de la famille non ? Si j’vous tue. J’expose les corps dans la rue. Il y aura un attroupement, puis à l’enterrement, je verrais bien qui est de votre famille. Puis après je leur rendrais une petite visite. Je vais pas les tuer non c’est pas drôle ça. Ils seront mes esclaves. Une fois que j’me serais bien marré, j’les revendrais vous inquiéter pas.
Les tirs de tout à l’heure ont ameuté quelques civils. Ils me voient sur le corps de deux hommes. Un hurle au meurtre. Pff. J’ai rien tué mais bon s’ils veulent du sang, il y a pas de problème. De toutes façons j’en ai marre d’attendre une réponse. L’un me dit qu’il sait rien, l’autre ne semble pas bien comprendre ce qu’il lui arrive. Je lui ai peut-être endommagé les tympans. Je vide le chargeur sur les jambes des gars.
-Finalement je vais vous laisser en vie. Je m’appelle Gold Roger. Oui vous ne rêver pas. C’est moi qui vais de nouveau ravager ce monde. Mes hommes arrivent et nous allons tout brûler, piller. Moi je viendrais en personne chez vous et je m’amuserai avec vos familles. Allé à plus les crapauds.
En réalité j'suis ici, tout seul mais bon. Qui peut le savoir? De toutes façons, j'regarde leur tête apeurée. Ils me font rire un petit coup puis un groupe vient vers moi. Ce ne sont pas des marines mais bon, ils sont armées et nombreux. Je m’enfuis. Ils me courent après, je sors de la ruelle, tourne sur un côté et pendant un instant ils me perdent de vue.
J’escalade rapidement la maison et me cache sur le toit. Tout s’est fait dans un silence d’église. Pour les poursuivants, je me suis évaporé. Ha ha ha. On n’attrape pas Gold Roger aussi facilement. J’attends que ça ce calme un peu et je retourne à la recherche de mon sac.
-Il était un petit navireu, il était un petit navireu, qui n’avait ja ja jamais navigué qui n’avait ja ja jamais navigué ho hé ho hé ! *hic*
Mes pas ne sont pas très droit, c’est difficile de pas avancer en zigzagant. Je m’appuie sur les côtés en pierre du tunnel pour pas tombé. Heureusement qu’il y a des lanternes pour éclairer sinon ben, sinon rien. Il y a des bruits qui augmentent petit à petit. Enfin les secours, c’est pas trop tôt. C’est quoi cette chose.
Snik Snik Gnap
Un rat un peu gros à mon goût. Ça a quel goût le rat ? Faut que j’goute à ça un jour.
Snik Snik Snik….
Il est venu avec son copain, ils sont bien moches. C’est des griffes qu’ils ont ? Puis leur longue dent… Un rat bien étrange. C’est surement ça Grande Line. J’me frotte les yeux parce que j’ai cru rêvé. Puis là, un groupe entier est face à moi il me regarde comme un bifteck.
-*hic* J’ai même pas peur ! Regardez-vous. Vous êtes tout petit minuscule. C’est pas parce que vous êtes plus nombreux que vous allez m’avoir hein ! *hic*
Snik Snik
Un me saute sur la jambe, il a le droit à un beau coup de pied !
-Heeein ! J’suis pas un bifteck sale taupe ! T’es aveugle, ouvre tes yeux !
Bon apparemment ils veulent la bagarre. Même pas peur ! Tous les rats me sautent dessus. J’me débats comme j’peux, mais leur nombre est impressionnant. Me reste qu’une solution. Courir ! Enfin quand on est saoul c’est pas évident, donc j’me déplace dans une direction aléatoire et donne des coups en même temps. J’me débrouille pas mal pour un ivrogne. Avec cette course folle, j’arrive finalement à la sortie. Les monstres ne sont plus dernière moi depuis je ne sais quand, en réalité j’ai pas arrêté de courir, de tomber, de me lever, de courir. Une boucle qui a duré une bonne demi-heure. Fatigué, j’décide de me reposer quelque temps devant le tunnel.
…
J’me suis endormi ! J’étais si fatigué que ça ? Bon pas grave. Enfin j’me sens léger. Le regard sur les habits. Des trous sont pas mal. C’est à cause des rats. Ma belle chemise, bon pas grave j’en volerais une plus tard. Mais non c’est pas ça, il y a quelque chose d’autre.. Ah mais j’ai plus mon sac ! Mes affaires. J’déteste les voleurs ! Enfin moi j’aime bien voler, mais me faire voler, non c’est pas bon. Faut que j’retrouve le gars qui a fait ça.
J’vais en ville. J’peux même pas m’habiller en bourgeois pour glaner des informations. Bon la méthode dure est de rigueur. J’traine dans les coins peu fréquenté. Deux hommes viennent. Moi, adosser contre le mur j’attends comme si de rien était. Une fois qu’il arrive à ma hauteur je les attrape au cou et les plaques contre le mur.
-Bon les sous merdes, vous avez deux options, soie vous me dîtes ce que j’veux savoir, soie j’vous fais découvrir l’enfer.
Je les relâche lentement, mais leur réaction est étrange, ils sourient. Ces deux hommes pensent peut-être qu’ils sont supérieurs à moi. D’ailleurs un met un coup du bas vers le haut sur mon chapeau qui tombe derrière. Puis des rires. Hé hé hé ça va être drôle.
-Tu veux quoi ? Tu penses que tu peux nous bousculer comme ça ? Aller, donne nous tes Berrys plutôt.
-Pas mal ton révolver. Mais voilà ma question. Vous savez pas si une personne à voler un sac vers les tunnels ?
-Mais c’est qui se clown ? File nous ton fric ou on te trou la peau.
-Je pense que t’as pas compris la situation. Je te signale que tu n’as pas répondu à ma question donc… Bienvenue en enfer !
Son arme est pointée sur moi au niveau de l’estomac. Je saute sur le côté et donne un coup de pied pour enlever l’arme de sa main. Celle-ci s’envole. Moi j’suis accroupie sur le côté et j’les provoque en fessant des grimaces. Le deuxième homme prend un bout de bois qu’il a trouvé par terre et me donne une attaque du haut vers le bas. Je fais un salto arrière et casse son arme du pied. J’me retrouve de nouveau accroupie. Il tente de me donner un coup de poing, j’esquive et lui donne une grande claque dans chaque oreille.
Vertige
Il tombe par terre. Il ne risque pas de se lever tout de suite. J’me redresse, j’vois que l’autre a repris son arme. Il tire, je saute sur le côté et puis je cours sur le mur pendant quelques pas. J’arrive proche de lui, je fais une roulade alors qu’il tire de nouveau. Je me retrouve accroupie comme d’habitude et lui donne un bon coup de poing dans les bijoux de famille. La douleur lui fait lâcher son arme. Je la récupère alors que lui souffre comme un porc. J’rajoute un coup de pied dans la tête histoire de l’allonger. Je le traine et le mets sur son ami. Je m’assieds sur eux.
-Bon, j’vous rappelle pas la question, j’ai pas que ça à faire. Vous devez avoir de la famille non ? Si j’vous tue. J’expose les corps dans la rue. Il y aura un attroupement, puis à l’enterrement, je verrais bien qui est de votre famille. Puis après je leur rendrais une petite visite. Je vais pas les tuer non c’est pas drôle ça. Ils seront mes esclaves. Une fois que j’me serais bien marré, j’les revendrais vous inquiéter pas.
Les tirs de tout à l’heure ont ameuté quelques civils. Ils me voient sur le corps de deux hommes. Un hurle au meurtre. Pff. J’ai rien tué mais bon s’ils veulent du sang, il y a pas de problème. De toutes façons j’en ai marre d’attendre une réponse. L’un me dit qu’il sait rien, l’autre ne semble pas bien comprendre ce qu’il lui arrive. Je lui ai peut-être endommagé les tympans. Je vide le chargeur sur les jambes des gars.
-Finalement je vais vous laisser en vie. Je m’appelle Gold Roger. Oui vous ne rêver pas. C’est moi qui vais de nouveau ravager ce monde. Mes hommes arrivent et nous allons tout brûler, piller. Moi je viendrais en personne chez vous et je m’amuserai avec vos familles. Allé à plus les crapauds.
En réalité j'suis ici, tout seul mais bon. Qui peut le savoir? De toutes façons, j'regarde leur tête apeurée. Ils me font rire un petit coup puis un groupe vient vers moi. Ce ne sont pas des marines mais bon, ils sont armées et nombreux. Je m’enfuis. Ils me courent après, je sors de la ruelle, tourne sur un côté et pendant un instant ils me perdent de vue.
Déplacement de félin.
J’escalade rapidement la maison et me cache sur le toit. Tout s’est fait dans un silence d’église. Pour les poursuivants, je me suis évaporé. Ha ha ha. On n’attrape pas Gold Roger aussi facilement. J’attends que ça ce calme un peu et je retourne à la recherche de mon sac.