Kagura Natsume

>> Kagura Natsume

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Pseudonyme : Votre surnom Age: 25 ans Sexe : Femme Race : homme poisson Rang : Métier : Médecin - Scientifique Groupe : Révolutionnaire Déjà un équipage : Non But : Unir les humains et les hommes-poissons Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Karaté Aquatique (si possible) Équipements : Éventail à lame Codes du règlement (2) : Parrain : Mettez le nom de votre parrain ici, si vous en avez un bien sûr Ce compte est-il un DC ? : oui Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Tahar

>> Physique Pour commencer je dirais simplement que je suis bleu... Etant une femme-poisson, j'ai une couleur peu humaine. Je n'ai pas de cheveux à proprement parler donc dans un sens j'ai beaucoup de chance car je n'ai pas besoin de les coiffer à longueur de temps et cela ne m'empêche pas d'être encore féminine... J'ai les yeux bleus comme presque aussi profond que l'océan. Je mesure 1m75 pour 60 kg, je suis donc d'assez grande pour aussi un physique assez élancer. En terme de physique il faut avouer que je n'ai pas grand-chose à signaler, pas de cicatrice visible aucun tatouage ou de piercing... D'un niveau vestimentaire, je ne suis pas spécialement difficile, mais je privilégie le côté pratique à l'esthétique ... Même si quand je peux je tente de mélanger les deux. Mais bon, avec mon travail je n'ai pas souvent l'occasion de mettre de tenu de soirée. Travaillant principalement dans le domaine médical je porte plutôt des tenues blanches. Je préfère les porter un de façon plutôt serrée et aussi que ses tenus soient relativement élastique, sans oublier qu'il faut idéalement que ses tenus n'absorbe pas trop l'eau. Tout cela est pour que je puisse aussi me défendre et voyager dans l'eau si besoin est. En termes de tics et manies, j'ai l'habitude d'être plutôt tactile, je veux dire par là que j'aime toucher les gens pour discuter. Pour moi, le contact physique est aussi important que les mots. Maintenant, il ne faut pas se faire d'illusion. Etant aussi une personne qui réfléchit assez avant d'agir, j'ai l'habitude de pose ma main sur mon visage pour montrer que je suis en pleine réflexion. >> Psychologie Première chose à savoir est que je ne suis pas une violente en principe. Je dirais même que je déteste ça. J'ai vécu dans le district des hommes-poissons et j'ai connu la violence depuis mon plus jeune âge du fait j'ai attrapé un certain dégoût pour la violence gratuite. Cela-dit, je ne suis pas du genre à me laisser faire, j'ai mon caractère, mes idées, mes rêves et si je dois me battre pour montrer que j'ai raison, je suis prête à me battre avec force s'il faut. Généreuse, je tiens avant tout à aider les gens qui ont besoin d'aide. Je suis peut-être aussi un peu naïve, car quand j'aide les gens je n'ai pas l'habitude de faire de distinction que ce soit la race, les origines ou camps. J'aiderais mon ennemi s'il je peux lui venir en aide. En bref, je déteste la mort tout autant que la violence. Sentimental, je m'attache très vite aux gens, il suffit qu'on trouve un point commun pour que je sois ami avec eux. Mais il ne faut parfois pas beaucoup plus aussi pour que j'en tombe amoureux... Du moment que ce n'est pas un violent. Toujours est-il que de ce fait, je suis aussi plutôt timide et maladroite. Me connaissant je n'ose pas trop m'attacher à une personne, car je sais que je pourrais trop vite m'attacher et aussi beaucoup souffrir si je la perdais. Chaleureuse, j'essaye toujours de réconforter les gens du mieux que je peux... Même si je dois passer des heures avec la personne je ferais tout pour qu'elle se sente mieux. Curieuse, j'aime apprendre et explorer de nouvelles choses apprendre et voir l'inconnu est pour moi des plus fascinant. C'est d'ailleurs sans doute pour ça que j'ai aussi étudié l'archéologie. >> Biographie Je suis née en 1598 sur l'ile plutôt connu des hommes poissons. Mon père était un homme poisson et ma mère une sirène. Je n'ai cela-dit jamais connu ma mère qui est morte alors que je n'étais qu'un bébé. Mon père lui vivait dans le quartier des hommes-poissons. J'étais donc destiné à vivre mon enfance dans les quartiers les plus malfamés de l'ile des hommes-poissons. Ce n'était pas tous les jours faciles, mais j'étais plutôt heureuse, car mon père était un homme des plus généreux et grâce à lui je ne sais pas ce que j'aurais fait. En effet, mon père bien que relativement pauvre m'offrir les moyens d'avoir une vie paisible et heureuse... Mais pas seulement à moi, mais à tous les gens vivants dans le quartier des hommes poissons... Mon père était un soldat du roi Manboshi, ce n'était pas le plus fort, mais c'était un des plus appréciés. Fidèle, courageux et généreux, il inspirait le respect de la majorité des gens du royaume... Mais malheureusement pas de tout le monde... J'aimais beaucoup mon père aussi, car grâce à lui je pouvais avoir des études dignes de plus grand. Enfant je pouvais suivre l'école comme n'importe quel enfant le méritait et ensuite suivre des études de science et de médecin plus tard... J'aurais seulement aimé que mon père puisse être là pour me voir réussir. Je devais avoir 13 ans quand mon père est mort. Ça c'était passé dans le quartier des hommes poisson. Un groupe de pirate humain des plus cruels s'amusait à semer la terreur dans le quartier. Les hommes-poisson avaient réussi à les repoussés sans trop de mal, mais malgré cela, quelques victimes chez les hommes-poissons quand même. Les soldats dont mon père venait d'arriver seulement après la bataille. Le groupe qui avait repoussé les pirates étaient en colère, ses pauvres gens ne pouvaient pas comprendre pourquoi les gardes venaient seulement d'arriver. La tension était palpable à des kilomètres et comme on pouvait s'en douter cela a dégénéré très loin. Dans les informations qu'on pouvait lire, il y avait plus de 20 morts dont mon père... Malgré cela, mon père était un homme prévoyant, il avait demandé aux ministres de garder une partie de sa solde pour moi au cas où il lui arriverait malheur et donc bien que seule, je pouvais continuer à suivre mes études c'était d'ailleurs à ce moment où je m'étais vraiment décidé de devenir médecin. Je ne voulais plus apprendre ou voir des gens mourir ou souffrir, je trouvais ça trop cruel, imaginer voir des gens souffrir était trop pénible. Car en apprenant la mort de mon père, j'apprenais aussi ce que c'était la souffrance de perdre un être cher... C'était une chose que je ne souhaitai à personne, pas même à mon pire ennemi. Parallèlement à mes cours de science et de médecin, je profitais de mes temps libres pour apprendre le karaté des hommes-poissons. Je n'étais pas idiote, je savais que même si je détestais la violence, je devais avant tout apprendre à me défendre, car je ne voulais pas aider seulement les sirènes et les hommes-poissons, mais tous les gens qui vivaient sur terre... Je pensais donc aussi aux humains, car malgré le comportement de certains d'entre eux. Je savais que certains devaient avoir bon coeur, comme le Yonkou qui offrait sa protection à l'ile... J'avais donc décidé que si je devais me battre, je devais le faire pour la paix. Très studieuse, j'avais atteint une haute connaissance en médecine et en science à l'âge de 17 ans. Mais les relations avec les humains étaient toujours des plus précaires. Alors, voulant aider les gens à apprécier les hommes-poissons à ce que nos deux espèces puissent dans un avenir proche être traitées d'égale à égale. Je décidais des quitter l'ile des hommes-poissons pour rejoindre la surface. J'étais jeune et naïve à cette époque et je le suis toujours d'ailleurs sans doute. Mais à cette époque c'était pour moi vraiment dure... Je voyageais comme médecin itinérante offrant mes connaissances et mes soins à qui en avaient besoin. Mais rare étaient les humains à accepter l'aide d'une personne comme moi. Certains semblaient préfère mourir de leurs maladies plutôt que d'être soigne... J'espérais moi seulement aidé ses pauvres gens et en même temps leur faire comprendre que nous n'étions pas si diffèrent l'un de l'autre... Mais autant parler à un sourd et attendre qu'il vous réponde. Mais le pire moment était pour moi quand un groupe d'homme sans doute avide d'argent, décidèrent de s'en prendre à moi. Je savais que dans certaines iles humaines les hommes-poisson et les sirènes n'ont aucun droit et sont donc capturé pour être vendu comme esclave... J'avais bien tente de raisonner ses hommes, mais je ceux-ci n'entendais rien. S'attaquant à moi et malgré une connaissance du combat, je ne pouvais lutter, je me retrouvais à leurs merci. J'essayais bien de me défendre, mais sans la volonté de se battre... C'était inutile. Pourtant, alors que je me croyais perdu, un autre groupe d'humain me sauvait la vie. Tuant et chassant ses criminels, ils m'avaient permis de vivre encore libre. Mieux encore, après une longue discussion avec eux, j'apprenais qu'ils faisaient partir de l'armée révolutionnaire, un groupe d'homme se battant pour une vie meilleure. Un devoir noble bien que peu apprécié de certain... C'était à ce moment-là que je comprenais ce que je devais faire, rejoindre ses hommes et me battre à leurs coté en tant que médecin. C'était un choix lourd de sens je le savais, mais en faisant cela je savais que je pourrais aider les gens dans le besoin et faire de ce monde un monde meilleur. >> Test RP Ma première mission chez les révolutionnaires... Mes sentiments sur cette mission ? Je dirais exciter et effrayer. J'étais excité de faire quelques choses qui serviraient au bien commun dans un avenir proche... Enfin, j'espérais que ce serait proche. Mais j'étais aussi terrifié de faire cette mission où je pourrais avoir une importance capital. Je n'appréciais aussi que moyennement la mission. Attaquer un convoi de la marine que ce soit pour le bien ou pas, je trouvais qu'il y avait quelques choses de malsain en quelques sortes. Personnellement, j'aurais préféré qu'on fasse de la propagande un peu partout pour convaincre les gens. Mais je savais que ce n'était pas qu'avec des paroles qu'on gagnait un combat... Mais avec des actes. Je le savais que trop bien et c'était bien triste d'ailleurs. Enfin bref, je devais dans cette mission être le médecin de bord en quelques sortes. Après tout, je m'étais spécialité à la science et la médecine pour ça... Sauver des vies. Mais l'équipage pouvait se rassurer je savais aussi me battre, défendre ma vie seule ne serait pas un problème. Quoi qu'il en soit, j'étais prête, nerveuse mais prête. A l’abordage ! Je pouvais entendre sur le pont. Je ne voulais pas me joindre à la bataille, je voulais seulement soigner les blesser éventuelle et dans les deux camps si possible d'ailleurs. Mais cet abordage était sans doute le plus coup de toute l'histoire des abordages. L'équipage était composé de civil donc rare était les civils armés. En quelques minutes le tour du bateau était fait et la majorité des trésors ou objets de valeur était pour ainsi dire sur les victimes. Cela semblait énerver beaucoup l'équipage alors que je prenais soin de vérifier les blessures superficiel des blesses. Beaucoup de ces gens attendais trouver des trésors des armes ou quelques choses d'utile pour la cause je n'en doutais pas, mais la réaction de certains étaient des plus déplacer... Surtout quelqu'un qui semblait un peu trop attirer par l'appât du gain. On n’a qu’à prendre leurs bijoux et leurs argents, certains sont des bourgeois, ce n’est pas ça qu’ils vont pleurer... Et puis c’est pour la bonne cause. Quelques remarques de la part des civils pris en otage, ne faisait que mettre le feu au poudre. Cela semblait même rallier d'autre révolutionnaire à voler ses pauvres gens. Certains des civils les plus courageux n'hésitaient pas à provoquer et à traiter les hommes de pirates... Je pouvais le sentir et la situation semblait échapper au chef même de l'expédition. Tout partait en sucette, il fallait trouver une solution, car les civiles et les révolutionnaires étaient sur le point de s'entre-tuer. Je n'étais pas humaine, j'étais un poisson pour eux, un monstre même pour certain, je ne voulais pas intervenir, mais je savais que si je ne faisais rien le pire serait à produire. Je me plaçais alors entre les civils et les révolutionnaires pour dire : Arrêtez... Nous sommes là pour aider ces gens pas pour les voler ou les maltraités. Notre mission est avant tout de montrer l'exemple, faire comprendre que le monde peut être amélioré, le crime éradiquer et la paix perdurer. Je ne suis pas humaine, mais je veux vous aider, car je pense que l'amitié peut exister entre nos deux races. Mais si vous faites cela, c'est que j'aurais tort. Certains révolutionnaires et certains civils avaient compris mes propos ma demande... Mais pas tous, un révolutionnaire qui ne voulait pas être venu pour rien continua à protester, je le voyais sortir un pistolet sans doute pour menacer les civils, il s'avançait avec une certaine détermination, j'avais peur qu'il commette une bêtise alors avec une des lames qui étaient cachés dans mon éventail attacher à ma ceinture je le poignardai au niveau du plexus. Tout le monde était stupéfait, mais j'avais fait attention de ne pas toucher un nerf ou un organe vitale. En tant que médecin je savais très bien ou frapper pour le stopper sans vraiment le blesser gravement. C'était pour moi douleur de faire ça j'avais d'ailleurs une petite larme qui coulait de mes yeux alors que je lui disais : Je suis désolé, mais je ne veux pas que tu fasses cette folie. Jamais tu ne te le pardonnerais. Je suis désolé si tu 'as pas ce que tu espérais, mais tu ne peux pas blesser ou tuer des gens innocents pour ça... Maintenant si tu veux te venger tu peux... Mais venge-toi sur moi. C'est moi qui t'ai vraiment blessé... Même si ce n'est pas gravement. Doucement, je me levais tout en portant l'homme que j'avais blessé, j'observais tout l'équipage qui m'accompagnait, je me dirigeais ensuite vers notre navire et leurs disais : Je vous en prie, mes amis, retournons à notre bateau, nous avons assez de blesser comme ça... Inutile de faire couler encore plus le sang si ce n’est pas nécessaire. Il y avait un silence presque religieux qui suivait mon discourt seulement quelques mots de prononcer pour dire que tout le monde retournait sur le bateau avant de partir. Moi je retournais dans ma cabine toujours avec le jeune homme dans les bras, je soignais la plaie que je lui avais faite ce qui me pris juste deux minutes et je lui tournais ensuite le dos sans dire un seul mot. Même si je pense encore aujourd'hui que mon choix était sans doute les meilleurs, je ne pouvais pas apprécier ce que j'ai fait. Blesser une personne n'était pas de mon devoir... Même si je savais déjà que cela m'arriverait encore... Encore bien trop souvent je dirais même.

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Informations IRL

Prénom :

Age :

Aime :

N'aime pas :

Personnage préféré de One Piece :

Caractère : (définissez vous en quelques mots)

Fais du RP depuis :

Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif)

Comment avez vous connu le forum ?

-- Ceci est à enlever de ta présentation par la suite, mais une section d'aide au rp est en place, tu peux la retrouver ici : https://www.onepiece-requiem.net/f99-aide-au-rp
Elle te permettra de mieux appréhender le forum, guidé par d'autres membres, rien n'est obligatoire bien sûr--

Voilà, je pense que c'est bon.

Merci à vous

Bouh Kagura!
Deuxième avis, parce qu'il paraît qu'un c'est pas assez.


Et j'entre donc en scène pour parler des descriptions. Alors oui, c'est vrai, c'pas Byzance, mais il y a des idées ; je suis par exemple assez sceptique sur les vêtements qui prennent autant de place que les descriptions physiques et m'attendais à un peu plus d'une sirène qu'elle soit juste et toujours pacifiste, gentille, aimante et attentionnée. à moins que ce ne soit juste mon impression. Cela dit, j'ai trouvé aux textes de tes descriptions un côté très doux à la lecture, en accord avec le personnage, alors le reste passe agréablement avec cet apport.

Vis-à-vis de l'histoire, j'ai trop rien à redire. Elle fait réelle, sans trop de rebondissement comme dit, mais surtout crédible. Mais jouer une pacifiste sera un vrai challenge, parce qu'ici, y'a plus de brutes que de gentils pacifistes. Et ça, ça reste louable et appréciable dans un personnage.

A l'image du reste, le Test rp est plutôt soft, concis et clair. J'ai retrouvé le côté doux et presque touchant du personnage dans ses paroles. Bon, le discours tout ça fait un peu réchauffé ou revisité, mais ça n'empêche que tu as su, à mon avis, les imprégner du personnage, et ça reste pour moi un plus, même si le reste autour n'est pas encore de ce niveau. Surtout lorsque l'on voit les très nombreuses fautes qui sont uniquement ou pour beaucoup des fautes de relecture. Non, tu n'as pas l'air de t'être relue, surtout quand il manque des mots ou que certains ont pris la place d'autres. Ne pas oublier les féminins également et revoir un peu les conjugaisons et ça devrait aller bien mieux.

Au final, je suis sur du 600, moi, parce que je pense que potentiel il y a mais qu'il est encore inexploité. Mais que pourtant le tout n'était pas mauvais.

To-Kagura = 600 dorikis, 2/3 avis, 3/4 voix.

Bouh!
Rachel ♥

Yops toi. J’viens pour ta validation. Il s’en est fallut de peu pour que la CB m’étreigne indéfiniment de ses bras forts, mais j’me suis débattu, et me voilà.

Comme j’le dis toujours, j’fais mon commentaire sans regarder l’avis des autres, pour ne pas être biaisé dans mon jugement et dans ma note. Et donc, c’est fort possible que je soulève des points déjà soulevé par les deux potos qui m’ont précédé.


Descriptions :

Dès l’départ (c’est aussi valable pour la bio, dans une moindre mesure), ça fait fort énumération. On prend les caractéristiques une par une, et on les étale. J’dirais que ce qui te sauve peut-être, c’est la première personne, le personnage qui se décrit lui-même. J’trouve que l’idée est pas mauvaise, et relativement originale. On voit pas ça tous les jours, en tout cas. Mais ça n’empêche que ça reste une énumération.

Dans le physique, c’est un peu mieux à ce niveau. Les paragraphes centrés sur un adjectif qui les débute, ça reste de l’énumération dans un sens, mais ça coupe un peu la monotonie. Encore un truc pas particulièrement courant, et potentiellement chouette.

Petite chose qui m’émoustille tout de même un peu, en tant que scientifique. Ok, on est dans le monde d’un manga, mais étudier les sciences, la médecine, et l’archéologie… Ça fait beaucoup. Déjà étudier les sciences, j’ai du mal. La médecine avec, on est dans l’univers One Piece, donc ok. L’archéo… Boarf, de trop. Surtout que c’est moins en rapport, on va dire. Et que dans la bio, il n’y en a aucune mention.


Biographie :

Je passe sur l’originalité de la trame qui manque un peu, dans la mesure où la vie dure dans le district, le quartier attaqué par des humains, ce genre de choses, c’est assez bateau. Mais c’est relevé par le fait qu’au final, le père meurt d’un soulèvement populaire dû à l’insécurité, et le sauvetage de l’innocente et frêle par des révos (qu’est pas foncièrement original, en soi, mais qui le devient vu que personne n’utilise jamais les révos, dans l’coin). Ça passe.

Par contre, dans un récit à la première personne, je m’attendais tout de même à ressentir une once d’émotion quand elle allait en arriver à la mort de son père. Et non, j’ai pas eu l’impression qu’elle en ait, et du coup, j’ai rien ressenti moi non plus. Un mort anonyme. Dommage.

Et attention aux petits détails de cohérence avec l’univers. A l’époque de Requiem, l’île des hommes-poissons n’est pas sous la protection d’un Yonkou.


Test RP :

Pas grand-chose à ajouter sur le test RP. C’est assez prévisible. Et ça en devient limite peu crédible à la fin tellement elle neutralise facilement les révos en rage. Mais bon, ça se lit.


Point forme :

Bon, ici par contre, il y a plus à dire. Tout au long de la lecture, j’ai eu l’impression que tu ne t’es pas relu. Si tu l’as fait, milles excuses. Mais il y a pas mal de mots inappropriés, probablement des oublis venant de moments où tu as voulu changer tes tournures de phrases en cours de route. Et puis des fautes d’accords un peu bêtes. Du genre des moments où tu parles de ton perso au masculin.

J’ai pas relevé les fautes à ce niveau, mais attention aussi à la ponctuation. Tu as tendance à ne presque pas mettre de virgule. Ca fluidifie et facilite grandement la lecture, et puis, grammaticalement, elles sont nécessaires. ^^

Un petit relevé de fautes diverses et variées. Probablement pas exhaustif, j’ai eu un peu la flemme de copier/coller par moments.

Spoiler:

Voilà, voilà. Je t’avouerai que ça fait beaucoup. Et ça va plomber un peu la note, au final. Pour la suite, un peu plus de relecture, ce serait pas un luxe. S’il y a des choses que je n’ai pas suffisamment expliquées, n’hésite pas à me demander.

Pour la note, je suis sur du 400D. ‘faut pas considérer ça comme une punition par rapport à l’avis de mes collègues dont je prends tout juste connaissance. Comme dit Rachel, il y a un certain potentiel, mais je suis sans doute beaucoup plus attaché à la forme que Tahar et Rachel, et quand je dois m’arrêter une phrase sur deux pour faire un copier/coller, ça casse le rythme, et je passe sans doute à côté d’éléments qui me botteraient plus dans d’autres circonstances. C’est aussi pour ça qu’on est trois à donner notre avis, parce que tout le monde ne lit pas de la même manière.

Ça te valide donc à 525 dorikis.

Bon jeu !