Dans la vie faut savoir prendre son envol. Il faut savoir quitter son berceau, l’ile natale. Mais un départ sans rien dire ? Non je veux un départ émouvant, un départ qui restera dans les mémoires. Fini les petits trafics. Aujourd’hui je voie les choses en grand. Créer une peur, non créer l’anarchie. Oui il faut qu’à mon départ les Hommes soient déboussolés, il faut qu’ils sombrent dans la folie et bien sûr le plus important c’est que tout le monde sache que c’est moi qui est causé tout ça.
Pour commencer ce plan, il fallait que je mette en place certaine chose. Depuis quelques mois je vol des tonneaux de poudre à canon. J’ai réussi à enlever cinq civils et deux marines. J’ai aussi une dizaine de tête d’homme, mort bien évidemment. Pour ça je suis simplement allé au cimetière. Puis j’ai pris possession d’une maison proche de la grande place. Elle était habitée par un ivrogne, du gâteau. Maintenant il me faut des esclaves, des hommes qui amèneront tout sur la grande place. Il me faut une dizaine de tête. Pour ça il n’y a pas mieux que le bar. Je m’y rends dans la soirée parce que tout doit être prêt pour l’aube.
L’endroit est rempli, j’ai deux solutions, soie je leur propose un boulot, mais vue les horaires je n’aurais pas beaucoup de monde, soie j’y vais par la force. Pas besoin de réfléchir longtemps sur quel mode opératoire je vais me baser.
-Bon, écouté les fifilles. Quoi j’ai dit fifilles pardon, je voulais dire les être unicellulaires sans cervelle ! Vous comprenez pas bande de déchets ? Je vous pète dessus ! C’est pas parce que vous pratiquez tous un sport de combat que vous êtes fort.
Un homme approche et me donne un coup de poing droit, j’esquive par l’extérieur, saisit le poignet avec ma main droite, puis avec la gauche je donne un grand coup sur le coude, sachant que le bras est tendu.
Le coude est cassée, plutôt facile. L’homme tombe et pas besoin de vous dire à quel point il souffre. J’lui marche sur le visage histoire de montrer que c’est qu’un déchet. Puis d’autres arrivent pour combattre.
-Je sais pas vous mais moi j’ai une petite soif.
Je saute, mon pied droit sur la tête d’un homme, le pied gauche sur la tête d’un autre, puis je bois quelque gorgée de ma gourde en me penchant vers l’arrière. Ils essaient de m’attraper mais je fais un salto arrière, je donne un coup de fesse à la troisième personne qui recule et trébuche sur le corps au bras cassé. Là je suis assis par terre tranquillement, la gourde a la main, les jambes croisées.
-Bon j’vous propose quelque chose. Si je vous bats, vous travaillez pour moi ce soir, j’ai un truc à faire.
Bien sûr les hommes m’insultent, ça me fait ni chaud ni froid, j’ai l’habitude des insultes. Pendant que je prends une nouvelle gorgée, les deux hommes me donnent un coup de pied au torse qui me fait faire une, deux non trois roulades arrière et m’envoi dehors. Aie aie. En plus ça m’a fait renverser tout mon alcool… Quand j’ai soif en plus ! Je me relève et je cours à l’intérieur, je saute et donne un double coup de pied sur le premier sur ma route tel un catcheur. L’homme recul sur quelque mètre et renverse une table. D’autres se lèvent. Presque tout le monde se met contre moi.
-Enfin un peu d’attention, je suis touché.
Un homme m’attrape le bras droit, un autre le bras gauche, puis un troisième vient de face pour me frapper. Je m’accroupis, saisi les bras qui me tienne et fait un salto en m’appuyant sur celui qui est en face de moi. Je déséquilibre ceux qui me tiennent, je fais un second salto arrière et donne un coup de pied sur chaque tête. Puis je continue à combattre en me déplaçant comme un singe tout en faisant des grimaces. Des coups, entre les jambes, d’autre dans les yeux, sans oublier les grandes claques dans les oreilles. Un véritable animal.
Pour commencer ce plan, il fallait que je mette en place certaine chose. Depuis quelques mois je vol des tonneaux de poudre à canon. J’ai réussi à enlever cinq civils et deux marines. J’ai aussi une dizaine de tête d’homme, mort bien évidemment. Pour ça je suis simplement allé au cimetière. Puis j’ai pris possession d’une maison proche de la grande place. Elle était habitée par un ivrogne, du gâteau. Maintenant il me faut des esclaves, des hommes qui amèneront tout sur la grande place. Il me faut une dizaine de tête. Pour ça il n’y a pas mieux que le bar. Je m’y rends dans la soirée parce que tout doit être prêt pour l’aube.
L’endroit est rempli, j’ai deux solutions, soie je leur propose un boulot, mais vue les horaires je n’aurais pas beaucoup de monde, soie j’y vais par la force. Pas besoin de réfléchir longtemps sur quel mode opératoire je vais me baser.
-Bon, écouté les fifilles. Quoi j’ai dit fifilles pardon, je voulais dire les être unicellulaires sans cervelle ! Vous comprenez pas bande de déchets ? Je vous pète dessus ! C’est pas parce que vous pratiquez tous un sport de combat que vous êtes fort.
Un homme approche et me donne un coup de poing droit, j’esquive par l’extérieur, saisit le poignet avec ma main droite, puis avec la gauche je donne un grand coup sur le coude, sachant que le bras est tendu.
*Crak*
Le coude est cassée, plutôt facile. L’homme tombe et pas besoin de vous dire à quel point il souffre. J’lui marche sur le visage histoire de montrer que c’est qu’un déchet. Puis d’autres arrivent pour combattre.
-Je sais pas vous mais moi j’ai une petite soif.
Je saute, mon pied droit sur la tête d’un homme, le pied gauche sur la tête d’un autre, puis je bois quelque gorgée de ma gourde en me penchant vers l’arrière. Ils essaient de m’attraper mais je fais un salto arrière, je donne un coup de fesse à la troisième personne qui recule et trébuche sur le corps au bras cassé. Là je suis assis par terre tranquillement, la gourde a la main, les jambes croisées.
-Bon j’vous propose quelque chose. Si je vous bats, vous travaillez pour moi ce soir, j’ai un truc à faire.
Bien sûr les hommes m’insultent, ça me fait ni chaud ni froid, j’ai l’habitude des insultes. Pendant que je prends une nouvelle gorgée, les deux hommes me donnent un coup de pied au torse qui me fait faire une, deux non trois roulades arrière et m’envoi dehors. Aie aie. En plus ça m’a fait renverser tout mon alcool… Quand j’ai soif en plus ! Je me relève et je cours à l’intérieur, je saute et donne un double coup de pied sur le premier sur ma route tel un catcheur. L’homme recul sur quelque mètre et renverse une table. D’autres se lèvent. Presque tout le monde se met contre moi.
-Enfin un peu d’attention, je suis touché.
Un homme m’attrape le bras droit, un autre le bras gauche, puis un troisième vient de face pour me frapper. Je m’accroupis, saisi les bras qui me tienne et fait un salto en m’appuyant sur celui qui est en face de moi. Je déséquilibre ceux qui me tiennent, je fais un second salto arrière et donne un coup de pied sur chaque tête. Puis je continue à combattre en me déplaçant comme un singe tout en faisant des grimaces. Des coups, entre les jambes, d’autre dans les yeux, sans oublier les grandes claques dans les oreilles. Un véritable animal.
Dernière édition par Gold Roger le Ven 1 Mar 2013 - 18:24, édité 1 fois