Le passage qui vous sera présenté se passe en Printemps 1622, en mois de juin. Comme tous mois de juin, la température commençait à grimper, annonçant une arrivée de l’été, même si l’on devait encore attendre la fin d’une saison qui avait permis la renaissance de la nature. Ainsi, sur l’île de Suna Land, on pouvait se dire qu’il était temps de prendre du bon temps parmi toutes les attractions qui pouvaient être proposées sur l’île, pour tous, sauf pour une personne, qui se demandait encore pourquoi elle se retrouvait là, et ce qu’Akisha, son infirmière, voulait lui dire en mettant le verbe « s’amuser » en avant. En effet, la personne au prénom de Daisy regardait les gens avec un air neutre, se demandant en quoi faire toutes ces attractions avait d’intéressant et pourquoi elle se retrouvait dans cet endroit qui était très sécurisé. Une pensée traversa l’esprit de notre héroïne.
*Je m’ennuie… Je donnerai n’importe quoi pour me poser chez moi et lire un bon livre.*
Amatrice de toutes sortes de rédaction, elle avait bien sûr adoré le livre vingt mille lieues sous les Blues ou encore Voyage jusqu’au Centre de Little Garden. De vrais chefs d’œuvres venus d’un auteur qui adorait voyager en mer. Ses livres étaient intéressants, mais pour Daisy, tout cela n’était que pure fantaisie. C’est pourquoi elle ne croyait pas en tous ces mensonges, même s’ils semblaient être tellement réels par leur description. C’était l’imagination débordante de cet homme qui faisait de lui un homme très reconnu dans la littérature. Malheureusement, son nom avait été effacé avec le temps.
Après quelques minutes de marche, la jeune fille remarqua un banc non loin d’un stand de glace. Friande de cette nourriture, surtout lorsque celle-ci est parfumée à la banane ou à la vanille, elle n’hésita pas à dépenser une partie de son argent de poche pour en prendre une et se diriger vers le banc, où une personne était assise. Cependant, Daisy n’en avait rien à faire. Léchant ses deux boules jaunes et glacées avec une extrême délicatesse, l’adolescente remarqua que la chaleur faisait en sorte que son short noir prenait quelques gouttes de la nourriture. Surprise par le froid se posant sur ses cuisses, elle écarta les bras pour sentir ses deux boules et son cône s’écraser sur quelque chose… Remettant directement sa nourriture devant elle, la pauvre constata qu’elle avait tout réduit en bouillie et que ce repas était foutu. D’une voix déçue mais assez forte, elle annonça sans même prêter attention à son voisin barbouillé de glace :
« Oh non… Ma pauvre… Je ne vais plus pouvoir te manger. »
Et d’un geste digne d’un basketteur de haut niveau, elle jeta ce qu’il restait de son repas, non pas dans la poubelle, mais sur le sommet du crâne d’un autre homme qui se trouvait à côté. De son côté, Daisy continuait de regarder l’endroit qu’elle avait visé, et déçue de ne pas l’avoir atteint, baissa la tête encore plus bas… Elle voulait rentrer, et vite. Cependant, nous ne savons toujours pas comment allaient réagir les deux autres personnes présentes sur l’île et qui voulaient sûrement et seulement se divertir.
*Je m’ennuie… Je donnerai n’importe quoi pour me poser chez moi et lire un bon livre.*
Amatrice de toutes sortes de rédaction, elle avait bien sûr adoré le livre vingt mille lieues sous les Blues ou encore Voyage jusqu’au Centre de Little Garden. De vrais chefs d’œuvres venus d’un auteur qui adorait voyager en mer. Ses livres étaient intéressants, mais pour Daisy, tout cela n’était que pure fantaisie. C’est pourquoi elle ne croyait pas en tous ces mensonges, même s’ils semblaient être tellement réels par leur description. C’était l’imagination débordante de cet homme qui faisait de lui un homme très reconnu dans la littérature. Malheureusement, son nom avait été effacé avec le temps.
Après quelques minutes de marche, la jeune fille remarqua un banc non loin d’un stand de glace. Friande de cette nourriture, surtout lorsque celle-ci est parfumée à la banane ou à la vanille, elle n’hésita pas à dépenser une partie de son argent de poche pour en prendre une et se diriger vers le banc, où une personne était assise. Cependant, Daisy n’en avait rien à faire. Léchant ses deux boules jaunes et glacées avec une extrême délicatesse, l’adolescente remarqua que la chaleur faisait en sorte que son short noir prenait quelques gouttes de la nourriture. Surprise par le froid se posant sur ses cuisses, elle écarta les bras pour sentir ses deux boules et son cône s’écraser sur quelque chose… Remettant directement sa nourriture devant elle, la pauvre constata qu’elle avait tout réduit en bouillie et que ce repas était foutu. D’une voix déçue mais assez forte, elle annonça sans même prêter attention à son voisin barbouillé de glace :
« Oh non… Ma pauvre… Je ne vais plus pouvoir te manger. »
Et d’un geste digne d’un basketteur de haut niveau, elle jeta ce qu’il restait de son repas, non pas dans la poubelle, mais sur le sommet du crâne d’un autre homme qui se trouvait à côté. De son côté, Daisy continuait de regarder l’endroit qu’elle avait visé, et déçue de ne pas l’avoir atteint, baissa la tête encore plus bas… Elle voulait rentrer, et vite. Cependant, nous ne savons toujours pas comment allaient réagir les deux autres personnes présentes sur l’île et qui voulaient sûrement et seulement se divertir.