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Drunkun master.

1616 Sortie de prison pour un homme qui se nomme désormais Gold Roger.

Le retour à la vie ordinaire. J’ai dû raser les murs pendant deux ans. Des gros bras ne m’ont pas ménagé. Malgré ma connaissance des arts martiaux, il y a dans cette prison des individus bien plus dangereux que moi. Peut-être parce que je suis encore jeune ? Non, c’est juste que je suis faible. Trop faible pour pouvoir m’amuser sans risquer de retourné en prison. Il faut la puissance. Avec la force même les marines ne pourront m’emmener. Mais j’ai beaucoup appris, la force ne suffit pas. Il faut des plans, des stratagèmes pour éviter les situations critiques. La renommée sa a l’air amusant. Faire tremblait les hommes justes par son nom. J’ai bien envie d’être célèbre tien. L’objectif premier est de me trouver un art martial et de devenir un vrai maître.

Beaucoup de style de combat mais peu intéressant. Le seul style qui m’a plus c’est celui qui se base sur les animaux. C’est beau, en particulier le singe, agile, insaisissable, sournois, provocateur tout le portrait de moi. Je pensais que c’était le seul qui me plaisait. Oui le seul… Pourquoi j’utilise le passé ? Parce qu’hier soir j’ai croisé un homme, un simple ivrogne a vu d’œil, mais en réalité bien plus que ça. Des hommes bien bâtis sont venue le provoquer, l’insulté je ne sais pour quelle raison. Lorsque le combat éclata, l’ivrogne fût surprenant. Il était intouchable, il bougeait de manière improbable. C’était l’anarchie. En tout cas il a neutralisé les hommes sans problème. Là je le suis discrètement, sans me faire repérer. Il a passé la nuit par terre, il s’est endormi d’un coup. Nous nous éloignons de la ville et nous nous dirigeons vers la plage. Il entre dans une petite cabane qui semble être sa demeure. Je frappe à la porte.

*Tok Tok Tok*

-Quoi ?

-Eh le vieux, tu m’apprends ton style d’arts martiaux !

-Demande à t’as sœur !

-Apprends-moi j’te dis !


Il sort, un vieil homme vêtu de vert. Un chapeau sur la tête. Il lui manque quelques dents et le voilà qui sourit bêtement en me tirant la langue.

- Ramène-moi d’abord du saké j’en ai plus beaucoup.

- On me la fait pas ! Je vais te ramener du saké et tu vas rien m’apprendre. Tu m’apprends et je t’amène du saké !

- Je vais t’apprendre et tu vas pas m’amener mon saké. *hic*


Il regarde ma gourde avec insistance. Comme s’il pouvait voir si elle contenait encore de l’alcool. Il s’approche pour attraper la gourde, je le pousse, il tombe. C’est plutôt rapide, il ne bouge plus. Je m’approche puis il se lève d’un coup, donne un coup de pied sur ma gourde pour l’envoyer en l’air, me donne un coup de poing sur le torse qui me fait reculer, puis il saisit la gourde. Ce vieux est .. Trop classe !!

Mais il boit mon alcool ! Alors là je m’énerve et lance un puissant coup de poing, le vieux se penche en arrière pour esquiver et continue à boire, il vide la bouteille et me la lance. Par reflexe j’attrape la bouteille et lui saute et me donne un double coup de pied. Il me fait tomber un peu plus loin et en profite pour fermer sa porte. J’ai rien pu faire, trop fort ! Je me relève tranquillement avec du sable un peu partout.

-Papi entraine moi ! Allé je ferais tout ce que tu voudras.

Seul problème j’entends des ronflements. Il s’est endormi… Il m’a piqué mon alcool et c’est endormi. Arf. Je vais remplir la bouteille dans le bar le plus proche pour passer le temps. Je repars devant la cabane. Plus de ronflement, l’endroit est calme, vide. Il n’a fait qu’une sieste le bougre et c’est enfui. Je l’attends caché derrière ce qui lui sert de maison.

Il arrive la bouteille à la main, j’en profite pour monter sur la cabane et lui sauté dessus. Il fait une roulade arrière, maintenant je bloque le chemin. Il ne peut rentrer chez lui. On va voir qui c’est le plus fort entre moi et un vieux.

J’avance et j’enchaîne les coups de poing, il esquive tout. Un moment il recule légèrement pour boire un coup, j’avance alors que lui revient le poing en avant, bin dans le nez. Le sang se met à coulé. Il m’a bien eux. Je reviens en effectuant un balayage au sol, il s’appuie sur ma jambe, puis l’épaule et saute, il me retombe dessus, enfin il m’écrase. Heureusement que nous sommes sur du sable sinon ma tête aurait subi un grand coup lors de l’impact au sol. J’ai été complètement ridicule. Mais je ne m’avoue pas vaincu. Il est peut être fort mais ces coup manque de puissances. Je me relève alors que lui est allongé juste à côté de moi, il me regarde la bouteille à la bouche.

-Tu peux arrêter avant qu’il soit trop tard. Dit-il le sourire aux lèvres.

- Enseigne-moi et j’arrête de t’attaquer.

- Hors de question. J’ai pas que ça à faire.

-Très bien, tu m’enseigneras que tu le veux ou non.

Il suffit de le vaincre, si je gagne il sera forcé de m’apprendre sinon je le torturais. Mais voilà il me met une bonne rouste. Les jours passent et se ressemblent. L’ancien est toujours imprévisible. Aujourd’hui je ne le combattrai pas. Je pars sur le lieu de ma renaissance. Je me remémore de tout ce qui s’est passé, toute la haine. La prison m’a assagi. Maintenant il faut que je retrouve ma force. Haine et colère sont les deux forces suprêmes. Que ma mère soit maudite, que mon père soit maudit, que tous ceux que j’ai connus avant ma renaissance soient maudit. Je fais le serment de devenir le pire criminel au monde. Je me vengerai de la société qui n’a rien fait pour me sortir de ce calvaire. Je me vengerais de ce monde qui ma emprisonner lorsque je me suis libéré de mes chaines.

Suite à ce jour, la source de ma force est de nouveau opérationnelle. La pitié n’existe pas. Il n’y a que des joueurs qui font ceux qu’ils veulent. J’arrive proche de la cabane et donne un gros coup de pied. Je casse la porte. L’homme n’est pas là. Je détruis sa cabane, la réduit en cendres. Maintenant j’attends.
Il montre le bout de son nez. Surpris de ce que j’ai fait, il m’insulte. Pff

-Si tu ne m’enseigne pas ton art, alors tu mourras !

Je m’avance vers lui en marchant, il remarque que mon regard a littéralement changé. J’enchaine deux coups de poing puis un coup de pied sauté, le vieux s’allonge, je descends en faisant un écrasé du talon. Il le dévie du bras. Il lance son poing pour me donner un coup entre les jambes mais je saute en arrière, l’homme se relève. Je vais lui dévoiler une technique que j’ai apprise avant d’entrer en prison. Je défais mes bandages aux mains. Je lance des attaques, puis je lui lance du sable dans les yeux. Je profite de l’instant et je donne un violent coup de pied dans le menton de l'ennemi et plane en dessous de lui. Je m'enroule avec l'ennemi dans des bandages et me retourne pour percuter violemment le sol la tête la première. Juste avant l'impact, je me sépare de l'opposant.

Ombre

Le voilà la tête dans le sable, une chance pour lui, sur une matière dure il aurait probablement péri. Je le sors de là avant qu’il ne décède, parce qu’ il faut dire qu’il est bien enfoncé. Une fois à l’air libre, il est un peu sonné, je place mon pied sur son cou et lui lance des paroles.

-La mort ou la vie ? Tu sais ce qui te reste à faire.

Le pauvre vieux accepte. Aucun sourire pour moi, d’ailleurs je ne connais pas le sourire. Je ne sais que l’utiliser.

Le lendemain l’entrainement commence. Le professeur ne m’apprécie pas tellement et il se montre dur, très dur à l’entrainement, cela dit tant mieux, je n’ai pas besoin de gentillesse.

-L’équilibre c’est la base. Faire croire qu’on est déséquilibré pour pouvoir attaquer, il faut surprendre l’adversaire. On va travailler ton équilibre.

Je commence à prendre des postures sur deux jambes. J’apprends à me pencher de différentes manières.

-Le relâchement, c’est ça qui fait la force, si tu es raide tu n’arriveras à rien. Relâchement égale vitesse et fluidité. Si t’es raide, tu ne peux rien faire. T’es bloqué. L’alcool peut aider à détendre les muscles.

L’alcool c’est ma vie. Sa consommation me relâche mais je reste moi-même. J’en ai tellement bue que lorsque je dis que je suis saoule cela veut dire que j’ai atteint le niveau maximum de relâchement. Je reste moi-même. Resté stable tout en étant relâché est compliqué. Mais ce n’est que le début. La suite de l’entrainement se passe sur une jambe.

Suite à des mois d’entrainement, j’ai obtenu la stabilité et je peux surprendre n’importe qui. Mon comportement a légèrement changé. En combat moi qui n’avait que la haine, j’ai maintenant de l’amusement, de la passion. J’aime provoquer le vieux me moqué de lui ce qui réduit son efficacité au combat.

Pour fêter ma maitrise de cet art, je vais m’amuser un peu. Montré à la marine que je suis libre maintenant que je n’ai plus de chaine.

Je connais par cœur le chemin de la marine. Leur footing matinal. J’attendrais leur retour histoire qu’ils soient un peu fatigués. Dans la ville. Une vingtaine d’hommes approches. Des marines bien costauds. Le secteur commence à devenir actif. Le monde pourra voir que les marines ne sont que des déchets. Je suis sur un toit. Ils arrivent.

-Les marines ! Vous parlez de justice mais vous n’êtes rien que des fauteurs de troubles, sans vous, les hommes seront plus libres, sans vous chacun sera libre de faire ce qu’il souhaite. Je m’appelle Gold Roger! Je vais vous pourrir la vie !

Des paroles criaient qui interpelle pas mal de monde. Surtout le nom de Gold Roger ne semble pas leur être indifférent. Cela provoque même de nombreux commentaires. Je saute de mon perchoir et atterrie sur un homme, un bon coup de genou dans la tête. Par chance ils ne sont pas armés lors de leur footing matinal. Sans leurs armes ils ne sont pas très dangereux. Ils se mettent à m’attaquer à plusieurs met hors de question de me faire toucher. J’ai bue quelque goutte histoire d’être relâché, très relâché. J’effectue des mouvements imprévisibles ce qui me permet de surprendre mes ennemies et d’effectuer de nombreuses esquives.

Harlem Shake


Je mets tout mon savoir dans ce combat, des coups entre les jambes, d’autres dans les yeux, d’autres sur le cou. De nombreux coups dans les parties sensibles. Je me débarrasse de la plupart d’entre eux facilement. Enfin je me débarrasse de tous sauf un. Un avec une coupe de cheveux étrange. Il est plus grand que tout le monde ici. Il dégage une aura. Comme s’il était supérieur à tout le monde ici présent. Après ces quelques frissons je décide d’engager un combat.
Il ne semble pas très doué, je lui donne de nombreux coups mais il n’a absolument aucun dommage.

Tekkai

-T’es dur toi, enfin on trouve toujours un moyen de casser la pierre.

Je lance des grimaces, des insultes, après chaque coup je fais quelques pas de danse, lorsqu’il tente de me toucher j’esquive et j’imite ces mouvements pour me moquer de lui.

Provocation.


Il finit par craquer et demande une arme au passant, une épée lui et lancée, il la saisit et il me lance un sourire, un sourire qui en dit long. Comme s’il a retrouvé sa force. Son premier coup me touche au visage, ce qui me laissera sans doute une belle cicatrice.

-Alors on fait moins le malin ? On touche pas à mes hommes.

Il continue les attaques, j’esquive comme je peux mais il est bien trop fort, je trouve une ouverture et je vais t’enter la technique de l’ombre, mais une sensation m’en empêche un froid dans le dos. J’ai l’impression que si je tente quelques choses je finirais découpé. Je commence à partir en courant, mais il me poursuit.

-Tu vas nous pourrir la vie. C’est ce que tu as dit. Alors ne fuit pas !

Je n’ai pas l’intention de mourir. Je fuis comme je peux, une ruelle qui finit avec un angle à 90°. Je vais pourvoir tenté quelque chose.

Déplacement félin.


Je me déplace sans bruit et j’escalade la façade lorsque l’homme me perd de vue. Il regarde à gauche, à droite, j’escalade aussi vite que possible puis il regarde en haut. Ouf je suis passé sur le toit à temps.

Une matinée dangereuses, trop dangereuses. Je ne suis pas assez fort pour lutter contre la marine en fin de compte. Je dois encore m’améliorer.