>> Vass Stanov
Pseudonyme : Monsieur Vérité (et en Bretagne, c'est gros faisan au sud) Age: 21 Sexe : Homme Race : un simple être humain Métier : bourreau/sabreur Groupe : Marine d'élite Déjà un équipage : aucun. But : Devenir une légende, que l'on raconte ma vie aux enfants des générations à venir pour les bercer. Être connu comme l'homme qui a mis fin à la piraterie. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Rokushiki (Kami-E, Soru en particulier). Équipements : Actuellement : Un simple katana A l'avenir : Avoir un bout de granit marin à l'extrémité du fourreau, et dans un futur encore plus lointain, un meïtou. Codes du règlement (2) : Parrain : Aucun Ce compte est-il un DC ? : non |
FICHE D'IDENTITEE: Marin Stanov >> Décrivez vous physiquement Je suis un homme de taille moyenne, un mètre soixante-dix-neuf pour être précis, pour soixante-dix kilos. Un corps svelte mais puissant. J'ai choisi de privilégier l'agilité et la vitesse au détriment de la force brute. Mais pour un sabreur, ce n'est pas forcément un désagrément. Ma peau est d'une blancheur laiteuse, sans cicatrices ou autres vilaines choses pouvant altérer la beauté de mon épiderme. J'ai tendance à traîner des pieds et aller très lentement lorsque je marche, ce qui me permet de surprendre mes adversaires par ma vitesse lorsque je combat. Mes yeux noirs sont toujours associés à des cernes donnant l'impression que je suis épuisé... Ce qui est souvent le cas d'ailleurs. Mon petit nez légèrement recourbé, mes fines lèvres rosées et mes traits délicats font que je suis une personne souvent considérée comme séduisante. Mon crane est recouvert d'une chevelure ébène, soulignant un peu plus ma pâleur naturelle, jamais coiffée. Au niveau vestimentaire, je m'habille toujours de la même manière. En premier, je passe une chemise légère aux douces teintes bleues que j'enfile sur ma peau nue, avant de prendre un pantalon bouffant blanc. J'ai customisé les manteaux de marin pour les rendre méconnaissables. Au lieu du blanc, c'est un bleu profond qui domine, tandis que les bordures sont un mélange d'or et noir. Et pour finir, j'ai rajouté de la fourrure blanche à l'extrémité de chacun de mes manches. Pour maintenir ma veste fermée, je passe une bande rouge que je croise plusieurs fois sur mon ventre. Une petite broche pour fixer le tout et me voilà presque prêt. Je glisse mes pieds dans des bottes noires puis enfile deux protections en cuir ébène sur mes avant-bras. Pour finir, je passe des épaulières de la même couleur reliées par un col rigide, le tout bordé de jaune. Pour compléter le tout, je porte toujours dans ma main gauche mon sabre. >> Faites nous une liste de ce que vous aimez et n'aimez pas, sans oublier les répercussions que cela a sur votre vie. J'aime: -La justice : C'est l'envie de faire respecter la loi qui guide mes choix. Je suis une personne intransigeante vis-à-vis des criminels. De mon point de vue, seule la mort est synonyme de sentence juste. -Conserver mes forces : si c'est la justice qui fixe mes buts, c'est ma capacité à savoir garder mes ressources énergétique intactes pour les choses importantes, ce que d'autres appellent fainéantise, qui fixe la manière dont je les atteints. - Dormir : Si je n'ai pas mes 14 heures de sommeil journalières, je suis ronchon. Heureusement, je suis capable de m'endormir n'importe où et n'importe quand. Même si je ne dors que d'un oeil, cela me permet de me reposer. C'est sûrement pour cela que j'ai aussi tendance à bailler avant de commencer de parler, parfois même au milieu de mes phrases. - M'entraîner : Quand je ne suis pas en mission et que je ne dors pas, j'aime passer mon temps libre à perfectionner mon maniement du sabre. - La vérite : Je suis un amoureux de la vérité, j'ai choisi d'être un adepte de ce que l'on appelle l'honnêteté radicale. Je ne dis jamais de mensonges et je dis toujours à haute voix toutes mes pensées. -Les exécutions : Ma lame séparant une tête de criminel de son corps... Rien que d'écrire ces mots, je sens une joie incommensurable m'envahir. - La marine Je n'aime pas: - L'ironie, le sarcasme: Tout simplement parce que je prends toujours tout au premier degré, ce qui fait que je passe souvent pour une personne à côté de la plaque. - Les personnes qui parlent vite et changent souvent de sujet : Car je réponds souvent trop tard à leurs phrases précédentes, donnant l'impression que je suis endormi, ou sur le point de m'endormir, au choix. - Le mensonge, la luxure, le vole, le viole, la corruption: Ce sont tous des crimes méritants la peine capitale. - La piraterie, la révolution et les chasseurs de primes: De la racaille que l'on se doit d'exterminer. >> Racontez-nous brièvement votre passé J'ai grandi sur une petite île de South Blue, avec ma mère et mon frère, de deux ans mon aîné. Bien que pauvre, nous avions une vie heureuse. Je me souviens que chaque soir, maman nous racontait les mêmes histoires pour nous endormir. L'épopée d'un équipage de gentils pirates, menés par un jeune homme portant un chapeau de paille. Ma partie préférée, était celle ou la marine arrivait à combattre sur trois fronts en même temps, balayant les criminels de tous les horizons au péril de leur vie. C'étaient eux les vrais héros de l'histoire, mais mon frère, lui, était fasciné par le fameux Barbe Noire et ses amis. C'est à cette époque que je décidais de vouer ma vie à détruire le crime, en commençant par chasser le mensonge de ma vie, me promettant de dire la vérité pour toujours. En grandissant, nous jouions toujours au pirate et au marin, moi étant évidemment le marin et mon frangin le pirate. Déjà à l'époque, je me servais de bouts de bois comme d'un sabre, tandis que lui se battait à mains nues. Bien évidemment, il avait toujours le dessus, après tout il était plus vieux, mais nous nous amusions bien. Même si avec les années, notre petite rivalité prit de l'ampleur. Nos jeux innocents devinrent des combats qui faisaient rentrer mon frère en sang, mon corps inanimé sur l'épaule. Avec le recul, se battre ainsi à cause de ces histoires d'enfants, c'était sans doute excessif, mais cela avait forgé nos caractères. Je rêvais de mettre fin à la criminalité comme le grand Amiral tandis que mon stupide frérot voulait être le nouveau Barbe Noire. Ce fut lui le premier à tenter de réaliser son rêve. Alors qu'il venait de fêter ses 16 ans, il quitta notre île pour partir à l'aventure, me laissant seul avec notre mère qui était malade . A sa mort, je n'avais que 15ans et je me décidais à partir à mon tour en quête de mon avenir. Je me rendis au centre de la marine la plus proche et me fis recruter en tant que jeune mousse. Durant les cinq années qui suivirent, je m'entraînais dur pour être un marin digne de ce nom. Je me spécialisais dans le maniement du sabre et dans un art précis, l'iaido. Dégainer, trancher et rengainer dans le même geste. Un style mortel et rapide, tout ce que j'aimais. Je vécus le durcissement de la politique de mon employeur de l'intérieur et ce n'était pas pour me déplaire. Cela me poussa à mon tour à me pencher sur les crimes qui étaient commis dans le monde. Chaque jour, nombreuses étaient les victimes et je ne pouvais m'empêcher de rêver à un univers où j'aurais détruit toute trace de criminalité de la surface de la planète, où on parlerait de moi et de mes aventures aux enfants pour les endormir. Malheureusement, tout ne se passais pas comme prévu au sein de la marine. Bien que je me montrais prometteur, mon incapacité, ou plutôt mon refus de mentir à quiconque attira la haine de mon supérieur sur moi, me condamnant à rester un simple troufion pour toujours. Mais il faut croire qu'une bonne étoile m'est consacrée, car au moment où je m'imaginais ne jamais évoluer, un homme en uniforme rentra dans ma vie, ou plus précisément dans ma petite chambre, pour me proposer d'intégrer une marine parallèle, où je serais capable de mettre mes talents au service de la justice : la marine d'élite. Durant les 6 mois qui suivirent, je rejoignis des hommes et des femmes triés sur le volet et nous eûmes droit à une instruction prodiguée par la crème de la crème. Nos journées étaient partagées entre les entraînements aux armes, les divers cours de droit, d'histoire et autres matières indispensables à un bon marin et à l'exercice physique. Sur mes 19 camarades, seulement deux, en plus de moi, arrivèrent au bout de la formation. Pour être définitivement acceptés, il ne nous restait plus qu'à mener à bien une mission. Nous fûmes envoyés tous les trois sur une île d'East Blue, pour arrêter un jeune pirate commençant à faire parler de lui, un peu trop au goût de nos supérieurs. Nous arrivâmes au petit matin sur le bout de terre en question. L'île n'était rien de plus qu'un rocher dépassant de l'eau, que notre cible avait choisi comme domicile selon nos sources. En plus de son habitation, il avait emmené quelques habitants, les rebuts des villes dans lesquelles il était passé, afin d'en faire son futur équipage. Nous avions décidé que l'affrontement direct était le plus simple et pour cette raison, nous arrivâmes ensemble au centre du petit village, devant la cabane de l'apprenti pirate. Mais l'homme que nous devions appréhender ne m'était pas inconnu, il s'agissait de mon frère. Sous les yeux des habitants attirés par le bruit, le combat débuta. Mes deux coéquipiers succombèrent rapidement. Mais moi et mon frangin ne pouvions nous départager. Essoufflés, en sueurs, mon sabre rangé dans le fourreau, je lui affirmais que je ne voulais pas le tuer, que je ne pouvais faire couler son sang sans déshonorer la mémoire de notre mère. Connaissant mon honnêteté sans faille, il me fit ses adieux et me tourna le dos. Se fut l'erreur à ne pas commettre. Ma lame quitta mon fourreau et pénétra sa chair, faisant jaillir le liquide rougeâtre circulant dans ses veines. Mon frère hoqueta de surprise, avant de tomber à genoux. Ma main gauche se referma sur ses cheveux, tandis que la droite tenait toujours mon arme. Je me penchais pour lui murmurer à l'oreille afin que lui seul entende, un sourire sur mes lèvres. '' Désolé, grand frère, j'ai menti. Tu as été reconnu coupable, et la sentence pour tes crimes est la mort. Adieu '' Avant de reprendre plus fort, afin que tous les hommes et femmes présents puissent assimiler mes paroles, tout en posant l'acier sur la gorge de mon grand frère. '' La loi c'est moi ! Et l'ordre! Et nul ne peut l'ignorer! '' La froide morsure du métal fut rapide et la vie quitta le dernier membre de ma famille alors que son sang ruisselait sur son ventre. C'était la première fois que je tuais un criminel et la joie que je connus à ce moment, fut le sentiment le plus puissant de ma jeune existence. Faire régner l'ordre était sans équivalent et je sus à ce moment précis, que j'avais fait le bon choix. Je revins donc victorieux de ma première mission, même si j'avais perdu deux marins dans l'opération, une tête dans un sac pour prouver ma réussite. J'allais enfin devenir un membre de l'élite, et avoir mon premier grade. >> Test RP Avant de commencer, laissez-moi me présenter. Je suis le NARRATEUR. Grand, beau, intelligent et omniscient. Je rêvais de conter l'histoire d'un puissant roi, ou d'un chevalier héroïque, mais suite à un regrettable quiproquo avec mon dieu (certains le nomment le dieu des aléa et du hasard), j'aurais soit disant eu une aventure avec une pingouine nommée ZIP qui serait mineure, bref. Suite à une regrettable quiproquo, je me retrouve à vous narrer la vie de ce marin fainéant, maladroit et sans humour. Donc n'oubliez pas, je sais tout, je vois tout, mais Vass non. Autres petits points. Lorsque notre héros baille, il émet ce son : oah Lorsqu'il prononce un mot en oi en fin de phrase, il baille, ce qui nous donne : "La loi c'est moaaaaaah" Si tout est clair, alors c'est parti pour notre récit. Je vous fais un résumé de la situation où nous retrouvons Vass Stanov. Après avoir tué son frère avec gloire et honneur, pas du tout d'une manière fourbe et sournoise qui ne ressemble pas au protagoniste de notre histoire, le jeune marin a payé un petit équipage de pécheur avec leur bateau pour le ramener à l'école de la marine d'élite. Durant le voyage de retour, ils ont croisé un navire pirate. Vass, fidèle à lui-même, est monté fièrement sur le pont, le sabre au point, le pied sur le bastingage, hurlant à l'abordage. Bon... les vils forbans ont continué leur chemin, tandis que les pêcheurs, eux, ignoraient les ordres du sabreur. Les pleutres arguaient qu'à 10 contre 300, ils n'avaient aucune chance. Il en fallut de peu que le navire se transforme en champs de bataille, mais heureusement le capitaine calma les esprits et envoya Vass dans sa cabine, lui demandant d'y rester jusqu'à l'arrivée. Et c'est ce qu'il fît, non sans prévenir qu'ils finiraient tous pendus dès l'accostage. Le futur marin d'élite comptait en profiter pour commencer son rapport. Dès qu'il fut assis devant la feuille blanche, notre valeureux défenseur de la loi s'endormit comme à son habitude. Et nous voici le lendemain matin, le soleil commence tout juste à faire son apparition et M. Stanov dors sur le sable, non loin de la petite ville voisine de l'académie où il est attendu par son supérieur. En attendant que les premiers rayons du jour réveille notre ami, j'en profite pour vous expliquer ce qu'il fait là. Durant son sommeil, le navire est arrivé à bon port. Aimé comme il était des pêcheurs, ces derniers n'ont pas hésité à larguer le dormeur sur la plage la plus proche avant de reprendre la mer, espérant ne jamais le revoir. Certains rêvaient même qu'une vague l'emporte au large, mais ceux qui pensaient ça, ils n'étaient pas très très gentils. Oh, mais regardez ! Notre loir a fini d'hiberner ! Il s'étire et se frotte les yeux, essayant de comprendre où il est. Connaissant la vivacité d'esprit du gaillard, je peux vous assurer qu'il va lui falloir plusieurs dizaines de minutes pour qu'il se réveille complètement, qu'il réalise où il est, et que si son sabre lui a été laissé, la tête de son frère, elle, est restée dans le bateau. En réalité, la caboche a roulé sous le lit durant la traversée et il faudra près de trois semaines aux pêcheurs pour la retrouver et cela grâce à l'odeur. Mais revenons à notre jeunot en quête de gloire, il est enfin debout. Il est partagé entre une rage sans nom à l'égard des fieffés poltrons et une panique à l'idée que sa mission est un échec sans cette fichue tête. Et voilà, Vass se met à creuser dans le sable... EH OH ! ILS L'ONT PAS ENTERREE ! S'il compte retourner toute la plage, on n'a pas fini... Ah ! Il arrête, maintenant il marche vers la ville, finalement le marin s'arrête et fait demi tour et recommence forer... Maintenant c'est de nouveau un aller vers la cité, puis un retour au trou. Là il est debout et attend. Je peux entendre son cerveau fonctionner jusqu'ici. Enfin ''ici'', je suis partout et nulle part, mais vous avez compris l'idée, je sais que vous avez compris ! Vous êtes des lecteurs intelligents puisque vous me lisez. Nooooon ! Vass s'est allongé et dors. ''La nuit porte conseil'' n'est plus une expression, mais une philosophie de vie chez lui. Mais sa réflexion est interrompue par quelque chose de chaud qui lui frappe le front, le réveillant en sursaut. Celui qui envisage de devenir le prochain Grand Amiral porte la main à l'étrange substance avant de l'amener à sa bouche. Et il crache... Évidemment que ce n'est pas bon la fiente de mouette ! La mouette, qui se nomme Fifi, était en route vers la ville lorsqu'elle avait vu un humain ne demandant qu'à se faire asperger. Elle avait donc lâché du lest sur lui avant de continuer son voyage. Vass a suivi l'animal jusqu'au port. Il est connu ici, tous les marchands on déjà eut à faire à cet étrange homme crachant la vérité au visage de tous et toutes, qui ne s'arrête de parler que lorsqu'il a eu ce qu'il veut. Aujourd'hui, ils le regardent poursuivre un piaf en lui hurlant qu'il est en état d'arrestation pour avoir attaqué un représentant de la loi. La mouette n'obéissant pas, Vass la condamne à mort. Il s'arrête devant le marchant de fusil, un air sévère sur le visage. Il lui parle d'une voix autoritaire : '' Abattez- moi ce criminel ! Sur-le-champ ! -Euh... Quoi ? Qui ? - Mais là ! L'oiseau ! Je vous ordonne de lui tirer dessus ! - Jamais de la vie ! Je ne vais pas tirer sur une mouette pour vous faire plaisir ! Ca va pas bien dans votre tête ! Cassez-vous avant que... '' Le visage du marin commence à virer au rouge... Enfin, il est à peine rose, mais étant donné sa pâleur naturelle, on croirait que Vass va exploser. Mais le boulanger vient désamorcer la situation. '' Fais ce qu'il te dit Bob, sinon il ne va pas te lâcher de la journée. Et le connaissant, il y a une forte probabilité que tu finisses dans une prison au sous sol de l'école. - Bon d'accord... Mais tu me devras une balle Pat ! '' Bob le marchant de fusil attrape une arme, épaule, et tire. C'est un très beau coup, la balle vient se loger dans l'aile de Fifi. Fifi était en train de voler au-dessus du marché, elle aimait bien ce quartier. Il sentait toujours le poisson. Après s'être allégée sur le garçon sur la plage, la mouette avait faim. Alors qu'elle avait aperçu une Dorade sur l'étale d'un humain, et que Fifi s'apprêtait à descendre en piquet pour se saisir de sa proie, elle senti une vive douleur et commença à perdre de l'altitude. Elle tente de redresser, mais le sang colle ses plumes et lui fait perdre de plus en plus de vitesse. Un grand truc en pierre expirant de la fumée se rapproche de plus en plus. Il est trop tard ! POF C'est comme ça que prend fin la vie de Fifi la mouette. La plus grande aventurière de sa génération. Fifi la pourfendrice des anchois malinois, aussi connu comme Fifi au bec d'acier. Fauchée en plein vol par la tyrannie d'un vulgaire mousse. Ses douze enfants feront pour elle plus tard une pierre tombale où sera marqué : Tu as volé près du soleil, tu as reçu de la mitraille et tu es tombée dans un four aux Seychelles. Mouai... Après ce sont des oiseaux, il ne faut pas trop leur en demander au niveau poésie. Ainsi donc, Vass regarde la criminelle à plume tomber dans la cheminée du four du boulanger, Pat de son prénom. Le marin insiste pour récupérer le cadavre de la malfaitrice, Patoche doit aller chercher une perche pour tirer le corps de Fifi des flammes. Ce n'est pas beau à voir, la mouette a perdu toutes ses plumes, ce n'est qu'une masse noire et fumante. Et pourtant, notre monsieur Stanov a le sourire aux lèvres. Il achète un sac de toile et fourre l'animal carbonisé dedans. Oh ! Je vois ! Quel petit être sournois quand il veut ! Je comprends pourquoi il se dirige maintenant droit vers l'école où son supérieur l'attend. J'use encore de mes pouvoirs incommensurables pour vous faire passer le trajet, ce n'est pas très passionnant. Enfin, il arrive à l'école, on le fait attendre dans la cour pendant que l'on va chercher le colonel (?). Durant les minutes qui passent, il essaye de se convaincre que si son chef ne lui pose pas de questions, il n'aura pas besoin de dire la vérité... Et qu'il ne doit penser à rien, sinon il ne pourra pas s'empêcher de le dire... Et voilà l'instructeur qui fait son arrivée, seul. Vass se raidit, son sabre contre son flanc gauche et la mouette dans le sac sur la droite. Il lève sa main et la porte à son visage pour saluer comme il se doit son supérieur, s'envoyant le cadavre carbonisé en pleine joue, ce qui tire un sourire au Colonel. '' On m'a dit que vous reveniez triomphant de votre mission ? C'est bien le cas ? - Oaaaaaaaaaaaaaaaaah... Colonel ! Le pirate est mort, je l'ai abattu moi-même. - Ah oui un pirate, vous vous souvenez de son nom monsieur Stanov ? '' Evidemment qu'il connait son nom, c'était son frère. Zack Stanov ''Evidemment que je connais son nom, c'était mon frère. Zack Stanov. - Oh oh ! Et bien dis donc ! Vous êtes dévoué comme garçon, je n'oublierai pas de le mentionner. Vous pouvez aller vous reposer, vous l'avez bien mérité. '' Vass ne put retenir un: Ouf. '' Ouf... - Vous avez dit quelque chose ? - Oui monsieur, j'ai dit ouf. - Pourquoi dites-vous ouf ? - Car vous ne m'avez pas demandé ce qu'il y avait dans le sac que j'avais emmené pour vous. - D'aaaaaccord... Et qu'avez-vous dans ce sac ? - Une mouette morte carbonisée. - Et pourquoi vous vouliez me donner une mouette ? - Pour vous faire croire que c'était la tête de mon frère que j'ai perdu lorsque les pêcheurs qui me ramenaient m'ont jeté sur la plage non loin d'ici alors que j'étais en train de dormir. - Eh bien... Autant de mots dans une seule phrase... Mais que vouliez-vous que je fasse d'un crâne ? - Mais, monsieur, c'est vous qui m'avez dit de vous le ramener. - Quoi ?! Mais jamais de la vie ! - Mais si, vous avez dit : '' Ramenez-moi sa tête '' - Sérieusement ? C'était une expression, débile ! Je ne fais pas collection des têtes humaines ! Allez ! partez ! Je vous ais assez vus ! Et bon travail quand même... '' Vass salue une nouvelle fois son Colonel, s'envoyant de nouveau les restes de Fifi en plein visage, puis se dirige vers sa chambre, pour un repos bien mérité. Et voilà cher lecteur, notre histoire s’arrête ici pour aujourd'hui. Mais je vous retrouve bientôt pour la suite. IN THE NEXT EPISODE : Vass va recevoir son nouveau grade. Vous verrez la progéniture de Fifi partir en chasse. Douze mouettes bourrées aux anabolisants demandant vengeance, poursuivant notre héros sur les quatre mers, et au delà. Elles seront connues plus tard comme ''l'armée des douze mouettes''. Et bien plus encore ! |
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Informations IRL
- Prénom : Axel
Age : 22
Aime : Sport (Sanda), rire, manger, cuisiner.
N'aime pas : Les chiens, le chou et le manque d'humour
Personnage préféré de One Piece : Zorro, Mihawk et Trafalgar égalité ^^
Caractère : Impulsif, fainéant et doté d'un sens de l'humour hors du commun.
Fais du RP depuis : 4/5 ans
Disponibilité :5 (voir 6) /7
Comment avez vous connu le forum ? Google bien sur !
Dernière édition par Vass Stanov le Dim 10 Mar 2013 - 14:50, édité 13 fois