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L'expérience

La prison reste la pire chose que j’ai vécue. En tout cas de mon point de vue c’était horrible. C’est pourquoi je vais préparer quelques plans pour y mettre l’anarchie. Je ne passerais pas à l’acte maintenant, je ne suis pas encore assez fort. Mais le jour viendra où les marines seront submergées par l’anarchie de leur prison. En attendant j’ai lu une annonce sur un journal que j’ai trouvé par terre.

Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide d’Alerto Den Den et Projecto Den Den. Les hommes qui participeront toucheront deux millions de berry.

Intéressant, vraiment très intéressant. Je peux me faire un petit paquet d’argent. De plus cela ne dur que deux semaines. Je pars donc à l’endroit où le recrutement a lieu. Il y a du monde, un peu trop de monde à mon goût. Ils ont tous un papier en main, ça doit être le formulaire. Je regarde sur le côté et trouve un petit stand qui les distribue. Une femme plutôt ravissante me donne la feuille avec un joli petit sourire. Je commence à sortir le grand jeu. C’est sûr que je lui plais hé hé hé. Mais j’ai perdu du temps, beaucoup de temps et les inscriptions se terminent. Là, un homme bien vêtu fait son apparition. Il a des esclaves derrière lui. Fascinant. Alors, voilà un moyen de rabaisser l’être humain. Je prendrais la place de celui-là. Pendant que je réfléchis à un plan pour lui voler ces habits, il annonce les hommes qui participeront à l’expérience. Des chanceux ? On va voir ça…

Je prends en filature le groupe qui s’éloigne des habitations. Ils se dirigent vers bâtiment légèrement à l’écart de la ville. Je m’arrête pour ne pas me faire voir et je les observe de loin. Celui qui finance c’est probablement le noble ou bourgeois, je sais pas qui c’est mais il va regretter d’être venu au monde. Le voilà qui revient accompagné de ses esclaves. L’expérience ne commence probablement pas tout de suite. Il doit y avoir des règles et autres à mettre en place.

Accompagné de ses esclaves il passe proche de moi sans me calculer. Comme si je suis un microbe qui passe par là. Maintenant je vais l’avoir avant qu’il rejoint du monde sinon je risque de me faire repérer. Je casse une vitre ce qui attire l’attention de du groupe. Je prends un bout de verre et cour vers le noble. Les esclaves semblent vouloir se mettre sur ma route.

-Laissez-moi faire et vous serrez libres !

J’ai pas l’impression qu’ils m’écoutent. L’homme est si important qu’ils en ont peur même s’il meurt ? En tout cas s’est pas quelques frêles esclaves qui vont me bloquer. Je passe sans les frappés puis j’atteins le boss.

-Que… Que voulez-vous ?

Je lance simplement un sourire et l’assomme. Les autres me posent des questions, bla bla bla, j’ai pas que ça à faire. Alors c’est simple je mets une bonne raclée à la dizaine d’esclave, je leur vole leur collier, et je leur grave sur le corps Gold Roger, grâce au bout de verre. Le noble je lui vole simplement ses habits. Je peux pas les laisser comme ça, il risque de gâcher mon plan… Bon pas le choix, je les tues et puis voilà. C’est donc avec quelques égorgements que je finis mon boulot. Je grave aussi le nom de Gold Roger sur le noble, faut qu’on sache que c’est moi hein ! Puis je pars l’esprit libre, je n’ai pas oublié de cacher leur corps. S’ils sont découverst trop rapidement je ne pourrais pas m’amuser.

Sous mon accoutrement de noble, ni vu ni connu, à mon approche la porte s’ouvre. Un homme m’accueille et remarque rapidement que sous le chapeau ce n’est pas le noble qu’il attendait. Un bon direct dans la tête, suivie d’une saisit, puis un deuxième coup, troisième enfin je continue jusqu’à ce qu’il soit K.O. Deux porte s’offre à moi. L’une probablement à la salle des scientifiques, l’autre à la prison. Gauche ou droite ? Bon.

-Plouf plouf, sa serra toi que je choisirais au bout de trois, un, deux, trois.

Je tombe sur la porte de droite mais je voulais aller à gauche en réalité, donc je triche comme tout le monde.

-Mais comme la reine et le roi ne veulent pas ça ne sera pas toi.

Bon je dois toujours aller à droite mais j’ai pas envie. Vu que je fais ce que je veux, je vais à gauche. La porte est verrouillée… Tout ça pour ça. Bon l’autre porte alors. Là je trouve une dizaine de scientifique.

-Qui êtes-vous monsieur ?

-Moi je suis Gold Roger.

Le sourire aux lèvres marche bien avec cette phrase. Tous les hommes sont en état de choc, une petite crise cardiaque serait le bienvenu mais bon. Je dois encore écraser des microbes pour pouvoir m’amuser. Une fois tous facilement maitrisés, je les attache avec ce que je peux et leur met les colliers d’esclave, je n’ai pas oublié l’homme du couloir qui se joins à nous.

-Bon, c’est ça faire partie de la marine ? On regarde tout tranquillement. Ils se la coulent douce. J’aimerais bien faire partie de la marine tiens. Mais en même temps je veux pas parce qu’il donne trop d’ordre. Fait pas si, fait pas ça, viens ici, mets-toi là. Réponds quand on t’appelle, sois poli dis merci. Mange ta soupe, allez, brosses-toi les dents. Bla bla bla. S’il pouvait fusionner avec les pirates sa serai bien beau. Ah mais ouéé ! C’est ça, capitaine corsaire. Hum. Quoi j’ai pensé à voix haute ? Oups.

Bon place aux jeux. Je regarde le premier jour sans rien faire. Le deuxième jour semble toujours aussi nul. Je contact les gardiens grâce au den den mushi.

-Allo, ici les scientifiques. Il faut que vous soyez respecté. Si vous ne réagissez pas face à la provocation alors personne ne touchera son argent. Si les règles ne sont pas respectées à la lettre, personne ne touchera son argent. Appel terminé.

Je suis de nouveaux spectateurs. Les prisonniers sont particulièrement calmes. Les gardes aussi. C’est d’un ennui. La matinée finie, place au repas. Un repas pas très bon. Je dirai même plus, dégueulasses. Dans les instructions qu’ils ont eues, les prisonniers doivent finir leur assiette. Mais là, c’est impossible qu’ils avalent ça. Alors les numéros commencent à se plaindre. Les gardes goûtent et recrachent aussi tôt. Mais les ordres sont les ordres. Alors voilà les premières provocations. Les prisonniers jettent leur nourriture. Comme ça, leur assiette son vide. C’est carrément du manque de respect. Les représentants de l’ordre sous pression sont obligés de réagir. Ils envoient en isolement le premier homme qui a rouspété. Les autres n’ont rien mais ils sont averties, a la moindre chose ils recevront.

Le troisième jour. Tout est revenu dans l’ordre. Les prisonniers sont calmes, les gardes aussi. C’est sans doute le pire groupe d’individus sur lequel je pouvais comptais. Les prisonniers rasent les murs, les soldats donnent des instructions poliment… J’attends la tombée de la nuit pour pouvoir faire quelque chose. Une fois que tout le monde dort, je m’introduis par la porte qui était verrouillée, oui j’ai pris les clefs. Je passe discrètement, ouvre une cellule qui contient une personne. Ma première attaque, les doigts dans les yeux. Oui je lui crève littéralement les yeux, les lui arrache et je m’enfuis. Son cri réveille tout le monde. Enfin de l’action.

De nouveau au poste de commande, j’admire le spectacle. Le sang qui coule, la haine des prisonniers qui dénoncent les gardes. Les insultes ne s’arrêtent pas. Les gardes ne savent pas quoi faire. Ils soignent comme ils peuvent le détenu numéro 47. Mais la haine des autres ne fait que grandir. Le numéro 74 se fait remarquer. Il a littéralement tordu les barreaux de sa cellule et sort. Il engage un combat contre les gardes. Leur surnombre leur permet la victoire. Mais quel monstre ce numéro 74. Les huit gardes n’ont pas le choix, une réaction leur est demandée. Le détenu 74 est amené dans les toilettes.

-Pourquoi fait tu ça ? Tu sais très bien que l’on ne peut te laisser jouer aux rebelles. Alors voilà ce qu’on va faire, tu vas nous présenter t’es excuse et nous dire que tu n’es qu’un prisonnier.

Un garde plutôt fou, ça fait plaisir à voir. Il se fait insulter par un de ces hommes puis par le détenu. Mais voilà quelques choses d’intéressant, il attrape le détenu et lui met la tête dans les toilettes. Il dit qu’il ne s’arrêtera pas temps que l’autre ne dit pas ce que le garde veut entendre.

-Eh les scientifiques. Avouées que c’est cool hein. La tête dans les toilettes ! Ha ha ha. Aller chanter avec moi. Il lui a mis la têteu la têteu, il lui a mis la tête dans les toilettes, la tête, la têtête, la tête ! Aller chanter sinon, je vous coupe la langue et vous ne pourrez plus jamais reparler.

Voilà que tout le groupe m’accompagne dans mes chansons plus ou moins folles. Les scientifiques pleurent, sont dégoutés. Moi je rigole. Je pensais que ça les amuserait un peu. Toujours aussi sérieux ces scientifiques.

Le quatrième jour, honnêtement, j’ai foutu un vrai bordel, les prisonniers profitent de l’heure de détente pour se rebeller. Des appels au den den mushi sont effectués de la part des gardes, ils veulent que cela cesse. En réalité ils n’ont rien fait, mais là, un combat est engagé. Tout le monde combat. C’est le chaos. Ils sont lamentables, c’est trop drôle. Comment des hommes peuvent être aussi facilement manipulés ? Je pars pour leur donner une bonne correction. Parce que j’veux m’amuser aussi !

La porte de sortie est ouverte, ils pensent tous que c’est la liberté. Erreur, ce n’est que moi.

-Vous êtes tous inutiles. Vous n’êtes bon qu’à devenir des esclaves. Je m’appelle Gold Roger, je détruirai tous les hommes, car vous êtes que des déchets.

Une vingtaine, je me concentre sur la source de ma force. La haine envahit mes poings, je ne cherche même pas à esquiver. J’avance et donne un coup monstrueux au premier que je croise. Il tombe par terre et ne se relève pas. Tout le monde saute sur moi. Je me bats sans esquiver, qu’avec la haine qui m’anime. Je frappe de manière imprévisible, la combinaison du drunkun master avec la technique du singe me rand mobile et me fais esquiver les coups à mon insu. Puis je réalise que l’esquive est devenu un réflex chez moi, je ne suis peut-être pas un gros cogneur, mais j’ai une bonne esquive et donne des coups bien placé. Mes mouvements surprenant, à terre, dans les airs finissent par tous les neutraliser. Il ne reste plus que le numéro 74.

-Gold Roger ? Tu n’es qu’un usurpateur d’identité, tu nous traite de déchets mais tu n’ai probablement pas mieux que nous. Mais tu vas souffrir pour ce que tu viens de faire !

Les sourcils froncés, une expression de colère sur son visage, il va passer à l’action.

-C’est donc cette expression la haine. Il faut que je m’en rappelle.

-Arrête de te foutre de ma gueule.


Il vient pour donner un coup, j’esquive en me penchant vers l’arrière tout en regardant son visage. Puis je donne un coup de pied entre les jambes et disparais de son cham de vision.

Les pas des ténèbres.


J’ai littéralement disparu pour lui. Il ne sait pas où je suis, mais tout ce qu’il sait c’est que je suis ici. Il bouge dans tous les sens mais ma technique est au point. Les ténèbres, voilà ce qu’il voie. Rien. Le néant. Après quelque temps d’observation je décide de lui montrer qu’il n’est qu’un déchet. Je lance un coup de pied sauté dans la tête, au même moment il se retourne, m’attrape, me plaque au sol. Il s’assied sur moi. Je souris et fait une petite dans oriental avec les épaules. Il lance un coup de poing monstrueux, J’esquive de peu. Pour lancer son coup, il a mis tout son corps. Probablement à cause de la provocation. Maintenant son corps ne retient plus mes corps, je sors de son champ d’action.

-Eh ben. C’est vrai que t’es un monstre numéro 74. Enfin, en monstre en peluche. Mais ces monstres ne font peur qu’aux enfants hein. Pour moi t’es qu’un nounours. Dans mes bras.

Je m’approche les bras tendus et lui me donne une droite au visage. Mon regard sur le côté, je m’arrête quelques instants. Ensuite je le regarde, un léger sourire et quelques pas de danse tout en lui proposant de venir danser avec moi parce que ce qu’il fait c’est pas du combat.

*Provocation*

En réalité, son coup ma sonnée quelques instants c’est pour cela que je n’ai pas bougé. Le monstre revient à la charge, droite gauche, j’esquive puis il tente un plaquage en m’attrapant les jambes. Etant trop vif pour lui, je fais une roulade sur son dos. De nouveau face à face, j’imite les deux coups de poing qu’il a voulu me mettre en les fessant grossièrement dans le vent tout en me dandinant. Il a littéralement les veines qui sort le bougre. Il saute sur moi, je m’allonge. Il se retrouve par terre, moi je le regard allongé tranquillement, la tête sur la main. Il me manque plus que le thé.

-Eh petit scarabée, je suis là. Mais tu sais, c’est pas de ta faute, c’est ce monde qui t’a obligé de faire ça, comme si on pouvait vivre de ses plaisirs tranquillement. Bon écoute j’ai un marché à te proposer, tu éclates ta tête sur le mur, ou je l’éclate sur le mur. Choisi. Ensuite, t’aura encore la tête dans les toilettes !! Ha ha ha c’était beau.

Boum

La porte d’entrée est défoncée. En réalité, depuis de nombreuses secondes quelqu’un tapé. Un groupe de marine envahit les lieux. Ils trouvent les scientifiques dans un état déplorable, mentalement atteint plus que physiquement. Ensuite ils arrivent dans la fausse prison.

-Qui est Gold Roger ?

Deux personne debout au millieu de corps, je réponds que c’est moi mais… Ma cicatrice me démange, oui c’est cet homme qui me la fait. Depuis notre dernière rencontre je ne me suis pas entrainé, il va me massacrer.

Soru.


Il arrive en face de moi et m’attrape d’un bras, me plaque au sol avec force et me met sa lame sous le cou. Je peux rien faire. Je ne veux pas retourner en prison… Je veux pas !

-Je me souviens de toi. Tu as touché à mes hommes. On touche pas à mes hommes.

-Hé hé hé, HA HA HA. Tu vois cette cicatrice, regarde là bien c’est toi qui l’as créé. Alors pour me venger, toutes les marines auront la même. Non ce n’est pas très original. Je vais t’enlever un œil. Qu’en dis-tu ?

Lorsqu’il allait me répondre, je lui crache au visage, ce qui diminue sa vigilance, je pousse son katana d’une main, de l’autre je lui crève l’œil. Je lance un deuxième coup pour en finir avec ça vue.

Tekkai

Je loupe mon coup et je m’écrase sur le visage. J'me fait mal aux doigts. C’est comme la dernière fois, son corps est tout dur. Il me donne un coup de poing pour m’assommer. Mais je ne m’évanouirai p…

J’ouvre les yeux. Non, non non non non. Je vais pas encore perdre des années de ma vie ici. Je m’évaderai. Je suis face à un homme, dans un lieu bien différent du précédent. Entre quatre murs et face à un homme derrière un bureau.

-Vous n’avez pas retenu la leçon. Vous serrez transférez dans une prison plus importante de south blue. Avant vous disiez ne pas avoir de nom. Aujourd’hui vous vous faites appeler Gold Roger. Répondez !

-Tu penses me faire peur ? Même ligoter je suis plus fort que toi. Oui je suis Gold Roger. Mais toi tu n’es rien. Vous allez tous le regrettez, ho oui. Je n’oublierais pas vos têtes. Le jour viendras où tous ce qui m’ont empêché de faire ce que je veux, souffrirons. Celui qui m’a attrapé risque de s’en souvenir toute sa vie pour commencer et ça ce n’est rien. Toi ta langue te sert beaucoup, il serait dommage que tu la perdes.

-Faite le taire ! Emmenez-moi ce fou !


Les soldats m’attrapent et vont m’amener dans ma cellule temporaire.

-Peureux, peureux. La la la la la. Oué reste bien assis ou t’es sinon tout le monde verra que tu t’es chié dessus. O merde regarder les gars, c’est tout mouiller par terre on se demande pourquoi !
    Ça fait deux jours que j’suis isolé. Aujourd’hui, jour de mon transfère. Enfin, c’est d’après leur plan parce que j’ai pas l’intention de me laisser faire. Faut que je trouve un plan. Même avec des menottes sa devrait le faire vue que je suis souple. Enfin je réfléchit tellement à des techniques d’évasion que je n’ai même pas remarqué les scientifiques qui me parlent. C’est les mêmes qui m’ont accompagné pendant les quatre jours de jeux. Ils aimaient pas trop ma façon de joué mais bon.

    -Vous voulez quoi ? Arrêtez de me regarder comme ça ! J’suis pas un animal en cage !

    Avec une camisole, je me déplaçais comme je pouvais et lorsque j’atteins les barreaux je les mords pour montrer mon mécontentement.

    -Fascinant. Nous allons le prendre finalement. Monsieur vous payera ne vous inquiétez pas, l’argent n’est pas un problème.

    -Eh ! De quoi vous parlez ? J’suis pas à vendre ? On le prend… Mais c’est moi qui vais vous prendre et vous retournez le cerveau avec vos sourires. Oué rigole rigole, on verra qui rigolera à la fin.

    Finalement des gardes entre et m’assomment. Je ne pourrais pas m’enfuir comme prévu. Fait chié, j’vais encore me retrouver en taule…


    J’ouvre les yeux, une cellule classique. Enfin presque classique parce que mon conpagnon de cellule c’est le numéro 74, le c’est exactement la même personne que l’expérience. Un gros bras. Mais on n’est pas deux dans la même pièce, on est quatre. Le numéro 24 un gros avec un air d’abrutie, le numéro 43 un vieux. Puis moi j’suis numéro 57. Je tombe qu’avec des mecs louches. J’reste allongé tranquillement mais un bruit vient déranger tout le monde.

    -C’est l’heure du repas ! Sortez et plaçais vous sur la ligne.

    J’vais lui mettre sa ligne ou je pense. J’obéis calmement. J’ai pas trop envie d’attirer l’attention sur moi. Suffit de faire le discret et lorsque j’aurai un plan j’m’enfuirai.
    La journée passe et aucun n’indice, aucun défaut dans le changement des gardes. Les lieux sont bien encadrés. Pendant les pauses j’essaie de trouver des associés pour une éventuelle évasion mais rien à faire. C’est comme s’ils sont tous contre moi. Même si certaines personnes me disent oui, je sens qu’ils ne sont pas motivés.

    Au bout de trois jours enfermés je décide de passé à l’action. Je monte les personnes, les uns contre les autres. Je raconte toute sorte d’histoire. Cela ne porte pas ces fruits. Etrange, trop étrange. En plus pour une grande prison, elle n’est pas si grande. Je vois environ une quarantaine de prisonnier et une quinzaine de garde. De plus pourquoi il y a le numéro 74. Il n’a rien fait, les scientifiques ont tous vu. Ce pourrait-il que ? Je vois… Ils s’amusent avec moi comme je me suis amusé avec eux. Voilà la raison de tout ça. Donc tout ce monde, c’est juste des hommes ordinaires. Je vais pouvoir les massacrer. Ils pensent que le numéro 74 pourra me calmer. Des rigolos.
    L’après-midi, pendant la pause je m’approche du numéro74.

    -Eh comment t’es arrivé ici ?

    Ombre

    Juste avant qu’il ne répond je donne un violent coup de pied dans le menton et plane en dessous de lui. Je saisis l'ennemi et me retourne pour percuter violemment le sol (la tête la première). Juste avant l'impact, j’me se sépare de l'opposant. Il est complètement h.s. Je regarde les escargots qui filment, comme pour dire au scientifique que votre valeur sûre ne vaut rien. Les gardes interviennent tandis que les prisonniers regagnent leur cellule. Une quinzaine de personnes. Allé c’est parti, j’me craque le cou et les doigts puis je cour vers eux, je saute et donne deux coups de pied. Avec des tongs fa ils essaient de m’avoir, moi je recule, recule jusqu’à être dos à un mur. Je ne suis pas bloqué pour autant. Je saute et m’appuie sur un mur. Je monte sur le dos d’un, je m’agrippe bien comme il faut. Leur autre vienne mais il son tombé dans le piège. Je donne un coup de coude dans la tête, puis j’attrape la tong fa. J’ai pratiqué pas mal d’arts martiaux, au final je maitrise beaucoup d’arme.

    Vertige.

    Je tape les oreilles des gars ce qui les met relativement vite à terre. Je suis trop vif et rapide pour eux. Ce ne sont que des hommes ordinaires. Je pars en courant et cherche la sortie. Je finis par trouver une porte. Elle mène nul pars. Je donne des grands coups de tong fa pour ma cassée. J’arrive finalement à la défoncer. Je fonce dans la salle de contrôle, vide. Je sors et fonce vers le poste de la marine.
    Sur la route je trouve les scientifiques paniqués, ils courts se réfugier. Mais je vais me venger !

    Déplacement de félin

    Je suis sur les toits, sans faire de bruit je m’approche petit à petit. Puis je fais un saut de l’ange. La tête la première, j’attrape deux têtes de scientifique et les éclate contre le sol tout en tombant avec classe sur mes deux pieds. Accroupie, les autres me regardent. L’un sort un pistolet, je jette les deux corps en avant.

    Les pas de ténèbres

    Je profite du fait que les corps on réduit énormément le champ de vision des scientifiques. Je me suis replié dans une ruelle. Paniqués, les sept qui restent regardent dans tous les sens. Puis ils repartent en direction du QG. J’avance finalement par derrière. Sans bruit, je les rattrape et attaque celui qui à l’arme. Je donne un grand coup de pied dans sa main ce qui envoie l’arme bien loin. Je combats et remporte la victoire facilement.

    Ils ne sont pas morts, non. Je n’aime pas la mort. Cela réduit les possibilités de jeux. Ils pourront augmenter ma réputation même s’ils n’ont plus de cheveux ha ha ha. Des vrais bonzes. Trop bien mon idée de les raser. Puis j’ai aussi coupé leurs sourcils et je les ai collés plus haut pour qu’ils aient l’air étonné. J’me suis bien amusé avec eux. Dommage, ils vont probablement quitter l’ile suite à ça.