>> Geremiah Stainback
Geremiah Stainback | Pseudonyme : G. Age: 27 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Professeur d'art martiaux Groupe : Civil puis probablement Chasseur de Prime mais je veux faire le RP d'obtention du permis avant. But : Se venger de l'homme qui a tuer son grand-père. Rendre à son dojo sa gloire d'antan. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Rien pour le moment. Équipements : Un jean, un T-shirt moulant, une chaine, des gants de combat renforcés. Codes du règlement (2) : 1 : 2 : Parrain : Aucun. Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Bah personne du coup |
>> Physique Geremiah a passé une grande partie de sa vie à pratiquer les art martiaux de façon intensive. Son corps s'est donc lentement adapté à cette pratique rigoureuse et en porte aujourd'hui les traces indélébiles. La chose qu'on remarque donc au premier regard son ses muscles ciselé, qui semble être aussi dur que de la pierre. L'impression de puissance écrasante qu'on semble ressentir n'est pourtant que la partie émergée de l'iceberg. La vérité c'est qu'après près de vingt-cinq années de pratique des art martiaux chaque partie du corps de Geremiah est devenue presque aussi dangereuse qu'une arme. Ses bras et ses mains, une fois en action, sont comme des étaux dont un homme non entrainé aurait bien du mal à sortir. Certain disent qu'il serait capable de broyer une pierre avec la seule force de sa poigne. Pourtant les cales et la cornes qui recouvrent ses mains prouvent qu'il est bel et bien un simple être humain. Ses jambes quant à elle sont réputées pour leur incroyable solidités. Cela peut sembler incroyable à quiconque ne l'aurait pas vu de ses yeux, mais Geremiah est capable de fendre entièrement un rocher de plus d'une tonne, et ce à la seule force de sa jambe droite. C'est en tout cas ce que rapporte les rumeurs à son sujet. Malgré sa force qui semble dépasser l'imagination de beaucoup de gens, Geremiah porte sur lui les stigmates de son humanité. De profondes cicatrices zèbrent son dos comme autant de coups de fouet qu'il a pu recevoir pendant sa jeunesse. Certaine rumeurs disent qu'il se les ait fait lui-même, d'autres que c'est un rival puissant, d'autres encore que c'est l'homme qui l'a élevé qui, par simple cruauté, l'aurait marqué à jamais. Nul ne sait, si ce n'est Geremiah lui-même. Heureusement, G. de son petit nom a aussi certains aspects de sa personne plus agréables que la machine de guerre moirée de cicatrices durcit par le temps. Ses yeux d'un bleu océan font, semble-t-il, des ravages parmi la gente féminine. De même que ses long cheveux noir jais, ou brun chocolat selon ses humeurs capillaires. G. prend à ce point soin de son corps qu'on le prend souvent pour une "fashion victim". Ce n'est pourtant pas vrai, selon sa philosophie, prendre soin de son corps fait partie intégrante des arts martiaux. Cela permet ainsi d'avoir un corps toujours au top de ses capacités et de pouvoir en tirer le maximum de force tant celui-ci est reconnaissant à son propriétaire de l'avoir bichonné. Enfin, c'est ce qu'il dit. >> Psychologie Toutes les personnes qui connaissent G. le voit comme une personne gentille, sympathique, avenante. Bon, il est aussi un peu dragueur et extrêmement exigeant quand il s'agit d'art martiaux. Mais tout cela n'enlève rien à ses qualité première. Sa vie durant Geremiah a été élevé au travers de huit grand principe fondamentaux qui était au cœur de sa pratique martial. Il a cependant une manière assez personnelle de les interpréter. - La politesse : Celui qui ne lui dit pas "Bonjour Professeur, l'homme le plus beau et plus fort du monde!" doit faire cent pompes. Cela peut-être ramené à seulement quatre-vingt-dix-neuf s'il manque seulement la deuxième partie ou au contraire augmenté à dix-mille en l'absence totale de bonjour. - La courage : Être capable de parler devant son grand-père (devant sa tombe maintenant qu'il est mort) sans trembler de peur est une preuve de courage pour G. - La sincérité : Faire dire à ses élèves qu'il est beau et fort fait partie de leur entrainement à la sincérité. - L'honneur : Quand il autorise un élève à se prendre une raclée mémorable contre lui, c'est le plus grand honneur qu'il puisse donner. - La modestie : Savoir qu'on est toujours plus faible que quelqu'un, surtout son propre grand-père. - Le respect : Être capable d'effectuer l'entrainement de G. sans mourir est une preuve de respect de la part de ses élèves. - Le contrôle de soi : Pour G. il s'agit là d'être capable de ne pas demander le numéro d'une femme dès qu'il la croise. Et c'est pour lui une aussi grande épreuve que celle de parler devant son grand-père. - L'amitié : Quand ses élèves lui donnent de l'argent, ça c'est de l'amitié! Cependant G. possède aussi une part de lui qu'il montre moins souvent. Celle d'un homme en quête de sang, de tripe et d'os brisé. C'est un côté de lui qu'il ne montre que rarement, sauf lorsqu'il se met en colère. Heureusement pour la plupart de ses élèves, mettre en colère G. revient plus ou moins à faire fondre de l'acier avec une allumette. C'est possible, mais il faut y consacrer beaucoup de temps (vraiment beaucoup). Certains événements passés font que G. possède néanmoins quelques endroits sensibles dans son âme. Prenez garde si il vous arrivait de les toucher, il pourrait se mettre en colère. >> Biographie Chapitre 1 : La sagesse du vieux tigre L'histoire de G. commence en 1598 sur l'île du Karaté en plein cœur de South Blue. Tout juste né sous le nom de Geremiah, il s'était déjà attiré la profonde inimitié de son grand-père et futur maître, Tarh Saintback (dit le tigre à deux pattes). Qu'avait-il fait de mal pour s'attirer l'antipathie du vieil homme me direz-vous? Tout ce qu'il avait pu faire, et ce n'était pas de sa propre volonté, était de faire souffrir lors de sa mise au monde sa propre mère, pendant près de soixante-quinze heures. Il faut savoir que le vieux Tarh tenait extrêmement à sa fille. Le mari de celle-ci l'ayant lâchement abandonné en apprenant sa grossesse (avant de se faire punir pour le moins sévèrement par Tarh), la jeune femme était devenue très fragile et son père avait immédiatement décidé que quiconque faisant souffrir de nouveau sa fille subirait son courroux. Vous comprendrez dès lors la situation des plus inhabituels dans laquelle le jeune Geremiah est né. Cela ne l'empêcha pourtant pas d'intégrer à l'âge de trois ans (sans doute plus par tradition que par réelle envie), l'école d'art martiaux de son grand-père : L'école du Tout et du Rien, l'un des très nombreux dojo de l'île. On y enseignait le Handô, un art martial que maître Rakkik, le grand-père du grand père du grand père... du grand père de Geremiah avait inventé. Cet art ancestral avait pour but de maitriser cinq voies martiales au travers de huit principe moraux. Âgé de trois ans à peine, le jeune Geremiah savait à peine marcher quand on lui demanda de se plier à un entrainement très rigoureux. La première voie martiale que les jeunes disciples du dojo apprenait était la voie de la souplesse. Les techniques apprises étaient idéales pour renforcer le corps des plus frêles tout en profitant au maximum de la souplesse infantile. Geremiah se débrouillait plutôt bien et réussi peu à peu à maitriser les bases de la voie. Cinq années durant son entrainement continua jusqu'à que sa maitrise soit suffisante pour l'autorisé à passer à l'étape suivante. C'est ainsi qu'à l'âge de huit ans, il commença à apprendre les bases de la seconde voie, la voie de l'équilibre. L'entrainement comparé à celui de la voie de la souplesse était d'une difficulté sans commune mesure. Certains jours, le maître de la voie, un homme à l'air buté du nom d'Arturus, le forçait, lui et ses comparses, à rester en équilibre sur un bambou haut de dix mètre, assis sur une planche de bois, pendant trois jours d'affilé sans boire ni manger. Geremiah détestait Arturus encore plus que l'entrainement qu'il lui faisait subir, si bien qu'un jour le jeune homme tenta de frapper son maître au visage. En représailles (si on peut dire), Arturus obligea son jeune disciple à abandonner l'entrainement de l'équilibre pour participer à celui, beaucoup plus difficile et avancé, de l'esprit, au côté de son grand-maître "handôka" (qui pratique le Handô donc) de grand-père, Tarh. C'est lors de cet entrainement, alors qu'il avait tout juste dix ans, que Geremiah ressentit pour la première fois ce qu'était réellement la peur. Maître Tarh, en plus de le détester depuis sa venue au monde, était l'homme le plus exigeant qui soit en terme de respect. Un jour, Geremiah omit de saluer son grand-père dans un couloir, alors que ce dernier sortait prendre son repas. La punition ne se fit pas attendre : "DIX-MILLE POMPES, VOILA CE QUE TU VAS ME FAIRE POUR CET INSULTE SALE PETIT EFFRONTÉ!". Et il les fit. Cela lui pris près de dix jours, en comptant les pauses pour manger et dormir. Cela arriva encore une deuxième, puis une troisième et une quatrième fois. Lors de ses quinze ans, Geremiah avait oublier tellement de fois de saluer son grand-père qu'il avait en cinq années effectué le nombre astronomique de deux millions de pompes. Certains disent que G. l'avait fait exprès car il se défiait allégrement de son grand-père. La vérité, c'est que suite à la première punition que son grand-père lui avait donné, Geremiah était si effrayé par lui qu'il était incapable de lui parler. Inutile de dire qu'avec toutes ces punitions, G. n'a pas appris grand chose de la voie de l'esprit. Par contre grâce à elles, il a pu se forger un corps très robuste et puissant. Si puissant en fait, que la voie de la force, la quatrième branche de l'enseignement du Handô ne lui posa absolument aucun problème. A l'âge de dix-sept ans, Geremiah était donc devenue un pratiquant accomplit de l'art transmis par son grand-père. Il avait une très bonne maitrise des voies de la souplesse et de la force, bien qu'il se heurta dès lors à un pallier qu'il n'arriva pas à franchir. Sa maitrise de l'équilibre était somme toute des plus correct mais celle de l'équilibre frôlait le néant. Malgré tout ça, il restait une toute dernière voie à explorer dans le Handô pour parfaire sa formation : la voie du vide. Chapitre 2 : La morsure du serpent A déjà dix-sept ans, G. commençait lentement à se lasser des entrainements rigoureux du Handô. Il préférait largement se consacrer à nouvelle passion : la gente féminine. Il avait découvert le plaisir de la drague environ un an auparavant lors d'une escapade au cours de laquelle il tentait désespérément d'échapper à un entrainement de l'esprit avec son grand-père, qui d'ailleurs le terrifiait toujours autant. Au cours de cette excursion que nous qualifierons d'inopinée, G. fit la rencontre d'une jeune femme. Une femme qu'il n'oublierait jamais. "Elle était... brune, enfin rousse, ou blonde, enfin elle avait des cheveux quoi et... Oh! et son nom, son nom bien sûr, comment l'oublier. Mais je ne le vous direz pas avant que vous m’ayez tous fait dix-milles pompes". C'est ce que dira Geremiah de cette jeune femme des années plus tard lorsqu'il devint professeur d'art martiaux. C'est dire à quel point elle a pu le marquer. Toujours est-il que cette rencontre lui a donné un goût plus que prononcé pour la gente féminine. En particulier la catégorie aux courbes généreuses, au sourire en coin avec un style vestimentaire laissant voir juste ce qu'il faut et laissant le reste à l'imagination fertile du jeune homme. A cause de ce nouveau hobby, G. laissa progressivement tomber l'entrainement. Son oisiveté croissante, Tarh était de plus en plus horripilé par la simple présence de son petit-fils. Bien sûr il tenta comme il pouvait de remettre son petit-fils dans le droit chemin, mais les doses de pompes par tranches de dix-milles n'avait pour effet que de renforcer l'oisiveté du jeune homme. Le G. de l'époque ne rêvait que d'une chose : créer une forme d'art martial toute particulière dont le seul et unique but serait de créer la technique de drague ultime. (Oui près de quinze ans d'enfermement dans un dojo à pratiquer un art martial très exigent, ça laisse des traces sur un esprit aussi jeune). C'est pourtant à cette époque qu'on pourrait qualifier d'heureuse pour G. que survint le plus grand malheur de sa vie. Ce jour-là, le jeune homme se trouvait encore au dojo, bien qu'il se prépara encore une fois à faire le mur pour aller retrouver l'une ou l'autre de ses conquêtes. Alors qu'il passait discrètement de cachettes en cachettes pour aller trouver la sortie, il vit à son grand étonnement son grand-père se tenir au beau milieu de la cour d'entrainement en position de combat face à cinq homme habillés bizarrement. A la tête de ces hommes se trouvait, l'air toujours aussi buté, Arturus l'ancien professeur de G. Geremiah n'entendait pas ce que les deux hommes se disaient, mais la discussion semblait des plus animée. Soudain, l'un des hommes qui se trouvaient derrière Arturus attaqua grand-père Tarh. C'est à ce moment précis que G. pris alors conscience de l'incroyable force de son grand père. Son assaillant n'eut même pas le temps de porter un coup qu'il se retrouva à terre, inconscient. La suite du combat fut relativement brève, pourtant notre héros eut l'impression qu'il dura des heures entières. Les quatre homme restant se jetèrent sur Tarh. Ils filaient aussi vite que le vent. Jamais G. n'avait vu pareil technique. Tarh en abattit un, puis deux, puis trois, si bien qu'il ne resta plus que son ancien disciple face à lui. G. vit alors Arturus lever sa jambe et l'abattre d'un seul coup avec force. Et son grand-père fut projeté. Le coup ne l'avait pourtant pas touché. Encore aujourd'hui G. ne comprend pas ce qu'il s'est passé. Son grand-père si incroyablement fort s'était fait battre. Non seulement battre, mais aussi tuer. Car Arturus, après avoir projeter son ancien maitre au sol, vint lui porter le coup de grâce. Mais ça, G. ne l'apprit que plusieurs jours plus tard. Car voyant son grand-père se faire battre d'une manière aussi magistrale, le jeune homme tenta de fuir. Mais il ne put aller bien loin, tout juste avait-il atteint la porte de l'enceinte du dojo, qu'il sentit une vive douleur lui parcourir le dos. Il sentit nettement un, deux, trois puis quatre coups avant de s'évanouir. A son réveil, son dos était zébré de plusieurs dizaines de marques, semblables à des coups de fouet. L'enterrement de Tarh eu lieu quelques jours plus tard. Il fut inhumé derrière le dojo, au côté des anciens maîtres. On ne retrouva jamais les agresseurs du vieil homme, pas même ceux qu'il avait vaincu. La mère de G. mourut à son tour quelques semaines plus tard. Terrassée par le chagrin sans doute. G. fut lui aussi des plus affecté par la mort de son grand-père. Ils n'avaient jamais été en très bon termes mais il lui vouait quand même une espèce d'affection. Pendant plusieurs semaines, G. ne sortit pas de sa chambre, et la mort de sa mère l'enfonça encore un peu plus dans le mutisme. G. mit plus de deux ans à se remettre totalement de ces drames successif, et quand il reprit enfin le contrôle de sa vie, il prit une grande décision : celle de continuer l’œuvre de son grand-père et de devenir le nouveau grand-maître du dojo. La connaissance de la voie du vide était à jamais perdue car personne n'avait eu le temps de la lui enseigner. Après la mort de Tarh, la plupart des élèves étaient partis dans des dojos concurrent. Le Handô, ne retrouverait probablement jamais sa gloire d’antan, mais il ferait de son mieux pour être digne de son grand-père. Mais quelques part dans sa tête grandissait une idée sombre, celle de la vengeance. La plupart du temps il ne pensait plus vraiment à tout ça, mais au fond de lui il savait que s'il lui arrivait un jour de retrouver Arturus, il se vengerait de lui. Il vengerait son grand-père. >> Test RP Cela faisait déjà deux ans que j'avais repris les rênes de l'école du Tout et du Rien mais rien n'y faisait. Aucun élève ne pointait le bout de son nez pour rentrer dans l'école. J'avais même fini par me demander si il ne serait pas mieux de mettre fin à cette ineptie et d'abandonner purement et simplement le dojo. Les seuls élèves restant, mes élèves, étaient d'anciens disciples qui n'avaient pas eu le temps de parfaire leur art. Il y avait aussi quelques petits jeunes, des orphelins pour la plupart, ou des sales gamins envoyés là par leurs parents. Avec une clique pareil pas facile de donner du prestige à une école. Il me fallait une idée, mais rien ne venait. Un jour Izazabo (envers qui j'eus la courtoisie lors de notre première rencontre de ne pas dire le fond de ma pensée, autrement dit : "P****n mais quel nom de m****"), l'un des plus anciens élèves vint me voir avec une idée somme toute intéressante si on prenait en compte son intellect des plus limité. D'après lui, l'idéal serait de trouver un moyen de prouver la suprématie du Handô sur les autres arts martiaux. Bien sûr, Izazabo n'avait pas la moindre idée de comment procéder (pauvre de lui...), mais j'eus une idée des plus brillante. Que dis-je? La meilleur idée que j'ai jamais eu. L'événement le plus spectaculaire et le plus grandiose de tous les temps : le grand festival du Tout et du Rien en direct sur la place publique, sans trucages ni artifices. Juste Moi (avec un M majuscule, faut qu'on me respecte quand même) et mes meilleurs élèves, dans une démonstration de force qui montrera que Mon (toujours la majuscule... toujours) Handô était le meilleur du monde, et qu'il surpassait tous les autres art martiaux comme s'il n'était que de misérables larves sans tête qui se tortillent à mes pieds en faisant la holà... Ahem... le meilleur du monde donc. Le jour fatidique arriva une semaine après cette idée magistrale. Tout était prêt, j'étais au top de ma forme, mes élèves en liesse et prêt à m'acclamer après la victoire et... personne sur la place. Je me retournai, perplexe, vers Izazabo qui était chargé d'annoncer l'événement dans les rues alentours. - Euh... Izaza... As-tu, par le plus grand hasard, oublié de poser les affichettes dans les rues pour prévenir les gens de l'événement qui doit rendre tout le prestige qu'à perdue notre école, et du même coup ramener quelques nouveaux élèves? - Les quoi, grand-maître G.? *Ô seigneur, pourquoi ça tombe toujours sur moi? Bon G., reste calme. Prends sur toi. C'est juste un débile.* - Les A-F-F-I-C-H-E-T-T-E-S. C'est comme des petits papiers rectangulaires avec des trucs marqués dessus. Tu vois de quoi je parles? - Ah! ça. Pas vu. M'semble que Mononosuke les a pris pour dessiner, mais c'était y a bien une semaine, j'me souviens plus bien. *J'vais l'tuer... Même pas foutu de faire un truc aussi simple que de coller des affichettes... Et c'est quoi leur problème à tous avec leur nom à double syllabe? Bon c'est pas grave G., maintenant ressaisis-toi. Impro Mode Activated* - Bon, mon petit Izaza, tu vas faire quelques chose de très très simple. Tu vas me chercher Monono-truc et ensuite, ensemble, VOUS ALLEZ ME FAIRE DIX-MILLE POMPES SUR LA PLACE, BANDE D'ABRUTIS FINI! Étrangement, ce stratagème à moitié bancal fit son petit effet auprès des passants. Voir deux gusses se taper des pompes au beau milieu de la place avait de quoi attirer l'attention. Suivant une idée de Mon brillant cerveau, je surenchéris pour attirer encore plus de monde. - Mesdames, et messieurs, approchez s'il vous plait, n'ayez pas peur. Venez assister à l'incroyable démonstration de force des élèves de l'école du Tout et du Rien. Devant vos yeux ébahies, ils vont réaliser une série non pas de cent, non pas de mille mais bien de dix-mille pompes d'affilé. Imaginez un peu la force incroyable de ces deux hommes. Et pourtant ils ne sont que de simple élèves de l'école. La force du maître est bien plus grande encore. (<-- Se jette des fleurs) *On se croirait dans un cirque, et je suis Monsieur Loyal. M'enfin bon, si ça marche après tout, pourquoi pas?* Soudain, une espèce de crevette en T-shirt/ baskets, commença à toiser mes deux élèves, et pas de la manière la plus gentille du monde. Il était tellement petit que j'aurais pu l'écraser d'un coup de poing, mais ça aurait jeter du discrédit supplémentaire sur mon école, chose dont on avait pas vraiment besoin pour le moment. Le gamin continua de provoquer les deux débiles entrain de faire des pompes. - Ils en font que dix-mille, des pompes? Mon frère à moi il en fait vingt-mille tous les jours. Il est dans un club de Sumô, vous voyez? Donc il doit devenir fort si il veut battre un jour Monsieur Yokozuna. - Et c'est qui ton "Monsieur Yokozuna", là, hein? Un gros plein de gras comme tous les autres Sumô je paris? Peut-être même le plus gros de tous?[b/] Soudain, je sentis une énorme main se poser sur mon épaule. Alors que je me retournai, je pris soudain conscience de l'énormité de ma bêtise. Et "énormité" est une euphémisme face à ce type. A vu de nez il devait mesurer dans les deux mètre cinquante, au bas mot. Tout nu, à l’exception d'un genre de couche en soie tressé autour des hanches, il était si gras qu'on aurait dit qu'il avait manger un hippopotame avant de venir. - "Monsieur Yokozuna", c'est moi. Et toi t'es qui petit? Un autre merdeux qui se croit le plus fort du monde? Bon, là, autant vous le dire, je faisais plus trop mon malin. Bon d'une parce qu'il était plus gros qu'une baleine enceinte, mais surtout parce qu'une espèce d'odeur méphitique émanait de ses aisselles. Vu le gabarie du gars, des émanations pareilles ça relève de la guerre chimique. Mais je ne me suis pas laissé démonter pour le coup. L'honneur de l'école tout ça, tout ça, mais surtout pour enfin fermer le clapet de l'autre morveux. - OK, mon gros, on va jouer à un jeu ensemble. De ce que j'ai compris de la part du mioche là-bas, t'es une sommité dans ton école. Un genre de maître je suppose. Dans ce cas je te défis dans un combat. Pas de règle, victoire par KO uniquement. Ça te va ou t'as besoin d'enjeux plus attrayant niveau porte-feuille? - Ça me va. De toute façon tout le monde sait que votre école a plus un rond, pas la peine d'essayer de me soudoyer. Il n'attendit pas que je sois prêt pour attaquer. Heureusement vu sa lourdeur substantiel, j'arrivai à l'esquiver sans trop de mal. A vrai dire, je n'ai même pas eu besoin d'utiliser toute ma force. Une simple combinaison de saut (Voie de la souplesse), de déséquilibre (voie de l'équilibre) et de coups de pieds bien placés (voie de la force) suffirent à le mettre à terre. Alors que je me glorifiais moi-même de mon incroyable victoire avec une facilité magistrale, j'entendis un murmure parcourir la foule avant que celle-ci ne se disperse. - Tout de même, frapper un enfant d'à peine dix ans. Il n'y a pas de quoi être fier. Cette école va vraiment de mal en pis depuis la mort de l'ancien maître. *DIX ANS? C'est quoi ce b*****? Il a l'air d'être même plus vieux que moi. Comment un ogre pareil peut avoir seulement DIX ANS?* Je tombai alors à genou, submerger par mon incrédulité. C'était à ce demander si Dieu lui-même ne m'en voulait pas au fond. Deux jours passèrent alors, et ma déprime allait en grandissant. Non seulement, mon fantastique événement avait fait un véritable flop, mais en plus, une bonne partie des élèves restant étaient ensuite partis, estimant que rester dans l'école les déshonoraient. Seul restait dès lors trois élèves. Izazabo, Mononosuke et Giligilipopo. Ce dernier était en fait la petite crevette qui avait fini par provoquer mon combat avec Yokozuna. Il avait certainement été le seul à avoir été impressionné par mon "fait d'arme", si on peut l’appeler ainsi. Et tant que j'y pense, il faut vraiment que j'interdise des noms aussi débiles dans mon école. |
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Informations IRL
- [b]Prénom : Alex
Age : 24
Aime : Écrire, lire, les histoires drôles, les histoires pas drôles aussi...
N'aime pas : La pluie
Personnage préféré de One Piece : C'est fluctuant selon les moments, en ce moment c'est Mononosuke et Brook ^^
Caractère : (définissez vous en quelques mots) ... Euh... Voilà.
Fais du RP depuis : Pfiou... un bail je dirais.
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Pas autant que je le voudrais, probablement pas plus de un ou deux jours par semaine pour RP.
Comment avez vous connu le forum ? Bah j'étais là avant simplement, me souvient plus du perso que j'avais... Izanagi je crois. Dois être mort depuis.
Dernière édition par Geremiah Stainback le Mar 19 Mar 2013 - 14:30, édité 13 fois