Le Taureau qui grille ! Temple de la propreté et de la bienséance. Chiffon à la main gauche, assiette dans la main droite, je suis en train de veiller à ce que la propreté du restaurant demeure constante. Ce n'est pas une mince affaire quand on considère la quantité de clients.
Heureusement, ils semble tous à peu prêt propres sur eux. Ils ont certes quelques trous par-ci par là, mais manifestement, tous ont eut le bon gout de se laver avant de venir, même ce bambin à la chemise jaune qui se roule par terre par caprice. Quel manque de bon gout ! Imaginez un peu qu'il y ai eut de la poussière au sol... Des parents devrait mieux surveiller l'hygiène filiale. Heureusement pour eux, je suis CC-808, et je veille.
Je m'occuperais d’épousseter de fessier infantile dès que j'en aurait finit avec cette tâche de peinture rebelle qui refuse obstinément de quitter l'assiette que j'ai entre les mains. Quelle idée ont les humains de peindre leurs assiettes pour les rendre jolie ! Ça fait tâche !
Un homme à la fleur de l'âge, portant la moustache drue, et une chevelure broussailleuse s'installe sur une chaise avec sa guitare. Il est propre ! C'est bien.
Au resto du Taureau qui grille,
On peut voir clients et patron,
Qui contemplent un puissant Droïd,
Astiquant avec grande passion.
Le Taureau qui grille ! Enfin un lieu qui semble acceptable ! Cette ville est la maison du diable. Il y a des bovins partout. Ils m'observent, je le sais. La preuve, c'est ce troupeau qui paissait paisiblement à quelques kilomètres de la ville. Ils savaient que je fuierais vers eux. Heureusement, j'ai eut la bonne idée de les massacré séance tenante !
Hahaha, ont fait moins les malins bandes de sales vaches. Maintenant, aurez vous le courage de me poursuivre, dans un Temple voué à votre destruction ?
L'autre dit que je suis fou, que les réticules d'observation sont déréglés et que du coup je voit des taureaux partout... Mensonge ! Je suis la personnalité #B9121B, et je suis parfaitement opérationnel. D'ailleurs, j'ai pas besoin de ce fichu étudiant malade, alors je l'écoute plus. Il est vile et sournois. Surement un espion des Taureaux !
J'ouvre la porte, Destruction et Agony, ma faucille et mon marteau sont encore dégainés. Le sang de ces méprisables bœuf coule encore le long de mes armes. J'ai détruit et....
Mon dieu...
Des Taureaux, des dizaines de Taureaux ! Ils sont partout. Il y en a en train de manger des steaks, en bon cannibales, d'autres s'empressent de les servir en hurlant des instructions. Un petit Taureau, surement une race pygmée, se roule par terre, heureux de la débauche cannibale à laquelle il assiste. J'en voit un monstrueux, beaucoup plus gros que les autres un peu plus loin. Il astique une assiette tranquillement, sans réussir à détacher les restes de son congénère dévoré par la sauvagerie que je connait bien aux cornus...
Ils semblent stupéfait de me voir, même effrayés, sauf le monstre nettoyeur et cet autre Taureau là-bas, qui joue de la guitare. Il est temps de tuer !
Alors entre un nouveau compère
Qui semble enragé d'être ici
On dirait un cyborg de guerre
Dont les armes ont déjà servit...
Gare au Droïïïïde !...[/]
Ploc...
Qu'entends-je ? Qu'ouï-je ? Qu'accoustique-je ?
Serait-ce le vil et irritant son d'une goutte de sang fraichement prélevée sur un bœuf mâle de 4 ans, décapiter à la faucille tombant sur du parquet verni ? Serait-ce le synonyme de source de tâche et donc, de vilénie et d'incroyable méchanceté ?
Négligeant mon assiette, je me retourne, à la recherche de la source de cette nuisance sonore.
Mon dieu...
Un individu entièrement constitué de rouge me fait face. Il n'est pas trop sale, malgré ces nuances de rouges sang coulant sur son corps, suggérant un massacre. Mais cela serait sous-estimer l’œil vif et acerbe du nettoyeur. En effet, quelques centimètres plus bas, un crime affreux à lieu. Une profanation tout bonnement ignoble de toutes les règles qui font que le monde est monde, et que la structure de l'univers ne s'effondre pas : Du sang coule de sa méprisable faucille, anéantissant la propreté du parquet sans aucune retenue.
Le sang est très difficile à enlever, il faudra faire appelle à mes meilleurs outils de lavage.
Serpillère...
[i]De son bras jaillit une chose
Le genre qui peut faire très mal,
Un genre de canon. Je suppose,
Qu'il n'aime pas les faucilles sales.
Le CC, prêt pour le carnage
Dit "C'est décidé j'vais m'la faire !"
Pour ceux comme Pludbus au grand âge,
Il parlait de saleté, pervers !
Gare au Droïïïïde !...
Comme je m'en doutais, le monstrueux cornus nettoyeur était le chef. Et, a en juger par son cri sauvage à mon encontre, il a compris que je ne fuirai pas ce temple de la sauvagerie, de la bestialité, et de la bovinerie tant que l'un de ces sournois chasseurs de cape rouge aura des dents pour ruminer. Il fait feu, d'un arme qui a jaillie de son antérieur droit... Ainsi, ce robot est un cyborg aussi.
Malheureusement pour lui, il vise aussi bien qu'un hamster géant nain extraterrestre atteint de strabisme divergent en plein brouillard, et le rayon laser qui s'échappe de son coup part droit vers ma faucille. Une rotation me suffit à esquiver. Mon mouvement amène mon arme dans mon dos. Destruction et Agony ont déjà fait couler le sang de pourriture de Taurin aujourd'hui, elle le feront couler encore.
Le souffle de l'explosion qui suit me propulse sur une de ces tables où des monstres se livre à leur célébrations fratricides. Je renverse la plupart de leur aliments au sol, sous les protestation actives des intéressés. Ils ont de la chance, je les hais, mais leur maître vit encore, et j'ai toujours apprit que le meilleur moyen de détruire un troupeau est de vaincre le Taureau dominant.
Le fils de Satan se retourne vers moi. Il est plus rapide et surement plus puissant, mais je peux lui faire face. Un coup de pieds dans le steak a moitié mangé qui git sur le sol l'envoie droit sur le démon. Quelle ironie, c'est ses déviances macabres qui vont causer la mort de la créature aux cornes proéminentes.
Je me jette derrière le steak.
Il sera trop focalisé pour voir les instrument de sa destruction s'abattre sur le fil de sa vie.
CC-808 en furie,
Cria, éperdu : "Nom de nom !
Je peux tolérer la faucille,
Mais pas une telle profanation !"
Passant niveau 2 en violence
Attrape le cyborg en plein saut
Et sévèrement il le tance,
Du feu lui sort même des abdos !
Gare au Droïïïïde !...
Le seigneur de la putrescence vient d'être nettoyé. Il est pure. Je vais pouvoir enfin retourner à mon opération de nettoyage de plats.
Mais avant, il va me falloir ranger l'individu, ça ne ferait pas propre de le laisser là, par terre, au milieu du restaurant. Sous le regard de la population, qui n'arrive manifestement pas à décider si elle doit fuir en hurlant ou m'acclamer, moi, le héraut de la propreté, de la pureté, et de tout ce qui brille, je sors avec le corps de l'individu qui osa souillé mon territoire. Derrière nous, suit le guitariste, toujours en train de chanter.
Le sol est plein de poussière...
Que dois-je faire ? Je ne peux pas salir l'individu, cela me pousserait à le nettoyer une nouvelle fois. Peut être puis-je le poser sur un toit ? Non, il y a de la fiente...
De la fiente, mon dieu, je dois nettoyer !
Je lâche le gêneur, et pointe mon « Pchit pchit » vers le toit le plus proche.
Replongeons dans son jeu pervers
Il braqua un laser décidé,
Vers la petite maison du maire,
Qui, lui, n'avait rien demandé ;
C'est alors qu'il compris la feinte,
De C-404 ce luron
Qui le serra d'une étreinte,
Qui empêcha son action !
Gare au Droïïïïde !...
Je le maintient. Il est condamné. La puissant des Taureau repose dans leur charge. Haha ! Te voilà condamné vil créature de l'enfer. Tu reconnais enfin ton maître !
Apprend que rien ni personne ne peut vaincre le puissant et grand C-404. Je suis le fléaux des Taurins, l’Armageddon des bovins, l'apocalypse des ruminants.
Que vas-tu faire pour t'échapper maintenant ?
Comme ça !
BLAAAAAAAAAAAAAAAAAM
Alors l'action se précipite
Car s'il est doué à la lutte,
Le C-404 d'élite
N'a pas 6000 dorikis brut;
Il a ré-attiré l’opprobre.
Et le combat accéléra,
On peut même voir ce vieux Bob
Qui admire le pugilat !
Gare au Droïïïïde !...
Serpillère !
KABOOOOM
Chiffon !
BLAAAAAAAAAAAAM
« Pchit pchit » !
BRAOOOOOOOOM
Rayon laser pulvérisateur, à plasma concentré, avec condenser de générateur de bombe à concussion !
Pchit... pchit... (ceci est un bruitage)
Bah ! Ce duel non ordinaire,
Semble sur le point d'être terminer,
Il était extraordinaire,
Et l'ont s'est beaucoup amusé !
808 n'a aucune cible
Car à l'issu de cette baston,
Bouger pour C est impossible...
Il demande des réparations !
Gare au Droïïïïde !...
Mais son adversaire n'est pas être,
A pouvoir prendre en pitié ceux,
Qui furent un jour sales au paraître,
Et retourne à son sol crasseux.
Je n'envie pas un sort pareil
A C-404, quel émoi !
Et, j'en suis désolé la vieille,
Mais, c'est bien terminé cette fois !
Gare au Droïïïïde !...
Heureusement, ils semble tous à peu prêt propres sur eux. Ils ont certes quelques trous par-ci par là, mais manifestement, tous ont eut le bon gout de se laver avant de venir, même ce bambin à la chemise jaune qui se roule par terre par caprice. Quel manque de bon gout ! Imaginez un peu qu'il y ai eut de la poussière au sol... Des parents devrait mieux surveiller l'hygiène filiale. Heureusement pour eux, je suis CC-808, et je veille.
Je m'occuperais d’épousseter de fessier infantile dès que j'en aurait finit avec cette tâche de peinture rebelle qui refuse obstinément de quitter l'assiette que j'ai entre les mains. Quelle idée ont les humains de peindre leurs assiettes pour les rendre jolie ! Ça fait tâche !
Un homme à la fleur de l'âge, portant la moustache drue, et une chevelure broussailleuse s'installe sur une chaise avec sa guitare. Il est propre ! C'est bien.
Au resto du Taureau qui grille,
On peut voir clients et patron,
Qui contemplent un puissant Droïd,
Astiquant avec grande passion.
Le Taureau qui grille ! Enfin un lieu qui semble acceptable ! Cette ville est la maison du diable. Il y a des bovins partout. Ils m'observent, je le sais. La preuve, c'est ce troupeau qui paissait paisiblement à quelques kilomètres de la ville. Ils savaient que je fuierais vers eux. Heureusement, j'ai eut la bonne idée de les massacré séance tenante !
Hahaha, ont fait moins les malins bandes de sales vaches. Maintenant, aurez vous le courage de me poursuivre, dans un Temple voué à votre destruction ?
L'autre dit que je suis fou, que les réticules d'observation sont déréglés et que du coup je voit des taureaux partout... Mensonge ! Je suis la personnalité #B9121B, et je suis parfaitement opérationnel. D'ailleurs, j'ai pas besoin de ce fichu étudiant malade, alors je l'écoute plus. Il est vile et sournois. Surement un espion des Taureaux !
J'ouvre la porte, Destruction et Agony, ma faucille et mon marteau sont encore dégainés. Le sang de ces méprisables bœuf coule encore le long de mes armes. J'ai détruit et....
Mon dieu...
Des Taureaux, des dizaines de Taureaux ! Ils sont partout. Il y en a en train de manger des steaks, en bon cannibales, d'autres s'empressent de les servir en hurlant des instructions. Un petit Taureau, surement une race pygmée, se roule par terre, heureux de la débauche cannibale à laquelle il assiste. J'en voit un monstrueux, beaucoup plus gros que les autres un peu plus loin. Il astique une assiette tranquillement, sans réussir à détacher les restes de son congénère dévoré par la sauvagerie que je connait bien aux cornus...
Ils semblent stupéfait de me voir, même effrayés, sauf le monstre nettoyeur et cet autre Taureau là-bas, qui joue de la guitare. Il est temps de tuer !
Alors entre un nouveau compère
Qui semble enragé d'être ici
On dirait un cyborg de guerre
Dont les armes ont déjà servit...
Gare au Droïïïïde !...[/]
Ploc...
Qu'entends-je ? Qu'ouï-je ? Qu'accoustique-je ?
Serait-ce le vil et irritant son d'une goutte de sang fraichement prélevée sur un bœuf mâle de 4 ans, décapiter à la faucille tombant sur du parquet verni ? Serait-ce le synonyme de source de tâche et donc, de vilénie et d'incroyable méchanceté ?
Négligeant mon assiette, je me retourne, à la recherche de la source de cette nuisance sonore.
Mon dieu...
Un individu entièrement constitué de rouge me fait face. Il n'est pas trop sale, malgré ces nuances de rouges sang coulant sur son corps, suggérant un massacre. Mais cela serait sous-estimer l’œil vif et acerbe du nettoyeur. En effet, quelques centimètres plus bas, un crime affreux à lieu. Une profanation tout bonnement ignoble de toutes les règles qui font que le monde est monde, et que la structure de l'univers ne s'effondre pas : Du sang coule de sa méprisable faucille, anéantissant la propreté du parquet sans aucune retenue.
Le sang est très difficile à enlever, il faudra faire appelle à mes meilleurs outils de lavage.
Serpillère...
[i]De son bras jaillit une chose
Le genre qui peut faire très mal,
Un genre de canon. Je suppose,
Qu'il n'aime pas les faucilles sales.
Le CC, prêt pour le carnage
Dit "C'est décidé j'vais m'la faire !"
Pour ceux comme Pludbus au grand âge,
Il parlait de saleté, pervers !
Gare au Droïïïïde !...
Comme je m'en doutais, le monstrueux cornus nettoyeur était le chef. Et, a en juger par son cri sauvage à mon encontre, il a compris que je ne fuirai pas ce temple de la sauvagerie, de la bestialité, et de la bovinerie tant que l'un de ces sournois chasseurs de cape rouge aura des dents pour ruminer. Il fait feu, d'un arme qui a jaillie de son antérieur droit... Ainsi, ce robot est un cyborg aussi.
Malheureusement pour lui, il vise aussi bien qu'un hamster géant nain extraterrestre atteint de strabisme divergent en plein brouillard, et le rayon laser qui s'échappe de son coup part droit vers ma faucille. Une rotation me suffit à esquiver. Mon mouvement amène mon arme dans mon dos. Destruction et Agony ont déjà fait couler le sang de pourriture de Taurin aujourd'hui, elle le feront couler encore.
Le souffle de l'explosion qui suit me propulse sur une de ces tables où des monstres se livre à leur célébrations fratricides. Je renverse la plupart de leur aliments au sol, sous les protestation actives des intéressés. Ils ont de la chance, je les hais, mais leur maître vit encore, et j'ai toujours apprit que le meilleur moyen de détruire un troupeau est de vaincre le Taureau dominant.
Le fils de Satan se retourne vers moi. Il est plus rapide et surement plus puissant, mais je peux lui faire face. Un coup de pieds dans le steak a moitié mangé qui git sur le sol l'envoie droit sur le démon. Quelle ironie, c'est ses déviances macabres qui vont causer la mort de la créature aux cornes proéminentes.
Je me jette derrière le steak.
Il sera trop focalisé pour voir les instrument de sa destruction s'abattre sur le fil de sa vie.
CC-808 en furie,
Cria, éperdu : "Nom de nom !
Je peux tolérer la faucille,
Mais pas une telle profanation !"
Passant niveau 2 en violence
Attrape le cyborg en plein saut
Et sévèrement il le tance,
Du feu lui sort même des abdos !
Gare au Droïïïïde !...
Le seigneur de la putrescence vient d'être nettoyé. Il est pure. Je vais pouvoir enfin retourner à mon opération de nettoyage de plats.
Mais avant, il va me falloir ranger l'individu, ça ne ferait pas propre de le laisser là, par terre, au milieu du restaurant. Sous le regard de la population, qui n'arrive manifestement pas à décider si elle doit fuir en hurlant ou m'acclamer, moi, le héraut de la propreté, de la pureté, et de tout ce qui brille, je sors avec le corps de l'individu qui osa souillé mon territoire. Derrière nous, suit le guitariste, toujours en train de chanter.
Le sol est plein de poussière...
Que dois-je faire ? Je ne peux pas salir l'individu, cela me pousserait à le nettoyer une nouvelle fois. Peut être puis-je le poser sur un toit ? Non, il y a de la fiente...
De la fiente, mon dieu, je dois nettoyer !
Je lâche le gêneur, et pointe mon « Pchit pchit » vers le toit le plus proche.
Replongeons dans son jeu pervers
Il braqua un laser décidé,
Vers la petite maison du maire,
Qui, lui, n'avait rien demandé ;
C'est alors qu'il compris la feinte,
De C-404 ce luron
Qui le serra d'une étreinte,
Qui empêcha son action !
Gare au Droïïïïde !...
Je le maintient. Il est condamné. La puissant des Taureau repose dans leur charge. Haha ! Te voilà condamné vil créature de l'enfer. Tu reconnais enfin ton maître !
Apprend que rien ni personne ne peut vaincre le puissant et grand C-404. Je suis le fléaux des Taurins, l’Armageddon des bovins, l'apocalypse des ruminants.
Que vas-tu faire pour t'échapper maintenant ?
Comme ça !
BLAAAAAAAAAAAAAAAAAM
Alors l'action se précipite
Car s'il est doué à la lutte,
Le C-404 d'élite
N'a pas 6000 dorikis brut;
Il a ré-attiré l’opprobre.
Et le combat accéléra,
On peut même voir ce vieux Bob
Qui admire le pugilat !
Gare au Droïïïïde !...
Serpillère !
KABOOOOM
Chiffon !
BLAAAAAAAAAAAAM
« Pchit pchit » !
BRAOOOOOOOOM
Rayon laser pulvérisateur, à plasma concentré, avec condenser de générateur de bombe à concussion !
Pchit... pchit... (ceci est un bruitage)
Bah ! Ce duel non ordinaire,
Semble sur le point d'être terminer,
Il était extraordinaire,
Et l'ont s'est beaucoup amusé !
808 n'a aucune cible
Car à l'issu de cette baston,
Bouger pour C est impossible...
Il demande des réparations !
Gare au Droïïïïde !...
Mais son adversaire n'est pas être,
A pouvoir prendre en pitié ceux,
Qui furent un jour sales au paraître,
Et retourne à son sol crasseux.
Je n'envie pas un sort pareil
A C-404, quel émoi !
Et, j'en suis désolé la vieille,
Mais, c'est bien terminé cette fois !
Gare au Droïïïïde !...