La scène se passait sur une île de West Blue nommée Kage Berg. L’endroit était réputé pour sa foire avec des vaches et sa présence de pirates. A croire que ceux-ci aimaient les trucs gros et idiots. A les voir foncer ainsi sur un gain d’argent, on pouvait les confondre à des taureaux de toute façon. Cependant personne dans ces criminels ne semblait intéresser la chasseuse de prime, qui regardait tout à fait ailleurs : Arty Khodain, voici la cible que visait Daisy, qui comprenait qu’elle n’allait pas pouvoir survivre si elle ne trouvait pas très rapidement de l’argent afin de payer ses repas et se trouver un abri lors de certaines nuits pluvieuses.
Cependant, l’homme qui était demandé était quelqu’un de discret, et les seules informations sur lui étaient juste des personnes l’ayant aperçu faire certaines courses comme un citoyen normal. Ou bien juste passant sur la route, sans entrer dans le moindre bâtiment. Ce qui voulait dire qu’il allait être difficile de trouver l’endroit où ce Criminel se cachait.
« J’aurai du prendre quelque chose de plus simple… »
Parlant dans sa barbe (même si elle n’en possédait pas), elle se mit à frapper un galet qui rebondit devant. Ainsi le voyage dura longtemps, et le même galet suivit le chemin que prit notre héroïne, bien qu’au bout d’un moment, il rencontra un arbre, l’empêchant d’aller plus loin. Mais aussi provoquant la colère d’un des vachiers qui venait de remarquer qu’une personne trainait des pieds dans son propre pré. Vous vous demandez alors comment Daisy avait fait pour ne pas se faire attaquer par les vaches qui étaient présentes un peu partout, ni comment elle avait fait pour entrer dans cet endroit clôturé. Le réponse était simple : la chance, et le portillon était ouvert.
« Dis-donc ! Ch’pas tes terres ichi ! M’Zelle ! Dégage d’ici ou j’te plombe ! »
Daisy se retourna pour y voir un homme plutôt imposant avec un chapeau de paille. Sa barbe lui bouffait tout le bas du visage, et ses cheveux étaient si sales que l’on pouvait voir des morceaux de terre et de bouses de vache faire office de terrain de jeu pour ses poux qui allaient même jusque sur ses vêtements sales et déchirés.
« Oh ! Ch’te coz’ la ch’tiote ! »
Comme pour prévenir, il sortit son bâton de fermier, remarquant qu’il n’avait malheureusement pas son fusil à portée de main. Cependant une étrangère aussi peu réactive ne pouvait qu’être quelqu’un de facile à tabasser… et les étrangers ça tue les animaux et vole l’argent de l’île en participant au festival, tout ceci était bien connu de toute façon. Sur l’offensive, l’homme fonça sur une jeune fille qui ne retira qu’un sabre pour donner un coup rapide qui coupa l’arme de son adversaire en deux. Le paysan, arrêtant son attaque, remarqua avec de gros yeux son bout de bois qui n’était plus du tout une arme. Daisy souffla d’exaspération et murmura tout en s’éloignant de l’homme :
« Je me barre… »
Ainsi, elle quitta le pré, remettant la lame de son sabre dans son fourreau… Ils n’étaient pas très accueillants dans cet endroit. Il fallait espérer que ce n’était qu’une impression sinon poursuivre Arty Khodain allait être compliqué, vraiment compliqué…
Deux heures passèrent et l’on retrouva Daisy assise contre un arbre qui n’appartenait à personne. Dormant à poings fermés, elle se fit réveiller par une pomme qui lui percuta le sommet du crâne. Malheureusement elle ne découvrit rien sur la gravité. Cependant elle remarqua qu’un jeune homme lui souriait, sûrement celui qui lui avait jeté la pomme. Celui-ci secoua sa main en guise de bienvenue dans le monde réel, et lui tendit de quoi manger.
« Tu réclamais quelque chose en dormant et ton ventre criait famine. J’espère que cela t’aidera. »
« Oh… Merci… Comment t’appelles-tu. »
L’homme lui sourit, mais la question était inutile, puisque Daisy le reconnut en remarquant la couleur de ses cheveux : bleus comme le saphir. L’homme qui se trouvait en face d’elle était le criminel tant recherché.
« Je suis un peu connu quand même ! Je m’appelle Arty… Arty Khodain. Et toi ? C’est toi qui me cherche ? »
Un silence se fit remarquer… Comment fallait-il réagir dans ce genre de situation ?
Cependant, l’homme qui était demandé était quelqu’un de discret, et les seules informations sur lui étaient juste des personnes l’ayant aperçu faire certaines courses comme un citoyen normal. Ou bien juste passant sur la route, sans entrer dans le moindre bâtiment. Ce qui voulait dire qu’il allait être difficile de trouver l’endroit où ce Criminel se cachait.
« J’aurai du prendre quelque chose de plus simple… »
Parlant dans sa barbe (même si elle n’en possédait pas), elle se mit à frapper un galet qui rebondit devant. Ainsi le voyage dura longtemps, et le même galet suivit le chemin que prit notre héroïne, bien qu’au bout d’un moment, il rencontra un arbre, l’empêchant d’aller plus loin. Mais aussi provoquant la colère d’un des vachiers qui venait de remarquer qu’une personne trainait des pieds dans son propre pré. Vous vous demandez alors comment Daisy avait fait pour ne pas se faire attaquer par les vaches qui étaient présentes un peu partout, ni comment elle avait fait pour entrer dans cet endroit clôturé. Le réponse était simple : la chance, et le portillon était ouvert.
« Dis-donc ! Ch’pas tes terres ichi ! M’Zelle ! Dégage d’ici ou j’te plombe ! »
Daisy se retourna pour y voir un homme plutôt imposant avec un chapeau de paille. Sa barbe lui bouffait tout le bas du visage, et ses cheveux étaient si sales que l’on pouvait voir des morceaux de terre et de bouses de vache faire office de terrain de jeu pour ses poux qui allaient même jusque sur ses vêtements sales et déchirés.
« Oh ! Ch’te coz’ la ch’tiote ! »
Comme pour prévenir, il sortit son bâton de fermier, remarquant qu’il n’avait malheureusement pas son fusil à portée de main. Cependant une étrangère aussi peu réactive ne pouvait qu’être quelqu’un de facile à tabasser… et les étrangers ça tue les animaux et vole l’argent de l’île en participant au festival, tout ceci était bien connu de toute façon. Sur l’offensive, l’homme fonça sur une jeune fille qui ne retira qu’un sabre pour donner un coup rapide qui coupa l’arme de son adversaire en deux. Le paysan, arrêtant son attaque, remarqua avec de gros yeux son bout de bois qui n’était plus du tout une arme. Daisy souffla d’exaspération et murmura tout en s’éloignant de l’homme :
« Je me barre… »
Ainsi, elle quitta le pré, remettant la lame de son sabre dans son fourreau… Ils n’étaient pas très accueillants dans cet endroit. Il fallait espérer que ce n’était qu’une impression sinon poursuivre Arty Khodain allait être compliqué, vraiment compliqué…
Deux heures passèrent et l’on retrouva Daisy assise contre un arbre qui n’appartenait à personne. Dormant à poings fermés, elle se fit réveiller par une pomme qui lui percuta le sommet du crâne. Malheureusement elle ne découvrit rien sur la gravité. Cependant elle remarqua qu’un jeune homme lui souriait, sûrement celui qui lui avait jeté la pomme. Celui-ci secoua sa main en guise de bienvenue dans le monde réel, et lui tendit de quoi manger.
« Tu réclamais quelque chose en dormant et ton ventre criait famine. J’espère que cela t’aidera. »
« Oh… Merci… Comment t’appelles-tu. »
L’homme lui sourit, mais la question était inutile, puisque Daisy le reconnut en remarquant la couleur de ses cheveux : bleus comme le saphir. L’homme qui se trouvait en face d’elle était le criminel tant recherché.
« Je suis un peu connu quand même ! Je m’appelle Arty… Arty Khodain. Et toi ? C’est toi qui me cherche ? »
Un silence se fit remarquer… Comment fallait-il réagir dans ce genre de situation ?