-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal

Bateau pour GL

J’y étais, à quelques jours de mon départ pour Grand Line. Je savais que l’aventure allait être difficile, mais elle serait aussi extrêmement excitante. Ici dans les blues j’avais pratiquement tout vu, mais surtout je ne pouvais pas réaliser mon rêve... Tuer tous les esclavagistes... Cela fessais un moment que j’y réfléchissais, pour se débarrassé d’une mauvaise herbes définitivement, il fallait la couper à la racine. La seule solution pour moi était donc de détruire les Tenryūbito. Je ne les connaissais que de réputation, mais d’après ce que je savais il était les pires esclavages et en quelques sortes les chefs de ce type de commerce. Faire couler leurs sang sur ma lame était un plaisir qui me fessais frissonner rien qu’en y pensant.

Mais comment entrer sur Grand Line. La question se posait en moi, je n’étais pas vraiment sociable et je supportais difficilement les contraintes et les ordres... principalement à cause de mon passé d’esclave. Je savais aussi que je n’avais pas vraiment pour le moment le charisme ou le talent d’un leader... J’étais avant tout un solitaire, je devais donc trouver une solution autre que le recrutement. Je retirais aussi assez rapidement la possibilité de voyage clandestin. Les rumeurs disaient que Grand Line était un voyage dangereux et parsemer d’embuche. Cela voulait dire qu’il y aurait souvent du mouvement et donc pour se cacher même dans le fond cale allait être compliqué... Finalement la solution m’était apparue un peu par hasard alors que je marchais dans une rue.

« La Translinéenne » « Transport et confort pour ceux qui ne perdent pas le Nord !»


En lisant un peu plus convenablement cette affiche je pouvais lire que cette compagnie offrait la possibilité de voyager à travers tout Grand Line. C’était pour moi en quelques sortes la chance de ma vie... Même si je me doutais que cela risquait d’être relativement couteux. Je me dirigeais donc rapidement vers une de ses agences pour faire affaires avec ses gens... Je voulais mon billet pour ne nouveau monde et donc après 1 heure d’attende j’étais enfin reçu. L’homme devant moi relativement jeune.... Je lui expliquais donc que je voulais me rendre sur Grand Line grâce à leur compagnie. Le jeune homme accepta sans aucun problème, mais je croyais presque m’évanouir quand j’appris le tarif de son voyage... 300 000 Berry, une vrai petite fortune quand même. Je savais que j’allais devoir raquer mais c’était plus que je n’imaginais...

Quand je sortais de là, je prenais le temps de faire le point avant de faire quoi que ce soit... Pour la première fois de ma vie, mon cerveau fusait à 100 à l’heure.

*Bon, le bateau part dans 3 jours, il faut que vol 300 000 Berry en deux jour donc pour pouvoir le donner au chef de la Translinéenne... Je ne suis pas dans la merde.*

J’avais évidemment deux possibilités pour voler cet argent. Voler un riche et j’aurais la marine à mes trousses, voles un gang de criminel et j’aurais tout le gang à mes trousses. Le choix était pour moi vite fait. La marine pouvait aller pratiquement partout et donc si je les volais j’allais avoir du mal à passer inaperçu après ça. Valait mieux voler des criminels qui tenteraient de régler ça eux même car une fois sur le navire, je ne risquais pas de les retrouves. En tout cas une chose était sur j’avais du boulot...

Première étape, la chasse à l’information. Le pickpocket n’était pas suffisant et je n’allai pas voler une dizaine de criminel pour être sur d’avoir la somme voulu. Je devais faire le coup en une fois et sans bavure. Je visitais donc tous les bars possibles et imaginables pour écouter les nouvelles. Il fallait que je trouve quelques criminels assez stupide pour ne pas prendre de risque et assez doué pour qu’il ait l’argent voulu... Apres une journée de recherches je trouvais donc ma cible. Un jeune groupe de pirate qui fessait un peu trop la fête pour que cela soit naturel... Sans aucun doute que ceux-ci avait pillé quelques navires ou trouver un trésor pour se saouler comme ça... C’étaient donc décidé ils étaient devenu mes cibles et je n’allais pas les loupes.

Deuxième étape, la filature. Bourrée comme ils étaient, je n’avais pratiquement pas besoin d’être discret. Je devais les suivre sur leur navire. Il fallait que le puisse avoir une idée global des solutions et possibilité, mais aussi d’où serait planquer l’argent... Sans doute dans une cale du fond comme beaucoup de pirate le fond... L’équipage était plutôt nombreux et des combats sur le navire risquait d’attirer des gens ou pire la marine... Je devais frapper au moment où il était le plus vulnérable la nuit. Aujourd’hui, il était trop tard, mais demain soir serait le moment idéal pour frapper. Il était fort probable que ses types restent quelques jours amarré, histoire de faire le plein de vivre et de diverse chose. Je devais avoir donc logiquement une nuit de plus pour préparer mon plan.

Le lendemain, je vais de nouveau voir le patron de la Translinéenne pour lui dire que j’aurais l’argent demain dans la matinée. Le navire partant en milieu d’après-midi j’avais donc la possibilité de prendre mon billet le matin même. C’était qu’une formalité, mais je préférais être sur avant de prendre le moindre risque. La journée était donc consacrer à la mise en place de mon plan qui était plutôt simple vu que j’avais besoin que d’une corde et de mon talent naturel.

La nuit tombé, je me trouvais à quelques mètres du bateau pour voir le groupe des troupes quitter le navire pour sans aucun doute le saoule et revenir bien des heures plus tard. Cela voulait dire que sur le navire il y avait le strict minimum. Le moment parfait pour frapper. Je passais rapidement devant l’espèce de petit ponton qui reliait leur bateau à la terre ferme. Ensuite j’attachais la corde qui était relativement longue sur un poteau pour d’un saut atteindre le navire. J’évitais de tomber dans l’eau en plantant mon sabre sur le bateau. Je montais ensuite doucement vers la poupe du bateau pour accrocher l’autre bout de la corde. Je pouvais donc maintenant m’infiltrer sur le navire tout en fessant à attention à l’ennemie présence, mais s’il n’était sans doute que trois ou quatre. Je pouvais donc profité de ma petite taille, de mes vêtements sombres et de ma vitesse pour entrer rapidement dans le vif du sujet. En quelques minutes, je trouvais quelques sacs remplies de trésors chaque sac devait avoir au moins 100 000 Berry si pas plus. Je replissais chaque sac dans un grand pour que cela soit plus facile à transporter et me dirigeais vers la sortie.

J’avais fait le chemin inverse pratiquement aussi rapidement que pour l’aller quand arriver sur la poupe un homme me repéra alors que me j’apprêtais à prendre ma corde en criant :

Hey toi qu’est-ce que tu fais ? Reviens ici tout de suite enfoiré.

Je sautais alors sur la corde et me laissais glisse dessus. A peine je touchais le sol que je coupais cette corde pour qu’il ne puisse pas me suivre par là. La seule moyenne était donc de travers l’espèce de ponton qui reliait leur navire à la terre. Mais à peine le premier fis un pas que celui-ci s’écroulai comme un fétu de paille face au vent. Un petit tour que j’avais fait avant de passé à l’action... Je pouvais donc quitter les lieux sans risque d’être poursuivis. C’était un plan simple mais un plan qui marchait comme sur des roulettes. Je pouvais donc me rendre chez un revendeur au lever du soleil pour ensuite dans la matinée achetée mon billet.

... Chose dite, chose faite... Il devait être à peine 10h que j’avais mon billet plus que quelques heures était j’étais bon pour Grand Line. Mais vu l’évènement je voulais pour une fois être bien vu. Alors au lieu de ma tenue habituelle, je portais cette fois tenue blanche avec une ceinture rouge et un bandeau de la même couleur. Je dépensais le reste de l’argent que j’avais volé pour cette petite folie que n’était pas dans mes habitudes... Mais le temps passait vite et je remarquais qu’il ne me restait plus qu’une heure avant le départ du bateau, je devais donc me diriger vers le port pour ne pas le rater. Même si l’endroit n’était qu’à 10 minutes, il aurait été stupide de la rater à cause d’une envie inhabituelle de shopping. Je me mettais donc en route pour prendre la Translinéenne quant au milieu du chemin j’entendis une voix familier...
C’était peut-être le seul gars qui me fessais transpirer, c’était un homme qui j’avais déjà rencontré deux ou trois fois et dont je ne sais par quel miracle, je lui avais échapper. Mais si c’était lui, il arrivait vraiment au mauvais moment...


*Dan Milo !? Pourvu que ce ne soit pas lui...*
  • https://www.onepiece-requiem.net/t6395-yumi-matsu
  • https://www.onepiece-requiem.net/t6338-yumi-matsu
-Et alors, maintenant, fais bien attention à ta carte... Oui, c'est ça, cache la bien que je ne regarde pas. C'est bon ? Aller, hop, dans le paquet, où tu veux. Et garde-le dans ta main, d'accord ? Bon. Alors compte jusqu'à trois, et envoie le bien fort dans les airs !
-Uuuuun... deuuuux... troââââââ !

Il y a des « oh » et des « ah » quand j'envoie mon couteau dans le tas de cartes en vol. Et un gros « Waaaaaaaaah », quand la lame s'enfonce dans la carte choisie par la petite. Héhé, j'adore les mômes. Devenus grands, ils jouent les blasés, la magie les intéresse plus. Pourtant, neuf fois sur dix, ils pigent pas davantage comment ça marche que quand ils étaient petits.

...Oups, je crois que je l'ai envoyé un peu fort, le surin. L'enthousiasme.

Bon. On va quand même aller voir le pauvre type qui a du la voir passer au ras de son sourcil droit. Ou presque, quand même, faut pas exagérer... Mais il a l'air jeunot, et ça impressionne toujours un peu, la première fois.


-Bonjour mon ami !... Oh ? Tiens tiens...

Matsu ? Eh ben, comme on se retrouve. Si j'avais su, j'aurais peut être fait un peu plus attention à la direction de mon tir. Tant pis, on prend les devants. Je l'attrape par le col comme un voleur, parce qu'il en est un. Et hop, coincé contre le mur avec mon poids pour faire opposition et ma lame sous la gorge. Fais pas le con, petit, cette fois, je te louperais pas.

-Rentrez chez vous, les enfants ! Je reviendrais vite, ne vous en faites pas !
-Ouaaaaaais !
-Attention à toi, Monsieur Magicien !
-Snurf. C'est nul, d'abord.
    Maudit Milo, depuis que j’avais quitté ma vie d’esclave il ne semblait avoir qu’un but, me pourchasse et m’arrêter. C’est vrai que je ne l’avais affronté que deux ou trois fois depuis ses deux dernières années. Mais ce type semblait faire une affaire personnelle de mon arrestation. Mais ne pouvait-il pas me lâcher à la fin !? Encore une bonne raison pour quitter les blues. Une fois sur Grand Line, celui-ci aurait beaucoup plus de mal à me pourchasser. Il faut dire qu’il avait sans doute déjà du mal vu que généralement j’essayais d’être discret. Quoi qu’il en soit j’étais un quelques instant de l’heure de départ pour Grand Line, mais ce contretemps risquais de me faire rater mon voyage et j’avais trop travaillé pour ça.

    Enfin bref, celui-ci m’attrapais par le col pour me coller contre un mur, il dirigeait sa lame contre moi et vu la différence de taille, je me retrouvais les pieds au-dessus du sol. C’était vraiment une journée qui commençait bien pourtant. De l’argent rapidement et presque facilement volé, un billet pour me diriger vers le nouveau monde et une sensation de chaleur dans le cœur que je n’avais plus ressentit depuis un moment... Tout ça gagner parce qu’un abrutit de magicien était au mauvais endroit au mauvais moment...

    Je semblais en mauvaise posture et pourtant lui aussi car son amour pour les enfants semblaient être sa plus grande faiblesse. Je n’étais pas lâche au point d’attaquer ses gamins pour me sortir du pétrin, mais je n’étais pas du genre à laisse filer ma chance quand celle-ci arrive... Je savais que Milo était plus fort que moi, je savais qu’il arriverait à me battre dans un combat à arme égale... Enfin, c’était en temps normal car en réalité, je n’étais plus tout à fait le même homme que la dernière fois. Fini les attaques faiblarde et le sabre de mauvaise qualité, cette fois j’avais d’autre talent et un meitou avec moi.

    Mais je devais avant tout trouver une solution pour le sortir de se pétrin sans me faire trancher la gorge. Je plaçais donc une de mes mains sur celle qui tenait le sabre. Je tenais assez fort pour qu’il ne puisse trancher avec aisance ma gorge malgré la position avantageuse qu’il avait. Avec mes pieds sur le mur je poussais dessus pour faire reculer Milo, une fois qu’il avait fait quelques pas en arrière je plaçais mes pieds devant pour le forcer à me lâcher. Même si j’étais petit, mes jambes et mon corps était encore plus grand que ses bras. Avec sa main en moins, je pouvais baisse ma tête pour que son sabre soit moins coller à ma gorge et aussi prendre mon sabre pour le placer entre son sabre et moi et évité quelques dégâts dangereux.

    Si tout se passait comme prévu je devais pouvoir échapper à ses griffes et même réussir un coup de pied au niveau du menton lors de ma petite cabriole pour retrouver mon équilibre et une marge de distance de sécurité... Si un combat devait avoir lieu celui-ci n’avait pas encore commencé... Je n’étais pas sûr d’avoir atteint le niveau de mon adversaire. Mais j’étais certains d’avoir gagné assez en puissante pour lui tenir tête un moment surtout avec mon nouveau sabre que je montrais de façon assez fière je dois l’avoué... Surtout quand je lui disais :

    Milo, t’es vraiment une plaie, mais cette fois tu ne me gêneras pas... J’ai avec un moi une armée bien plus puissante que mon sabre vieux sabre... un Meitou, une arme qui me rend bien plus fort...

    Je me mettais en garde prêt à me battre ou à fuir en fonction de la situation, je ne voulais pas laisse Milo me faire rater mon navire... Apres tout, le billet était ni repris, ni échanger... Il était donc hors de question pour moi de la laisse filer en m’oubliant.

    ... Alors casse-toi, va jouer avec tes amis les enfants, j’ai des choses plus importante à faire, un navire m’attend.

    Quel serait sa réponse ? Je la connaissais déjà, ce type est un vrai saint. Toujours à vouloir aider la veuve et l’orpheline ou à faire régner la justice... Le genre de type qui me file de bouton.
    • https://www.onepiece-requiem.net/t6395-yumi-matsu
    • https://www.onepiece-requiem.net/t6338-yumi-matsu
    C'est ça, bonhomme. Agite ton coupe-coupe comme un môme avec son hochet. C'est pas ça qui va m'impressionner. Ni ça, ni rien d'autre, d'ailleurs. T'as déjà oublié ? Je suis du cercle de ceux qui sont la source de l'étonnement des grands et des petits. De la ligue étrange des faiseurs de miracles et des multiplicateurs de pains.

    Je suis Mille-Tours et Mille-Passes. Milo le magicien. Et ce n'est pas un nouveau gadget qui risque de me faire grincer des dents. Meitou, tromblon ou canon. L'union des trois ne vaudrait rien sans l'habileté d'une main d'homme pour les faire fonctionner. Et il se trouve que ça, ça me connait.


    -Il n'y a que le talent pour faire d'un faible un puissant, Matsu.

    Et là, hop, je suis lancé. Une petite sentence qui a l'air là pour jouer l'adversaire classe, juste un peu chiant, ce qu'il faut. Mais mes mains ont pas chômé, pendant ce temps. Tu causes, je cause, et elles bossent dur, les tourterelles. Un lancé de poignard dans le vide, histoire de te donner confirmation : va falloir te les remuer, gamin. Et tu pars à la charge en jouant les amateurs. Non. Tu t'es dérobé au dernier moment, en traître. Ça te va bien, ça. Aucun honneur, aucun courage. Mais, moi, je t'ai vu.

    La lame taille de l'air, et tu te ramasses mon foulard dans les mirettes en guise de contre-offensive. Surpris, déconcentré ? Même si c'est qu'un peu, à moi, ça me suffit.

    T'as rien pigé, mais ton sabre a disparu. Eh ouais. Tu peux les regarder, tes sales paluches de braqueur de bac à sable. Elles sont vides. Envolée, la jolie lame ? Mais non, regarde bien...


    -Hop. Héhé.

    Main dans la bouche, et c'est une garde bien connue que tu vois se dessiner derrière mes crocs. Comment j'ai fait ? Ahah ! T'aimerais savoir ? Un magicien livre jamais ses secrets. Arrête d'avoir l'air si étonné, ça me flatte. Ce coup-ci, je suis au top. Et tu es vraiment allé trop loin pour que je me permette encore de pas être vraiment sérieux avec toi.

    -On va voir si une arme peut vraiment améliorer le combattant, si tu veux bien.

    Haaay ! A la charge, avec le meitou gentiment prêté pour l'occasion. La lame est belle, c'est clair. Les passes d'armes se font avec aisance. Et vu ma dextérité... je me prends vite au jeu. Je n'ai plus l'impression d'être un soldat avec son outil de travail. Mais une seule et même entité. C'est comme avec les cartes. Sauf qu'en plus, là, c'est pour la bonne cause. J'ai fini de jouer.

    Et toi aussi.


      J’étais devenu beaucoup plus fort qu’avant, je n’étais pas encore un grand guerrier, mais je savais que ma force et ma vitesse était devenu largement supérieur à la dernier fois qu’on c’était vu. Je savais que niveau dextérité et force il me dominerait encore, mais je n’imaginais pas que cela serait le cas en terme de vitesse et agilité... Il n’y a que le talent qui fait un faible un puissant. Je voulais lui montrer que mon niveau était bien supérieur à notre dernière rencontre... Je savais que le combat serait rude, mais je ne pouvais pas imaginé à quel point j’allais me faire avoir par Milo.

      Je n’aimais pas donné le premier pas, j’attendais donc l’ouverture des hostilités qui ne tardait pas. Un poignard lancé, j’esquivais celui-ci sans trop de problème. Je n’étais plus un gamin, un amateur, je n’allais donc pas me faire avoir par un coup si basique... Par contre c’était pour moi le signal de foncer et d’attaquer. Je connaissais Milo je savais comment il était et dans un sens j’avais un certains respect pour lui. Apres tout, il n’était pas très diffèrent de moi, il avait des convictions et il se battait pour celle-ci.

      Mais il y avait un détail que j’oubliais et qui pourtant avait son importance. Si j’étais devenu plus fort, lui aussi, si je le connaissais, lui aussi. Alors quand je tentais de feinter une attaque de face pour attaquer sur les flancs, je trompais d’idée au point de me faire dérober mon arme d’une façon de la façon la plus humiliante possible et imaginable. Le salopard, il avait profité d’un moment de trouble avec le foulard pour le faire un de ses coups en douce et me voler mon précieux sabre. Jamais depuis la mort de ma mère je n’avais eu une rage aussi puissante et aussi folle face à une personne... Cette arme était un peu comme une partie de mon âme...

      Mais je devais garder mon calme, c’était une chose difficile à faire, mais je devais le garder pendant que mon adversaire ce vantait de cette exploit... Je devais aussi réfléchir à une solution pour reprendre mon arme et surtout évité de me faire embrocher par celle-ci... En claire j’étais légèrement dans la mouise...

      Les idées n’étaient pas vraiment présentes et étant maintenant désarmer, je devais juste fuir pour esquiver et évité de me faire tuer... Je n’avais actuellement aucune solution pour le contrer et je me contentais d’esquiver les attaques de justesse en essayant de garder le plus de distance possible... Apres un moment d’esquive je fuyais vers le une sorte de taverne, je profitais des meubles et tables pour gêner un peu ses mouvement et pour lui dire :


      C’est quand même pas très marine de voler un sabre... Même si tu le vol à un voleur... Tu n’as pas trop honte j’espère !?

      Je ne croyais pas vraiment que ma petite provocation fasse son effet. Apres tout, il devait sans doute ce dire que j’avais vole ce sabre, ce qui n’était pas faux... Enfin bref, cela avait quand même une petite chance de le faire réfléchir et de le déconcentrer légèrement. Le moment idéal pour contre-attaquer et prendre tous les risques...

      *Je ne pourrais utiliser cette technique de deux fois au mieux, il faut que cela marche*

      Je courrais alors une pleine vitesse telle une fusée sur Milo, pas de déviation ou de feinte classique comme précédemment, je voulais cette fois mettre le paquet. S’il trouvait mes feintes vraiment lâche, celle-ci les surclassait totalement. En ligne droite, je ne montrais aucune intention de feinte. J’attendais simplement son attaque pour disparaitre en laissant simplement mon reflète. Une illusion provoquer par une vitesse extrême qui provoque à l’œil l’illusion que le corps n’a pas bouger de sa place pendant une fraction de seconde... C’était actuellement ma technique la plus rapide mais aussi la plus pénible à supporter physiquement... Une technique que je n’utilise que rarement et qui s’appelle

      « Dragon Mirage »

      Toujours est-il, je me retrouvais juste dessus de lui la tête vers le bas, et j’enchainais avec une autre attaque de mon crue

      « Dragon Tornado »

      Une série de main apparaissait vers Milo, le but était évidemment de le faire reculer car la seule main qui était réel était celle qui se dirigeais en réalité vers le pommeau de mon sabre... J’enchainais ensuite sans attendre avec un coup de pied au niveau de la mâchoire... La distance était courte et l’attaque rapide même pour lui. Mon plan était évidemment de récupéré mon sabre et si tout se passait comme prévu il n’aurait pas eu le choix.

      Mon sabre a beau être souple et très maniable, il a plusieurs défauts et l’un des plus grands était qu’il n’avait pas de garde. Avec le coup de pied et ma main qui tenait le bout du pommeau, il n’avait pas beaucoup de possibilité. Il allait devoir reculer et choisir entre me le rendre pour garder ses doigts ou le garder et perdre ses doigts... Et au final quand même devoir le rendre car il allait avoir du mal à le tenir avec les doigts sectionner...

      En tout cas, une chose était sûr, une fois à nouveau en main il ne pourrait plus jamais le récupéré... Sauf sur mon cadavre... Et encore.
      • https://www.onepiece-requiem.net/t6395-yumi-matsu
      • https://www.onepiece-requiem.net/t6338-yumi-matsu
      Eh, tu me l'aurais caché, ça, hein ? Toi aussi, tu as trouvé tes marques sur la voie de l'illusion ? Ironique. Tout en brutalité, mais t'as compris l'essentiel : faut surprendre. J'ai pigé le truc, mais un poil trop tard. Je m'attendais pas à ça, c'est là que je vois que j'ai encore du chemin à faire : un vrai magicien doit être sans aprioris sur la réalité. Et un bon combattant doit apprendre à connaître son ennemi sans le ranger d'office dans une case.

      J'suis allé un peu vite en besogne, je crois.

      Et l'avorton qui frappe comme un singe. Rapide, il l'a toujours été. Sauf que quand même, faut pas pousser... Crack ! Merde, ça, c'était mon nez. Ça pisse le sang, j'ai la vue qui se trouble direct. Mais je cligne des yeux pour chasser les larmes, et j'ignore la douleur. A force de castagne, je commence à m'habituer.

      Faut pas pousser, je disais. Le coup de l'illusion, maintenant, j'ai pigé. Et quand il agite ses paluches à toute vitesse, je comprends bien ce qu'il cherche. A quel point il y tient, à son coupe-coupe. Alors, je ressers ma prise. Et au lieu de lâcher, ou de glisser ma main le long de la lame effilée, j'utilise la force du recul pour embarquer le bonhomme avec moi. Tiens ! Ça t'apprendra à être un poids plume, gamin. Mon poing dans tes mirettes en guise de contre, ça te fera les pieds... et bam !

      … la vache, c'est qu'il est coriace. Toujours accroché à cette lame. Il m'en veut de la lui avoir empruntée ? Eh. Je parierais mes galons, mes talents et mon premier jeu de cartes qu'il l'a volée.

      Fou, la dévotion que peuvent avoir les assassins pour les outils qui leur donnent le sentiment d'être puissants. Les outils qui leur servent à tuer.

      A cette pensée, je vois rouge. Ce gamin, c'est pas la prison, qu'il mérite. C'est une putain de bonne fessée. Pour un peu, j'serais prêt à l'y remettre, dans le droit chemin. Il a la vie devant lui, après tout. Mais s'il se gâte maintenant, avec son talent plus qu'embryonnaire, ça pourrait devenir vraiment grave.

      Alors, j'redeviens sérieux. Je lâche pas ma prise, je sais que physiquement, c'est moi qui domine. Et de la gauche, je frappe en direct, crochet, direct. Tu... vas... me...le... lâcher, ce sabre ! Ah ! Trop proche pour que j'y aille à grands coups de lattes dans les côtes. Mais j'suis pas mauvais boxeur non plus, et tu finiras bien par céder. Parole.
        Cette technique était actuellement la technique qui me demandais le plus d’effort physique. Légèrement inspiré des talents de Milo je devais l’avoué, elle était beaucoup moins subtile que la sienne. Apres tout, le pouvoir d’un illusionniste était surtout d’attire le regarder sur une chose pour la faire disparaître une autre de l’autre côté. Moi j’utilisais tout la force et ma vitesse pour crée une image de moi pendant un bref instant. Si j’étais plus rapide je pourrais être beaucoup plus efficace avec cette technique et sans en subir les contraintes physiques de l’être humain. Mais j’étais déjà plus rapide et agile que la majorité des humains.

        Mais bien que cette technique fût extrêmement efficace pour surprendre l’ennemi. Je ne pouvais actuellement l’utilisé que deux fois... Et puis de toute façon, les ennemis de haut niveau ne se laisse pas souvent berner deux fois par ce genre d’attaque. Mais c’était même pour lui une grande première et donc une chance pour moi. Avec tout l’agilité que je pouvais faire preuve et la force qui se cachait en moi, je profitais au mieux de la situation, mais malgré le fait qu’il ne devait avoir à peine 5 ans de plus que moi, il avait beaucoup plus d’expérience et de contrôle... Je pensais qu’il lâcherait quand je voyais que mon coup de pied l’avait touché en plein sur le pif. Pourtant au lieu de relâcher la prise-t-il la resserrait. Cela se jouait donc maintenant que sur la force et malheureusement je n’étais pas vraiment dans une position confortable.

        Cela durait pendant un petit moment, mais je devais bien lâcher un moment... Surtout un petit bruit de craquement se fit entendre au niveau du nez à mon tour... S’il continuait à frapper et si mon nez était vraiment casser cela risquait de véritablement m’empêcher de respire ce qui n’était pas une bonne chose. Donc malgré la douleur je donnais un coup de pied au visage mais cette fois pour prendre du recul avant que cela ne s’aggrave. Mais j’étais déstabilisé et je ne pouvais que me vautrer sur une table qui céda dans ma chute... Je ne me relevais que quelques instants plus tard et c’était à reculons que j’appréhendais la suite du combat...

        Le nez coulait assez généreusement, je pouvais le voir en regardant le sang son mon bandage alors que je m’essuyais le visage... Je ne pouvais utiliser ma technique mirage encore qu’une fois, plus je savais que je ne saurais supporter... Surtout que j’étais déjà affaiblit physiquement. Je ne voyais plus beaucoup de solution, mais une chose était sûr, je ne voulais pas partir sans mon sabre. J’avais travaillé trop dur pour l’avoir. Il aurait été injuste que je parte sans lui... Non il était hors de question que je parte sans lui. Je préférai payer à nouveau le bateau ou encore mourir que de l’abandonner...

        Je devais jouer en quelques sortes ma dernière carte... Je surprendre et le forcer à lâcher le sabre de lui-même... Je tentais donc le tout pour le tout...Je retirais alors le bandage sur mon bras pour montrer le dragon noir tatoué dessus. Ensuite je courais un peu dans tous les sens tout en gardant une distance de sécurité entre lui et moi. Cela pouvait sembler étrange mais ma stratégie consistait à en première temps lui donner légèrement le tournis... Quand le moment me semblait opportun je fonçais comme la dernière fois sur lui. Même façon de courir même style ou presque...

        Comme pour le dragon illusion, je sautais en l’air assez rapidement... Même si cette fois je ne laissais pas d’image derrière moi. Je savais qu’il ne se laisserait pas avoir, qu’il me verrait sauté à nouveau. Mais c’était exactement ce que je voulais. En l’air, je devrais perdre la possibilité de me mouvoir correctement et pourtant au moment où je semblais le plus vulnérable, je restais pendant un moment légèrement en l’air... Comment cela peut être possible ? J’avais simplement accroché mon bandage sur le lustre qui se trouvait juste au-dessus de Milo... Je n’attendais pas qu’il comprenne ce qui se passe, j’attaquais tout de suite avec :

        « Dragon Furie »

        Petit modification de l’attaque contenue des enlèvements, j’attaquais avec mon pied plutôt qu’avec mon sabre. C’était moins piquant, mais presque aussi efficace. Je balançais donc une série de coup de pied vers le visage de mon adversaire pour l’assommer un peu. Le dernier de coup de pied servait surtout lui à me relancer en l’air pour pouvoir attraper le lustre et poser mes pieds sur le plafond. De cette façon je pouvais arracher ce lustre et faire en sorte qu’il tombe sur Milo. Ce lustre était plutôt lourd, il était sans doute composé de bois, mais aussi de métal... Même avec mon sabre et sa dextérité, dans la position ou il était, cela n’allait pas être facile à découper. L’esquive était pour moi la meilleure solution, mais à ce moment-là, je me préparais à lancer comme un disque le lustre... Pour finalement avec la vitesse dont je fessais preuve essayer de foncer à toute vitesse sur lui pour le frapper dans l’estomac avec mon pied histoire qu’il recule encore un peu suivit par un coup de poing dans le bras au niveau du poignet pour que celui-ci relâche instinctivement mon sabre de la main.

        Ma stratégie était bonne et les plausibles, les chances de réussite était donc bonne... Mais il fallait encore que monsieur Milo se laisse piège... En tout cas, moi je venais de donné tout ce que j’avais.
        • https://www.onepiece-requiem.net/t6395-yumi-matsu
        • https://www.onepiece-requiem.net/t6338-yumi-matsu
        Il a cédé pour mieux revenir sur son os, le chiot. Par le joker, ce désordre qu'il est en train de mettre, en plus ! Quand je l'aurais bien serré, je referais son éducation point par point. Et après, il s'en ira apprendre à faire des meubles, et il offrira ses premières production à l'aubergiste !

        Ouais, j'aurais pas du le suivre à l'intérieur, mais en même temps, je voulais pas le perdre non plus. Le berger doit garder un œil sur ses brebis les plus galeuses. C'est son devoir. Et à moi devoir, moi, je ne manque jamais. Ou en tout cas, j'essaye.


        -Nom de...

        Celui-là, il me l'a arraché, faut dire. Coincé contre un mur, j'ai le putain de lustre qui me tombe dessus. J'aurais du la voir venir, mais dans le lot, y'a un coup qui est passé et qui m'a pas loupé. La seconde d'étourdissement de trop. Et c'est le monument que je me récupère dans les gencives. A peine le temps de me protéger, de relever ma garde et de placer le sabre en opposition. Pas suffisant pour pas ramasser cher en éclats de verre, et pour éviter de sentir le fer forgé me bousiller l'uniforme et m'arracher la peau d'un bras. Même pas mal. Sauf que je crache une dent. Merde.

        -Okay, tu veux ton sabre, petit con ?

        J'ai dit ça en souriant, l'air de rien. J'en chie, mais je veux pas qu'il s'en doute. Parce qu'il va recevoir une bonne correction.

        Il a essayé d'en profiter. Deux coups directs, rapides, puissants, mais faciles à parer. J'ai la charpente qui craque un peu, mais je crains pas. Le coup sur le poignet qui saignait déjà bien à cause du lustre, j'ai pas aimé, vraiment pas. C'est traitre, on sent celui qui se sent dominé et qui cherche malgré tout à faire son sale petit trou sans gloire. Pas que ça soit mon obsession. Mais quand même.

        Alors, je me redresse, en lui donnant mes compliments sous forme d'une balayette vive comme l'éclair. Et je sors les deux atouts de ma manche : deux petits poignards du genre de ceux que je serais capable de lancer les yeux bandés avec une précision mortelle. Le premier s'enfonce dans une cuisse, le second, dans son homologue de gauche. A genoux ! Pas longtemps, mais assez pour que sa lame, j'ai le temps d'aller la planter dans le sol, juste devant lui. Il cherche pas à comprendre, il est vif. Manque d'arriver à la reprendre. Mais direct, j'le fais reculer. Beigne dans la tempe, juste aligné comme il faut. Iil a l'air un peu sonné.


        -Maintenant... tu vas me suivre au poste, Matsu. Arrêter toutes ces conneries. T'es encore jeune, et t'as du talent. J'veux bien te tendre la main une fois. Mais t'auras pas de seconde chance, c'est clair ?
          Rare était les combats ou je mettais autant de cœur et d’énergie... Ce n’était pas à cause de Milo, il était fort, beaucoup plus fort que moi et surtout plus habile. Mais ce n’était pas la raison première. Non la raison était bien qu’il avait mon arme en main. Certes je l’avais volé, mais elle m’était destiner. Cette arme était comme une partie de moi... « Kokuryuu » Lui et moi on avait le même surnom, il était donc logique que je l’obtienne et il était aussi logique pour moi que je tue les « Tenryūbito » avec... C’était pour cette raison que je me battais avec hargne pour le récupéré, car quand Milo me l’avait volé, c’était comme s’il volait une partie de mon âme.

          Stratégie, feinte et un peu de chance m’avait alors permit de prendre l’avantage... Pendant un instant je croyais que j’allais pouvoir le surprendre et prendre presque tranquillement mon sabre... il fallait qu’il lâche cette arme qu’importe le prix, qu’importe les risques c’était ce que je me disais... Au faite, si je devais mourir pour mon sabre, je n’aurais aucune hésitation à plonger dans les profondeurs des enfers... Dommage que mon adversaire n’aimait pas se faire piéger comme un amateur...

          J’étais à deux doigts de récupéré mon arme, mais si je me voyais déjà mon sabre en main Je savais que Milo était un adversaire dont il fallait toujours se méfier. Il enchaînait avec une série d’attaque que même moi j’avais eu du mal à suivre, sans doute parce que je le pensais assez assommer pour réussir mon coup. Il fessait une balayette, avant de me planter deux couteaux, un dans chaque cuisse. Je tentais de retrouver mon équilibre et pour attaquer, mais la douleur des lames plantés dans la chaire était trop forte c’était bien malgré moi que je tombais à genoux sur le sol. Je tentais malgré tout comme d’un pur reflexe de plonger vers mon sabre que je frôle de la main... Mais un coup dans la tête. Un coup vraiment violent, qui me fait voler jusqu’au bar avec avoir touché deux ou trois fois le sol.

          Quelques secondes plus tard, je me relevé et m’aide de ce qui restait du bar pour me tenir debout. Du sang coulait sur mon visage. Ma vue était légèrement trouble pendant un petit moment... J’étais plutôt affaiblit, je n’allais pas encore encaisse des attaques de ce type pendant des heures... Je profitais donc de se moment de discussion pour reprendre mes esprits et mettre en place une nouvelle stratégie... il voulait que je me rends, il pensait me donner une seconde chance... Pourtant, il était déjà trop tard, j’avais fait mes choix et j’avais déjà réfléchit depuis longtemps.


          Milo, tu sais pourtant que ce que je suis et ce que j’ai fait... Tu crois franchement que je vais juste passé une journée au trou ? Pour moi c’est la portance... Tout ça pourquoi ? Parce que j’ai décidé de mettre en place à justice que vous la marine et le gouvernement vous ne pouvez faire... Plus jamais je n’obéirais à l’ordre stupidement... Je rendrais justice à tous ses gens qui comme-moi on subit un destin similaire au miens.

          Je retirais alors mon bandeau sur le front pour montrer mon signe d’esclave... Milo ne devait pas être surpris de ce signe. Apres tout, c’était la première personne à m’avoir soupçonné du meurtre de mon maître. Il était donc forcément au courant de ma marque sur le front. Je retirais aussi les lames planté dans mes cuisses pour m’en servir comme arme... Ce n’était pas l’idéal, mais c’était mieux que rien... Bien que j’aie déjà beaucoup parlé, je voulais encore lui dire une chose donc je profitais pour lui dire :

          Je sais que tu ne me laisseras pas partir, même si je te le demande. Mais sache une chose une fois mon objectif accomplis, je me rendrais moi-même à la marine et subirais les conséquences de mes actes... (Voix basse) De toute façon, la seule personne qui m’attend n’est plus ici... Mais vu que pour partir je dois régler ton cas...

          Je courais donc à vive allure sur mon ennemi avec comme arme deux petits couteau, trop petit pour lutter contre mon sabre, je ne savais et d’ailleurs, je n’avais aucune chance de l’emporter. Je ne pouvais utiliser « Dragon Mirage » qu’une nouvelle fois et je savais que ma feinte précédente n’allait pas marcher... Je n’avais donc plus qu’une solution à mon arc et si cela ne marchait pas, j’allais sans aucun doute mourir... Sinon, je pouvais remporter mon sabre et la main de Milo en même temps...

          Mon plan était simple, avec les deux couteaux je voulais jouer le jeu du combat à l’arme blanche... Mais surtout le provoquer non pas à la faute, mais au contraire au coup dans le mille... J’attendais donc qu’il prenne mon sabre pour foncer droit sur lui... S’il attaquait de façon à trancher, je reprendrais du recule comme si je voulais percer sa défense... Avec ses couteaux je pouvais réussi à dévie ce type d’attaque... Par contre, s’il tentait de me transpercer j’allais avoir beaucoup plus de mal... J’attendais donc une attaque directe pour plonger directement dans la lame de mon sabre. Une fois la lame planté dans mon ventre, je crachais un petit paquet de sang avant de lâcher l’un des couteaux pour attraper la main de Milo... je le regardais dans les yeux pour qu’il comprenne mon intention...

          C’était assez simple, mais aussi purement suicidaire... Il y avait d’ailleurs plusieurs solutions au problème, mais pour ça Milo devait choisir et vite. Première solution, il lâchait le sabre pour me le rendre. Deuxième solution, il garde le sabre et prend le risque de se faire trancher ou au moins sectionner la main avec le second couteau. Troisième solution, il fait tourner le sabre pour m’ouvrir les entrailles et s’assurer ma mort... il devait décider vite car, je n’allais pas attendre pour lui trancher la main... Mais je savais déjà quel serait sa solution... Je le voyais mal tuer quelqu’un de cette manier, d’une façon cruel et barbare... Je doutais qu’il ait envie de perdre l’usage de sa main aussi... Le mieux était donc à mon avis qu’il lâche le sabre pour que je lui lâche la main... C’était un vrai coup de poker car je me trompais sur la personnalité de Milo, je venais de simplement signer mon arrête de mort...

          • https://www.onepiece-requiem.net/t6395-yumi-matsu
          • https://www.onepiece-requiem.net/t6338-yumi-matsu
          Et voilà. Ça a dix-sept piges, et ça se met à parler de choix, d'une justice plus grande que celle de la marine à faire régner, de la potence en cas d'échec, et bla et bla. Des contes de bonnes femmes, il voit pas la main tendue vers lui et mon regard qui ne trompe pas. Petit frère veut grandir trop vite, mais il a oublié que rien ne sert de courir, même. Ouais, ouais. Tu peux me montrer le tatouage, je sais bien que t'as pas eu la vie facile. C'est justement pour ça que je me propose pour t'aider. Ouais, t'as buté ton maître comme un dégueulasse, mais ça encore, je peux comprendre. Ce que je pige pas, c'est ton côté voleur, bagarreur des bas-côtés, prêt à tout et surtout au pire. Tu vas tourner mal, très mal si tu continues à tracer ta route dans ce bouillon là, gamin.

          Ce qui me tue, c'est de voir à quel point tu es sans espoir autre que la vengeance. Okay, la justice dont le nom est brodé sur le dos de mon uniforme n'est pas absolue. Personne, personne n'est vraiment dupe chez les officiers. Il n'empêche que l'on essaye quand même pas mal de faire au mieux, et d'être avec les gens quand on le peut. Et être avec les gens, ça peut aussi vouloir dire récupérer un gamin perdu dans ton genre. Leur redonner le goût de vivre pour eux, et pas au nom d'un fantôme ou d'une chimère. Le monde sera toujours un peu sale. Et espérer le rendre plus pur en passant pas la case « bain de sang », c'est de l'illusion pure. Et je m'y conn...


          -Eeeeeeeeh !

          Non, mais c'est pas vrai, ça ! On ne peut pas discuter, il faut toujours qu'on en revienne aux instincts primaires. Ah, les gosses... de vraies petites tourterelles. Persuadés d'avoir toujours assez réfléchi, d'avoir toujours raison. Et ils supportent pas la discussion. Peut-être qu'au fond, ils sentent que ça pourrait ébranler leurs convictions trop vite acquises.

          … Mais quel con, bon sang ! Il s'est jeté sur son propre sabre ! Matsu, j'sais bien que t'es jeunot et qu'à cet âge là, ça guérit vite, mais quand même, faut pas pousser, ça vaut pas le coup...

          Oh, et merde. 'Fini de jouer, je suis pas un assassin, moi. Je lâche le manche, j'attrape tes deux mains. Et boum ! Coup de boule entre les mirettes !
          Celui-là, il devrait pas mal te sonner. Bon. Le soucis, c'est que c'est pas maintenant qu'on va pouvoir discuter non plus. Boh. P't'être que la hiérarchie le prendra pas trop mal si je te planque chez moi le temps d'être bien sûr qu'il y a pas mieux à faire avec toi que te foutre en prison ? Non ? Au pire, tant pis. J'aurais essayé.
            Et le prix de stratégie suicidaire revient à .... Matsu. Franchement, on pouvait se demander où j’avais la tête en fonçant tête baissé sur ma lame... Enfin, heureusement que mon idée était justement de me faire embrocher par mon sabre. De cette façon je pouvais faire en sorte que celui-ci ne touche aucuns organes vitaux... Cela n’empêchait que je l’avais senti passé... Mais l’important pour moi ce n’était pas la douleur. Ni même le fait de recevoir mon sabre en plein dans le ventre. Mais simplement de voir que mon plan avait marché. Surpris, peut-être même un peu dégouter, Milo avait fini par le lâcher... On pouvait dire ce que l’on voulait, je m’étais vraiment battu pour mon sabre...

            Mais cela ne l’empêchait pas de me coller un coup de boule, je voyais trente-six chandelles, je titubais, mais pourtant fait étrange, même pour moi, je ne tombais pas. Je marchais presque comme un zombie... Je passais devant une chaise qui ne semblait pas avoir trop souffert de mon affrontement pour me laisse tomber dessus de tout mon poids... La tête relevé vers le plafond, je semblais perdre connaissance alors que je poussais un grand soupir de soulagement... Soulagement pour avoir enfin récupéré mon sabre... Certes, il était toujours installer dans mon ventre, mais je n’avais avec moi et c’était pour moi le plus important...


            [Mode Flash-Back : On]

            Spoiler:

            [Mode Flash-Back : Off]

            ... Si je dois souffrir pour conserver mon rêve encore, je le ferais... Avec le sourire.

            Apres quelqu’un instant à plonger dans mes souvenirs perdu, je semblais être presque totalement réveillé. Je posais mes mains sur mon sabre que je tentais de retirer... Ce retrait de sabre, n’était pas sans quelques cris de douleur, mais aussi de volonté et de courage, car il en fallait pour se retirer un sabre du ventre... Une fois cela fait, je m’aidais de celui-ci pour me remettre debout et pour toiser Milo du regard avant de lui dire :

            Ecoute-moi, c’est la dernière fois qu’on se parle avant longtemps si tu veux mon avis... J’ai un rêve et j’ai fait ce que je devais faire pour avancer... On m’a toujours appris à avancer et c’est ce que je ferais qu’importe les risques ou les conséquences.

            Je profitais en même temps que je discutais pour arracher une partie de mes vêtements pour faire un bandage de fortune sur la blessure au ventre. Je reprenais aussi rapidement mon sabre et j’analysais rapidement la situation avant de passé à l’attaque... Je savais que mon bateau allait partir d’une minute à l’autre. Je devais donc faire un choix crucial, me battre pour me débarrasser définitivement de Milo ou fuir pour pouvoir me rendre sur Grand Line...

            Le choix était vite fait. Je voulais aller sur Grand Line, mais c’était Milo qui était le plus prêt de la sortie... Je ne pouvais pas montrer mon intention de fuir, sinon il risquait de m’arrêter avant même que j’ai pu franchir cette porte. Je n’avais donc pas le choix, je fonçais encore une fois sur Milo, mais cette fois j’avais mon sabre... Je me plaçais le plus bas possible pour que forcer Milo à se baisse pour m’atteindre... Mais alors qu’il tentait de m’attaquer, j’utilisais une technique qu’il devait bien connaitre et qui cette fois ne serait pas du bluff...

            « Dragon Mirage»

            Une image apparaissait de moi qui n’étais pas la bonne, mais je n’utilisais pas cette technique pour feinter et attaquer Milo en traître. Mais bien pour fuir la pièce. En effet, alors qui se rendais compte de la supercherie, je traversais déjà les portes du la taverne pour me diriger vers le bateau que je devais prendre dans environs 15 minutes maintenant. Je courais donc à vive allure, mais avec quelques gouttes de sang qui colorait de plus en plus mes vêtements... « Dragon Mirage» était une techniques puissante, mais pas sans conséquence pour le corps... Surtout avec un corps affaiblie comme le mien.
            • https://www.onepiece-requiem.net/t6395-yumi-matsu
            • https://www.onepiece-requiem.net/t6338-yumi-matsu
            Bon. J'aurais pas du lui laisser le sabre, ça lui a donné l'envie de fuir. Pas sans avoir joué le rôle du guerrier romantique en proie à un terrible destin ou je ne sais quoi avant.
            Un moment, je me pose sur une chaise miraculeusement indemne. L'aubergiste s'approche, s'inquiète, gueule un peu. Je le rassure avec mon plus beau sourire, et une bourse qui contient la moitié de ma solde. Ça va me faire un mois de misère, mais là, tout de suite, c'est pas mon problème.

            Qu'est-ce que je fais ? Lui courir après, bof, je crois pas. J'ai réagi un peu tard, et le drôle doit déjà s'être planqué je ne sais où. Même blessé aux guibolles, il a prouvé qu'il savait courir.
            Appeler les gars, et bloquer le port pour l'empêcher de fuir l'île ?

            Ouais, je peux faire ça. Sauf que je risque de plus avoir de prises du tout sur les évènements, quand il sera capturé. Ça va se jouer avec les tribunaux, et j'aurais même pas vraiment mon mot à dire en tant que témoin. Témoin de pas grand chose de positif, d'ailleurs. Juste que j'aime pas qu'on touche aux mômes, définitivement. Et même s'il joue au grand dur qui sait ce qu'il fait, celui-là, c'est encore un gosse. Et un gosse, ça peut encore se corriger et s'améliorer, c'est comme les cartes et la magie : le champ de tous les possibles.

            Alors ouais, j'hésite, l'escargophone à la main. Puis finalement, je me dis, dans des situations comme ça, il me reste un truc pour m'aider à décider : le code, le devoir. J'ai fait ce que j'ai pu en tant qu'être humain. Me reste à faire ce que je peux en tant que marine.


            Pulu pulu.



            -Sergent ?
            -Oui, commandant ?
            -Prenez vos hommes et bloquez le port. Un jeune forban du nom de Yumi Matsu tente de s'enfuir de l'île. S'il essaye de forcer le passage, prenez le vivant.
            -Comment ? Mais mon commandant, la moitié d'entre eux sont en permission... vu qu'on attendait le bateau pour notre mutation...
            -Vous savez très bien que je sais être généreux, non ? Aller. Dépêchez-vous, sergent. Je vous rejoins. Terminé.
              Ce n’était pas vraiment mon genre d’avoir ce genre de phase, mais pour une fois, celle-ci m’avait sauvé la vie... Je devais être entre le monde réel et celui des rêves quand cela m’arrivait. Toujours est-il que grâce à cela j’étais à nouveau dans la course... Enfin dans la course c’était vite dit. J’étais toujours blesser et ce n’était pas ce petit gain d’énergie et de courage qui allait me guérir. J’avais quand même presque miraculeusement réussi à échapper à la vigilance de Milo. Je me retrouvais donc maintenant dans une petite ruelle à quelques rues d’où j’étais avec Milo. Je profitais de ce moment de calme pour récupérer mes forces qui était fortement amoindrit... Bien que les blessures aux jambes étaient douloureuses, c’était surtout à celle du ventre que je souffrais le plus. Utilisé cette technique une deuxième fois et en étant de faiblesse était vraiment pas une bonne idée... C’était sur maintenant, si je survivais à cette affaire, j’allais avoir besoin de quelques points de suture...Mais je ne pouvais pas trop rester à flâner, je prenais juste le temps de récupéré mon souffle et de refaire mes bandages un peu plus correctement avant de me diriger vers le quai ou se trouvait mon navire...

              *Et merde !*

              Je voyais des marines apparaitre un peu partout sur le port, je ne doutais pas que c’était pour moi... C’était sans doute Milo qui avait décidé d’appeler des renforts pour m’empêcher de partir... Je comprenais donc qu’il n’avait pas envie de me laisse filer mais surtout que cette fois, il n’aurait pas peur de mettre les moyens... Je rageais car je me disais que j’avais beaucoup trop parlé... Je lui avais dit qu’un navire m’attendais, par chance je ne lui avais pas dit lequel et donc son armée de marine était totalement disperser sur tous les quais... Quoi qu’il en soit, je devais agir avec prudence, je ne devais pas me faire remarquer avant d’être parti, une fois sur le navire et une fois celui-ci en route, je n’avais plus rien à craindre... Je tentais donc d’attendre le bateau de la Translinéenne par des chemins plus discret. Cela me prenait plus de temps et je risquais donc de joué sur les minutes, voir les secondes pour atteindre le navire.

              Une fois arrivé tout près du navire, je pouvais voir et entendre quelques marines discuter... Apparemment, certains d’entre eux, n’était pas vraiment ravi de faire des heures supplémentaire... Cela n’avait pas beaucoup d’importance, mais je savais donc que c’était une formation faite sur le tas et donc encore mal-organisé. Ici, ils n’étaient que trois, les autres étaient un peu plus loin, mais j’étais certain qu’ils n’auraient pas le temps d’intervenir entre mon assaut sur ses trois hommes et mon saut sur le navire. Car oui, j’avais l’intention d’attaquer ses marines et oui, j’avais l’intention de sauté sur le navire juste après que celui-ci ait largue les amarres. C’était un jeu qui allait se joué à la seconde près, je n’avais pas le droit à l’erreur.

              « Dragon Furie »

              Une série de lame fonçait alors sur les trois pauvres marines trop distrait pour avoir le temps de réagir... Je voyais ensuite le navire quitter le quai comme prévu... la ponctualité de la Translinéenne était vraiment impressionnante. Je voyais aussi les autres Marines un peu plus loin remarquer mon attaque. Ceux-ci se mettait à me courir après à rapidement à me tirer dessus... Mais fort heureusement pour moi, il était un peu loin pour véritablement avoir une chance de me toucher... Je courais donc vers ne bateau qui commençait à prendre une bonne distance. Je sautais de toutes mes forces pour atteindre le navire... Mais j’étais un rien trop juste et c’est de justesse que j’attrapais le bord du navire. C’était aussi à ce moment qu’une douleur assez vif frappait mon ventre, sans aucun doute la blessure qui c’était ouverte encore plus fort. Suite à la douleur, ma main lâchait le bateau... J’aurais surement fini sans l’eau avait de finir en prison, si une main n’agrippais pas la mienne au dernier moment.

              Eh bien mon jeune homme on essayer de resquiller ? Si tu ne veux pas que je te laisse tomber à la mer, il va falloir que tu me montre ton billet...

              C’est avec une certaine douleur et les mains qui commençaient à trembler que je sortais mon billet qui confirmait ma présence sur ce navire. Apres une brève observation l’homme me ramenait sur le navire... Le bateau était maintenant partit et pour Milo que je voyais arriver, il était trop tard pour me rattraper, le temps de prépare un navire et je serais déjà hors de son champ de vision... Je l’observais bien que je prenais à me tenir sur mes jambes et le sang que j’avais perdu me rendrais la vue trouble. Mais alors que je quittais officiellement Milo qui était en quelques sortes mon ennemi juré, une voix étrange et une apparence tout aussi étrange fit son apparition.

              Alors c’est tout le petit loup qui est arrivé en dernière minute ? Oh mais regarde toi tu es tous blessés mon pauvre chou... Mais rassure toi Angelonita va s’occuper de toi.

              C’était ce que ce type étrange me disait alors qu’il me prenait dans ses bras et m’écrasait littéralement les os... Juste avant que l’autre type réapparaisse...

              Hey toi ! Que fait tout à ma Granjelonita...

              Ensuite, un coup de boule et plus rien... Une chose était sur je n’avais pas été jeté par-dessus bord car au milieu de la nuit je me réveillais dans l’infirmerie du navire... J’étais donc toujours bien partie et pour de bon sur Grand Line... Il ne me restait donc plus qu’à profiter du voyage.
              • https://www.onepiece-requiem.net/t6395-yumi-matsu
              • https://www.onepiece-requiem.net/t6338-yumi-matsu
              Mais tandis que tu te remets de tes blessures et de ta fatigue, Milo voit le navire partir au loin. Il vient d'arriver, de retrouver trois de ses hommes blessés superficiellement. Il les engueule un peu, parce que merde, c'est des soldats de l'élite, faut pas déconner non plus. Trop tard pour lancer une poursuite digne de ce nom, et puis, sur un navire de passage tout ce qu'il y a de plus honnête, ça ferait tâche. Alors, il s'en retourne écrire son rapport, auquel il joindra une demande particulière.

              Celle d'être muté sur Grand Line au plus vite, et d'être averti de toutes les rumeurs pouvant concerner un certain Yumi Matsu.


              * * *

              -Bon, tu t'en es occupé, Anje' ?
              -Oui mon chou. Il dort, je l'ai menotté à son lit.
              -Les premiers soins ?
              -Donnés, évidemment.

              Le capitaine du navire de passe fait courir le bec de sa pipe sur ses lèvres. Face à lui, l'exubérant okama exécute une sorte de pirouette en désignant la cabine où tu te remets.

              -Dire que la marine venait pour lui ! Quelle situation embarrassante !
              -Nous n'avions pas le choix. C'était ça où notre réputation. La ponctualité, il suffit d'une fois pour que ça parte en vrille.
              -Oui, oui, tu as raison. Mais est-ce que ça ne fait pas de nous des complices ?
              -Que non. On va l'amener à bon port, il a payé sa place. Nous ne faisons que notre devoir, là. On ne peut rien nous reprocher.
              -J'aime pas trop ça... on sait pas de quoi il est capable.
              -Et surtout, on s'en cogne. On termine notre ramassage, comme d'habitude. On passe sur Grand Line, on le pose. Et un coup d'escargophone à la marine, pour signaler le fait. Tu as son nom, sur le billet ?
              -Yumi Matsu.
              -Voilà. Le temps qu'il quitte les lieux, d'une manière où d'une autre, les militaires lui tomberont dessus s'ils estiment vraiment que ses crimes, dont nous ignorons tout, hein, méritent d'être punis. On aura fait notre devoir de citoyen et de passeurs, c'est pas si mal.
              -C'est même plutôt bien.
              -Alors faisons comme ça.
                K.O. en un seul coup... Soit cet homme était vraiment fort, soit j’étais vraiment à mes extrêmes limites lors de mon affrontement face à Milo. Toujours est-il que j’avais apparemment réussi à lui échapper... Mais je n’étais pas pour autant sorti d’affaire... J’étais sans doute rester plusieurs jours au lit, car j’avais perdu beaucoup de sang, je pouvais donc pas me lever, même si je le voulais... Mais le problème était surtout lors du réveille justement. La sensation était assez proche d’une bonne cuite avec une soirée un peu trop arrosé, sauf qu’en plus du mal de tête, c’est sur tout le reste du corps que je souffrais... Je tentais tout de même de me lève, je sentais le besoin d’un bon bol d’air frais. Mais quelques choses à ma main me retenaient... Une paire de menotte attacher au lit et avec mon bras.

                La seconde d’après on pouvait entendre un gris venir de ma chambre et qui résonnais sur tout le navire... Rapidement un autre sortait de cette même chambre avant de me voir sortir quelques instants plus tard... J’essayais de courir avant de m’écouler à quelques mètres d’une rambarde du bateau... Il y avait pas mal de voyageur assez choquer qui m’observait, il était choquer pour mes cris qui était un mélange entre la peur et la colère, mais aussi pour ma tenue assez léger vu que je n’étais vêtu que d’un pantalon déchire et de bandages un peu partout sur le corps... Sans oublié que j’avais la main aussi salement amocher vu que j’avais réussi à me défaire de mes liens en un mouvement de force et de folie qui reflétait bien mon était d’esprit... En bref, le premier cri était un cri de peur et de colère en voyant ses menottes, qui me rappelait les chaines qu’il nous arrivait de porter ma mère et moi. Le deuxièmes cri était au moment où je retirais les menottes et ou je me cassais le pouce entre autre. Pour le troisième, c’était simplement parce qu’il m’en restait un peu sous le capot je dirais.

                Quelques secondes plus tard, le capitaine étrange du navire arrivait prêt de moi, pour essayer de me calmer et de m’expliquer la situation... J’évitais les détails un peu trop pénible à raconter pour moi... Des excentriques pareils, ce n’est vraiment pas ma tasse de thé. Mais en claire, il semblait en vouloir un peu sur moi, je lui expliquais donc sur les grandes lignes ce que je faisais, en évitant certains détails... Comme le meurtre de mon maître, j’expliquais juste que j’étais un ancien esclave et que je volais maintenant pour survivre, mais que je volais surtout les malfrats... En ajoutant que pour la marine, le vol c’est le vol, même si c’est à une bande de criminel... Explication relativement plausible si on imagine, que je volais à de gang ou des familles puissante aux histoires un peu louche... Je leurs disais aussi que j’avais l’intention de quitter le navire la seconde même ou il mettra pied à quai pour éviter qu’il ait des problèmes, qu’il n’aurait qu’à dire qu’ils m’ont jeter par-dessus bord...

                J’espérais que cela marche car, je ne voulais pas arriver sur Grand Line et commencer sur un massacre, je devais et je voulais avant tout voir ce monde célèbre et mystérieux et évité de faire un massacre à chaque fois que je change d’ile, si je voulais tuer les Tenryūbito, je devais évité de trop me faire remarquer... Même si je savais que je n’arriverais pas à eux sans faire quelques vagues.
                • https://www.onepiece-requiem.net/t6395-yumi-matsu
                • https://www.onepiece-requiem.net/t6338-yumi-matsu