Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €

♪ Emiko Hakuteiken ♫

>> Hakuteiken Emiko

une image 200*300
♪ Emiko Hakuteiken ♫ 1711-85

Pseudonyme : L'éclair Bleu et Blanc
Age: 30 ans
Sexe : Femme
Race : Homme

Métier : Cuisinière
Groupe : Pirates
But : Faire abolir l'esclavagisme et surpasser son père.

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Même capacité spéciale que Kumadori
Équipements : Une épée à la lame bleue, elle est tout à fait normal, ce n'est qu’esthétique..

Codes du règlement (2) :

Parrain : Mettez le nom de votre parrain ici, si vous en avez un
bien sûr

Ce compte est-il un DC ? : non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ...

>> Physique

Une ombre bleue et blanche fonçant sans cesse, ne s’arrêtant pas de courir vers ses ennemis. Durant les seules et rares pauses que cette ombre effectue, on ne peut apercevoir qu’une autre ombre, mais cette fois ci elle est noire. Mais elle ne reste pas longtemps là, très vite elle repart et devient bleue et blanche. Lorsque que cette ombre en a fini de son ennemi, elle s’arrête, s’accroupit, et ne bouge plus d’un poil. C’est alors que l’on peut voir que la dite ombre n’est en fait qu’une femme. Mais on ne la distingue pas bien. Seul son visage est en parti visible, le reste de son corps est recouvert par une épaisse cape noire. Voilà à quoi ressemble Emiko pour son adversaire lors d’un combat. Une ombre bleue qui lui fonce dessus sans ne jamais s’arrêter, ne lui laissant pas de répit. Oui elle devient bleue pour la simple et bonne raison que lorsqu’elle court, sa cape ne dissimule plus ses affaires.


Mais passons ce petit détail. Emiko, est une femme de trente ans. Elle est très jolie, mais dit ainsi cela parait un peu banal laissez moi donc vous détaillez son apparence. Tout d’abord la femme mesure un mètre soixante, ce qui représente une taille légèrement en dessous de la moyenne. Mais de seulement quelques centimètres, pour une femme elle n’est donc pas petite. Face à des hommes si bien sûr car ils mesurent souvent dix centimètres de plus. Pour faire simple en face de la plupart des hommes elle fait une tête de moins. Et devant la plupart des autres femmes environ une demi-tête de moins. Ce n’est donc rien de très dérangeant, au contraire cela lui permet plus de rapidité et de vitesse. Elle ne pèse d’ailleurs pas lourd non plus. En somme elle a le profil d’un pugiliste plus rapide et agile que puissante. Mais ne vous y trompez surtout pas, oh non. Bien que ça ne soit pas apparent, Emiko est une femme très musclé, tout simplement ses muscles ne sont pas visibles comme ceux d’un homme. En revanche elle n’a pas une once de graisse, elle a le genre de corps bien sculpté d’une sportive. Qu’elle est en fait, ce qui est donc normal. Au niveau des mensurations eh bien elles sont de…. Euh je crois que je ne vais pas vous les donner elle n’aimerait pas trop je pense. Bon par contre je peux juste vous dire qu’à ce niveau là elle n’a pas de soucis. N’étant pas grasse et ayant des hanche plus large que sa taille, elle se rapproche d’une taille de guêpe. Pour ce qui est de sa poitrine, eh bien je ne pourrais pas vous dire son bonnet car je l’ignore. Cependant à vu d’œil ils ne sont pas petits, et pas non plus énormes, si je devais y mettre un bonnet moi-même comme ça en regardant. Hum… je dirais du 90 C. Oui à mon avis ce serait dans ces eaux là. Une poitrine donc plutôt généreuse mais pas immense non plus. Elle ne la gêne pas en combat. Ah et Emiko en petite coquette, bien que ça paraisse étrange pour une combattante telle qu’elle, se lime les ongles et les vernit en turquoise. Que ce soient les ongles des pieds ou des mains, ils sont tous très beaux à voir.


Venons en ensuite à son visage. Bien pour commencer, Emiko a la peau très blanche, et au niveau de son visage, c'est-à-dire l’endroit où on voit le plus sa peau, ce détail est flagrant. Elle est vraiment blanche comme un cul de poule la plupart du temps, on la croirait presque malade. Mais pour une raison que je vais énoncer après sa peau ne parait en fait pas si blanche que ça, grâce au contraste fourni par une autre partie de son visage. Cette partie, ce sont ses cheveux. Ils sont d’une couleur blanche comme la neige, et d’ailleurs à certains moments on pourrait se demander si ce n’en est pas en réalité. Comprenez que quand je dis qu’ils sont blancs ils le sont vraiment beaucoup. C’est impressionnant à voir, et lorsqu’il y’a une légère brise ses cheveux sont encore plus magnifique. Flottant dans l’air avec grâce et une sublime beauté. C’est véritablement la plus belle chose chez elle. Et Emiko le sait, et elle les aime beaucoup elle-même. La jeune femme s’occupe toujours très bien de ses cheveux. En règle générale, elle les lave tous les jours, avec un shampoing qui leur permet de garder leur splendeur. Mais aussi leur côté soyeux et lisse. De plus ses cheveux sont très longs. Ils lui arrivent au niveau des fesses. Et je pense que bien du monde s’accordera à dire que c’est assez impressionnant. Surtout pour un pugiliste se battant souvent au corps à corps. Mais bien que l’on puisse penser le contraire. Cette longue chevelure n’est non pas un défaut mais bien un atout en combat. Eh bien oui car la jeune femme maîtrise le pouvoir de contrôler son corps et donc ses cheveux. Ensuite, Emiko ne passe pas non plus inaperçue au niveau des ses yeux. Oui car en fait ses deux yeux ont chacun une couleur différente. L’un est rouge clair, l’autre est bleu. De plus sur son visage se trouve toujours une expression sympathique, lui donnant l’air de respirer le bonheur et de ne vouloir de mal à personne. Elle la tête d’une gentille fille, en la regardant vous ne pourrez que la trouver gentille.


Bien finissons en décrivant la tenue de nôtre jeune femme. Tout d’abord en dessous de toutes les affaires se trouve un uniforme collant noir clair. Il se découpe en deux parties, la première s’enfile comme un pantalon, elle part des chevilles et remonte jusque le bas du ventre. C’est là que là deuxième parti vient se coller. Elle s’enfile comme un t-shirt et part du ventre jusqu’au cou, elle recouvre aussi le bras jusqu’aux mains où elle ne laisse visible que les doigts. Par-dessus cet uniforme moulant se met une tenue elle aussi moulante. Elle ne recouvre pas les bras d’Emiko. Cette tenue part du cou pour aller se terminer en mini jupe en bas des hanches. La tenue est bleue claire pour ce qui concerne le tissu moulant, sauf vers le ventre où elle est blanche. Mais se trouve par-dessus à certains endroits, comme au niveau de la poitrine et du cou et aussi sur les côté et derrière la mini jupe, du cuir blanc. Ce cuir qui permet une petite résistance supplémentaire et est relié à la tenue par de petits morceaux d’acier sculptés. Pour finir, là où pourrait se trouver une ceinture par-dessus la tenue est collée la plaque métallique gravée du symbole de sa famille. Ensuite, se trouve comme un collant de cuir qui démarre au niveau des cuisses jusqu’en bas des jambes. Par-dessus ce cuir se trouve une protection de cuir bleu qui démarre des mollets et par aux chevilles. Cette protection est en fait une protection de contention, elle sert à éviter toutes douleurs après un effort physique au niveau des jambes. En fait son utilité est surtout d’assurer à Emiko de ne pas souffrir des longues marches. Aux pieds de la jeune femme se trouve des sandales noires. Elles ont au niveau des talons de la fourrure blanche. Mais cela n’est que purement esthétique. Autour de son cou se trouve un collier auquel du bout se trouve une petite pierre de la taille d’un doigt mais un peu plus large. C’est une petite pierre précieuse mais sans réel valeur autre que celle d’être un porte-bonheur ayant appartenu à sa mère avant elle. Et enfin pour terminer, Emiko est tout le temps vêtue par-dessus toutes ces autres affaires d’une épaisse cape noire. La cape est plus longue que les cheveux de la jeune fille. Cette cape noire se termine en formant quelque chose de semblable à des plumes de corbeau. Emiko enfile cette cape par le cou, en effet la cape forme une sorte d’écharpe épaisse. On trouve aussi une capuche que met d’ailleurs Emiko. La cape a pour effet de dissimuler la chevelure de la jeune femme, afin de pouvoir créer un effet de surprise en attaquant avec ses cheveux. Dernier détail, on peut constater la présence d’une magnifique alliance turquoise autour de son annulaire gauche…



>> Psychologie

Bien tout d’abord commençons par dire qu’Emiko est quelqu’un de gentil. Elle est vraiment gentille, pas de façon intéressé. Non elle avenante avec ceux qu’elle aime. Elle les épaule toujours, s’occupe bien d’eux etc. C’est une personne avec un très bon fond tout simplement. Elle ne se considère pas comme une arme, mais comme une défenseuse de la paix. Si elle se bat c’est pour un jour abolir l’esclavage, c’est un des rêves qu’elle a, du moins c’est le plus grand. Mais comme tous ceux qui aspirent à la paix, elle n’a pas d’idées pour amener cette paix qu’elle recherche. Elle s’entraine donc dur pour devenir plus forte. Elle sait que personne ne l’écoutera jamais en ce monde si elle n’a pas la force suffisante. Dans le monde c’est les plus puissants qui peuvent instaurer leurs façons de penser. C’est donc ce qu’elle recherche à faire, c’est son plus grand rêve. Mais elle sait que ce rêve ne réalisera sûrement pas, elle n’a pas assez confiance en elle pour se voir avec une telle force qu’elle pourrait en imposer sa façon de voir les choses. En revanche elle a un but dans la vie. Un but qui lui par contre est tout à fait réalisable. Elle veut égaler son père en termes de puissance et même le dépasser. C’est la raison première qui fait qu’elle a vraiment été apte à obtenir sa puissance actuelle. Son rêve lui vient justement de sa force actuelle et de son expérience de vie. Lorsqu’elle était jeune c’est ce qui a poussé Emiko à s’endurcir et prendre du niveau. Elle ne voulait rien d’autre qu’égaler son père. Père qui est membre de la Marine.
En fait Emiko a toujours été plus ou moins reniée par son père. De plus elle a toujours été en désaccord avec ce dernier. Il l’a souvent frappé et torturé psychologiquement. Il a été ignoble avec elle dans le but de la faire se remplir de haine et de devenir une arme pour son père et la Marine. Mais l’effet inverse a été fait chez Emiko. Elle a toujours prit sur elle ce que lui faisait subir son père. Croyant même que c’était de sa faute à elle et qu’elle pouvait peut être le mériter. L’effet produit sur Emiko est en fait de l’avoir totalement immunisé contre la haine. C’est un sentiment qu’elle ne ressent jamais et qu’elle ne peut plus recevoir. Certes il lui arrive d’être en colère, mais jamais elle ne pourra éprouver de la haine envers une personne. De plus elle n’est pas rancunière du tout, ça non plus ne l’habite pas. Si quelqu’un lui fait subir des atrocités, elle ne cherchera pas à se venger de lui. C’est une personne très pure, l’opposé parfait de son père.


Emiko est une pirate c’est vrai mais il y’a quelque chose qu’elle se refuse à faire, c’est de donner la mort à autrui. Jamais de sa vie elle n’a tué quelqu’un de sang froid. Même contre un membre de la Marine elle ne commettra pas de meurtre. Elle s’y refuse, elle se contentera plutôt de le mettre hors combat. Elle n’est pas une exécutrice, et considère que ce n’est pas à elle de retirer la vie de quelqu’un, elle pense n’en n’avoir aucun droit. Même par ordre direct de son Capitaine elle sera obligée de répondre non à cet ordre. Et cela même si elle devait être sanctionnée pour cela. Malgré cela elle restera très attachée à son équipage et son capitaine, lui vouant une fidélité à toutes épreuves.


Emiko a aussi un certain défaut s’il en est un, elle est très timide. En particulier avec les hommes, pour les femmes ce n’est que si la personne lui est inconnue. C’est pour cette raison qu’elle est toujours cachée par sa cape. Elle se sent plus à l’aise, plus en sécurité. Quand à un homme vient lui parler elle devient rouge, mais vraiment très rouge croyez moi. Elle rougit tellement qu’elle se cache encore plus sous sa capuche pour ne plus que personne n’aperçoive son visage. La personne en face pourra soit être très vexée ou bien elle en rigolera peut être, tout dépend de l’individu en fait. Mais pour pouvoir espérer la voir sans sa cape il faut que l’homme la connaisse depuis vraiment longtemps et que de plus elle l’aime extrêmement. Il n’y a qu’en combat que cette timidité lui passe, elle ne le ressent plus du tout. Elle peut même perdre sa cape ça ne la dérange pas du tout. En revanche une fois le combat terminé elle ira de suite se recacher dans sa cape. Même devant une autorité supérieure elle n’osera pas se montrer si c’est un homme. L’Amiral en chef serait un homme, eh bien il ne verrait jamais son visage avant un long moment. Cette timidité est d’ailleurs très dommage pour les hommes qui ne peuvent pas profiter de la beauté de cette jeune femme.



>> Biographie

La vie de cette jeune pirate du nom d’Emiko commence un jour de pluie, un jour comme les autres au Royaume de Goa. Dans la grande maison des Hakuteiken, une famille de nobles, débute son histoire. Une histoire que je vais vous conter à présent. Dans ce manoir, une femme nommé Yûri Hakuteiken, originaire de la famille Kobayashi, venait de mettre au monde son enfant qui pendant neuf mois venait de la rendre heureuse. Et son bonheur était à ce moment à son paroxysme. De sa vie, jamais elle n’avait été aussi heureuse, elle pleura même de joie en voyant le visage de sa fille qu’elle nomma Emiko. Son père, Kõta Hakuteiken, le jeune chef de la famille Hakuteiken et déjà Commandant dans la Marine, ne semblait pas vraiment heureux de la naissance de sa fille. Il avait l’air soucieux, déjà avoir une fille pour héritière était des plus désagréables. Mais il craignait aussi autre chose, une chose bien plus grave pour lui. Mais vous saurez tout cela plus tard…

Lorsque le bébé fut lavé et que le cordon ombilical fut coupé, le père alla montrer son héritière aux autres membres de la famille. Sa venue dans ce monde semblait contrairement au père ravir dans l’ensemble les Hakuteiken. Un enfant née du puissant chef des Hakuteiken ne pouvait que devenir fort dans l’esprit des membres de la famille. Durant la première semaine de sa vie la famille dans son intégralité vint lui rendre visite, tout le monde voulait voir cet enfant et c’était bien normal après tout. Kõta faisait semblant d’être aussi heureux que tout le monde, mais il était toujours loin de l’être. Il avait émit une hypothèse sur sa fille, et si elle se confirmait ce serait un véritable désastre pour lui. Mais pour vérifier ce qu’il craignait, il devait attendre que sa fille s’initie aux arts du combat, et pour cela il fallait attendre qu’elle grandisse. Mais le père au bout d’un mois finit par se convaincre qu’il se trompait et que tout allait bien. En fait il préférait penser cela jusqu’à ce qu’il ait put vérifier. Yûri en bonne mère s’occupait de sa fille tout le temps. Elle ne quittait jamais son enfant qu’elle aimait plus que tout en ce monde. Malheureusement c’est ce qui causa sa mort d’une certaine façon.

Deux mois après qu’Emiko soit née, la famille Hakuteiken fut attaquée. Les attaquants se trouvaient être en fait des pirates. Ils avaient formés un groupe pour tenter de voler aux membres de la famille leurs richesses, mais aussi se venger des actes de Kõta Hakuteiken en tant que membre de la Marine. Les hommes étaient spécialistes dans les assassinats. Ils parvinrent à assassiner tous les membres du clan cette nuit là. C’est uniquement en tentant de s’infiltrer dans le grand manoir Hakuteiken qu’ils tombèrent sur un os. Le manoir se trouvait être l’endroit où vivaient le chef et sa famille. Le groupe de pirates entama donc une bataille contre le chef des Hakuteiken. Ils étaient vingt fois plus nombreux, Mais la puissance du père lui permettait de tenir tant bien que mal contre eux. Mais voilà, le chef des pirates se fit discret et il arriva dans les appartements du chef et sa famille. C’était là que tout l’argent des Hakuteiken se trouvait. Mais bien entendu la seule personne qui ne se battait pas était la mère d’Emiko. Elle était restée pour protéger son enfant. Lorsque le chef des déserteurs fit irruption, elle l’attaqua sans crier gare. Elle était poussée par le désir de protéger Emiko sa fille bien aimée. Mais l’homme était plus fort qu’elle. Bien qu’elle fût très douée, l’homme se débrouilla mieux qu’elle. Lorsqu’il l’eût battu il s’approcha du berceau, intrigué par ce qui pouvait bien s’y trouver. Lorsqu’il vit l’enfant, il comprit qui ce nourrisson était et un rictus machiavélique apparut sur ses lèvres. Il sortit un poignard et s’approcha un peu plus du berceau. Il était sur le point de tuer l’enfant. Son bras se leva haut au dessus de lui. Puis il l’abattit vers le bébé en riant. Sans même réfléchir Yûri courut se mettre entre l’homme et son enfant bien que ce fut au prix de ses dernières forces. Emiko se mit alors à pleurer fort pendant que sa mère rendait son dernier souffle. Le nukenin grogna et jeta la mère plus loin. Il regarda la mère en train de mourir avec mépris et remit son arme en main. Sauf que le père avait entendu son enfant pleurer. Alors qu’il finissait à peine de vaincre les pirates encore en bas, il se précipita à une vitesse folle dans sa chambre. IL trouva sa femme morte au sol et un homme qui était sur le point de tuer sa fille. Son visage prit un air démoniaque et il courut auprès de l’homme. Au moment où se dernier approchait la lame vers le bébé sa nuque se brisa. Kõta venait de tuer l’homme. Pour sauver sa fille il venait de rompre le cou de l’homme avec ses mains.

Suite à la disparition des tous les membres de la famille hormis sa fille et lui, le père d’Emiko a donc été obligé de l’élever seul. Il fut très dur avec sa fille depuis son plus jeune âge. Il voulait faire d’elle une arme puissante, mais il l’aimait quand même. Du moins jusqu’à un jour… Un jour de l’année des six ans d’Emiko. Depuis quelques temps il lui prodiguait une éducation en matière de combat. Il voulait la rendre puissante à son instar. Alors qu’il lui enseignait des bases, les cheveux d’Emiko se mirent à bouger comme s’ils étaient portés par le vent. Le père n’en crut pas ses yeux. Son hypothèse venait de se confirmer, il avait presque oublié cela, sa femme décédée maîtrisait cette même capacité. Emiko n’avait donc pas reçu le pouvoir de la famille Hakuteiken. Dans ce genre de cas l’enfant n’hérite que d’un seul des pouvoirs, et malheureusement pour le père, ce n’était pas celui auquel il pensait…. Le père entra alors dans une rage dévastatrice. Il battit sa fille jusqu’à l’en faire tomber dans l’inconscience. Il était plus que furieux, il n’aurait pas put décrire à quel point il l’était lui-même. Emiko n’était pas une Hakuteiken à ses yeux. Ce jour là il décida de renier sa fille et d’en faire une véritable arme humaine. Il décida que la haine devait devenir la seule chose qui la motive et qui la fasse avancer. Pour cela lors de son réveil, il expliqua à sa fille que c’est lui qui avait tué sa mère et qu’elle avait de la chance de ne pas mourir comme cette dernière. Que s’il ne la tuait pas c’était simplement car elle pourrait lui être utile un jour. Emiko a été totalement traumatisée les mois qui ont suivis. Tous les jours il lui faisait subir un entrainement infernal pour une enfant de son âge. Mais à force de torturer, que ce soit mentalement ou physiquement, eh bien Emiko a fini par s’y habituer. Et la gentillesse ainsi que la pureté de sa mère coulait dans ses veines. Elle finit par ne plus éprouvé de mal lorsque son père l’a frappait, à ne pas réagir lorsqu’il l’insultait. En somme elle a contracté une sorte d’immunisation à la haine ainsi qu’à la vengeance. Et elle n’en a plus jamais voulut à son père.

Le temps passa et Emiko grandit. Quand elle devint enfin majeure, son père décida qu’elle devait rejoindre la Marine. Mais Emiko ne l’entendait pas de cette oreille là. Ce métier ne lui plaisait nullement, non, elle, elle voulait être libre de faire ce qui lui semblait bon. De plus elle avait récemment fait la rencontre de Kinjiro Tanaka, le tenancier d’un restaurant à succès. Rapidement elle en était tombée folle amoureuse, et c’était réciproque pour le jeune homme. Comme il l’avait demandé en mariage peu de temps auparavant et que la jeune fiancée n’attendait que d’avoir la majorité pour épouser son aimé, il était logique qu’elle refuse de travailler avec son père. Elle préférait devenir cuisinière et renoncer à ses aptitudes en combat. Comme il en avait l’habitude, Kõta se mit à frapper sa fille, mais tellement fort qu’il manqua de peu de la tuer. Mais à son réveil la jeune femme apprit que son père venait d’être promu Colonel, et par la même, muté à North Blue. Emiko laissa éclater sa joie, elle était enfin libre, totalement libérée de l’emprise tyrannique de son vil père. Un mois plus tard, Kinjiro et Emiko se marièrent. La jeune fille décida de garder son nom de famille, ne désirant pas tout perdre de sa mère. Commença alors la plus belle partie de la vie de notre jeune femme. Mais rien ne dure jamais pour toujours, et surtout pas avec un père comme celui d’Emiko.

Alors âgée de 20 ans, la jeune femme vivait sa vie paisiblement. Un jour qu’elle travaillait dans le restaurant de son mari, Un homme grand et encapuchonné fit son apparition. C’était le premier client de la journée comme les mariés venaient tout juste d’ouvrir. L’homme enleva alors sa capuche pour dévoiler son visage. Ce n’était nul autre que Kõta, le père d’Emiko. Sans dire un mot il fonça vers Kinjiro et lui trancha la gorge avec un poignard juste avant de frapper Emiko à la tête pour qu’elle s’évanouisse. Quand elle se réveilla elle était en prison. Et pour cause, son père avait fait passer son acte pour un crime commis par sa fille. Elle eut beau faire tout ce qu’elle put, jamais on ne crut en sa parole, personne ne croyait qu’un homme tel que Kõta pouvait avoir fait une chose pareille. Malheureusement pour elle, Emiko vivait au Royaume de Goa. Et les gens savent bien que dans ce pays, l’esclavagisme est un grand pilier du régime. On peut devenir esclave en un rien de temps, mais aussi pour très peu. Dans ce cas-ci, ce n’était pas pour peu, car elle était accusée de meurtre bien que ce soit à tord. Un noble du nom d’Ogawa Tenshiro fit l’acquisition de la jeune femme qu’il choisit pour sa grande beauté (qu’elle ne dissimulait pas encore). On aurait été en droit de penser qu’elle serait juste une esclave de maison. Mais ce ne fut pas le cas… L’homme en question était le gérant d’un grand réseau de prostitution au sein du Royaume. Dans le sous-sol de son manoir, on trouvait une maison dans la maison. C’est là que tout se déroulait. Et figurez-vous qu’il n’y avait pas moins de vingt femmes de joies. Au tout début, Emiko refusa catégoriquement de se laisser faire. Ogawa se mit donc à la frapper de toutes ses forces, mais ce n’était rien par rapport à son père. Mais voyez-vous, le père en question n’avait toujours pas décidé d’abandonner le destin de sa fille, il cherchait toujours à la faire se consumer par la haine. Aussi il eut une idée, la pire et la plus affreuse de toutes les idées qu’il n’eut jamais : devenir le premier client à se « servir » de la petite nouvelle… Emiko fut tant choquée par la vue de son père tentant d’avoir une telle relation avec elle qu’elle en fut paralysée. Ce qui fit qu’elle ne chercha même pas à s’en défendre. J’aimerais vous dire que la milice est alors entrée dans la chambre pour stopper cet acte odieux. Mais la vie n’est pas rose, non loin de là, ce n’est pas un conte de fées….

Durant les huit années qui suivirent, Emiko n’eut pas le choix, elle céda au destin que son père avait tracé pour elle. Mais elle ne se laissait nullement consumer par de mauvais sentiments. La haine ne l’atteindrait jamais, tout comme la violence ou la vengeance n’y parviendraient pas. En fait c’est durant cette période qu’Emiko est devenue de plus en plus timide. Cherchant à se cacher de la vue des hommes, comme si elle croyait que c’était sa façon de se vêtir, sa beauté ou juste son regard qui lui attirait sans cesse tous ces malheurs. Elle n’était donc pas très appréciée par les clients, et par chance très peu demandée. Il faut bien dire qu’une femme aussi réfractaire fait peu envie dans pareille situation, du moins pour une majorité de personnes. Durant toutes ces années, Emiko n'eut qu'un seul et unique enfant. mais comme le patron ne lui accorda pas de le garder, elle n'eut d'autre choix que de le donner au père, qui avait été un client régulier, mais qui à partir de ce jour-ci ne vint plus jamais. Je pense que cette vie aurait durée éternellement si Ogawa n’était pas mort d’un cancer. Son fils tenta alors immédiatement de reprendre le business de son père. Mais devant les prix bien trop aberrants qu’il mit en place, plus personne ne venait. Aussi il décida de revendre toutes les filles. Cette fois-ci on peut dire qu’Emiko eut plus de chances. Encore une fois, elle se retrouva dans une famille de nobles. Mais c’était des gens vieux et sympathiques qui ne lui voulaient pas le moindre mal. Elle devint leur cuisinière, car l’ancien cuistot avait récemment quitté son poste. Emiko avait alors du temps libre, et elle décida donc de se remettre à l’entrainement afin de récupérer son niveau d’antan. Avec un but en tête : égaler puis dépasser son père, afin qu’en fin il puisse lui accorder son amour et sa reconnaissance.

Quand elle eut 30 ans, Emiko décida que c’en était assez. Elle aimait bien ses maîtres, mais elle ne supportait plus du coup d’être une esclave, et d’ailleurs elle trouva ce principe même des plus affreux. Elle se rendit donc compte que son plus grand rêve dans la vie était de faire stopper l’esclavagisme. Et cela était un rêve corolaire à son but de surpasser son père. Car en effet, elle comprit que ce serait uniquement avec la force qu’elle parviendrait à cela. Et aussi sûrement avec l’argent. La piraterie semblait donc toute indiquée à cette voie qu’elle décidait de suivre. Durant une nuit, elle prit tout bonnement la fuite. Une fois arrivée au port, elle se débrouilla pour embarquer dans un navire marchand en se dissimulant dans la calle. En sécurité sur une île protégée par la Marine, elle se mit à rédiger une lettre. Une lettre qu’elle se devait à elle-même de rédiger, elle en avait besoin pour tourner la page et commencer sa nouvelle vie.

Cher père,
Dans le passé tu as été horrible avec moi, tu as voulu faire de moi une arme, me faire haïr toute chose, mais ça n’a jamais marché. Je ne t’en veux pas de ce que tu m’as fait subir et je te pardonne même tous tes actes. Tu es mon père et je t’aime. Je désir que l’on se retrouve et que l’on puisse bien s’entendre mais je te connais père, tu n’accepteras jamais. Je voulais juste te pardonner c’est tout, j’avais besoin que tu le sache, tout simplement.
Emiko Hakuteiken


Comme elle le pensait Emiko ne reçut aucune réponse à cette lettre mais elle ne se décourageait pas. Une fois qu’elle aurait dépassé le niveau de son père il pourrait enfin la reconnaitre à sa juste valeur. Ainsi, Emiko reprit son chemin pour réaliser son but, et qui sait, peut être même un jour son rêve…



>> Test RP



Je n’ai jamais vraiment connue ma mère. Elle est morte lors que j’étais encore un bébé. Mais je sais bien une chose d’elle, c’est qu’elle m’aimait. Je le sens en moi, tout l’amour qu’elle ma léguée avant de mourir. J’en suis complètement emplie, c’est un fait inéluctable. Mais mon père quant à lui, je doute qu’il m’aime. Je ne saurais pas l’affirmer, après tout je ne suis pas dans sa tête. Ce qui est certain c’est que c’est lui le meurtrier de maman. Il me l’a avoué il y’a quatre mois de cela. C’est d’ailleurs depuis ce jour là que je dors très mal la nuit. Sans cesse, des cauchemars hantent mes sommeils. Sans arrêt, je me réveille en sursaut, trempée de sueur dans mon lit, et le cœur qui bat la chamade. Quand je dors, je revois cette scène que j’ai vécue, sans pour qu’autant que je ne sois normalement apte à m’en souvenir. Je dois très certainement inventer cela, mais en tout cas c’est ma représentation de la chose. Je vois dix hommes vêtus de noir, en plus de mon père, en train de s’en prendre à ma pauvre mère. Ils la frappent tous à tour de rôle, sans jamais s’arrêter. Ils sont tous recouverts de son sang encore chaud. Quand vient alors mon père, un couteau dans la main, il s’approche d’elle, et soudain, lui enfonce la lame d’acier dans le ventre. Ma défunte mère tombe alors sur mon berceau, son sang coulant sur moi, elle se met à pleurer en implorant mon père de ne pas la tuer. Il se met alors à rire bruyamment avant de lui trancher net la gorge… Et c’est là que je me réveille en hurlant de terreur. Par réflexe j’allumais aussitôt ma lampe de chevet. Tout en reprenant mon souffle, je constatais que quelque chose clochait. En effet, je n’étais pas seule dans ma chambre. Dormais-je encore ? Qui étaient ces dix hommes en noir ? La peur monta en moi, ils ressemblaient immensément aux hommes qui avaient maltraités ma mère, du moins dans mes rêves.


« Que…Qui êtes-vous ? Et pourquoi vous êtes dans ma chambre ? »


Tandis que je commençais à sortir de mon lit, je sentis d’un coup une douleur au ventre. L’un des hommes avait foncé sur mon me mettre un coup de poing. Je me réveillais tout juste, aussitôt je n’eu même pas le temps de prétendre esquiver ou me défendre. Le souffle coupé, je tombais alors au sol, me pliant en deux. Je cherchais de l’air qui ne voulait pas venir, pendant que j’entendais l’homme qui venait de juste de me frapper en train de rire doucement. Quand la douleur passa, je mettais sur me genoux afin de pouvoir observer les intrus. C’est à ce moment que mon père entra dans la chambre. Je me mis à sourire, me disant naïvement qu’il allait me protéger. Mais ce sourire ce lèvre ne dura qu’un instant, mourant au moment où le regard noir et cruel de mon père entra en contact avec le mien.


« Emiko, ça fait des mois que tu me casse les couilles sans cesse. Tu te réveille toutes les nuits en hurlant, me réveillant donc au passage. Et j’en ai plus qu’assez de cela. J’ai donc demandé à ces Messieurs de s’occuper de toi. Adieu… »


C’est là qu’il tourna le dos et sortit de la pièce. Je me retrouvais donc seule face à dix assassins venus pour moi. Comment aillais-je faire pour m’en sortir ? Je ne pouvais tout de même pas mourir ici, pas si jeune. Et puis pourquoi mon père faisait-il cela pour si peu ? Non il n’était pas temps de penser à ces choses là. Le plus urgent, c’était de se sortir de ce très mauvais pas. La solution était très simple : le combat. Aussitôt, je sautais tel un chat vers mon épée rangée dans son fourreau, négligemment posé sur le bout de mon lit. Sans dire mot, je fonçais comme une flèche vers les hommes. Mon arme fendit l’arme plusieurs fois. Le sang gicla et tapissa les murs de ma chambre. Plusieurs boums retentirent, conséquence de la chute des assassins suite à leur mort prématurée. C’était fini, je m’en étais brillamment sortie. C’était même bien trop simple pour moi. Pardon ? Comment ça je n’ai que six ans ? Oh mais oui c’est bien vrai !! Ah bah donc non, non, ça ne c’est pas passé comme ça du tout. Je vais vous demander de regarder cet appareil, oui voilà fixez le bien *met ses lunettes de soleil*. ♪ FLASH ♫. Où en étais-je déjà… Ah oui ! Comment allais-je m’en sortir ? Je jetais un coup d’œil sur mes affaires, rangées au bout de mon lit sur une table basse. Ils s’y trouvaient mon petit poignard et ma tenue d’entrainement. Mon lit étant collé à un mur, je n’avais qu’un saut à faire pour sauter par la fenêtre de ce dernier. Mais j’étais encore actuellement en pyjama, ce n’était donc pas idéal pour faire grand-chose. Je devais donc m’emparer de ma tenue. Ou bien de mon couteau. J’avais besoin d’au moins l’un des deux pour me défendre un minimum. Mais si je fonçais pour les récupérer l’un ou l’autre, ils me tomberaient immédiatement dessus, et ce serait fini pour moi. Je n’avais donc nul autre choix que de sauter par la fenêtre immédiatement. Le sol se trouvait à au moins trois mètres, la chute serait donc assez rude, je risquais même de me casser quelque chose. Je devais réfléchir, mais la peur en moi commençait à lentement me tétaniser. C’est en fait mon instinct de survie qui me poussa à agir. Je scindais mes cheveux en deux grâce à mon pouvoir. Une partie s’allongea pour aller agripper mon couteau, pendant que l’autre s’accrocha à un pied de mon lit, afin de pouvoir sauter de l’étage et amortir ma chute. Immédiatement après que mes cheveux eurent saisis la lame, je ne pris pas le temps de réfléchir, je sautais par la fenêtre, la cassant donc au passage. Le fracas avec le verre dur de la vitre me fit souffrir quelque peu. Malgré que ma chute fût amortie, le choc avec le sol de marbre fut rude. Comme je venais tout juste de tomber sur l’épaule gauche, et qu’en plusieurs endroits de mon corps, le verre avait entaillé ma peau, me relever devint un véritable effort. Mais je n’avais pas d’autre choix que ça. Une fois remise sur pieds, je me mis à courir dans l’espoir de pouvoir échapper aux assassins.


Mes pas me menèrent à la grille du manoir Hakuteiken. Peut être pourrais-je les semer en pleine ville, bien qu’il fasse encore nuit. Mais la peur s’immisça encore plus en moi quand je constatais avec horreur que le portail était fermé et bloqué par un cadenas. J’étais prise au piège dans le manoir de ma famille. Les palissades étant trop hautes pour que je les escalade, j’étais totalement incapable de fuir. Alors bon Dieu que faire ?!? Des larmes se mirent à couler sur mes joues tandis que je reprenais ma course pour trouver une cachette. Je vis alors au loin la bande d’assassins qui fonçaient vers moi. Courir ainsi ne me mènerait nulle part, ils allaient me rattraper. C’était dans la maison que je devrais me trouver un refuge. Et puis après tout je connaissais bien mieux le manoir qu’eux, j’avais donc des chances de m’en sortir. Mais cette partie de cache-cache allait être des plus dangereuses, car si j’étais trouvée, ce que je perdrais, ce serait la vie… Je parvenais alors à la porte de la cuisine, mais elle était fermée. Comme j’étais fine, j’eu la possibilité de me faufiler dans le passage réservé normalement à mon chien Akra. Il était certain en revanche que mes poursuivants n’en seraient pas capables. Eux devraient perde du temps à briser ou forcer la porte de quelque manière que ce soit. Cette cuisine était parfaite pour préparer des repas excellents, certes, mais elle n’offrait pas de véritable cachette. J’eu soudain une idée : piéger la porte. Je m’emparais d’un seau dans une armoire, suite à quoi je le remplissais d’eau chaude au robinet. Durant que l’eau remplissait lentement ledit seau, je pris la poivrière avec moi et la rangeais dans l’unique poche de ma tenue, peut être serait-elle utile. J’entendais alors les assassins en train de frapper la porte pour la briser, je mis donc le seau en équilibre au dessus de la porte soutenue par divers choses proches. Dès qu’ils ouvriraient et entreraient, ils auraient droit à une douche des plus désagréables. Qui plus une eau bouillante à ce point peut aisément causer des belles blessures. Je me remis donc à courir. La porte que j’empruntais alors menait directement dans la salle à manger. Ici non plus nul endroit où se cacher. En revanche, en regardant le tapis au sol, j’eu de nouveau une idée. Je me baissais, effectuais un pli et me relevais le sourire aux lèvres. La première personne qui passerait par là, vraisemblablement en courant, se prendrait les pieds sur ce pli, il perdrait l’équilibre, et irait s’écraser directement sur la table en verre. Nul doute que ça pouvait faire du dégât ça aussi. Je m’apprêtais à partir quand j’entendis des cris de douleurs dans la cuisine, suite au fracas de la porte. Merde je devais m’en aller de là, ils seraient ici dans quelques secondes. Alors que je commençais à refermer la porte de l’autre côté de la salle à manger, celle qui me permettait de me rendre dans le hall d’entrée, je vis l’un des hommes se prendre mon piège et percuter la table la tête la première. Mais je n’avais pas le temps pour regarder s’il était encore en état de me suivre.


En pyjama, je restais très vulnérable à un éventuel affrontement. Il me fallait me précipiter dans ma chambre pour y trouver me tenue d’entrainement. Mais comme les hommes étaient trop proches de moi pour que je puisse y foncer de suite sans être suivie, je décidais de me cacher quelques minutes. Et mon choix se porta directement sur le placard à manteau de l’entrée. Il était énorme, et vu le nombre de manteau de fourrures et autre qui s’y trouvaient, je pourrais très facilement m’y dissimuler. Au moment même où je refermais la porte dudit placard, les hommes pénétrèrent dans le hall à leur tour. Ils ne disaient rien, et au vu des bruits qu’ils faisaient, ils semblaient me recherche quelque part ici. J’entendais des pas s’approcher de ma cachette, la peur m’envahit de nouveau, me poussant à me cacher encore plus sous un des manteaux de fourrure de ma défunte mère. La porte s’ouvra alors avec force. Je ne pouvais pas voir la personne, mais elle non plus. Mais s’il tâtait un peu, il constaterait de suite ma présence. J’entendis alors qu’il dégainait son sabre ; avec grande difficulté, je retins un cri de peur.


« Bon les gars on va tous se disperser. Je vous rappelle qu’on est encore huit, on est tout à fait assez pour fouiller ce manoir efficacement. Faîtes gaffe où vous mettez les pieds, cette salope de mioche va peut être encore faire des foutus pièges. J’suis d’accord c’est pas très dangereux en soi, sauf que bon, Hiyoshi et Tobira se sont quand même fait avoir… Allez bougez-vous de bande de feignants »


Je venais tout juste d’être sauvée par la personne que je supposais être le chef de mes poursuivants. Encore tétanisée de peur, je préférais attendre quelques minutes avant de sortir et prendre la direction de ma chambre. Lentement, je commençais à sortir du placard, et avec horreur, je constatais qu’il restait un des assassins dans le hall, il fouillait en ce moment même une armoire remplie de chaussures. Je ne pouvais pas me permettre de monter à l’étage sans au préalable m’occuper de son cas. Comme il ne savait pas que j’étais là, je décidais de profiter de cet effet de surprise. Sans faire de bruit, je m’approchais de l’homme, mon couteau en main. Comme je n’avais nullement l’intention de le tuer, je le gardais dans son fourreau. Quand enfin je me retrouvais juste derrière lui, j’envoyais mes cheveux bâillonner sa bouche et saisir ses bras. Alors dans l’incapacité d’appeler à l’aide ou de m’attaquer, je fus facilement en mesure de venir lui mettre un violent coup avec le manche de mon arme. Il ne fit qu’un léger soupir de douleur avant de tomber net au sol. Sur son corps se trouvait une ceinture, avec attaché dessus un revolver à un coup, je m’en emparais donc. De suite, je repris la direction de ma chambre. Par chance je ne croisais personne dans les couloirs, ils devaient êtres occupés à me chercher dans des chambres. Enfin parvenue devant ma chambre, j’étais méfiante, peut être que quelqu’un se trouvait à l’intérieur. Après un bref coup d’œil, je ne vis personne. Chic, la voie était donc libre. J’entrais à vive allure dans la pièce. Je posais mon couteau sur la table basse où se trouvait ma tenue, et je l’enfilais alors de suite. A peine eu-je terminé qu’un craquement d’os se fit entendre derrière moi. Sous l’effet de la surprise je me retournais immédiatement. C’est là que je vis une épée fuser vers moi. Il était trop tard pour que je l’évite complètement. Elle se logea alors dans mon bras gauche. Ce n’était pas la première fois que je me faisais planter par une lame, mais jamais auparavant ce n’avait été aussi douloureux. En tombant en arrière, je sentis la lame s’en aller. Dorénavant à terre je constatais avec effroi la plaie béante de mon bras qui saignait abondamment. Allais-je mourir ? Non je ne le pouvais pas, je ne le voulais pas, j’étais bien trop jeune pour cela. Mes cheveux fusèrent vers mon ennemi alors qu’il tentait de m’asséner le coup fatal. Mon attaque eut pour effet de saisir sa main armée et de prolonger son mouvement. Ainsi il perdit l’équilibre et vint se heurter la tête directement sur le mur. Il ne tomba pas dans les pommes, mais ce fut pour moi l’occasion de tenter de fuir. Malheureusement il se reprit vite et me plaqua au sol. Je n’eus d’autre choix que sortir la poivrière et de lui en mettre plein le visage. Certes ce n’est pas une arme, mais cela me permit de faire diversion pour saisir la gorge de l’homme avec mes cheveux. Suite à quoi, je les fis tirer un coup sec pour lui cogner la tête contre le marbre. Mais cette fois-ci, il ne s’en releva pas.


J’étais blessée au bras, mon épaule me faisait souffrir, je commençais à vraiment sentir les effets de la fatigue. Tenir ainsi contre les six autres me serait impossible. En premier lieu il me fallait bander la plaie de mon bras droit. Ce que je fis en arrachant puis découpant des morceaux de mes draps pour en faire des bandages. Je pris le revoler de l’homme. Ce qui m’en faisait deux accrochés à ma ceinture, en plus de mon couteau qui s’y trouvait dorénavant aussi. En revanche je n’avais plus l’utilité de la poivrière que je laissais sur le sol. Comme je ne pouvais pas me permettre d’attaquer de front, je pris place sous un meuble dans le couloir. J’étais assurément impossible à remarquer pour une personne ne prêtant pas une attention particulière à ce meuble en particulier. Je dus attendre cinq minutes avant d’entendre les pas de quelqu’un. Je dégainais ma lame sans bruit, attendais qu’il soit au niveau du meuble. Et soudain, je plantais la lame froide de mon arme dans son tendon d’Achille. Sous l’effet de la douleur, l’homme tomba au sol avec fracas. J’en profitais pour sortir immédiatement et le rouer de coup avec la paume du couteau. Son sang éclaboussa mes vêtements. Vraisemblablement alerté par les cris de douleur de son allié, un des assassins se mit à courir vers moi, une épée dégainée. Je sortais l’un des revolvers et lui tirait alors dans la jambe. Il grogna, et tomba la tête la première sur le meuble où je me trouvais peu de temps auparavant. Je pensais donc qu’il n’en restait plus que quatre. Mais l’homme sur qui je reposais encore n’en avait pas terminé avec moi. Il me mit une droite qui me fit tomber à la renverse. Ma lèvre supérieure se mit à saigner de suite, m’obligeant à cracher du sang par terre. Il s’empara d’un vase, qu’il fracassa ensuite sur mon bras, que j’utilisais pour protéger ma tête. Lui-même dégaina son revolver. Je fermais les yeux, pensant que c’était fini. Quand un grognement violent retentit. Akra, mon chien fusa comme un diablotin sur l’assassin et commença à le mordre avec puissance au niveau de la gorge. L’assassin se vida de son sang en tombant sur le sol. Folle de joie je pris Akra dans mes bras. Quand un bruit violent retentit dans les couloirs. Je sentis un léger choc, et Akra se mit à gémir. A l’autre bout du couloir, un nouvel assassin venait de tirer. Si le chien n’avait pas été là, je serais donc mort… Je me relevais, des larmes plein les yeux, l’homme fonçait vers moi, mes cheveux fusèrent pour stopper son poing. Et, avec force, ils l’envoyèrent virevolter sur le côté, explosant une fenêtre et tombant trois mètres plus bas. Dans mes bras, mon chien reposait, tandis que je le menais à ma chambre. Durant les minutes qui suivirent, je ne cessais de pleurer, blottie dans la tête dans doux poils d’Akra.


Je devais m’occuper des trois dernier assassins, ou bien c’est eux qui s‘occuperait de moi. Et je devais me dépêcher, car j’étais vraiment très mal en point, et eux, à cause des coups de feu, savaient vers où je me trouvais. Le combat final se déroulerait dans le hall, car j’avais un plan. Aussitôt que je m’y trouvais, je criais afin de clairement donner ma position aux assassins restants. Autant qu’ils viennent à moi et que je sois prêt et non pas le contraire. Je me tenais dos à la rambarde, plus bas, le hall où je me trouvais tout à l’heure. Il me restait un revoler avec une balle. Je devrais l’utiliser mais pas n’importe quand. Je vis d’abord un homme courir vers moi comme un fou. Certainement le plus idiot de tous, car tout en braillant il continua sa course effrénée vers moi, me laissant ainsi la possibilité de lui faire de prendre les pieds dans mes cheveux. Il passa par-dessus la rambarde et alla s’écraser sur le marbre plus bas dans un bruit d’os qui craquent à vomir. Enfin les deux derniers firent leur apparition. De suite je sortais mon revolver et tirait sur celui de gauche. La balle le toucha au bras, et il tomba au sol en pleurant. L’autre lui planta alors de suite son sabre dans la gorge, avec un regard noir terrifiant. Il me fixa ensuite, l’air mauvais.


« Je ne supporte pas les chochottes dans son genre. Bien, ma petite, je dois admettre que je t’ai sous-estimé, je n’ai pris avec moi qu’une bande d’incapables pas même en mesure de rejoindre la Marine. Mais sache qu’avec moi ce sera différent. Tu va mourir ici, maintenant, par ma main. Je ne fais pas ça pour le plaisir crois-moi. Mais un contrat est un contrat après tout… »


Sans prévenir il fusa vers moi, l’arme en main. J’envoyais mes cheveux pour l’immobiliser. Mais il évita avec une facilité déconcertante. De sa main libre il me mit une gauche surpuissante. Je sentais que je passais derrière la rambarde à mon tour. Par chance, je parvins à accrocher mes cheveux au bois afin de ne pas chuter. Mais le chef des assassins coupa de suite la seule chose qui me retenait. Je sentis mon corps tomber, le sol se rapprocha. Quand mon dos entra en collision avec le marbre, je ressentie une douleur insoutenable. Je ne parvenais plus à respire, je pleurais à grosses larmes. Je me tortillais au sol comme un ver de terre blessé. Cela devait assurément faire pitié à voir. Lentement le chef descendit par les escaliers. Il commençait à se rapprocher de moi, pas à pas. Je n’avais plus la force de me relever, et je ne pouvais presque plus bouger. Je le savais, une dernière action, et je tomberais dans les bras de Morphée. Que faire ? Que faire ? Que faire ? Ma vue s’obscurcissait peu à peu. Mais par miracle mon regard se porta sur le chandelier immense au plafond. Il se trouvait être tenu par une attache sur le mur à ma droite. Rassemblant mes dernière forces, je saisissais mon couteau et le lançait en direction de cette corde. La dernière chose que mes yeux virent avant que je sombre dans l’inconscience fut l’image du chandelier tomba avec une extrême vitesse sur le chef des Assassins.


A mon réveil, je me trouvais dans un endroit confortable. Mes paupières s’ouvrirent, dévoilant le plafond de ma chambre. Je n’étais donc pas morte ? Ou bien était-ce le paradis ? C’est en sentant toutes les blessures sur mon corps ainsi que la douleur qu’elles causaient que je compris que non, je n’étais pas morte. Je tournais la tête, pour apercevoir alors mon père. Il était assit sur une chaise et me regardait avec mépris et cruauté.


« Père….pourquoi ? »


« Je crois bien te l’avoir déjà dis cette nuit, je ne te supportais plus. Mais bon le fait que tu aie survécu prouve bien que tu possède un certain niveau. Aussi je veux bien passer l’éponge, mais je tiens à ce que tu me fasses de suite des excuses ! »


Des larmes se mirent de nouveau à couler le long de mes joues. Il avait donc réellement désiré ma mort, pour si peu. Je n’avais donc vraiment aucune valeur à ses yeux ? Alors dans ce cas pourquoi je n’étais pas ne mesure de le haïr ? Non cela prouvait qu’en fait il m’aimait au fond de lui, sinon je ne l’aimerais pas moi non plus. J’en étais persuadée, et puis c’était ma faute… je décidais donc d’obéir à son ordre. Tant bien que mal, je sortais de mon lit, en tombant sur le sol. Je mettais difficilement à genoux devant lui. Toujours en pleurant.


« Je..je…je…s…suis..dés…désolée… je...je promets d’arr…d’arrêter…. »



_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL

    Prénom : ....//....

    Age : 18 ans

    Aime : Les Chèvres

    N'aime pas : Les Boucs

    Personnage préféré de One Piece : Boa Hancock

    Caractère : (définissez vous en quelques mots) Folie quand tu nous tiens :p

    Fais du RP depuis : 3 ans

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Souvent tous les jours

    Comment avez vous connu le forum ? Top Site



Dernière édition par Emiko Hakuteiken le Jeu 25 Avr 2013 - 22:01, édité 5 fois
    ♦ Première partie terminée. Il ne me reste plus qu'à faire le test RP qu'on me donnera, merci d'avance de perdre du temps pour cela ♥
      Salut Emiko, voila ton test RP


      La nuit derniére tu as encore fais des cauchemars, revécu la nuit ou ta mère est morte et ou tu as failli la suivre. Et une fois de plus tu t'es réveillé en hurlant, les pensées pleines d'hommes en noir aux mains couvertes de sang... Sauf que cette fois, ton réveil ne les a pas chassés. Car lassé de tes terreurs nocturnes, ton père à décidé que la meilleur manière de t'apprendre à surmonter tes peurs étaient de les faire revivre, à la dure. Et il a embauché lui même une poignée d'assassins chargés de te faire la peau. Sauf qu'évidemment cette fois, il ne bougera pas pour t'aider...
      Raconte nous comment tu t'es tiré de ce nouveau cauchemar et comment tu as vécu le fait que ton père soit prêt à te regarder mourir comme si tu n'étais rien de plus qu'un animal à dresser.

      Bye Red
        ♪ Je viens de finir mon test RP mes loulous ♥ ♫
          Salut Emiko, la bienvenue et le premier avis pour toi dans la foulée parce qu'on est des oufs.

          Bon, sur la forme j'ai trop rien à dire, tu sais écrire. Parfois ça pèche, longueur oblige, mais dans l'ensemble je pense pas avoir grand-chose à t'apprendre sur la langue française. Je m'en passerai.

          Je passe au fond-forme, au milieu entre les deux. Le style. C'est un peu long, je suis pas sûr qu'il y ait vraiment eu besoin de tout ça. Je me permets de dire ça pour des passages comme celui qui parle de la taille de ton perso, qui est plus petite qu'une femme normale mais pas de beaucoup, mais qui du coup est plus plus petite que les hommes parce que n'est-ce pas les hommes sont plus grands en général que les femmes, du coup une tête de moins qu'un homme moyen et une demi-tête de moins qu'une femme moyenne. C'est un peu redondant, pour une information pas très vitale au final. Elle est un peu plus petite que la moyenne, point. Efficace. Non ? Mettre les formes, c'est bien, pas de souci, délayer c'est un peu moins cool. Ca donne l'impression de remplir pour remplir, et ça, bon.

          De manière générale, pour donner un ordre de grandeur, je t'en aurais pas voulu si tu avais fait deux fois moins long sur chacune de tes parties : des descriptions de 500 mots, une histoire de 1500 et un test de pareil, y a tout autant moyen d'être efficace.

          Voilà pour le fond-forme.

          Pour le fond-fond les petites marionnettes, bon. Deux choses, principalement. Peut-être trois mais ça c'est si je suis en forme.

          La première, ça va être la simple maîtrise du combat pur de ton perso à six ans qui joue au jeu des dix petits ninjas dans ton test. Overabused. On va dire que c'est parce que c'était un môme, et qu'il (le personnage) se souvient pas de tout vraiment comment ça s'est passé, et qu'il a eu de la chance, qu'il a eu beaucoup de chance. Sans s'en rendre compte, à la manière des vrais héros. Si tu refais ça en jeu les récompenseurs seront moins compréhensifs, là il s'agit de t'ouvrir les portes du jeu.

          La deuxième, ça va être justement ce côté enfantin que j'ai absolument pas ressenti dans le test. Je sais qu'au présent tu joueras une femme mûre de trente ans, mais là tu aurais pu faire un effort. Tu joues une victime, un être au psychisme complètement éclaté par un père à la peversion sans bornes. Ca non plus ça se ressent pas. Essaie de mettre un peu d'âme dans le perso que tu joues, qui sera différent à chaque occasion où tu vas le sortir. Chaque rencontre change une personne, la fait agir au moins un peu différemment d'avant.

          La troisième, ça va être justement justement la perversion sans bornes du papounet adoré et le manque criant de réaction de la victime éternelle. Moi je veux bien. Les figures christiques, amour absolu, pardon permanent, tout ça, pourquoi pas. Ou syndrome de Stockholm, ça dépend si on cherche une explication plausible à ce manque absolu de haine (même pas un peu ?) pour un malade pareil. Mais fais gaffe, d'une part à rester crédible dans le déroulé des machins, et je suis pas sûr que la neutralité de ton perso qui ne bouge pas ou dont tu ne nous fais pas ressentir les émotions soit très crédible, et d'autre part à ne pas jouer avec un perso simplement pour lui faire subir des trucs affreux dans le genre. A force ça lassera, et je suis pas sûr que ce soit très intéressant pour toi non plus. Sain, je ne me prononcerai pas.

          La quatrième parce que je suis vraiment en forme et que j'allais l'oublier, ça va être ton retour à la vie en tant que tel. Bon, déjà, dans le début de la fiche, le formulaire précise bien "fruit ou aptitude que vous voulez maîtriser 'après votre présentation' ". Et là vu l'emploi que tu en fais on est très loin de la maîtrise après. Mais du coup on va partir de l'idée encore une fois que, souvenirs de gamin faussés obligent, en fait ce qui s'est passé c'est que tu l'as utilisé de manière instinctive, mais brouillonne, très brouillonne, et bien plus que tu ne t'en souviens. Et qu'au présent il va falloir que tu te trouves un maître pour progresser dans le domaine. Entends bien qu'il s'agit là d'une capa qui consiste à maîtriser chacune des cellules de son corps, et que si elle peut se découvrir sans assistance parce que hérédité tout ça, pour la comprendre et la développer à un point utile autrement qu'en situation de véritable urgence où les instincts reprennent le dessus, il faut quelqu'un d'extérieur qui te guide.

          Voilà.

          Pour toute ces remarques, je vais malgré la qualité d'écriture plafonner à 650. Mes collègues nuanceront ou pas, bonne attente de leur passage. Et bon jeu derrière.


          ♪ Emiko Hakuteiken ♫ 661875SignTahar
          • https://www.onepiece-requiem.net/t2280-
          • https://www.onepiece-requiem.net/t2249-
          Nyop Emiko, me voici pour ton deuxième avis !

          Bon bon bon, déjà, la première impression après la lecture : c'est loooong ! Y'a déjà eu plus long hein, ça c'est sur, mais, le truc, c'est que tu te répètes ÉNORMÉMENT ! Oui, j'insiste, ÉNORMÉMENT ! Que ce soit des mots ou des idées, tu nous en tartines des couches alors qu'à la première phrase où tu l'as dis, on avait compris. Et ça, c'est vraiment dommage, parce que ça rend le tout assez ennuyant au final et... LOOOOONG !
          M'enfin, mis à part ça, y'a pas de grosses fautes, tes phrases sont biens, bref, je vais pas m'étendre trop sur le fond. Juste, gaffe aux répétitions quoi, ça alourdit vraiment le texte.

          Du coup, le fond. Bon, déjà, je vais revenir sur le truc du retours à la vie : c'est une capa qui demande un gros entrainement avant d'être maîtrisée hein, et je pense pas qu'une gamine de 6 ans, même surdouée, même avec l'hérédité, puisse seulement l'utiliser pour se faire des tresses... Alors comme tu l'as fait dans ton test RP, clairement, non.

          Se point étant dis, je te fais un check point des différentes parties :

          Déjà le physique. Pour le coup, c'est complet... Voir plus que complet en faite. C'est un peu trop... ça plus les répétitions... Waaa, je t'avoue avoir eu du mal à me concentrer pour le coup.

          La psycho, j'ai eu un peu de mal sur le "je suis une super combattante de la mort, je me bats comme un assassin, mais par contre, je tue personne, j'en veux à personne, et tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil"...
          Mais du coup, pourquoi tu te bats ?! Là, je comprends juste pas... Okay dans ta bio, tu décides que la voie de la violence est la voie qui te mènera a l'amour de ton père... Mais, euh, tu n'as pas vraiment de raison de te battre quand tu croises quelqu'un... En faite, c'est le "Qu'est ce qui te mène à la violence dans une confrontation" que j'arrive pas à imaginer.
          A moins que ton perso ne soit sadique... Mais c'est pas ce que j'ai cru comprendre. Maso à la rigueur, mais pas sadique.

          Pour la bio, le père est juste carrément trop bizarre pour mes yeux innocents de pirates pas totalement sanguinaire... Enfin, ça améliore pas l'état de la marine d'avoir un psychopathe pareil dans leur rang... Et puis, je sais pas, ton père il finit quand même par tuer ton mari et non, rien... Tu l'aimes quand même, c'est ton papounet.
          Puis vient l'esclavage, ou là, je me demande, pourquoi ton père ne t'as pas acheté ? Parce que bon, si il voulait te faire encore des misères et des misères, il aurait surement eu plus simple de te prendre comme sa propriété.
          Bon, je passe sur le passage "fille de plaisir" parce que bon... Hm... Bref.
          Mais sur tes deuxièmes maîtres, ils te laissent te barrer comme ça ? Fin, ils t'ont achetée quand même, t'es un investissement quoi... Donc bon...
          Bref, j'm'arrête la pour la bio.

          Et je passe au test : comme Tahar, je trouve que ta ch'tiote de 6 ans elle en a au moins le double, voire plus. Et puis, même, dans les réactions, je ne suis que moyennement convaincue que ça colle à la psychologie du personnage. Et puis, y'a des trucs un peu gros, sans parler de l'utilisation des cheveux, hein. Genre le mec qui se prend la table il est hors jeu ? Vraiment ? Et celui qui se prend le seau pareil ? Et d'ailleurs, j'arrive pas a voir comment tu l'as casé le seau si la porte était fermée, mais bon, ça c'est du chipotage. Bref, ton père il a engagé des assassins qui se font une bosse et meurs en un coup ? Ah pardon, ils sont pas morts vu que tu ne tues personne... Mais du coup, il se relève et il te tue non ?
          Bon après, je suis d'accord, le test était vraiment pas évident, surtout pour une gamine de 6 ans. Mais ça, ça a été ton choix, le 6 ans, c'était peut être pas le meilleur.

          Booon (final) je m'arrête là parce que je fatigue un peu. Du coup, pour résumer, tu as une bonne écriture même si y'a plein de répétition qui gâche la lecture, ton perso quant à lui me laisse un peu septique de part ce point de psychologie que je ne comprends pas, sinon tu as quand même des idées intéressantes et ta façon de jouer dans le test, même si non adapté à une gamine de 6 ans avec l'utilisation d'une capa non validé, était bien, hein, quand même. Après, j'ai tendance à plus relever le négatif que le positif, donc ne crois pas que ta fiche est trop naze ou quoi que ce soit avec ce commentaire, c'est faux !

          Bref, pour la note, je vais être sur du 575, parce qu'hésitante entre 600 et 550.

          Voilà, voilà, bonne attente du dernier avis et bon jeu pour la suite !


          ♪ Emiko Hakuteiken ♫ 1425067977-izya-sflagopr ♪ Emiko Hakuteiken ♫ Zps1 ♪ Emiko Hakuteiken ♫ 1lmh
          • https://www.onepiece-requiem.net/t3825-
          • https://www.onepiece-requiem.net/t3683-
          Re Emiko. Me voilà donc, en début d'après, pour commenter ta prés. Et pour te valider.


          J'vais faire un peu du global tiens, ça m'changera.

          Alors globalement, tu écris bien. J'ai pas relevé les fautes après les descriptions parce que je sentais bien que je prenais déjà du retard, mais comme y'a pas masses, c'est pas gênant. Au-delà de l'orthographe, le style, et la syntaxe sont bons aussi. Juste faire attention aux accords. Tu joues une femme, pas un homme.

          Et cela m'amène à ma première remarque. J'vois pas comment je peux dire d'autre, mais… J'suis pas convaincu. Entendons-nous bien, tu écris bien. Mais j'ai pas ressenti ton perso, je ne m'y suis jamais identifié. Manque un truc.

          D'abord, j'ai jamais senti que c'était une femme. Mais ça, c'est chaud à jouer pour un mec, j'avoue. Ensuite, dans l'test, j'ai à aucun moment eu l'impression que c'était une gosse. C'est en recherchant un peu ta chrono pour voir quand il venait que j'ai compris. Mais alors, là, quand même, c'est chaud. J'lui donnais 25 ans à la gonzesse. Vachement mature, why not, mais y'a des limites. Et enfin, y'a l'coup du père. Il est cinglé et violent, tokay, why not. Mais qu'elle prenne sur elle toute sa violence et s'en immunise, boarf… Ca semble juste pas crédible. Et puis dans l'test encore, elle donne vraiment pas l'impression d'être traumatisée d'une quelconque manière. Qu'elle soit immunisée à la haine, admettons, mais qu'elle pense normalement d'un bout à l'autre. C'est moyennement convaincant.

          Bref, c'est dommage, parce que c'est long. Et quand c'est long et qu'on rentre pas dedans, on perd le fil, on peine à avancer. Et d'ailleurs, je rejoins Tahar sur le coup des longueurs parfois inutiles. Deux exemples marquants.

          un mètre soixante, ce qui représente une taille légèrement en dessous de la moyenne. Mais de seulement quelques centimètres, pour une femme elle n’est donc pas petite. Face à des hommes si bien sûr car ils mesurent souvent dix centimètres de plus. Pour faire simple en face de la plupart des hommes elle fait une tête de moins. Et devant la plupart des autres femmes environ une demi-tête de moins.

          Sacré pavé pour dire qu'elle est pas très grande. J'ai entrevu que Tahar avait aussi noté ce passage, et il m'en avait parlé autour d'une bière. Mais ouais, il a raison, ça ressemble à un truc écrit par quelqu'un qui se force à atteindre un certain nombre de mot dans une rédaction.

          Pour ce qui est de sa poitrine, eh bien je ne pourrais pas vous dire son bonnet car je l’ignore. Cependant à vu d’œil ils ne sont pas petits, et pas non plus énormes, si je devais y mettre un bonnet moi-même comme ça en regardant. Hum… je dirais du 90 C. Oui à mon avis ce serait dans ces eaux là. Une poitrine donc plutôt généreuse mais pas immense non plus.

          Une poitrine généreuse, ça suffisait. Parce que franchement, en RP, que ce soit du 90 C ou du 110 E, c'est sensiblement du pareil au même.

          Bref, c'est souvent long.


          Du coup, pour une fois, j'ai lu un peu les commentaires des autres avant de faire le mien, et j'les rejoins un peu sur tout. Y'a encore le coup du retour à la vie, mais j'vais pas revenir dessus. Alors je termine par un court relevé des fautes trouvées dans les descriptions.

          Spoiler:

          Pas grand chose donc.


          Du coup, pour la note, je suis plus proche d'Izya. Tu écris bien, mais il reste à nous donner un personnage haut en couleurs. Ca fera donc 550 dorikis pour la petite dame.

          Et du coup, ça te valide à 606,25 dorikis. J'laisse le soin à l'admin qui me suivra d'arrondir en haut, parce qu'on est pas des chiens quand même.


          Et du coup, ben bon jeu ici !

          • https://www.onepiece-requiem.net/t3943-l-empereur-le-plus-naze
          • https://www.onepiece-requiem.net/t3786-kyoshi-okabe-test-rp-termine