Manshon, une île au style romain dans un coin de Northblue. C’était la destination que notre jeune pirate avait choisi pour continuer à faire parler de lui. Il revenait tout juste d’Eastblue, une aventure qui s’était très mal finie. Il y avait perdu son capitaine et n’avait pas réussi à accomplir leur mission. Ils y étaient pourtant presque parvenus, mais il suffit d’un petit contre temps pour que leur plan parte en fumée et que leurs espoirs de réussite disparaissent. Al’ avait du fuir de cette île maudite pour se rendre dans un autre lieu et cette fois-ci faire couler le sang pour venger l’aventure qui lui avait couté ses rêves. Actuellement il se trouvait sur une embarcation de bonne fortune. Une petite péniche utilisée pour le transport de marchandises légères. Bien sur celle-ci ne lui appartenait point, il l’avait tout simplement emprunté à son propriétaire quelque part dans l’océan non loin de sa position. Celui-ci avait changé de direction au dernier moment et cela avait déplu à notre jeune pirate. Par la suite, il dut prendre le gouvernail et partir dans sa direction convoitée. Les flots furent cléments, il n’eut que peu de remouds sur les trois jours de navigation. En temps que navigateur expérimenté, Al’ n’eut aucun mal à trouver l’île qu’il convoitait grâce aux étoiles. Il n’avait pas besoin de carte sur ses mers, car il les connaissait bien. Pourtant un frisson lui parcourait l’échine à chaque fois que l’on prononçait le mot Grande Line. Pourquoi ? Tout simplement, car celui frémissait d’impatience au vue de pouvoir naviguer sur celle-ci. La mer ultime, au climat changeant, qui découpe le monde en deux. S’était un de ses rêves, parcourirent Grande Line et bravé ses pièges. Soudainement les contours d’une île apparurent au loin. Alucard était arrivé à destination, Manshon l’accueillait à bras ouverts.
Le port était, un petit édifice de bonne fortune. Il ne voulait guère être repéré en entrant par la grande porte. Il y avait trois, voit quatre bateaux amarrés à quelques mètres de lui. Il ne put s’empêcher d’aller fouiller chacun d’eux à la recherche d’objets en tout genre. Le premier était un simple bateau marchand, il ne prit donc dans celui-ci que de coin tenir quelques jours de nourriture. Le second était également un navire marchand, mais Al’ n’en tira rien car celui-ci ne transportait que des épices venues de contrées lointaines et exotiques. Le troisième était un simple navire particulier en mauvais état. Par contre le quatrième fut une vraie mine d’or. En apparence il ressemblait à un simple navire de voyage utilisé par une personne de classe moyenne, mais une fois à l’intérieur tout était différent. Nous passions du bateau de base, au paquebot de luxe d’un richissime navigateur. Al’ rentra à l’intérieur de celui-ci sans faire de bruit, il n’était certainement pas seul sur une telle embarcation. Il fit alors le tour des pièces, afin de mettre directement hors d’état de nuire les propriétaires de son nouveau trésor. Mais à son grand regret, il n’y avait personne sur celui-ci. Comme un enfant qui vient de recevoir son jouet préféré, Al’ se mit alors en quête de trésors. Il se mit à fouiller chaque coin et recoin du navire. Sa première trouvaille fut un magnifique collier de perles munit de quelques diamants. Puis ce fut des boucles d’oreilles en or et plusieurs bagues munit de rubis de toutes les couleurs. Après avoir enrichit son compte en banque, il partit en direction des étages inférieurs. Il passa par plusieurs salles d’hôtes et quelques cuisines. Il en profita bien sur pour grignoter un morceau. Puis il franchit le seuil de la cale du bateau. Ce fut avec de grands yeux, qu’il aperçut avec étonnement que plusieurs marines dormaient non loin de sa position. Il déglutit rapidement et s’avança silencieusement. Ils étaient trois, dans son sens de vision et il ne pouvait être sûr de ce nombre. Il prit alors la décision de s’engager dans le compartiment et de le franchir le plus rapidement possible. Il commença alors à marcher en direction d’une porte qui se trouvait au fond de la salle. Puis soudainement, lorsqu’il posa son pied, une planche gémit dans un cri aigu et violent pour l’oreille humaine. L’un des gardes, se trouvant sur sa droite, se réveilla en sursaut. Al’ lui décocha rapidement un coup de poing en plein visage. Le coup fut si violent, qu’il eut pour effet de rendormir directement le marine. De la sueur était visible sur le front de notre jeune pirate, il venait de passer à deux doigts de la catastrophe. Il continua alors sa route et entra dans la seconde zone de la cale du navire.
Il referma la porte derrière lui et n’oublia point de mettre une planche de bois pour bloquer la poignée quelques instants en cas de représailles. Il se trouvait actuellement dans le noir complet et ne pouvait aucunement distinguer les formes présentes dans la salle. Il alluma par la suite discrètement une allumette et alluma l’huile des lampes pour éclairer la pièce. Il se trouvait dans l’armurerie du navire. Il y avait des armes en tout genre et cela était une aubaine pour notre pirate. Hélas pour lui, la place lui faisait défaut. En d’autres termes, il ne pouvait emmener tellement de marchandise. Il décida par la suite de faire un tri sélectif. Il prit des munitions (balles rondes), des explosifs (tnt) et un bidon d’huile (inflammable). Après s’être munit de tout cet attirail, il partit à nouveau en direction des étages supérieurs. Il repartit comme un voleur, silencieusement et ce ne fut que quelques minutes plus tard, alors qu’il se trouvait déjà bien loin du port, que l’alerte d’un vol fut donnée. Sur ce coup on voyait à nouveau l’efficacité exorbitante de la marine. Alucard partit alors dans une habitation désaffectée pour se reposer de son voyage. Dans ses locaux, vieux de plusieurs années au vue de la tonne de poussière qui était accumulée sur le sol, Al’ se mit à gamberger dans sa petite tête. Il voulait frapper vite et fort, pourtant dans cette ville qui lui était inconnue, il était comme un poisson hors de l’eau. Il suffoquait et ne savait pas quoi faire. Bien sûr il pouvait tout simplement foncer dans le tas, mais cela lui avait déjà assez couté et il ne désirait aucunement recommencer de telles bêtises.
Les heures défilèrent et bientôt se fut les jours. Al’ n’avait toujours pas bougé de sa position. Puis un soir il émergea de sa tour en ruine, le sourire aux lèvres. Il semblerait qu’il soit enfin prêt pour commencer les hostilités.
Le port était, un petit édifice de bonne fortune. Il ne voulait guère être repéré en entrant par la grande porte. Il y avait trois, voit quatre bateaux amarrés à quelques mètres de lui. Il ne put s’empêcher d’aller fouiller chacun d’eux à la recherche d’objets en tout genre. Le premier était un simple bateau marchand, il ne prit donc dans celui-ci que de coin tenir quelques jours de nourriture. Le second était également un navire marchand, mais Al’ n’en tira rien car celui-ci ne transportait que des épices venues de contrées lointaines et exotiques. Le troisième était un simple navire particulier en mauvais état. Par contre le quatrième fut une vraie mine d’or. En apparence il ressemblait à un simple navire de voyage utilisé par une personne de classe moyenne, mais une fois à l’intérieur tout était différent. Nous passions du bateau de base, au paquebot de luxe d’un richissime navigateur. Al’ rentra à l’intérieur de celui-ci sans faire de bruit, il n’était certainement pas seul sur une telle embarcation. Il fit alors le tour des pièces, afin de mettre directement hors d’état de nuire les propriétaires de son nouveau trésor. Mais à son grand regret, il n’y avait personne sur celui-ci. Comme un enfant qui vient de recevoir son jouet préféré, Al’ se mit alors en quête de trésors. Il se mit à fouiller chaque coin et recoin du navire. Sa première trouvaille fut un magnifique collier de perles munit de quelques diamants. Puis ce fut des boucles d’oreilles en or et plusieurs bagues munit de rubis de toutes les couleurs. Après avoir enrichit son compte en banque, il partit en direction des étages inférieurs. Il passa par plusieurs salles d’hôtes et quelques cuisines. Il en profita bien sur pour grignoter un morceau. Puis il franchit le seuil de la cale du bateau. Ce fut avec de grands yeux, qu’il aperçut avec étonnement que plusieurs marines dormaient non loin de sa position. Il déglutit rapidement et s’avança silencieusement. Ils étaient trois, dans son sens de vision et il ne pouvait être sûr de ce nombre. Il prit alors la décision de s’engager dans le compartiment et de le franchir le plus rapidement possible. Il commença alors à marcher en direction d’une porte qui se trouvait au fond de la salle. Puis soudainement, lorsqu’il posa son pied, une planche gémit dans un cri aigu et violent pour l’oreille humaine. L’un des gardes, se trouvant sur sa droite, se réveilla en sursaut. Al’ lui décocha rapidement un coup de poing en plein visage. Le coup fut si violent, qu’il eut pour effet de rendormir directement le marine. De la sueur était visible sur le front de notre jeune pirate, il venait de passer à deux doigts de la catastrophe. Il continua alors sa route et entra dans la seconde zone de la cale du navire.
Il referma la porte derrière lui et n’oublia point de mettre une planche de bois pour bloquer la poignée quelques instants en cas de représailles. Il se trouvait actuellement dans le noir complet et ne pouvait aucunement distinguer les formes présentes dans la salle. Il alluma par la suite discrètement une allumette et alluma l’huile des lampes pour éclairer la pièce. Il se trouvait dans l’armurerie du navire. Il y avait des armes en tout genre et cela était une aubaine pour notre pirate. Hélas pour lui, la place lui faisait défaut. En d’autres termes, il ne pouvait emmener tellement de marchandise. Il décida par la suite de faire un tri sélectif. Il prit des munitions (balles rondes), des explosifs (tnt) et un bidon d’huile (inflammable). Après s’être munit de tout cet attirail, il partit à nouveau en direction des étages supérieurs. Il repartit comme un voleur, silencieusement et ce ne fut que quelques minutes plus tard, alors qu’il se trouvait déjà bien loin du port, que l’alerte d’un vol fut donnée. Sur ce coup on voyait à nouveau l’efficacité exorbitante de la marine. Alucard partit alors dans une habitation désaffectée pour se reposer de son voyage. Dans ses locaux, vieux de plusieurs années au vue de la tonne de poussière qui était accumulée sur le sol, Al’ se mit à gamberger dans sa petite tête. Il voulait frapper vite et fort, pourtant dans cette ville qui lui était inconnue, il était comme un poisson hors de l’eau. Il suffoquait et ne savait pas quoi faire. Bien sûr il pouvait tout simplement foncer dans le tas, mais cela lui avait déjà assez couté et il ne désirait aucunement recommencer de telles bêtises.
Les heures défilèrent et bientôt se fut les jours. Al’ n’avait toujours pas bougé de sa position. Puis un soir il émergea de sa tour en ruine, le sourire aux lèvres. Il semblerait qu’il soit enfin prêt pour commencer les hostilités.
Dernière édition par Yukiji Alucard le Mar 15 Fév 2011, 11:47, édité 2 fois