Un complot, c'était un putain de complot. Cela ne faisait pas un pli dans le mental de Sebastian, qui avait plus ou moins été contraint de se porter volontaire pour participer à un exercice en tant qu'instructeur. Le fait qu'il vienne de s'enrôler sous les drapeaux de la marine avait été un prétexte pour traiter ce vétéran comme un bleu. Et c'était le genre de choses qu'il supportait difficilement. Autant dire qu'il risquerait de devenir difficile à supporter par la suite.
L'exercice en question dépassait le stade de simplement basique. La mission que les recrues avaient reçu était de localiser et de libérer un otage détenu par un groupe adverse. Et comme les choses n'étaient pas assez pimentées comme ça, il y avait deux équipes chargées du sauvetage et qui devaient s'affronter. Le résultat prométtait d'être digne des plus mémorables gabegies, la bière en moins. Quoique... Difficile de prédire sur quoi on allait tomber avec ce genre de plans...
Au programme donc: épées en bois, tactiques foireuses, coups bas, foirages de tacticiens, canons à farine et un Sebastian Archibald Mavim au milieu de tout ça. Car, bien évidemment, le rôle qui lui revint était celui de l'otage, qui avait été prétenduement tiré au hasard. Mais les sourires narquois que ses collègues portaient lors dudit tirage en disaient long sur l'exclusion du hasard de l'affaire.
Mais pourquoi était-il inclu dans une équipe d'instruction alors qu'il avait rejoint les rangs marins à peine quelques mois plus tôt ? En raison de son expérience à la tête de la milice d'Ankork, il était tout simplement impensable qu'on lui fasse refaire ses classes de jeune recrue. Le compromi trouvé fut de le charger de l'instruction desdites recrues. Sebastian avait donc été envoyé sur le QG d'East Blue en tant qu'Instructeur Mavim, titre qui ne lui plaisait que très peu, mais qu'il ne comptait pas porter très longtemps.
Et le voici donc, ligoté à une chaise dans une chambre obscure choisie par l'équipe de défense dans un périmètre spécialement libéré pour l'exercice. Autours de lui, des jeunôts s'affairaient à s'organiser dans une stratégie plus ou moins bancale. Lui, observait sans bouger, son casque légèrement repoussé en arrière afin qu'il ne le gène pas. Une recrue avait eut l'amabilité de lui allumer un cigare qu'il fumait inconfortablement dans, le ponpon du complot, la robe à fanfreluche rose qu'on l'avait contraint de porter.
L'exercice en question dépassait le stade de simplement basique. La mission que les recrues avaient reçu était de localiser et de libérer un otage détenu par un groupe adverse. Et comme les choses n'étaient pas assez pimentées comme ça, il y avait deux équipes chargées du sauvetage et qui devaient s'affronter. Le résultat prométtait d'être digne des plus mémorables gabegies, la bière en moins. Quoique... Difficile de prédire sur quoi on allait tomber avec ce genre de plans...
Au programme donc: épées en bois, tactiques foireuses, coups bas, foirages de tacticiens, canons à farine et un Sebastian Archibald Mavim au milieu de tout ça. Car, bien évidemment, le rôle qui lui revint était celui de l'otage, qui avait été prétenduement tiré au hasard. Mais les sourires narquois que ses collègues portaient lors dudit tirage en disaient long sur l'exclusion du hasard de l'affaire.
Mais pourquoi était-il inclu dans une équipe d'instruction alors qu'il avait rejoint les rangs marins à peine quelques mois plus tôt ? En raison de son expérience à la tête de la milice d'Ankork, il était tout simplement impensable qu'on lui fasse refaire ses classes de jeune recrue. Le compromi trouvé fut de le charger de l'instruction desdites recrues. Sebastian avait donc été envoyé sur le QG d'East Blue en tant qu'Instructeur Mavim, titre qui ne lui plaisait que très peu, mais qu'il ne comptait pas porter très longtemps.
Et le voici donc, ligoté à une chaise dans une chambre obscure choisie par l'équipe de défense dans un périmètre spécialement libéré pour l'exercice. Autours de lui, des jeunôts s'affairaient à s'organiser dans une stratégie plus ou moins bancale. Lui, observait sans bouger, son casque légèrement repoussé en arrière afin qu'il ne le gène pas. Une recrue avait eut l'amabilité de lui allumer un cigare qu'il fumait inconfortablement dans, le ponpon du complot, la robe à fanfreluche rose qu'on l'avait contraint de porter.