>> Sarah X. Crow
Pseudonyme : Old Crow (soit vieille corneille) Age: Trentaine avancée Sexe : Féminin sacré Race : Femme (une race à part entière, si si !) Rang : Maman pirate autonome qui aime le saké, la baston et pour sûr, les enfants calmes... Métier : Critique culinaire Groupe : Pirate! But : Protéger ses enfants et accessoirement être tout simplement supérieure Fruit du démon ou Aptitude pour la suite :
Équipements : Crow porte dans son bas de dos une énorme gourde de saké (à la Gaara). Codes du règlement (2) : |
>> Extrait du capitaine du Zodiach Treize octobre
J’ai rencontré Crow dans un bar de sous-classes, où elle se tient habituellement. Étrangement, un aura fort brillait miraculeusement, et elle contrastait difficilement avec le bâtiment sentant l’alcool à plein nez ! Sa douce odeur de fleurs, saupoudrée d’une effluve que je ne pus identifier, charmait l’assistance. Malgré le bas éclairage, je pouvais la discerner comme nul autre, et je dois bien écrire qu’elle m’attirait fortement. Mais Crow n’est pas une de ces princesses éphémères et puériles, et se tenir dans un milieu masculin ne lui dérange nullement. Et on dirait que le caractère brutal de certains a déteint sur sa douce volubilité de jeune demoiselle. Aucunement gracieuseté dans ses moments libres, son rire est haut et fort, son regard franc et provocateur, et malheureusement, elle est doté d’une force impressionnante. À croire qu’elle est un de ces Okamas pirates parcourant le globe ! Sarah (ou Old Crow pour ceux qui ne craignent pas un coup de cette tempête soûl) n’a, que par sa présence, toute l’attention nécessaire. Il faut dire que son corps, doté d’une physionomie féminine plus qu’intéressante. Dotée d’une forte poitrine, elle se tiendra souvent les bras sous, la remontant légèrement, et plongeant d’avantage son décolleté. De quoi à faire brailler tout les ados en manque d’imagination ! De longues jambes gracieuses, nus pour la plupart du temps. Elle porte de drôles de godasses, faîtes de bois, hautes, ajoutant quelques centimètres à sa forte taille, déjà. Ses bras, également nus, cachent parfaitement la force herculéenne qui l’habite. Une force, que je soulignerais, du coeur, qui parcours chaque parcelle de son vénéré corps. Son explosif caractère se reflète dans sa tenue, ô comment sublime ! Mais tellement peu attractive pour l’esprit, puisque le deux tiers du corps de Crow sont nus, et qu’elle ne garde que quelques tissus à la taille, au buste, à la poitrine, pour cacher ce qui lui appartient. Souvent, elle porte sur son front un tricorne sale, taché, qui masque son regard, deux grandes plumes venant chatouiller les plafonds habituellement bas des tavernes. Sur son dos, un manteau aux manches que trop grandes, rouge et or, qui vole derrière elle, lorsqu'elle daigne se bouger l'arrière-train. Il y également, sur sa nuque, que l'on peut voir qu'en se faufilant derrière la douce, en priant le ciel de ne pas être surpris, un tatouage vieillit, représentant la tête de mort des Valkyries. Mais contrastant avec l’ensemble, son sourire est radieux, rare, mais sincère lorsqu’émit. D’une clarté éblouissante, on devine, sans même la connaître (bien qu’elle ne sourira que très rarement aux étrangers) que ce sourire est le dernier mince rempart entre sa façade dure d’extérieur et son âme douce d’intérieur. Aussi éclatant que les bijoux qui ornent ses doigts, son cou, ses poignets et chevilles et ses oreilles. Ce qui me choqua le plus chez elle, c’était que malgré tout le liquide fort odorant qu’elle ingurgitait en une journée, son haleine respirait la rose ! Un secret que bien des marins voudraient connaître, lorsqu’ils entrent tard la nuit. >> Extrait du capitaine du Zodiach Douze janvier
Sarah est sûrement l'une des plus fortes femmes que j’ai connus. Son portrait psychologique n’est nullement imaginable, au contraire de son corps nu. En premier lieu, Old Crow (elle m’a permit, finalement) est comme son pseudonyme le dit une vieille corneille acharnée. Toujours là où on la veut le moins, elle semble avoir un malin plaisir à nous dérouter, et j’associai ce comportement au départ à un sadisme incorrigible. Bien qu’il soit rare que vous puissiez engagé la conversation sur son passé avec elle, si cela se produit, peut-être ce dessinera en vous une folle femme, lorsqu’elle vous citera plusieurs tristesses qui maculèrent son existence avec une nonchalance bien visible. Mais Crow est lucide comme personne (malgré cet alcool qu’elle ingurgite à longueur de journée) et forte comme nulle autre. La femme caractérielle s’empêchera de pleurer devant n’importe qui, et seuls quelques privilégiés pourront connaître les véritables fondations de son âme. Crow est capable du plus bel exploit : elle a l’instinct de mère. Si si, incroyable mais vrai. Bien que cette femme explosive adore frapper, grogner, hurler, elle peut à la fois être douce, patiente et calme envers ceux qu’elle chérit. Et comme une mère, un esprit de combattant, de vengeance, de puissance ; un esprit tempétueux l’emporte lorsqu’on touche à ceux qu’elle considère comme ses mômes ! Et être sur le chemin de Maman Ours alors qu’elle veut mettre la pâté à ceux qui volent l’ourson n’est jamais une bonne idée. À moins que le suicide soit une de vos optiques ! L'on dit de Crow qu'elle aurait en fait, quelque part dans le monde, un orphelinat qu'elle tiendrait avec sa fille. L'Orphelinat des Crow. La fragilité de Crow est d’autant plus admirable que sa carapace dure de femme autoritaire. Cette seconde peau (enfin, ce changement affirmé) reste l’apparence qu’elle revêt en permanence. J’ai eu assez d’expérience à ses côtés pour comprendre les subtilités de sa psychologie, et son idéologie ne changera pas : ce qu’elle recherche sont le calme primaire (Old Crow est doté d’une flemme incorrigible), l’alcool premier (c’est sa raison de vivre), la bagarre archaïque (où elle est reine), le tabac de basse qualité (pourquoi avoir mieux alors qu’on peut se procurer ce qui n’est pas cher ?), la preuve élémentaire (elle crie toujours que l’homme est inférieur et lâche et si et ça). Aussi, elle ne se gêne pas pour dire ce qu’elle pense de la façon brute, ne faisant jamais aucun détour, et souvent, elle ponctue ses phrases de Baka! gracieux. Crow ne semble pas conquise de la pudeur. C'est pourquoi, sûrement, que la simple Sarah X. Crow a fait de sa passion pour critiquer un métier. Alliant ses maigres bases pratiques et culinaires à son savoir pour le goût et les saveurs ainsi qu'à son alcool maison, son saké indispensable, elle fait office de juge des plus respectables dans les plus hautes sphères de la gastronomie. Pourtant, sa philosophie est simple : pas de juste milieu, c'est soit bon, soit mauvais. Ayant eu la chance, une fois, d'assister à son jugement que j'écris divin, je ne puis passer au côté de la chance de vous expliquer ses manières. En fait, il y a deux rituels fort peu compliqués. Le premier, lorsque Crow semble apprécier, se déroulera en silence du début à la fin ; après avoir seulement jouer dans son assiette goûtant de tout en tirant la langue, l'air sévère, elle grognera et croisera les bras, allumant sa pipe. Dans le cas contraire, lorsque le plat ne lui sera point satisfaisant, elle englobera rapidement le plat, gueulera sur les incompétences du cuistot (elle peut même tout simplement se barrer) et elle s'arrosera le gosier de saké ou, sans cet élément essentiel, crachera dans le plat. Et malgré ses manières, il semble être toujours un honneur de l'avoir comme juge. Mais vous ne pourrez me contredire, avoir son amour (résultante de l’impossible d’après plusieurs) reste ma plus belle bénédiction à vie ! >> Biographie
Un jour, Crow fut mère. Mais le destin lui reprit ce qu’elle avait si durement acquit. Âgé seulement de ses quelques dix-neuvièmes années, Crow se lamentait dans son lit, accompagnée de la sage-femme du village. Le docteur, penché entre les jambes couvertes d’une fine pellicule de sueur de Crow, tentait tant bien que mal de récupérer le petit bout de chair. La jeune femme, qui avait souffert de bien des maux depuis le début de sa grossesse (comme l’abandon du père), devait sa vie à quelques chances laissées pas le destin, que sa tante avait prit soin de récolter pour elle. Mais aujourd’hui, malgré son fort caractère, sa tête de cochon et sa force mystérieuse, elle souffrait le martyre. Mais finalement, aux petites heures du matin, ses cris cessèrent, replongeant la petite maison au haut de la montagne dans le calme. Puis, imperceptibles, de nouveaux cris égayèrent les coeurs des occupants de la baraque. Un petit bébé, aux cheveux aussi foncés que sa mère, se lovait respectueusement dans les bras de Crow, cherchant, avide, un sein à téter. Elle le lui présenta le droit, qui fut vite vide, puis le gauche. Elle pleurait de joie. Selon sa tante, la vie du petit bonhomme, malgré sa forte appétit, n’était pas des plus faciles. Il était faible des jambes, et ne pouvait marcher. Une malformation incurable, qu’avait dit le docteur du village. Mais Crow l’aimait si fort que cet handicap était vite oublié, et la femme transportait à la place des deux membres inutiles du garçon son enfant. Souvent, elle partait sur l’île, loin de tout, avec son bonhomme, se recueillant dans des grottes secrètes, des baies magiques, des clairières paisibles, qu’elle avait découvert plus jeune, suite à de longues fuites. Elle faisait toujours à sa tête, racontait la doyenne, non sans une pointe de nostalgie dans la voix. Puis, alors que le môme dormait paisiblement dans son berceau, une nuit de douce tempête marine, un navire lugubre accosta. Les pirates immergèrent, en furie, et massacrèrent le village, le pillèrent, le violèrent. Crow ne put protéger son bien le plus précieux. Au lendemain, elle se trouvait sur le seuil de sa demeure, nue, frêle, tremblante, avec le cadavre de son fils dans ses bras, éteint éternellement. Sa douleur fut terrible, raconta un autre commerçant ! Durant plusieurs mois, elle disparut, et tous crurent que la fleur de printemps de l’île s’était fendu sur quelques rochers, comme une baleine déboussolée. Les traques ne servirent à rien, Crow s’était volatilisée. Puis, alors qu’une année s'écoulât douloureusement, elle revint par un matin froid, l’âme peinée. C’est à ce fond qu’on découvrit le changement, soulignait le commerçant. Crow n’était à fortiori plus la même. Elle était maintenant grossière, fort désagréable, et fréquentait les endroits les plus misérables. Mais tout le monde la comprenait et n’osait la consoler. Les années passèrent, et son caractère ombragé s’estompa peu à peu, pour enfin laisser la place à un ciel gris. Mais Crow — qu’on surnommait maintenant Old Crow, la trentaine acquise — protégeait comme elle le pouvait le village. C’était son devoir, sa source vitale. Elle ne laissait certes plus d’hommes l’approcher, mais elle gardait en elle cette source de force : son instinct maternel. Malgré des approches différentes, la femme restait une mère pour ce village. Je me rappels, racontait une jeune femme. Un jour, un brigand voulut faire ma boutique, mais alors qu’il repartait, il se fracassa le nez contre la douce poitrine de Crow. Elle se tenait dans l’embrasure de la porte, et la colère qu’elle porta sur lui l’envoya à l’hôpital pour plusieurs semaines. Elle avait un sourire sadique, mais j’étais si heureuse d’avoir survécu à ce brigand. Crow est une bonne femme, vous savez ? Un autre marchand raconte, finalement, pourquoi tous l’appellent Crow, et non Sarah, son vrai nom. Lorsqu’elle n’était âgée que d’une dizaine d’année, la petite fille impétueuse s’est retrouvé abandonnée dans une grotte donnant sur la mer, l’eau montante, la menaçant de la noyer. Crow/Rose ne savait pas nager. Néanmoins, elle survécut. Par son cri de peur, elle appela à l’aide un énorme corbeau, venu, dit-on, des mers du centre, de Grand Line. Ce grand corbeau, ne craignant pas l’eau, s’engouffra dans la caverne et attrapa la petite de son bec. Puis de nouveaux battements d’ailes, la ramena sur la terre ferme. Puis le corbeau, comme il était apparut, s’envola, et disparut. On la nomme Crow, dit-on, car elle serait la femelle du corbeau, bien que ce soit faux. Ce nom lui est resté, voilà tout. Quelques notes : -Old Crow, après s'être fait violer par cet espèce de monstre (Thunder F., homme-poisson, Toji en somme) a eu un enfant de lui. Cette enfant a maintenant quatorze belle année. Elle se nomme Rosianne, sirène à la force herculéenne mais à la bonté impressionnante. -Old Crow quitte son île quelques années avant de rencontrer les Red, équipage à qui elle restera affiliée toute sa foutue existence, et fonde l'Ophelinat des Crow, avec sa fille. Cette Orphelinat forme des enfants et les accueillent à bras ouverts. Elle revient ensuite à Hook Island, son île natale, île de pêche, et son histoire commence là. -Étant une pêcheuse plutôt douée, elle devient Critique très jeune. Son caractère la mènera loin. -L'équipage des Walkyries n'est qu'ébauche pour le moment, mais pour sûr, un jour, elle sera à la tête d'un bateau réservé aux femmes, dignes des Pirates de Kuja ! -Malgré son rang de pirate, la douce déteste ce groupe : son but, c'est de faire payer Thunder F. de son erreur et de lui vider les tripes à coup de poing. Mais pour l'instant, vos mieux faire des économies en vidant les poches des malhonnêtes... -À noter que jamais Sarah n'a vraiment utilisé les techniques du vieux maître de Rey Baka (style qui ne correspond pas à Crow). >> Test RP
La grande maison de Old Crow était à l'ombre d'un grand frêne, avec la vue sur l'île, un étroit chemin descendant de la colline. Au bas, le village, bruyant et animé pouvait envier la demeure de la femme solitaire. Mais étrangement, personne n'avait essayé de la lui prendre, de peur de sa colère ou par respect ? Old Crow était tout de même la protectrice (en quelque sorte) du village, et c'était un bien médiocre salaire que de lui laisser cette magnifique propriété. Crow n'avait pas de terres, seulement ce frêne et ce toit. Elle le mérite, clamait la doyenne ! Dans la pénombre, la femme se coupa. Son couteau glissa et vint lui entailler le pouce. Elle grogna. Puis passa son doigt à ses lèvres. Crow posa sa dernière pomme pelée dans un grand panier d'osier, elle préparait un pique-nique solitaire. La journée était trop belle, et en souvenir de son fils disparut, elle ne pouvait gâché les rayons chauds en restant occulté par sa sombre demeure. Elle passa une paire de lunettes sur son nez, chaussa ses godasses puis partit, deux nouvelles bouteilles dans son panier. Elle descendit d'abord la colline, puis bifurqua sur une seconde route. Elle connaissait ces chemins par coeur, ayant grandi sur cette île et l'ayant explorée grâce aux biens fondés de la fugue. Les yeux bandés, projeté sur un morceau de l'île, aisément, Old Crow pourrait retrouver son chemin. Son corps se souvenait, ses membres se remémoraient. Et jamais elle n'oublierait ! Elle distança le village sur quelques kilomètres, avant de s'engouffrer dans l'épaisse forêt de feuillus qui mangeait le trois quart de l'île. Le soleil tamisé lui réchauffait la nuque, et se fut avec un sourire prononcé qu'elle s'arrêta sur une plage vide et oubliée, mais ô comment magnifique. Son sable fin et doré était doux et chaud, mais pas trop, tandis que la mer, houleuse et bleue, miroitait les bouquets de rayons de l'Oeil de Feu. Crow s'arrêta en plein centre de cette baie sableuse, et déploya sa nappe à motifs usés — ressemblant à des fleurs, mais rien n'était sûr. Elle déposa son panier. Un bon pique-nique ne commence jamais sans une baignade rafraîchissante, citait son grand-père ! Se défaisant de ses quelques tissus, Crow, nue, se dirigea vers la mer, d'un pas lent et léger. Sans sourciller suite à la morsure glacée de l'eau, elle plongea tête première. Un peu plus loin, à l'orée de la forêt, un oeil malsain l'espionnait. Elle se baigna un instant, puis son ventre criant, elle ressortit. Elle revint à sa nappe, tomba sur cette-dernière et ouvrit son panier. Ses cheveux dégoulinants tombaient sur sa douce poitrine, tandis que l'eau s'écoulait le long de la courbe de son dos, s'engouffrant sur ses fesses rebondies. Elle était sur le ventre, sa paire de lunette sur le nez, une omelette préparée à l'avance à sa fourchette, du saké dans sa coupe. Elle fumait. Ses pieds battaient l'air. Elle souriait. Et la mer sembla lui répondre par de nouvelles vagues, reflétant d'avantage les chauds rayons. Crow pensa à son fils, qui devait sûrement veiller sur elle. Il aurait présentement aux alentours d'une quinzaine d'années. Crow se demandait souvent ce qu'il serait devenue si il n'était pas mort. Son infirmité l'aurait-elle handicapée au point qu'il ne puisse vivre normalement ? Non, se disait-elle souvent, il était fort ! Sa bouchée passa difficilement. La tristesse lui remontait en une grosse boule de chagrin dans la gorge. Elle but son alcool, tira un peu sur sa pipe et redressa les épaules, s'accoudant sur le sable maintenant humide. Elle plongea son regard dans l'horizon. Elle pensait souvent rejoindre le lointain, ces contrés qu'on disait dangereuses. Étrangement, la fillette qu'elle avait été, malgré tout les problèmes qu'elle trouvait à s'attirer, ne pouvait s'imaginer embarquant sur de grands navires à voiles blanches et quitter ce qu'elle avait toujours connue. Comment quitter ceux qui l'aimaient ? Voilà une question bien difficile ! Alors que Old Crow était perdue dans ses pensés, une ombre petite immergea d'un bosquet, s'avançant lentement et maladroitement vers Crow. Rapidement, son visage passa au soleil, et il était vêtu d'un sourire étrange, insolite. Crow se retourna sur le dos, pour se faire griller le ventre. Un ventre qui avait été un jour tendu. Elle n'avait pas vue l'homme s'avançant, mais lui l'avait vu. Et il voyait très bien ses seins. Son nez explosa en une gerbe de sang, et il décolla vers l'arrière, retombant dans son bosquet. Le frottement des herbes attira l'attention de Crow, qui sourcilla. Personne ne connaissait cet endroit. Il était dur d'imaginer quelqu'un capable de la trouver, à moins qu'on l'est suivie. N'étant pas pudique, elle se dressa sur ses pieds, s'avançant prudemment, sa pipe à la bouche. Son corps sensuel se balançait langoureusement de droite à gauche. L'homme surgit, un rouge foncé lui maculant les joues. Crow le reconnut immédiatement. C'était un vieux marin ayant accosté depuis longtemps sur l'île, n'étant jamais repartit. Quel était le nom de son bateau déjà ? Zodiach non ? Enfin. Que voulait-il. Le capitaine gardait la tête baissée, bien qu'il soit pervers, car une image pareille le mettrait knock out avant même qu'il n'atteigne ce qu'il était venu chercher. Tremblant, il souleva une petite boîte. Old Crow le regarda étrangement. Il l'ouvrit. Elle pouffa méchamment. Le capitaine se redressa, tentant d'oublier ce corps divin, et se mua en homme mécontent, ouvrant les bras pour contester. Mais à la place d'une quelconque injure, une pied nu s'abattit sur son visage. Puis Crow poussa, l'envoyant valsé dans la forêt. « Dégage, Baka ! » Elle semblait exaspérée et n'attendait sûrement pas à rire. Mais au moins, ce capitaine venait de lui remonter le moral. Elle allait se battre. Nue, peut-être, mais ses poings fuseraient ! |
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Informations IRL
- Prénom : Bah Bah Bouh !
Age : Gah Gah Gouh Gouh Gouh ~ Passes-moi mon cigare qui ressemble à une girafe
Aime : Ne pas en parler...
N'aime pas : En parler...
Personnage préféré de One Piece : Nico Robin
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Chiant (et oui, je suis un gars), pervers, caractériel, malfaisant, chiant, répétitif (sauf en rp, ce que je déteste).
Fais du RP depuis : Bientôt 3, on dit que je suis bon...
Disponibilité : Ça dépend.
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Dernière édition par Old Crow le Sam 24 Sep 2011 - 19:48, édité 4 fois