Un escalier de fer; un couloir étroit et obscur; au fond de ce couloir une porte entrouverte d'où nous parviennent les accords d'une musique qui en ce lieu parait irréel....
Le sombre monarque débarque et étale
Son pouvoir, la puissance de Looz s'installe
Non, ne résiste pas, ne lutte pas
Ne te détourne pas de la main tendue vers toi
Ou je vais explorer le royaume de tes peurs
En devenir le dictateur pour mieux te dominer
Là, tu deviens raisonnable, c'est bien
Oui tombe sous le charme pour de meilleurs lendemains
Pour les paiens la force est trop forte
Je balaie ces petits soucis comme le vent balaie les feuilles mortes
Les indécis sont avertis, qu'ils se méfient
De la seule étoile qui se fond dans la nuit
Le bastion des armées de Looz en action
L'énergie dégagée génère une telle attraction
Que vers lui se tournent enfin tous les regards
Pour s'apercevoir que l'espoir émerge du noir
Une partie de tout homme, Looz manipule
D'un rien il suffit pour que l'être bascule
Que les yeux de l'aveugle s'ouvrent, qu'il contemple
Looz, de l'obscur coté, le temple
N'aies pas peur, ouvre-moi ton coeur, viens vers Le Purgateur
Sentir la chaleur de l'obsurité pour toi il est l'heure
De rejoindre l'armée des guerriers de l'ombre
Ne sens-tu pas ton coté clair qui succombe
C'est ta destinée pourquoi vouloir lui résister
Sans peine je ferais sauter les verrous de ta volonté
Sois l'hôte dans la noirceur la plus pure du Purgateur
Et arbore les couleurs du coté obscur
La haine monte en toi, je le sais parfaitement
Je vois ta main droite gantée de noir
C'est sans espoir, la mutation s'amorce
La nature que tu obtures, le coté obscur de la Souffrance
Viens vers moi, passe le pont de part en part
Rejoindre ma demeure dans la lune noire
Je lance mes troupes à terre
Pour éradiquer ces niais d'hérétiques
Petit présomptueux ne vois-tu pas le nombre
Déployé ? L'armée des ombres, tu seras éliminé
Au nom des forces mystiques qui habitent là
Dans mon cerveau, je ne donne pas cher de ta peau
Le souffle de la Souffrance est en moi
Les fils de Dieu tremble
Mais lutte avec ses armes, renverse les crédos qui lui semblent
Erronés, brise les traîtres de la tête au péroné
Par la peur l'ennemi reste sclérosé
Longue vie au règne de la nuit
D'une théorie qui renverse les croyances établies
"Père aide moi", idiot il est trop tard
Tu appartient au sinistre sombre seigneur vêtu de noir
Casque, souffle rauque sous une armure
Le sombre monarque débarque et étale
Son pouvoir, la puissance de Looz s'installe
Non, ne résiste pas, ne lutte pas
Ne te détourne pas de la main tendue vers toi
Ou je vais explorer le royaume de tes peurs
En devenir le dictateur pour mieux te dominer
Là, tu deviens raisonnable, c'est bien
Oui tombe sous le charme pour de meilleurs lendemains
Pour les paiens la force est trop forte
Je balaie ces petits soucis comme le vent balaie les feuilles mortes
Les indécis sont avertis, qu'ils se méfient
De la seule étoile qui se fond dans la nuit
Le bastion des armées de Looz en action
L'énergie dégagée génère une telle attraction
Que vers lui se tournent enfin tous les regards
Pour s'apercevoir que l'espoir émerge du noir
Une partie de tout homme, Looz manipule
D'un rien il suffit pour que l'être bascule
Que les yeux de l'aveugle s'ouvrent, qu'il contemple
Looz, de l'obscur coté, le temple
N'aies pas peur, ouvre-moi ton coeur, viens vers Le Purgateur
Sentir la chaleur de l'obsurité pour toi il est l'heure
De rejoindre l'armée des guerriers de l'ombre
Ne sens-tu pas ton coté clair qui succombe
C'est ta destinée pourquoi vouloir lui résister
Sans peine je ferais sauter les verrous de ta volonté
Sois l'hôte dans la noirceur la plus pure du Purgateur
Et arbore les couleurs du coté obscur
La haine monte en toi, je le sais parfaitement
Je vois ta main droite gantée de noir
C'est sans espoir, la mutation s'amorce
La nature que tu obtures, le coté obscur de la Souffrance
Viens vers moi, passe le pont de part en part
Rejoindre ma demeure dans la lune noire
Je lance mes troupes à terre
Pour éradiquer ces niais d'hérétiques
Petit présomptueux ne vois-tu pas le nombre
Déployé ? L'armée des ombres, tu seras éliminé
Au nom des forces mystiques qui habitent là
Dans mon cerveau, je ne donne pas cher de ta peau
Le souffle de la Souffrance est en moi
Les fils de Dieu tremble
Mais lutte avec ses armes, renverse les crédos qui lui semblent
Erronés, brise les traîtres de la tête au péroné
Par la peur l'ennemi reste sclérosé
Longue vie au règne de la nuit
D'une théorie qui renverse les croyances établies
"Père aide moi", idiot il est trop tard
Tu appartient au sinistre sombre seigneur vêtu de noir
Casque, souffle rauque sous une armure
Dernière édition par Worth le Lun 24 Juin 2013 - 21:03, édité 3 fois