Quelle belle vue il y avait, sur cette falaise en bord de mer ... Le vent venais me caresser le visage doucement tandis que je sortais des bras de Morphée. L'herbe était pliée à l'endroit où je m'étais allongé auparavant. Quand ? J'avais beau me poser la question, je ne me rappelais pas de quand je m'étais assoupi ici. Je n'avais même pas le souvenir d'être venu dans ce lieu paradisiaque. Je me retournais et contemplais la laine infinie qui se dessinait devant moi. Quel magnifique endroit ... Seuls quelques arbres par-ci par-là venaient empêcher ma vue d'aller plus loin, mais ce n'était pas grave, car ces arbres n'étaient autres que des cerisiers en fleurs. Des pétales s'envolaient avec la douce brise pour aller effectuer un gracieux ballet dans les airs. Oui, on peut être un pirate sanguinaire et aimer les belles choses, c'est totalement possible.
Je me levais donc et commença à marcher dans cette plaine magnifique. Pieds nues, je sentais l'herbe mouillée me chatouiller les talons au fur-et-a-mesure que j'avançais. Puis, derrière un arbre, je vis une jument en train d'allaiter un petit poney, cette vision me fit sourire, puis je continuais mon chemin. Le soleil commençait à peine à redescendre, il devait être environ 14h30. Cela dit, malgré l'absence de nuage et l'abondance lumineuse, il ne faisait pas excessivement chaud. Cette île avait tout pour assurer mes vieux jours de pirate, tiens ! Un peu plus loin, un village était baigné par ce doux soleil. Je pénétrais donc à travers les maisons blanches, légèrement salie par une surexposition au soleil. Les gens étaient souriants et se promenaient en ville. Tout allait bien, jusqu'à ce que quelque chose n'arrive ...
Alors que je me promenais, un bras dépassa d'une petite rue et vint me plaquer contre le mur. Enfin, dire que c'était un bras était un euphémisme, car c'est littéralement un mât principal qui me coinçait au mur ! J'étais en train de me faire broyer les os ! Il fallait que je fasse quelque chose ! De plus, je ne voyais pas le visage de mes agresseur, la ruelle était à l'ombre et, les yeux encore pleins de soleil, je ne voyais rien de leurs traits. Mais après un fulgurant effort pour mettre ma main dans mon dos, je constatais avec horreur que mes sabres avaient été dérobés. Un autre homme, de taille plus humaine sorti de derrière le mastodonte avec mes deux sabres dégainés en main.
-Lâche ça, ordure ! Tu sais pas ce que sont ces sabres !
Il me regarda en hochant légèrement la tête sur le côté puis commença à frapper violemment les lames sur le sol de béton.
-ARRETE ÇA ! IMMEDIATEMENT !!
Chcriling !
Les katanas avaient cédés et c'est avec horreur que je regardais mes deux sabres, en miette au sol tandis que les brigands se fendaient la poire. Tout à coup, mes poings vinrent à se serrer violemment, mes dents virent à grincer, mes yeux vinrent à s'écarquiller, des crampes vinrent à se faire sentir, ... En un mot, la rage commençait à venir en moi ! Je commençais à me secouer dans tous les sens pour essayer de me dépêtrer de la poigne de fer du mastodonte, puis je finis par cesser de bouger avant d'être pris de spasmes et je commençais à grossir et à grossir encore pour finalement redevenir un monstre plein de muscles !
Le processus de démonisation achevé, je pris le poignet de l'homme me tenant et je l'inclinais sur la droite jusqu'à ce qu'un CRAC se fasse entendre signifiant qu'en dessous de la peau, seulement des grains d'os étaient présents. Suite à cela, j'emmanchais un puissant coup de poing à l'homme qui alla traverser un bon pâté de maison avant de s'arrêter. Devant moi s'offrait un couloir traversant une demi-douzaine de maison. Les autres hommes commencèrent à trembler et, d'un revers de l'avant-bras, je les envoyais valser très haut dans les airs avant qu'ils ne retombent lourdement sur les tuiles des maisons. Dans ce même mouvement de bras, je détruisis un mur porteur et une poutre de soutien de la maison sur laquelle j'étais plaquée, ce qui la fit s'écrouler. Je ne me contrôlais plus ! Sauf que cette fois, je ne désirais pas l'arrêter ! Moi, de l'intérieur, je le laissais épuiser ma rage, car cet affront, je ne pouvais le laisser passer ! Toute cette zone allait subir l'erreur de ces hommes ! Ils allaient même le payer au centuple ! Lorsque je serais reparti, les voyageurs qui viendront ici hésiteront entre une attaque de troupeaux de monstres géant et une catastrophe naturelle d'amplitude colossale ! Voire même les deux combinées ! Il ne restera rien, pas même un foutu mètre carré d'herbe verte ! Il ne restera que le gris de la pierre du sol, tâchée et colorée par le sang et la lumière des flammes ! J'avais déjà démolis sans remords un magnifique pâté de maison, écrasant sans regret ses habitants qui n'avaient rien demandé à personne !
Je me levais donc et commença à marcher dans cette plaine magnifique. Pieds nues, je sentais l'herbe mouillée me chatouiller les talons au fur-et-a-mesure que j'avançais. Puis, derrière un arbre, je vis une jument en train d'allaiter un petit poney, cette vision me fit sourire, puis je continuais mon chemin. Le soleil commençait à peine à redescendre, il devait être environ 14h30. Cela dit, malgré l'absence de nuage et l'abondance lumineuse, il ne faisait pas excessivement chaud. Cette île avait tout pour assurer mes vieux jours de pirate, tiens ! Un peu plus loin, un village était baigné par ce doux soleil. Je pénétrais donc à travers les maisons blanches, légèrement salie par une surexposition au soleil. Les gens étaient souriants et se promenaient en ville. Tout allait bien, jusqu'à ce que quelque chose n'arrive ...
Alors que je me promenais, un bras dépassa d'une petite rue et vint me plaquer contre le mur. Enfin, dire que c'était un bras était un euphémisme, car c'est littéralement un mât principal qui me coinçait au mur ! J'étais en train de me faire broyer les os ! Il fallait que je fasse quelque chose ! De plus, je ne voyais pas le visage de mes agresseur, la ruelle était à l'ombre et, les yeux encore pleins de soleil, je ne voyais rien de leurs traits. Mais après un fulgurant effort pour mettre ma main dans mon dos, je constatais avec horreur que mes sabres avaient été dérobés. Un autre homme, de taille plus humaine sorti de derrière le mastodonte avec mes deux sabres dégainés en main.
-Lâche ça, ordure ! Tu sais pas ce que sont ces sabres !
Il me regarda en hochant légèrement la tête sur le côté puis commença à frapper violemment les lames sur le sol de béton.
-ARRETE ÇA ! IMMEDIATEMENT !!
Chcriling !
Les katanas avaient cédés et c'est avec horreur que je regardais mes deux sabres, en miette au sol tandis que les brigands se fendaient la poire. Tout à coup, mes poings vinrent à se serrer violemment, mes dents virent à grincer, mes yeux vinrent à s'écarquiller, des crampes vinrent à se faire sentir, ... En un mot, la rage commençait à venir en moi ! Je commençais à me secouer dans tous les sens pour essayer de me dépêtrer de la poigne de fer du mastodonte, puis je finis par cesser de bouger avant d'être pris de spasmes et je commençais à grossir et à grossir encore pour finalement redevenir un monstre plein de muscles !
Le processus de démonisation achevé, je pris le poignet de l'homme me tenant et je l'inclinais sur la droite jusqu'à ce qu'un CRAC se fasse entendre signifiant qu'en dessous de la peau, seulement des grains d'os étaient présents. Suite à cela, j'emmanchais un puissant coup de poing à l'homme qui alla traverser un bon pâté de maison avant de s'arrêter. Devant moi s'offrait un couloir traversant une demi-douzaine de maison. Les autres hommes commencèrent à trembler et, d'un revers de l'avant-bras, je les envoyais valser très haut dans les airs avant qu'ils ne retombent lourdement sur les tuiles des maisons. Dans ce même mouvement de bras, je détruisis un mur porteur et une poutre de soutien de la maison sur laquelle j'étais plaquée, ce qui la fit s'écrouler. Je ne me contrôlais plus ! Sauf que cette fois, je ne désirais pas l'arrêter ! Moi, de l'intérieur, je le laissais épuiser ma rage, car cet affront, je ne pouvais le laisser passer ! Toute cette zone allait subir l'erreur de ces hommes ! Ils allaient même le payer au centuple ! Lorsque je serais reparti, les voyageurs qui viendront ici hésiteront entre une attaque de troupeaux de monstres géant et une catastrophe naturelle d'amplitude colossale ! Voire même les deux combinées ! Il ne restera rien, pas même un foutu mètre carré d'herbe verte ! Il ne restera que le gris de la pierre du sol, tâchée et colorée par le sang et la lumière des flammes ! J'avais déjà démolis sans remords un magnifique pâté de maison, écrasant sans regret ses habitants qui n'avaient rien demandé à personne !