>> Land Skyll
| Pseudonyme : Land Skyll Age: 18 ans Sexe : Homme Race : humain Métier : étudiant (enfin jusqu'a il y a peut) Groupe : chasseurs de primes But : Découvrir la vérité sur son père et son passé. Équipements : Une cinquantaine de berrys Codes du règlement (2) (moi aussi cela dit en passant ^^) (mais si je te jure O.o) Ce compte est-il un DC ? : non |
[center]>> Physique
Land était un jeune garçon n'ayant atteint la majorité que très récemment et plutôt beau garçon. Il avait des cheveux couleur braise, ébouriffés comme les ''voyous'' de son temps, mis long et attachés en une petite queue de cheval sur l’arrière de sa tête, tombant sur sa nuque. Sa joue droite était fendue en une mystérieuse cicatrice, que le temps n'arriverait plus à guérir, lui ayant donné une teinte brune. Il portait sur l’épaule gauche (bien que rarement visible puisqu'il la dissimulait sous ses vêtements) un tatouage tribal noir s’étalant jusqu'à son omoplate. Il n'était pas particulièrement musclé mais il prenais soin de son corps ce qui le classait dans les garçons ‘’bien proportionnés’’. Il n'était pour autant pas le genre d'homme à qui on va chercher des noises, de par son allure costaude. Il se situait à peu près dans la moyenne de taille des jeunes de son âge, et devait mesurer un peu plus d’un mètre soixante dix-huit. S'il n'avait pas de style vestimentaire particulier, il aimait cependant les vêtements qui lui permettaient d'être à l'aise pour bouger, souvent noir et blanc, qui mettaient en valeur ses yeux couleur noisettes. Land avait l’habitude de s’assoir pour réfléchir les coudes sur les genoux le menton appuyé sur ses poings, le regard perdu sur un objet devant lui. Le reste du temps il adoptait une posture fière : droit, imposant, dominant les autres du regard, son visage arborant des moues variant au gré de ses humeurs.
[size=16]>> Psychologie
Land était un homme qui attirait tout particulièrement la gente féminine. Tout d’abord parce qu’il était juste comme il leur fallait au niveau de son physique, mais aussi car c’était un homme mystérieux (et Dieu sait que les femmes aiment ça !). Il avait constamment les yeux plongés dans ses pensées. Non pas qu’il rêvait, mais il calculait. Land savait toujours se qu’il venait de se passer, ce qui était en train de se passer, et se qui allait logiquement se passer. Il prévoyait toutes ses actions en fonction de ces données passé/présent/futur. Alors, quand quelque chose ne se passait pas comme il l’escomptait il perdait tout ses moyens, incapable de réfléchir, il devenait un autre lui, chétif, lâche, peureux, pessimiste et violent. Et il était dans l’incapacité de se battre. Car Land en plus d’être très intelligent savait se battre, habile dans le maniement des armes, agile, fort, c’était un combattant hors pair. Il se servait de sa force au service de son esprit de déduction. Ses dons lui venaient de son père qui avait toujours prôné une éducation sévère mais complète. Il avait très tôt inscrit Land à des cours d’escrime et de tir ainsi que d’art martial, tout en lui faisant suivre un programme scolaire complexe. Sa devise était ‘’Découvre le monde et enrichis un savoir déjà immense.’’ Land avait toujours suivis ce précepte. Mais la mort de son père l’avait rendu froid et glacial, il était ce que l’on pouvait qualifier d’insociable. Parlant peu, sauf avec ses proches amis et ne se livrant jamais. On pourrait croire qu’il était quelqu’un en qui on ne pouvait pas avoir confiance, sur lequel on ne pouvait pas compter. C’était faux, Land avait un très grand sens du devoir, de la justice et de l’amitié. Il ne faisait jamais marche arrière et il était capable de guider une armée entière jusqu’au but qu’ils s'étaient fixé. Pour lui rien n’était pire que de ne pas tenir ses promesses ou faire du mal à autrui sans raison. Il ne se définissait pas comme défenseur de la veuve et de l’orphelin mais comme quelqu’un aidant les personnes subissant de graves injustice si et seulement si elles le voulaient bien et qu’il en était capable car Land n’avait pas pour habitude de se mettre inutilement en danger.
[size=16]>> Biographie
Il y a vingt ans, la seule bourgade de Bux-Island (North Blue) célébrait l’union d’un homme et d’une femme : Caroline Kara et Nand Skyll. Deux ans plus tard naquit de cette union un jeune garçon que le père, en toute modestie, voulu nommer Nand junior. Finalement le nouveau né se prénoma Land, Land Skyll. Nand n’était pas souvent chez lui, officier de la marine, il arpentait régulièrement les mers à la recherche d’horribles pirates à arrêter. A Bux-island Land n’avait jamais eu le temps de s’ennuyer, son père lui avait fait suivre un programme de sport et d’étude très stricte et sévère qui ne lui laissait que très peu de temps libre. Sa mère quand à elle était toujours bienveillante envers lui. Nand rentrait toutes les deux semaines. Mais il ne parlait jamais de son travail ce qui ne l'empêchait pas d’être un père aimant. Mais on sentait en lui quelque chose qui le tracassait. De plus Nand prêtait une grande attention aux nouvelles paraissant tout les jours dans le journal. Land vécu ainsi de ses trois ans à ses 10 ans.
Ce fut un dramatique jour d’hiver quand le malheur toucha pour la première fois le jeune Land âgé alors de 10 ans. Une énorme tempête s’abattit sur Bux-Island, le jour même ou Nand devait revenir après deux semaines en mer. Inquiet Land décida d’attendre son père sur les quais. Le vent soulevé la mer en d’énorme vague de plusieurs mètres de haut, la pluie et le noir empêchaient toute visibilité. Land s'était abrité sous le porche d’un hangar, mort de froid, attendant en vain le bateau devant lui ramener son père. Il aperçut enfin, loin, très loin sur l’océan une lumière. Il se précipita alors sur le rebord du quai pour crier le nom de son père mais il glissa et tomba à l’eau. Land savait particulièrement bien nager mais le courant était si fort qu’il l’entrainait vers le fond. Il se débâtit une dizaine de minutes avant de s’érafler la joue droite sur une planche en bois. Il s’y accrochât alors et dériva alors en direction de la lumière stagnant sur l’océan. Quand il fut assez près pour apercevoir le bateau il n’en crut pas ses yeux. Le vieux bateau de la marine sur lequel son père avait embarqué était retourné en face d’un énorme rocher. ‘’Papa’’, ‘’papa’’ s’écria le jeune garçon affolé. À son grand étonnement une voix lui répondit alors. Land, fou de joie suivit la voix jusque derrière le rocher où le bateau s'était échoué. Là, son père était assis sur le sol, le bras droit manquant, les habits déchirés et le corps recouvert de plaies ouvertes et se déversant abondamment de leur sang. Land ne put retenir ses larmes et exprimer son dégoût. Le père et le fils furent découverts sur le rocher le lendemain matin, vivants. Fort heureusement Nand put être sauvé mais il avait perdu son bras droit à tout jamais. Mais ce ne fut pas cette nouvelle qui attrista Land à son réveil mais celle concernant sa mère. Lors de l’orage, voyant son fils tombé à la mer Caroline avait voulu le repêcher sans succès. Elle était elle aussi tombée à la mer et avait contracté une maladie incurable et mortelle. Quelques jour plus tard Nand repartit pour ce qu'il appela sa ‘’dernière mission’’. Mais il ne revint plus jamais.
Land se sentait abandonné par son père, surtout que sa mère se portait de plus en plus mal. Pourtant, un jour, celui de ses dix-sept ans, une lettre parvint à Caroline. Elle l’ouvrit, poussa un cri et s’évanouit. Land entreprit immédiatement de la réveiller. Puis, une fois que ce fut fait il se saisi de la lettre mais n’eût le temps de lire que quelques mots. Sa mère lui avait repris la lettre et l’avait brûlée. Sur la lettre était marqué ‘’… Pour vous annoncer la mort de votre mari Nand Skyll.’’. Land ne reparla jamais de cette histoire à sa mère. Elle ne semblait pas vouloir aborder le sujet. Et puis cet homme les avait lâchement abandonnés.
Un an plus tard, le village de Bux-Island célébrait la mort de Caroline Skyll. A cette occasion tout le monde attendait son mari. Seul Land savait qu’il ne se montrerait jamais. Mais, à son grand étonnement, un bateau accosta quelques minutes avant la fin de la cérémonie et Nand vint se recueillir sur la tombe de sa femme. Après cela, alors que Nand regagnait son bateau son fils lui sauta dans les bras. Mais, à la stupeur générale, Nand le poussa de sa main droite en disant :
- Pousse-toi gamin.
Land fut à ce moment là convaincu que cet homme dont le mauvais bras était atrophié et qui ne le reconnaissait plus n’était pas son père actuellement décédé. Et le bateau s’en alla.
[size=16]>> Test RP
[size=11]Land se saisit du premier avis de recherche qu’il trouva. L’homme se nommait Liam à la dent noire. Ce n’était pas un voleur de grande renommée mais le montant de sa prime permettrait à Land de subsister une petite semaine et de trouver un moyen de quitter Bux-Island. Par les hommes de la taverne où il venait de se procurer un petit pistolet, Land avait appris que Liam logeait de l’autre côté de l’île, dans un hameau isolé du reste du village. Land entreprit de s’y rendre. L’île n’était pas grande, ainsi il arriva en quelques heures dans le hameau qu’on lui avait indiqué. Perdues au milieu de la montagne, six maisons trônaient fièrement. Plus loin, à l’ écart, on pouvait apercevoir une septième maison dissimulée entre les arbres, sûrement la demeure de la dent noire mais Land ne voulut pas tirer de conclusions trop hâtives et il se dirigea vers le hameau. Il toqua à la première maison qu’il aperçut. Une vieille femme au teint pâle, au dos courbé et aux bras frêles lui ouvrit.
-Oui ?
-Excusez- moi mais pourriez-vous m’indiquer la demeure de Liam à la dent noire ?
-Je ne le connais pas, lança la vieille femme d’un ton sec en refermant la porte.
Land bloqua la porte avec son pied. Il avait besoin de cet argent et il allait l’obtenir.
-C’est bizarre, commença-t-il de son air malicieux, tout le monde sur cette île connait ce voleur sauf vous. J’en déduis donc que je suis bien au bon endroit.
-Laissez-moi, ordonna la femme.
Mais Land continua, il tenait le bon bout.
-Vous avez l’air de vouloir taire son existence, vous ne voulez sûrement pas que je le retrouve. Si jamais Liam avait habité une de ces six maisons vous m’auriez envoyé voir s’il n’était pas dans la maison isolée pour lui laissé le temps de s’enfuir, mais vous ne l’avez pas fait. Et pourquoi ? Simplement car cette maison est la sienne. Puis après un temps d’arrêt : Mes remerciements madame.
Sur ce, Land tourna les talons et partit en direction de la maison de Liam. Il n’avait aucune appréhension quand à le rencontrer, il lui serait facile de le soumettre.
Land arriva aux abords de la maison deux minutes plus tard. Il voulut s’avancer mais la porte s’ouvrit. Land se cacha immédiatement dans les buissons. Liam à la dent noire sortait justement de chez lui. Land attendit qu’il se fut un peu éloigné pour pénétrer dans sa demeure. Il était évident que la vieille dame avait du le prévenir par escargophone, mais Land l’avait prévu. Pour lui, il fallait mieux commencer par se renseigner sur son ennemi. La maison était plutôt sobre, en vieilles pierres. La pièce dans laquelle Land était entré était un salon meublé de canapés, d’étagères et de fauteuils aux motifs simples. Land s’approcha d’une des étagères et l’ouvrit. Il en sortit une pile de papiers qu’il commença à lire tout en surveillant par la fenêtre si la dent noire ne revenait pas. Soudain une petite voix douce s’éleva dans son dos.
-Papa ?
Land se retourna. Face à lui se tenait un petit garçon d’une dizaine d’années à peine, roux, ressemblant comme deux goutes d’eau à Liam, sûrement sont fils. Quand Land se retourna l’enfant se mit à crier. Distrait par l’apparition de l’enfant Land ne vit pas le voleur arriver. Il rentra d’un coup et braqua un pistolet sur lui.
-Recule sale Marine, ordonna-t-il.
Comme d’habitude dans les cas désespérés Land paniqua, sortit son pistolet et le braqua sur la tête du petit garçon.
-C’est toi qui va reculer sale brigand, cria-t-il à son tour.
Une troisième personne entra précipitamment dans la pièce, une jeune femme rousse vêtue d’une simple tunique. Quand elle entra elle s’écria les mains plaquées sur le visage :
-Mickael !
-Maman ! Appela à son tour l’enfant
La femme devait être la femme de Liam, elle avait dut être attirée par les cris de son fils. La situation se compliquait pour Land.
-Lâche mon fils et recule.
A ce moment là, Land attrapa le petit garçon et sauta à travers la fenêtre, à l’extérieur de la maison. Après quelques roulades, Land poussa l’enfant devant lui pour éviter que la dent noire ne lui tire dessus puis courut dans la forêt. Ensuite, il courut, courut, courut. Il avait perdu tout ses moyens à cause d’un simple enfant. Justement Mickael tira sur sa main et s’écria :
-Je suis fatigué, laisse-moi retourner voir papa et maman.
L’enfant ne devait pas se rendre compte de la gravité de la situation, il ne pleurait pas, il regardait Land avec de grands yeux couleur noisette.
-Non
-Pourquoi ?
-Car j’ai besoin de toi pour attraper ton père, c’est tout.
Land commençait à reprendre ses esprits. Son esprit calculateur se remettait en route et il commençait à entrevoir un plan pour une demande de rançon.
-Si je te prête mon papa tu me le rendras après ?
-Bien sûr que non imbécile ! Si je veux l’attraper c’est pour l’emmener en prison !
A ces mots, les yeux du petit se remplirent de larmes. Il sauta sur Land et le frappa de toutes ses forces en criant :
-C’est mon papa tu n’as pas le droit de me le prendre. Après je n’aurais plus de papa.
-De toute façon ton père tu ne le voyais jamais n’est-ce pas ? Il était toujours en train de dépouiller d’honnêtes gens.
Mickael s’assis sur le sol et contempla son ravisseur avec perplexité
-Bien oui … Mais c’est justement pour ça que je ne veux pas que tu l’emmènes. Si tu l’emmènes je n’aurais plus aucunes chances de le voir plus.
Land Fixa son prisonnier. Il se vit là, par terre, à attendre le retour de son père, inlassablement, espérant toujours qu’il ouvre la porte d’un coup et qu’il le prenne dans ses bras, puis qu’il aille embrasser sa mère, malade. Mais il ne venait jamais. Et ce père était mort sans même lui dire adieu. Et si, aujourd’hui, il faisait la même chose ? Et si aujourd’hui il privait un enfant de son père ? Mais lui il avait besoin de cette argent. Il ne pouvait pas se permettre de laisser filer la dent noire.
Land réfléchit quelques minutes puis il se résolut à la chose suivante : puisque Liam était un voleur il devait posséder une certaine somme chez lui. Land n’avait qu’à lui remettre son fils en échange d’un peu d’argent et repartir. Il ordonna alors à Mickael de se lever et reprit la direction de la maison du voleur.
Liam l’attendait sur le pas de la porte, arme à la main.
- Rendez-moi mon fils, je vous en supplie. Dit-il en se mettant à genoux.
-A une seule condition : j’exige le montant de votre récompense en échange.
-C’est du chantage !
-Oui.
A ce moment la jeune maman sortit de la demeure.
-Je vous en supplie, nous n’avons pas de quoi vous payer mais je vous promets que mon mari arrêtera de voler si …
-Jamais ! Tu m’entends ? Jamais !
-Mais chéri nous n’avons pas le choix.
-Si, le buter !
A ces mots Liam leva son révolver en direction de Land. Mais il n’appuya pas sur la gâchette, un escargophone qui devait se situer dans sa poche sonna. Il décrocha. Il répondit deux ou trois fois ‘’oui’’ puis devint pâle et après un bref ‘’merci’’ raccrocha.
-Très bien je ferais se que vous voudrez.
Land senti que quelque chose venait de se passer
-Pourquoi accepter si soudainement ?
-Vous les voulez vos Berrys ? Cria le voleur.
-Très bien.
La femme de Liam rentra dans la chaumière puis ressortit avec une petite bourse qu’elle dona à Land.
-Voila, maintenant rendez-moi mon fils et partez, ordonna la dent noire.
Liam regarda une dernière fois l’enfant qui lui ressemblait tant et tourna les talons. Il ne prit pas la direction du hameau principal mais plutôt du village où il habitait. Après tout il n’avait plus rien à faire ici, mais un bruissement dans les buissons lui fit tourner la tête.
-Qui est là ?
La vieille dame, complice de la dent noire sortit des fourrés.
-Vous ? Ici ? … Je vous en supplie, allez porter secours à la dent noire.
-Pourquoi ?
-La marine est ici, j’ai prévenu Liam par escargophone qu’ils venaient le chercher mais rien n’y a fait. Le Commandant de la marine qui dirigeait l’opération a déduit comme vous qu’il devait habiter la maison isolée à l’écart du village.
-Je suis venu pour capturer Liam à la dent noire, je ne vais pas maintenant aller l’aider.
-Tiens, c’est vrai, pourquoi ne l’avez-vous pas capturé ?
-je … Ca ne vous regarde pas.
-Bien je ne sais pas la raison qui vous a poussé à ne pas le faire mais il faut que maintenant vous la retrouviez pour allez l’aider.
Land repensa à Mickael. Il devait aller aider son père. Sinon il l’aurait épargné pour rien. Sans ajouter un mot à l’égard de la vieille femme Land tourna les talons et courut en direction de la maison de la dent noire. Il arriva devant la demeure avant la marine. Il rentra, seul la dent noir attendait encore, assis sur un fauteuil, une cigarette dans la bouche et un révolver à la main.
-Partez, la marine arrive.
-Je sais, vous êtes venu les aider ? Dit-il très calmement.
-Je vais vous faire sortir de là, on va s’enfuir et …
-Non, si je ne reste pas là à les combattre ma femme et mon fils se feront attraper à leur tour, ils se sont enfuis vers l’est mais la marine n’aura pas de mal à les attraper. Tu apprendras que c’est ça le courage mon garçon, protéger ceux que tu aimes.
-Mais que puis-je faire alors ?
-Rattrape ceux pour qui je me bats et défend les, tiens, prends cet escargophone, si je m’en sors vivant je te passerais un coup de fil depuis une des maisons du village.
-Ok, bonne chance, articula Land tant bien que mal.
Puis il sortit de la maison en courant, il entendit les marines arriver dans son dos mais il ne s’arrêta pas. Land ne se faisait pas d’illusions, si le commandant de la marine avait réussi à deviner ou se cachait la dent noire il n’aurait pas de mal à le tuer. Mais il voulait encore espérer. Il ne voulait pas que Mickael connaisse ce qu’est l’absence de son père. C’est aussi pour ça qu’il devait défendre sa mère.
Land courait depuis cinq minutes déjà quand l’escargophone sonna. Land décrocha, fou de joie à l’idée que Liam s’en soit sorti vivant. Mais la joie céda vite la place à l’horreur.
-Allo ? Ici le commandant de la marine Ever Dick. Je viens de tuer un homme du nom de Liam à la dent noire. Ce nom doit sûrement vous dire quelque chose puisque vous possédez son escargophone.
-Vous l’avez tué ? Ordures !
-Cessez immédiatement les agissements que vous faites et qui aurait pu aider la dent noire ou sa famille.
-Je ne vois pas de quels agissements vous parlez.
-Ne faites pas l’innocent. Si Liam vous a donné son escargophone c’est qu’il attendait quelque chose de vous. Peut-être protéger sa famille ? Elle a sûrement dut fuir par la côte Est puisque nous arrivions par l’ouest. La côte Est ? Cela me dit quelque chose … Ah oui c’est là où, totalement par hasard j’avais envoyé une unité.
Puis il raccrocha sur un long rire démoniaque. Cet homme possédait les mêmes capacités de déduction que Land, lui qui en était si fier. Mais ce n’était pas le moment de songer à cela, il fallait immédiatement aller porter secours à la famille de la dent noire, ils ne devaient plus être loin. A peine fut-il reparti que Land entendit un coup de feu, dans un renfoncement, à quelques mètres de là ou il se trouvait. Il s’y précipita et vit trois hommes de la marine autour de Mickael et de sa mère. Cette dernière était couchée par terre, du sang coulant abondamment de sa poitrine. Land ne réfléchit plus, il sortit son révolver et tira sur l’homme avec le révolver braqué sur la femme. Puis, le temps que les deux autres dégainent leurs armes il en acheva un autre. Le troisième tira. Mais Land profita du terrain en pente pour rouler dans la descente et ainsi éviter la balle. Puis il pointa le canon de son révolver sur le marine et lui tira une balle entre les deux yeux. Il se précipita alors vers la femme à terre. Il écouta si son cœur battait encore mais il n’entendit rien. Il se retourna, derrière lui Mickael, à genoux par terre, pleurait en fixant les quatre corps morts autour de lui. Land le prit alors dans ces bras et lui murmura à l’oreille.
-Ca va aller, je vais t’emmener avec moi. Nous allons partir de cette île et nous allons régler les comptes de nos pères, je te le promets.
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Informations IRL
[list]Prénom : Jouve Julien
Age : 16 ans
Aime : Les poneys, jouer au loups-garou, one piece, fairy tail, mirai nikki, royal battle, code geass, 11eyes etc ... Parlé avec les gens, les patates, les chanssons de ma cousine.
N'aime pas : les chmapignons, francky, bleach.
Personnage préféré de One Piece : Nami ... Ou zoro ... Ou nami ... Ou zoro ... Ou kokoro (et pell alors ?)
Caractère : (définissez vous en quelques mots) drole et gentil :3
Fais du RP depuis : toujours XD (sa reste vague hein ;P)
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) des que je peut (surtout le soir)
Comment avez vous connu le forum ? en tapant ''forum de rpg one piece'' sur google.
Dernière édition par Land Skyll le Ven 31 Mai 2013 - 21:21, édité 23 fois