1624 | Île de Sirup | Première sortie probatoire de Smiley Smile
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C’était une magnifique journée. Le ciel était rayonnant et les oiseaux se comptaient par millier en cette période de l’année. Sur la mer bleue aussi calme que limpide d’East Blue, une petite barque dérivait cacher sous une immense ombrelle blanche. À son bord, un marine en permission se laissait dériver vers son destin. C’est donc sur l’île de Sirup que Poséidon décida de le porter, une magnifique place aussi il faux l’avouer, ça fessait changement de la base de la marine, cette grosse base G-2 avec le vieux et tous les autres apprentis marine en formation.
Les circonstances étaient particulières, il s’était avéré qu’encourager une bagarre de nourriture n’était déjà pas une bonne idée, spaghetti boulette ou pas, mais continuer alors que tout le monde s’était arrêté pour saluer le dirigeant de la place, ça s’était la gourde qui avait fait éclater la brouette. Le vieux l’avais reçue en pleine poire la boulette qui lui avait value se petit départ forcé. Au moins, c’était lui qui l’avait pris sous son aile, couver ce petit œuf comme on dit, il l’avait nourrie, habiller et qui lui avais même essuyé les fesses un nombre de fois incalculable. Pourquoi ? C’était simple, mais ça relevais du passé, pour faire court, son père était parti aider la marine dans le Nouveau Monde, aucun contact depuis, quand à sa mère, elle entrait dans la liste d’incalculable victime engendrer par le terrible Tahar.
Sirup, Sirup, Sirup, son petit paradis pour une semaine, mais le vieux avait été bien clair, s’il pouvait racheter ses actions et patati et patata, il pourrait rentrer avant son temps, sinon il faudrait qu’il survive par lui même. Cruel la vie.
Le sable chaud réveilla ses sens, chaque petit grain entre ses orteils venait le chatouiller jusqu’à lui faire dresser les cheveux sur la tête. Ça fessait si longtemps qu’il voulait venir à la plage, profiter d’un bon moment et jouer avec tout et rien. Une enfance ordinaire quoi ! Et ne voyer pas de problème au fait qu’il est vingt-deux étés à son actif, non, non, non. Lui il voyait la vie sous un autre angle, plus longtemps il s’amuserait, plus longtemps il vivrait.
Que faire ? Pensa-t-il, enfin, par quoi commencer plutôt ! Puis, le choix fut assez facile, il enleva ses vêtements, tout en gardant le nécessaire puis débuta un magnifique château de sable, il comptait reconstruire la grosse Berta, par la il voulait bien-dire, la grosse G-2.
Soleil, plaisir et quoi ? Coup de soleil… Oh merde, il était tout rouge comme un homard ! Mais pourquoi monde cruel ! Ça aurait été si simple de se protéger, l’idiot en avait oublié les rudiments de la plage. Il faillait donc suspendre les jeux d’enfant et se diriger vers la ville, la civilisation la crème solaire.
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C’était une magnifique journée. Le ciel était rayonnant et les oiseaux se comptaient par millier en cette période de l’année. Sur la mer bleue aussi calme que limpide d’East Blue, une petite barque dérivait cacher sous une immense ombrelle blanche. À son bord, un marine en permission se laissait dériver vers son destin. C’est donc sur l’île de Sirup que Poséidon décida de le porter, une magnifique place aussi il faux l’avouer, ça fessait changement de la base de la marine, cette grosse base G-2 avec le vieux et tous les autres apprentis marine en formation.
Les circonstances étaient particulières, il s’était avéré qu’encourager une bagarre de nourriture n’était déjà pas une bonne idée, spaghetti boulette ou pas, mais continuer alors que tout le monde s’était arrêté pour saluer le dirigeant de la place, ça s’était la gourde qui avait fait éclater la brouette. Le vieux l’avais reçue en pleine poire la boulette qui lui avait value se petit départ forcé. Au moins, c’était lui qui l’avait pris sous son aile, couver ce petit œuf comme on dit, il l’avait nourrie, habiller et qui lui avais même essuyé les fesses un nombre de fois incalculable. Pourquoi ? C’était simple, mais ça relevais du passé, pour faire court, son père était parti aider la marine dans le Nouveau Monde, aucun contact depuis, quand à sa mère, elle entrait dans la liste d’incalculable victime engendrer par le terrible Tahar.
Sirup, Sirup, Sirup, son petit paradis pour une semaine, mais le vieux avait été bien clair, s’il pouvait racheter ses actions et patati et patata, il pourrait rentrer avant son temps, sinon il faudrait qu’il survive par lui même. Cruel la vie.
Le sable chaud réveilla ses sens, chaque petit grain entre ses orteils venait le chatouiller jusqu’à lui faire dresser les cheveux sur la tête. Ça fessait si longtemps qu’il voulait venir à la plage, profiter d’un bon moment et jouer avec tout et rien. Une enfance ordinaire quoi ! Et ne voyer pas de problème au fait qu’il est vingt-deux étés à son actif, non, non, non. Lui il voyait la vie sous un autre angle, plus longtemps il s’amuserait, plus longtemps il vivrait.
Que faire ? Pensa-t-il, enfin, par quoi commencer plutôt ! Puis, le choix fut assez facile, il enleva ses vêtements, tout en gardant le nécessaire puis débuta un magnifique château de sable, il comptait reconstruire la grosse Berta, par la il voulait bien-dire, la grosse G-2.
Soleil, plaisir et quoi ? Coup de soleil… Oh merde, il était tout rouge comme un homard ! Mais pourquoi monde cruel ! Ça aurait été si simple de se protéger, l’idiot en avait oublié les rudiments de la plage. Il faillait donc suspendre les jeux d’enfant et se diriger vers la ville, la civilisation la crème solaire.
Dernière édition par Smiley Smile le Mar 28 Mai 2013, 03:55, édité 1 fois