>> Nom & Prénom
Pseudonyme : Amazone Alcoolique Age: 21 ans Sexe : Femme (paraît-il...) Race : Humaine Métier : Navigatrice Groupe : civile en manque de voyages But : Ne pas sombrer dans la routine. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Haki, peut être... Équipements : Rien du tout! Deux jambes, deux bras et une tête, ça suffit! Codes du règlement (2) : Parrain : Mettez le nom de votre parrain ici, si vous en avez un bien sûr Ce compte est-il un DC ? : non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : |
>> Physique Sophy est... En apparence, une femme. Oui, je sais, ça se voit. Mais ce 'nest pas une femme qu'on a bien l'habitude de voir. Enfin, c'est sur, des femmes, sexy, à la silhouette bien fine, avec certains atouts généreux, on en croise, je veux bien vous croire. Mais je ne pense pas que toutes ses femmes ont le look de notre petite Sophette! En effet, prenons l'exemple de l'été. Il fait beau, chaud, les filles sortent les robes, jupes et j'en passe. Notre amie, elle, sera habillé différement. Un pantalon moulant, noir en général, masquant le galbe de ses jambes qu'elle n'aime pas montrer. Un débardeur noir aussi, camouflant son ventre, que les filles normales aiment dévoiler. La seule chose qui puisse rester a peu près visible, c'est son tatouage tribal, sur l'épaule droite. Autre trait physique que personne ne peut deviner a moins de la voir a moitié nue, qui témoigne d'une sacré histoire, c'est la cicatrice qu'elle a pile entre ses seins et dont elle ne parle jamais. Autre chose dont elle ne prend pas soin: son visage, et sa coupe de cheveux. Du moins rien ne change jamais. toujours la même frange. toujour sles chaveux soit en queue de cheval, soit relâchés selon la situation, et l'humeur d ela jeune femme. Le maquillage sur son visage? Il n'y en a pas, elle n'a pas de temps a perdre avec ça. Du verni a ongle? Non, vous verrez plutot des gantelets usé a force de décrocher des mâchoires. A sa bouche, vous ne verrez point de rouge a lèvre, mais souvent une cigarette, ou alors le goulot d'une bouteille de bière! dans se syeux vous ne verrez pas de douceur, mais, selon la situation, une joie de vivre sans limite, ou bien de la détermination, ou la colère froide d'une femme provoquée. Et vous savez qu'il ne faut jamais provoquer une femme!! Surtout si elle a tendance a boire! Son physique semble vous donner la nature de cette femme plutôt garçon manqué hein? C'est ce qu'on pourrai penser... >> Psychologie Ah, la psychologie... En me demandant cette description, vous me demandez de détailler ce qui se passe dans la tête de Sophy. C'est assez difficile a faire dans le sens où il n'y a pas vraiment d'objectif précis dans ses pensée, pas de comportement ou d'idéal a suivre, pas de conviction et pas de regles a respecter. a part quelques fondamentaux... Peut être... C'est une femme au caractère... Brûlant, terriblement brûlant même. Elle part au quart de tour lorsqu'elle est contrariée et croyez moi, elle sait se servir de ses poings comme de ses jambes. Elle s'est entrainée toute sa vie pour dégommer tous ceux qui pourraient la faire ch*** (pardonnez mon langage), et pouvoir vivre ses aventures comme elle le souhaite. Alors que ce soit un marine, un pirate ou autre, si il lui prend l'envie de décalquer quelqu'un, elle ne se gênera pas le moins du monde. Mais, même si elle est dans la colère la plus noire et la plus froide possible, personne ne meurt de ses attaques. C'est une combattante née, pas une tueuse. Ca doit être la seule ligne de conduite qu'elle suit... Mis à part ses accents de colère prononcé, Sophy est une personne qui a de la volonté. quand elle décide quelque chose, elle s'y tiens, pour importe les obstacle, peu importe le temps que ça mettra. Que ce soit pour elle, ou pour quelqu'un d'autre, elle ne lâchera jamais le morceau. Têtue, déterminée, folle a lier, comprenez ça comme vous le souhaitez, mais ce serai plus un mix des trois, car dans sa détermination, elle peut être têtue et folle a lier et faire des chose auxquelles on ne penserai pas trop. Ce qui nous amène a l'aspect festif de cette femme. Et ouais, quand elle est pas énervée, elle ne prend rien au sérieux, estimant que la vie est trop courte et qu'il faut s'amuser plutot que de se prendre la tête. Et surtout, surtout, ne sous-estimez jamais cette femme. Elle a plus d'un tour dans son sac, et peut vous étonner a la moindre occasion... Et n'oubliez pas. Elle peut cogner, fumer, boire, dire que des conneries. Ca reste une femme. Avec tout ce qui va avec. Méfiez vous!!!! >> Biographie Mon passé n'est pas le passé le plus rose dont vous entendrez parler. Ni le pire, par ailleurs. Cette histoire est unique. Tout simplement parce que c'est la mienne. Je me nomme Asashi D. Sophy,et cette histoire commence sur une petite ile de Grand Line, nommée Bibine Island, très rarement visitée par les pirates ou la marine, son champs électromagnétique étant plus faible qu'une autre île dans le secteur. J'étais, à l'époque, une gamine très agitée, je ne tenais pas en place. Pour vous dire, j'ai été très peu scolarisée, je perturbais trop la classe, c'est donc a domicile que j'appris a lire et à écrire et a compter. La base en somme. Malgré cela, j'avais une vie très agréable, quelques amis, des parents merveilleux, ma mère, Sylphie étant boulangère et mon père, Kranios étant assez fortuné, je ne savais pas comment d'ailleurs. Je savais juste qu'il était dans les affaires. Et oui, ma mère travaillait quand même car faire du pain était sa passion. Passion que je n'ai jamais comprise pour dire vrai. Malgré l'apparence tranquille de ce petit village de cette petite île, il se passait depuis maintenant quelques années quelque chose d'effroyable. Chaque mois, chaque individu de l'île était obligé de payer un impôt a un homme masqué que personne n'avait pu chasser. Même tous contre lui, ils n'avaient rien pu faire. Mais il y avait moi. J'avais quatorze ans et je fulminais que personne ne puisse rien faire contre ce gars la. La Maine qui refusait de venir. Les pirates qui passaient et qui repartaient bien vite la queue entre les jambes... Cette année la, je décidais donc que ce jeu avait trop duré. Peu importe le temps que ça prendrais, mais si personne se bougeait, alors je le ferais. Mais voilà, j'étais une fille, et en plus, je n'étais qu'une adolescente qui foutais le bordel partout où elle allait. Autant vous dire que se mesurer a un adulte aussi fort n'était que pure folie. Et ça, je le savais pertinemment. Cependant, j'avais un atout : Momo. Ah, c'est vrai, vous ne savez pas qui c'est. Momo est un très vieil homme, dans les 90 balais où un truc dans ce genre la, vous voyez le genre ? Personne ne s’intéressait a lui qui faisais sa vie tranquillement, il n'y avait que moi pour être allée le voir, étonnée qu'il puisse péter la forme a son âge. C'est la que j'avais pu savoir qui il étais vraiment, a savoir un ancien chasseur de primes assez réputé sur Grand Line. Et c'était lui mon atout. D'une manière ou d'une autre, j'allais le convaincre de m’apprendre ce qui fais partie intégrante de ma vie aujourd'hui : Comment cogner. A ma plus grande surprise, il acceptât aussitôt, parce qu'il s'ennuyait me précisa-t-il par la suite. Moi, je pense plutôt qu'il en avait marre de voir son petit coin de paradis et sa bonne retraite dérangée par ce voleur masqué. Bref, toujours est-il qu'il supervisa mon entraînement, et je ne vous raconte même pas comme il m'en fit baver. C'est d'ailleurs a cette époque la que je commençait a fumer. Pour déstresser un peu, vous voyez car quand je rentrait chez moi, j'étais souvent a bout, autant physiquement qu'au niveau des nerfs. Quatre années passèrent, durant lesquelles, en pleine attitude rebelle, je me fis tatouer sur mon épaule droite un tribal tout mignon, lorsqu'un jour, après avoir brisé une grosse pierre qu'il m'envoyais a la tronche avec une certaine facilité, il me dit qu'il n'avais plus rien a m'apprendre et qu'il aimerait désormais profiter de sa retraite le temps qu'il lui restait. Le remerciant pour tout, je rentrais chez moi pour le dîner et discutais avec mes parents, a qui j'avouais enfin ce que je faisais depuis ses quatre dernières années. Et dans quel but. Évidement, je vous raconte pas leur tête quand ils comprirent que leur fille avait depuis ses quatorze ans envie de risquer sa vie pour tous ceux qui la traitaient de dérangée, de nuisible pour le village, et j'en passe. Rien de ce qu'ils dirent ne put entamer ma volonté. Quelques semaines plus tard, et quelques jours seulement après avoir soufflé ma dix-huitième bougie, Il fit son retour en criant sur la place qu'on lui apporte son impôt. Je me rendis alors sur place le plus vite possible. Je vis que les villageois apportaient leur dû, et j'entendis le voleur parler a nouveau... C'est ça, payez pour votre... NE LUI DONNEZ PLUS RIEN!! Ça, c'était moi, J'étais a bout de voir ses gens donner leurs économies à un type pareil. Le visage dur, j'avançais vers lui en me frayant un chemin dans la foule, consciente qu'il cherchais qui avait parlé, ce qu'il réclama, évidement. Et quand j'arrivai devant lui, je levais la tête pour le regarder dans ses yeux masqués. La seule que que je me dit sur le moment, c'était qu'il faisait quand même grand. Il me dévisagea alors pendant que je soutenait son regard. Des hommes plus forts que toi on essayé ma jolie, pourquoi vouloir mourir si jeune? Ta gueule, tu parles trop. Et sur cette parole tout gentille, je franchit les deux mètres qui nous séparaient d'une vitesse plutôt élevée pour une femme comme moi, et lui enfonçais mon poing dans l'abdomen, lui coupant le souffle et le faisant reculer de quelques pas. A ça pour l'avoir surpris, je l'avais surpris ! Mais je l'avais aussi terriblement mis en colère, ce qui étais le but. Réagissant, il me regarda d'un œil enflammé : Tu vas payer ma petite... Tu as signé ton arrêt de mort ! Si tu le dis, aller viens mon grand ! S'en suivis un combat mémorable, tous les villageois allèrent se réfugier chez eux, laissant la place vide, nous laissant seuls. Les coups pleuvaient avec une force et une rapidité que je trouvais phénoménale. Je me sentais bizarre, c'était mon premier combat face a un ennemi, un vrai. Que je faisais face a quelqu'un qui voulais me tuer. Et que je me battais pour quelqu'un d'autre que moi. J'aimais cet endroit et les gens qui y vivaient, malgré que je ne sois pas quelqu'un de facile, je voulais les protéger. C'est donc animée d'une volonté de fer que je restais debout, faisant honneur a mon menteur en donnant le meilleur de moi même. Je ne sais pas combien de temps tout cela dura, mais ce fut intense. On fini mal en point tous les deux, mais on avais encore l'énergie pour se battre. C'est alors que le dernier coup survins, et qu'enfin, mon ennemi tomba en arrière, inconscient. Je m'approchais alors de lui et lui enlevais son masque. Ce que je vis fut un choc pour moi. Ça m’anéantis tellement que je ne sentis pas qu'il n'étais pas inconscient. Un «Tchac !» se fit entendre, pendant que je sentais une douleur me déchirer la poitrine. Baissant les yeux, je vis la, entre mes seins, le manche d'un couteau, planté en moi pendant qu'il se relevais. Je levais les yeux vers cet homme, cet homme dont j'avais découvert l'identité. Que je connaissais en fait. Depuis mon plus jeune âge et qui m'avais vu grandir. Je regardais mon propre père faire un rictus de satisfaction alors que je retirais le couteau de ma poitrine. Le couteau tomba a terre, rejoins par une larme. Aucun son ne sortais de ma bouche, mais les questions fusaient dans mon esprit. Pourquoi ? Comment ? Et comment peut-on poignarder sa propre fille ? Puis il parla, la voix froide, dénuée de tout sentiment. Ah ah, te voilà enfin a terre, Sophy. Allons, ne me regarde pas comme ça, tu vas bientôt mourir de toute façon. Et par ta faute, tout le village aussi. Et ta mère également. Tu as toujours été un fardeau, ma petite et voilà comment je supprime ce fardeau aujourd'hui. Tout fini bien non ? Ah ah ah !! Je.. t'interdis, de les toucher... Je ne suis pas... encore morte. Répliquai-je difficilement. Ça ne va pas tarder, tu ne peux plus rien faire, ma fille, tu as toujours été faible... Comme ta mère en fait. Je vais te laisser mourir maintenant, j'ai du monde a m'occuper maintenant... Et il tourna les talons, s'en allant. Je posais mon poing a terre et c'est a ce moment la que mes souvenirs sont un peu flous. Je me sentis me relever, comme si une énergie enfouie en moi que je ne connaissais pas me portais. Une seule pensée occupais mon esprit : protéger tout le monde, personne ne dois mourir par ma faute et mon échec. Je faisais un pas, puis un autre. Ma fureur et ma frustration grandissais. Quoi, c'était tout ? J'allais crever comme ça, alors que j'avais passé quatre longues années a m'entraîner pour ce moment la ? Et puis par mon père en plus ? Ce traître a sa famille et aux personnes qui ont confiance en lui ? Ma colère dépassant ma souffrance, ma capacité a parler me revins. Reste... ici... Il ne m'écouta pas. Je commençais a trembler. Je fis encore un pas, mes yeux se voilaient par moment. Des larmes coulèrent encore. Puis tous mes sentiments disparurent sauf un. Je bouillais de colère, alimentant mon envie d'aller plus loin et de finir ce que j'avais commencé. Et je réussis a attirer son attention. JE N'EN AI PAS FINI AVEC TOI !!!! JE NE TE LAISSERAIS PAS FAIRE!!! Surpris de m'entendre crier, il se retournant, à temps pour me voir lui sauter dessus. Il tomba a la renverse, moi sur lui, et, ne lui laissant pas le temps de réagir, je le martelais de coups de poings, y mettant toute la force qu'il me restais, toute ma volonté de les protéger, et je ne m'arrêtais pas, et lui défonçais le visage de coups de poings, jusqu'à ce que la cadence ralenti petit à petit et que je m'arrêta, juste le temps de voir son visage tuméfié, avant de sombrer dans l'inconscience... Puis, au bout d'un moment, il a quand même fallu, bien obligée hein, que je reprenne connaissance... Humm.... J'suis où la ??? Demandais-je d'une voix endormie So... Sophy ! Mon dieu c'est un miracle !! Madame Asashi !!! Elle se reveille , oui elle se reveille !! cria ce qu'il me semblait être une sorte d'infirmière J'entendis des bruits pas s'éloigner, puis revenir, pendant que me tenais la tête avec les mains, cachant la lumière du jours a mes yeux car elle me faisais mal. J'avais vraiment du mal a émerger. Je sentis soudainement une présence à côté de moi, et une voix familière me parla. C'était bon d'entendre sa voix ! Dommage que je ne pouvais pas encore la voir. C'est ainsi que ma mère, Asashi D. Sylphie, prit la parole en se retenant, je le sentais, de me serrer dans ses bras. Sophy ! Enfin ! Je n'y croyais plus je... Maman, maman doucement, eh ! Je n'ai dormi que deux ou trois jours! Tout le monde va bien ? Que s'est-il passé lorsque j'ai perdu connaissance ? Et la, je sentis ma mère se raidir, hésiter. Je commençais a me dire qu'il y avais quelque chose qui ne tournais vraiment par rond. Je me faisais pleins de films. J'avais échoué ? Beaucoup étaient morts et on étais les seuls a s'être échappés ? Mes yeux s'habituant a la lumière, je pu enfin regarder ma mère. Elle pleurais, je ne l'avais jamais vu comme ça. Puis, devant mon air interrogateur, la nouvelle tomba. Sophy, tu n'a pas dormi deux jours... Tu as dormi près de deux ans et demi... J'ouvris la bouche en grand tellement j'étais estomaquée. Puis le choc étant trop fort, je m'étais évanouie. Je me réveillais quelques heures plus tard, assimilant le fait que j'avais perdu deux ans de ma vie, mais pas pour rien. En effet, j'avais réussi, dès que je me suis effondrée, mon père a été mis hors d'état de nuire, et après plusieurs demandes, la marine avait fini par intervenir. Les citoyens que j'avais protégés m'adoraient finalement -c'est fou comme les gens révisent leur jugement quand on sauve leur vie et leur économies- et ma mère avais passé tout ce temps la, seule, affligée. Triste d'avoir perdu son mari, et inquiète de voir partir sa fille. Chose pour laquelle je m'en voulais. Quand a moi, je m'étais bien remis de mes blessures, de ma blessure a la poitrine ne restais qu'une cicatrice entre les seins, super moche. Moi, j'étais encore en vie et j'avais pas a me plaindre. Ça m'a même ouvert les yeux. J'avais envie de profiter de la vie après être passée si près de la mort. C'est donc six mois après, quelques temps après mes vingt et un ans, que je pris la décision de voyager et de vivre vraiment. Et c'est la, que mon aventure commence ! >> Test RP Enfin, me voilà partie ! Cela faisais six mois que j'étais réveillée de mon coma. Après une bonne rééducation et un entraînement intensif, j'étais finalement parvenue a revenir au top de ma forme, et maintenant, me voilà sur le pont d'un bateau pour un voyage, que les habitants de l'île m'ont offert avec une belle bourse bien remplie, pour une île voisine pour commencer mon voyage. Et pendant que le navire levais l'ancre, je regardais ma mère une dernière fois, lui accordant le plus grand sourire que je pouvais lui faire. Elle étais heureuse de me voir comme ça, mais je savais que ça lui déchirais le cœur de me voir partir. Mais je lui avais promis de revenir, et je reviendrais, c'était certain. en attendant, je partais a l'aventure! Et... Ben ça commença plutôt mal. Au bout d'a peine deux heures de navigation, une tempête nous frappa, et, étant la seule débile qui ne s'accrocha pas, je fut emportée par les vagues. Et, pour ne pas changer, je sombrais dans l'inconscience. Bref, j'étais pas allée bien loin... - Hmmm... Mal a la tête... Telles furent mes premiers mots en me réveillant, m'étirant tel un chat dans un lit plutôt confortable dans lequel je serais bien resté si je ne m'étais pas souvenu de ma petite baignade fatale. Me redressant d'un coup, je tombais nez à nez avec... Une femme. Mais elle avais l'air tellement sévère, tellement froide, que j'en fut mal à l'aise. Et d'une voix neutre, dans laquelle ne se dégageais aucune impression, aucun sentiment, elle m'annonçais que j'étais saine et sauve. Génial, j'avais pas remarqué! Tentant tout de même un sourire avec celle qui fut sûrement l'une des personnes qui m'a sauvé, je lui répondit: - C'est grâce a vous. Merci! Je vous paie un petit coup a boire pour vous remercier? - Sur cette île, on ne bois pas. L'alcool est interdit. J'en restais bouche bée. Bon pas grave, pas d'alcool, je ferais sans. Je tentais autre chose. - Ok. Une petite cigarette alors, si vous fumez...? - Sur cette île, on ne fume pas. La cigarette est interdite. Ok, la c'étais de pire en pire.Je tentais alors d'autres choses. - Ok. L'herbe? - Interdite. - Une fête? - Interdit. - Un barbec'? - Interdit. - Une orgie? Ca vous ferais du bien d'avoir autre chose qu'un manche a balais dans le cul si vous voyez ce que je veux dire! - Toute insulte, haussement de ton, allusion au sexe sont prohibées. ainsi que rire et s'amuser. Ma mâchoire s'en décrocha tellement ses règles étaient affolante. En fait, sur cette île, les gens se contentaient de se lever de manger, bosser et hop dodo! Moi je pouvais pas, si tout cela était passible de prison, j'allais me prendre perpet'!! Non il fallait très très vite que je parte de cette île. Sortant de ma réflexion, je lui demandais alors quels bateaux partaient d'ici et quand? La réponse fusa, claire et net. - Pas de voyages gratuits, madame, avant de partir va falloir travailler ici un mois. - Ou alors je vole, je pille et je me casse? Ma réponse a la sienne avais fusé plus vite que ma pensée. Elle me regardais avec des yeux ronds et... Appela la sécurité en criant que j'étais une voleuse. Je réagis assez vite, je me levais, la bousculais sur le lit, allait a la fenêtre, l'ouvrit, et sautais sans hésiter. Je me réceptionnai avec souplesse au sol, et me mit à courir dans la rue. Très vite, les forces de l'ordre me prirent en chasse, évidement. Pendant ma course, j'observais les gens. Le visage fermé, comme la femme qui m'avais expliqué les interdits de l'île. Qui avait bien pu pondre des lois pareilles ? La question sauta alors aux yeux : Le gouvernement de l'île. Et j'en jugeais par la taille de cette ville que j'avais pu voir avant de sauter par la fenêtre, j'étais avec un peu de chance dans la capitale de l'île. Toute a ma réflexion, je ne réalisais pas tout de suite que des soldats prenaient position a quelques mètres devant moi, armés jusqu'aux dents. Je bifurquais sur une ruelle a ma droite et, ni une ni deux, me servais des deux murs pour monter a la façon des ninja et me retrouver ainsi que les toits. A peine me suis-je redressée que quelqu'un arriva par derrière et me mit sa main sur ma bouche, et, avant que je ne me dégage de lui, il me parla, juste avant de me relâcher, - Je ne te veux aucun mal, alors ne crie pas et écoute moi - Je n'ai pas l'intention de crier, j'aimerais éviter qu'on me retrouve. Que veux tu ? J'étais sur mes gardes, Je ne savais pas trop ce que ce gars me voulait. Mais il m'expliqua tout. Il me raconta alors que cette île subissais ses lois stupides depuis des années, pour conserver l'ordre et la discipline dans le pays pour éviter toute rebellion ou autre forme de renversement du pouvoir. Et donc, le mec en face de moi,Marco de son nom, et sa bande de revolutionnaire comme il aime les appeler, ont donc pour projet de monter un coup d'Etat. Mais pas avec des armes, ni du sang ou quoi que ce soit. Μnon, leur but est de se disséminer un peu partout dans le royaume et de faire rir eles gens, que tout le monde se rapelle a quel point il est bon de rire et de s'amuser. C'est alors qu'en me détaillant, une étincelle brilla dans ses yeux. - Tu vas nous y aider?? Je le regardais fixement pendant de longue seconde. Je prenais l'air morose des gens de la ville, regardans Marco avec une impassibilité du tonerre. Alors qu'il semblait abandonner espoir, que je refuse de l'aider et qu'il commençais a tourner les talons, j'éclatais d'un rire sonore qui pouvais être entendu de loin. - Ah ah t'aurais vu ta tronche!!!! Mais désolé mon gars, je peux pas vous aider dans ce sens la. Moi, je vais la bas! Je désignais alors le plus grand bâtiment de la ville, persuadée que le ou la chef de tout se beau monde était la bas. Suivant du regard mon bras, Marco fit les yeux ronds puis éclata de rire, convaincut que je plaisantais. Mais quand il vit que je ne sourais pas et qu'au contraire, j'étais extrêment sérieuse, il agita les mains devant lui, comme si ce geste allait m'en dissuader, avant de prendre la parole. - Le palais de la Reine Imiza? Non non non! Il est gardé archi gardé impossible d'y pénétrer! Nous voulons soulever le peuple, pas attaquer les dirigeants! De plus le premier ministre Sharfalk ne te laisserai pas approcher d'elle! - Je ne veux pas les attaquer, juste les convaincre d eme filer un bateau. Et au passage essayer de causer pour vous, si j'ai le temps, je suis gentille. - Mais ils ne te laisseront jamais passer! - Ca, c'est mon problème. Enfin, le leur plutôt. Sais-tu comment je m'apelle? - Euh.. non tiens, pendant que j'y pense... - Asashi D. Sophy. Ravi de t'avoir connu. Bye! Et je m'en allait en courant, laissant en plan le pauvre Marco. Ce dernier, sans que je ne le sache, étais abasourdi a l'entente de mon nom, puis eu un petit sourire en murmurant un “elle a peut être toutes ses chances... “. Quelques temps après, je fit mon apparition devant le grand portail qui barait l'entrée au palais. Evidement, les gardes ne voulèrent pas ouvrir, se croyant en sécurité derrières leur grille épaisse. Grossière erreur. Rapide et agile, j'escaladais le tout et me retrouvais dans l'enceinte. En quelques secondes, les deux gardes furent à terre, assomés. Puis je continuais sur la grande allée, et soudainement, une douzaine de gardes m'encerclèrent, mais ne m'arrêtèrent pas dans ma marche. Il semblaient m'escorter. J'étais un peu surprise par cet accueuil, surtout après avoir déglingué les deux autres zigotos, mais je n'en avait cure, je n'étais pas la pour me poser des questions, je n'avais qu'un seul objectif en tête. Et la... vous vous demandez quel objectif hein? Parce que pour partir, il m'aurai suffit de voler un bateau et de partir directement. Alors pourquoi... et bien ,essayez donc de deviner! Mouahahahah! Ils me firent alors entrer dans la bâtisse, et directement dans hall d'entrée, je fis face a un homme assez grand, en costard-cravate, portant un monocle, et ayant un air assez... Sournois. Je devinais aisément qui c'étais. Le fameux premier ministre Sharfalk. Haussant un sourcil, je le regardais avec un petit sourire moqueur, attendant qu'il ne parle. Ce qu'il ne tarda évidement pas à faire. - Et bien et bien, voila qui est une visite plutôt inattendue. Que venez vous faire ici, Asashi D. Sophy? Je ne répondis pas tout de suite, me demandant comment il connaissais mon nom. Puis je me rappelais l'air surpris de Marco, tout a l'heure, quand j'avais prononcé mon nom. Je commençais peu à peu a comprendre que j'avais du passer dans le journal ou une connerie comme ça, sinon, personne ne me reconnaitrai. Je pris mon temps pour formuler ma réponse. Parler de la sorte ne m'arrivais jamais, mais la... J'en avais envie, et vous allez comprendr epourquoi. Toujours avec mon sourire moqueur, je pris une voix de riche snobe et stupide et formula ma demande: - Je viens voir votre Reine, très cher, j'aurais une requête personnelle a lui formuller en personne. Serait-impossible de la rencontrer sans qu'il n'y ai une quelconque anicroche, Sir Sharfalk? Une veine apparu sur le front du ministre. Je pense que j'avais touché dans le mille. Alors qu'il brandissais le poing, sur le point de proférer des menaces du genre “Vous allez le regretter”, ou encore “Tu va spaye rpour ton impertinence!”, un rire clair et franc se fit entendre. Me penchant sur le côté, je pu voir une femme, d'environ mon âge, blonde, se tenir les côtes en riant. C'étais quoi ce délire? Je devinais que c'étais la Reine que je cherchais, mais pourquoi riait-elle alors que son peuple n'en avait pas le droit? J'allais poser la question, lorsque le premier ministre commença a crier. - Imiza, retourne dans ta chambre!! Cette dernière, choquée, pris la fuite dans la direction de sa chambre, enfin je le supposais. Je trouvais cela étrange qu'une Reine aie peur de son premier ministre et surtout qu'un premier ministre tutoie et donne des ordres a sa Reine. Quelque chose de louche se passait. C'étais le moment où jamais pour moi d'agir pour avoir une entrevue avec elle. Profitant de la distraction, je fonçais, donnant un bon coup de coude dans les côtes de Sharfalk avant de suivre Imiza. Cette dernière me fit entrer dans sa chambre avant de la fermer a clef. Plus prudente qu'elle, je m'empressais de bloquer la porte avec divers meubles et armoires. Ca cognais derrière, mais tout mon barrage tenais bon, ils en avaient pour un moment. Me retournant vers elle, je vis qu'elle me détaillais, puis elle eut un sourire franc qui me fit sourire. Elle m'avait l'air simple, cette Reine, et je commençais peu à peu a saisir la situation. Puis elle pris la parole. - Asashi D. Sophy. Oui, je vous connais. Pas mal de personnes connaissent votre histoire. Mais que me vaut l'honneur de votre visite? Pourquoi tenez vous tant a avoir une entrevue avec moi. - Reine Imiza. Si je tenais tant a vous voir c'est que... Voila, je suis arrivée ici sans rien. Et vu que c'est interdis... Je me suis dit que vous pourriez peut être... enfin... J'aimerai que vous me filiez un tonneau de Rhum! J'en peux plus je craque!!! Ayez pitié d'une amazone alcooolique et bagareuse comme moi!!! Ben oui! Vous croyiez quoi? Que j'étais la pour la révolution?? Je lm'en foutais, je voulais juste boire un coup pour me remettre de tout ça et partir sur un bon pied. C'est égoiste? Mais non, c'est moi! Tout simplement!Même la reine me comprenais, car au lieu d'être choquée, elle éclata de rire encore une fois, et se roula même par terre. J'attendais qu'elle se remette pendant plusieurs minutes, jusqu'a ce qu'elle se relève enfin, et, essuyant ses yeux luisant de larmes de rire, elle pris un air sérieux et solenel. - Asashi D. Sophy, si vous acceptez de me rendre un service, vous aurez tout ce que vous voulez. En mon nom, et au nom du peuple de Platonic Island, de son vrai nom Comic Island, je vous somme d'arrêter le Premier Ministre Sharfalk pour haute trahison envers sa reine! Vous avez carte blanche, vous agissez en mon nom, tout vous est permis! Vous êtes la seule a pouvoir le faire... Sophy... J'étais bouche bée face a ça. J'avais vu juste, celui qui dirigeais l'île, c'était le prmeier ministre, pas la reine!Elle étais retenue en otage depuis un bon nombre d'année. Mais ça ne me regardais pas. Je n'avais pas envie de me mêler de ça, je n'étais pas une héroïne, juste un simple voyageuse. J'allais refuser lorsqu'elle fondit en larme et se jetais dans mes bras. Oh bordel que je détestais ça... Je soupirais bruyement, pour bien lui signfiquer que ça m'emmerdais, mais d'un côté, a cete heure ci, pour du Rhum, je donnerais vraiment n'importe quoi. La porte subit alors un grand coup, s'ouvraiemùent de quelques centimètres, assez pour entendre une voix qui criait d'enfoncer la porte une bonne fois pour toute. Repoussant la reine, je lui annonçais que j'acceptais. Puis je me dirigeais vers la porte et d'un coup de pied, enlevais le seul meuble qui tenait la porte. Le soldat qui voulais l'enfoncer au même moment fut prise dans son élan avec une sorte de bélier, et je lui donnais un simple coup de poing pour l'assomer. Puis je me ruait dans le couloir, et, apercevant Sharfalk, je faisais ce que je faisais de mieux: Gueuler. - JE VAIS TE METTRE LA BRANLEE DE TA VIE SAC A MEEEEEERRRRRDDDDEEEE!!! Et je fonçais sur lui, évitant tous les garde, le choppant par le col et, le surprenant, je le faisais passer par la fenêtre au bout du couloir en le suivant. Puis, le lâchant, je le laissais tomber lourdement sur le dos tandis que je me recevais sur la pointe des pied avec grâce. Sauf qu'il ne tomba pas sur le dos. Il réussit a attérir sur ses pieds et, sans le voir venir, je me pris une mandale qui me fit voler sur plueieurs mètres. Me relevant, mon visage fut animé d'un vif sourire. Puis j'éclatais de rire. - Oh bordel, tu caches bien ton jeu toi!!! Sans crier gare, je courrut alors sur lui, en armant mon poing, évidement, il le vit, et s emit en position de défense. Mais, alors qu'il pensais se recevoir un coup de poing, je sautais d'un coup, mes pieds se retrouvant a la hauteur de son visage et lui envoyais un bon coup de pied en direction de son cou, histoire de lui couper la respiration, voir plus. Cette attaque était démoniaque, car si je frappais trop fort, je pouvais tuer mon adversaire sur le coup. D'ailleurs cette attaque avait un nom très précis que je murmurais tandis que la pointe de mon pied franchaissais sa défense et atteignais le point visé. Akuma No Mooda. Et il vola à son tour sur plusieurs mètres. Il s'étala sur le dos et se retourna pour pouvoir cracher à souhait, un peu choqué par une telle force venant de ma part. Il étais aussi énervé. Très énervé. Tellement qu'en se relevant, il sortit un poignard de sa manche. Mon visage se ferma alors. Un combat loyal ne lui disais donc plus rien, apparement. Il eut un sourire narquois en me voyant me fermer. Et il ouvrit sa gueule, peut être un peu trop, même. - Alors ma jolie, on a peur des couteaux? Oh c'est vrai que papa t'as poignardé il y a quelques années, peur de.. Il ne fini jamais sa phrase, au lieu de ça, il hurla, subissant une douleur qu'il n'aurait jamais cru subir un jour. N'en pouvant plus de l'écouter, et ayant noté son intention d eme destabiliser en la jouant à a armes égales, j'avais pris les devants en fonçant sur lui aussi vite que possible et en lui envoyant mon pied dans les parties intimes le plus fort possible, le couchant sur place, en criant joyeusement un “Sophy's Castration!!”. Le résulat fut qu'il tomba à genou en hurlant, lâchant son arme. Mais je n'en avait pas fini. Levant bien haut la jambe, je l'abbatit d'un coup sec sur sa tête, l'assomant sur le coup. Ca, c'était fait. A moi le Rhum!!! Je la regardais arriver, et elle me fit rire. Elle étais contente comme tout! Puis elle voulu organiser un grand banquet pour fêter ça, ce que je refusais. Pourquoi, me direz vous, alors que j'adore festoyer? Parce que je ne veux pas être l'héroïne, c'est tout. Moi Ttut ce que je voulais c'étais du Rhum, des clopes et un bateau. Elle fut déçue, mais m'intima au moins un diner royal avec elle avant de partir. J'étais un peu exténuée, donc j'acceptais. Nous dînames et passâmes ntre temps à discuter. Ainsi je sut pas mal de choses sur elle, et sur l'histoire de cette île. Sans le savoir, je les avait délivré du joug d'un homme plutôt fort et intelligent. En effet, il y a de nombreuses année, cette île était l'île du rire, des chants, de l'alcool et de la fête, c'est pour cela que je voyais cette fille rire autant. Puis cet homme arriva, réussit a faire partie ds ministre et au fur et à mesure, transforma l'île avec des nouveaux décrets que la Reine était forcée de signer sous peine de voir ses sujets executés. J'étais assez fière d'avoir réussi a faire ça, délivrer un peuple tout entier. Puis elle me réclama mon histoire, que, étonnement, je lui racontais tout de a à z. en cette Reine, je découvris une amie, une amie qui m'aida a me préparer le lendemain, me trouva tout ce qu'il me fallait, et me fit signe quand je pris le large sur un navire de transport de personne qui me déposerais a la prochaine île. Mais elle ne fut pas la seule. La fête était revenue sur cette île, et, pendant un bon moment, j'entendit leur voix chanter leur joie tandis que de nouvelles aventures m'attentaient. |
Informations IRL
[list]Prénom : Trystan
Age : 22 ans
Aime : Rigoler, faire du RP, lire, écrire, boire, faire la fête, la mécanique auto. Bref, j'aime tout
N'aime pas : le manque d'inspiration? ^^
Personnage préféré de One Piece : Brook
Caractère : (définissez vous en quelques mots): Complètement déjanté! Mais je suis aussi bien calme et parfois (mais vraiment parfois) réfléchit
Fais du RP depuis : des années avec un dernier trou de près de deux ans.
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif): Jours de semaine, pas le week end
Comment avez vous connu le forum ? Je sais plus XD
Dernière édition par Asashi Sophy le Mar 25 Juin 2013 - 17:07, édité 11 fois