Aladin et Key étaient à bord du petit bateau de pêche, délaissés de provisions. Ils n'étaient pas les deux seuls à bord, il y avaient aussi les deux sabres donnés par les pirates ( voir fin présentation ) . Cyrius avait faim, très faim. Plus que son singe qui s'était gavé de bananes à la dernière escale. Il regarda un des deux sabres puis fixa son singe. Non ce ne serais pas une bonne idée que de transformer son compagnon en nourriture. Heureusement il aperçut au loin la côte, le vent ne l'aidait pas dans sa course. On entendit un bruit de frottement, son singe laissait apercevoir un léger sourire narquois et moqueur. Ce satané singe avait pété ...
Énervé, impatient et affamé, voila les expressions qui s'affichaient maintenant sur le visage de notre jeune vagabond. Aladin semblait attendre une éternité. Ce temps lui parut interminable à tel point qu'il abandonna le bateau et décida de nager avec son singe, et ses deux sabres attachés au niveau de sa ceinture.
... Voila, je suis à présent sur terre ferme. Je m'étale de fatigue et après dix secondes de regard vide, un grand râle sort de ma bouche. Je vient de me rendre compte que j'ai laissé mon bateau de pêche au loin, et je n'ai plus la force de nager. ça commence mal. Comme un prédateur qui n'a plus la force d'attraper sa proie, je regarde avec dégoût le bateau qui s'éloigne. Quand je me relève, je remarque que je me suis affairé sans faire attention sur un sable gris et sale, en faite tout est sale aux alentours. Plus loin c'est pire, des déchets couvrent le sol un peu partout. L'hygiène laisse vraiment à désirer, je décide d'avancer et de constater dans quel endroit je me suis encore fourré. Plus j'avance, plus c'est sale, d'autant plus que le soleil frappe d'une chaleur insoutenable. Je me met torse-nu et jette ma chemise bleu sur mon épaule gauche. Même Key commence lui aussi à être mal à l'aise, son sourire est remplacé par une grimace, qu'il n'aurait pas pu faire dans d'autres circonstances. Je perçois une personne un peu plus loin sur la plage. C'est la première personne que j'ai pu voir sur cette île jusqu'à maintenant.
-Peut-être qu'il a à manger … Non que dis-je ce n'est pas une personne, c'est un énorme poulet rôti. -Voilà enfin un repas digne de mon estomac.
Je cours vers lui à vive allure, réduisant la distance entre nous deux. J'ouvre ma bouche, me préparant à croquer le gros poulet. Ma surprise est grande quand je vois le poulet qui se met à courir. J'accélère ma cadence à mon maximum et quand je suis à une faible distance, je saute et croque de toutes mes forces dans ma nourriture bien méritée...
Énervé, impatient et affamé, voila les expressions qui s'affichaient maintenant sur le visage de notre jeune vagabond. Aladin semblait attendre une éternité. Ce temps lui parut interminable à tel point qu'il abandonna le bateau et décida de nager avec son singe, et ses deux sabres attachés au niveau de sa ceinture.
... Voila, je suis à présent sur terre ferme. Je m'étale de fatigue et après dix secondes de regard vide, un grand râle sort de ma bouche. Je vient de me rendre compte que j'ai laissé mon bateau de pêche au loin, et je n'ai plus la force de nager. ça commence mal. Comme un prédateur qui n'a plus la force d'attraper sa proie, je regarde avec dégoût le bateau qui s'éloigne. Quand je me relève, je remarque que je me suis affairé sans faire attention sur un sable gris et sale, en faite tout est sale aux alentours. Plus loin c'est pire, des déchets couvrent le sol un peu partout. L'hygiène laisse vraiment à désirer, je décide d'avancer et de constater dans quel endroit je me suis encore fourré. Plus j'avance, plus c'est sale, d'autant plus que le soleil frappe d'une chaleur insoutenable. Je me met torse-nu et jette ma chemise bleu sur mon épaule gauche. Même Key commence lui aussi à être mal à l'aise, son sourire est remplacé par une grimace, qu'il n'aurait pas pu faire dans d'autres circonstances. Je perçois une personne un peu plus loin sur la plage. C'est la première personne que j'ai pu voir sur cette île jusqu'à maintenant.
-Peut-être qu'il a à manger … Non que dis-je ce n'est pas une personne, c'est un énorme poulet rôti. -Voilà enfin un repas digne de mon estomac.
Je cours vers lui à vive allure, réduisant la distance entre nous deux. J'ouvre ma bouche, me préparant à croquer le gros poulet. Ma surprise est grande quand je vois le poulet qui se met à courir. J'accélère ma cadence à mon maximum et quand je suis à une faible distance, je saute et croque de toutes mes forces dans ma nourriture bien méritée...