« Rappelle toi, la fin d'une histoire marque toujours le début d'une nouvelle... »
Robert Sponge.
Que sommes nous ? Où allons nous et pourquoi passons nous notre temps à faire tout ce que l'on fait ? Quel est le but de cette vie ? Et pourquoi cherchons nous sans cesse à nous fixer de nouveaux objectifs ?
Durant le temps où mes tortionnaires m’appelaient « esclave », je me suis souvent posé ces questions. Je n'étais esclave que sur le papier car mon esprit à toujours été libre, jamais les chaînes ni les brimades ne l'entravèrent, j en suis plutôt fier.
Je repense souvent à ces hommes, nos libérateurs, les Freemen, les Polar Bears... Je repense à Shamus, celui qui brisa nos chaînes à Iwa et moi, et me rappelle encore aujourd'hui de ce qu'il me dit un soir.
-Tu sais « petit homme », les questions sont là pour mettre les réponses en évidence.
Il m'avait appelé « petit homme » car pour lui, tout être libre était son égal.
Je n'ai pas compris ce que cette phrase voulait dire sur le moment, je l'ai même prise pour une rétorque d'aventurier, quel manque d'humilité de ma part. Je l'ai comprise plus tard, il y a peu de temps, et j'ai retenu ceci :
Qui sommes nous ? Simplement ce que nous voulons être. Être est la première étape de la vie, celui qui ne sait pas qu'il « est » n'est jamais vraiment né.
Nous allons là ou nous pouvons « être » et ce n'est pas chose aisée. Chaque expérience nouvelle nous fais sentir plus vivant que l'heure d'avant, et chaque direction nous mène vers de nouvelles sources de vie, car l'océan de la vie se constitue de milliers de sources.
Le but de la vie? Apprendre, c'est de cette façon qu'on se tire vers le haut. Prendre ce que la vie nous offre, ne pas vivre en vainc, ne pas se perdre dans l'immobilisme, c'est le début de la mort. Nous avons sans cesse de nouveaux objectifs car nous aimons cette vie.
C'est une étrange sensation que de vivre sur le « Bel Espoir », alors que je croyais chercher l'aventure, j'ai trouvé une famille. Nous sommes tous des parias, des pirates. On vous voit comme ce que ce monde propose de pire, le capitaine dit que nous sommes des aventuriers de cœur, nous sommes si différents, et si semblables à la fois. D' « Etrangers », nous ne portons que le nom car je mourrai volontiers pour sauver la vie d'un d'entre eux.
West Blue, était une mer étrange, elle semblait avoir sa volonté propre et, par les nageoire du vieux Neptune, ses courants m'en avaient fais voir. Cette mer, elle te met à l'épreuve, elle veut savoir qui mérite ou pas de glisser sur elle, et j'avais fait le serment qu'elle serait fier de moi.
D'après mes cartes marines, nous arriverions dans quelques jours aux abords de l'Ile de « kopoo ».
D'après Jackie, nous pourrions là-bas trouver un Log Pose pour prendre la route de Grand Line.
Il était presque seize heures, et comme tous les jours, le capitaine Ishii et moi faisions le point de notre voyage devant une tasse de thé.
Tandis que « Soeur Marie-Thérèse » tentait d'expliquer à Iwa les mystère du divin, que Blake prenait un bain de soleil nu sur la dunette, Jackie briquait l'artillerie.
Alors que nous calculions nôtre itinéraire, Iwa entra dans la cabine. C'était Iwa.
-Shishou ! Adrienne m'a dit qu'il faut que je viendais vous chercher que c'était très important !
Adrienne était tout à fait capable de s'occuper des affaires de bord sans Ishii, le fait qu'elle nous fasse remonter sur le pont indiquait qu'il se passait quelque chose d'important. Iwa me prit sur son épaule et suivi d'Ishii, nous arrivâmes à l'air libre.
Adrienne scrutait à l'ouest où se dessinait un navire de la marine à moins d'une demi-lieu.
Une détonation se fit entendre et un boulet vint frapper l'eau à une centaine de mètre du « Bel espoir ». Je me retournai vers l'homme-Cachalot qui s’allumait un cigare, un de ceux qu'il aimait tant, un cigare de la « Tortue ».
-C'était un tir de sommation Capitaine... Devons-nous nous préparer à faire parler la poudre ?
-Shishou ? Ça parle la poudre ?
Robert Sponge.
Que sommes nous ? Où allons nous et pourquoi passons nous notre temps à faire tout ce que l'on fait ? Quel est le but de cette vie ? Et pourquoi cherchons nous sans cesse à nous fixer de nouveaux objectifs ?
Durant le temps où mes tortionnaires m’appelaient « esclave », je me suis souvent posé ces questions. Je n'étais esclave que sur le papier car mon esprit à toujours été libre, jamais les chaînes ni les brimades ne l'entravèrent, j en suis plutôt fier.
Je repense souvent à ces hommes, nos libérateurs, les Freemen, les Polar Bears... Je repense à Shamus, celui qui brisa nos chaînes à Iwa et moi, et me rappelle encore aujourd'hui de ce qu'il me dit un soir.
-Tu sais « petit homme », les questions sont là pour mettre les réponses en évidence.
Il m'avait appelé « petit homme » car pour lui, tout être libre était son égal.
Je n'ai pas compris ce que cette phrase voulait dire sur le moment, je l'ai même prise pour une rétorque d'aventurier, quel manque d'humilité de ma part. Je l'ai comprise plus tard, il y a peu de temps, et j'ai retenu ceci :
Qui sommes nous ? Simplement ce que nous voulons être. Être est la première étape de la vie, celui qui ne sait pas qu'il « est » n'est jamais vraiment né.
Nous allons là ou nous pouvons « être » et ce n'est pas chose aisée. Chaque expérience nouvelle nous fais sentir plus vivant que l'heure d'avant, et chaque direction nous mène vers de nouvelles sources de vie, car l'océan de la vie se constitue de milliers de sources.
Le but de la vie? Apprendre, c'est de cette façon qu'on se tire vers le haut. Prendre ce que la vie nous offre, ne pas vivre en vainc, ne pas se perdre dans l'immobilisme, c'est le début de la mort. Nous avons sans cesse de nouveaux objectifs car nous aimons cette vie.
C'est une étrange sensation que de vivre sur le « Bel Espoir », alors que je croyais chercher l'aventure, j'ai trouvé une famille. Nous sommes tous des parias, des pirates. On vous voit comme ce que ce monde propose de pire, le capitaine dit que nous sommes des aventuriers de cœur, nous sommes si différents, et si semblables à la fois. D' « Etrangers », nous ne portons que le nom car je mourrai volontiers pour sauver la vie d'un d'entre eux.
West Blue, était une mer étrange, elle semblait avoir sa volonté propre et, par les nageoire du vieux Neptune, ses courants m'en avaient fais voir. Cette mer, elle te met à l'épreuve, elle veut savoir qui mérite ou pas de glisser sur elle, et j'avais fait le serment qu'elle serait fier de moi.
D'après mes cartes marines, nous arriverions dans quelques jours aux abords de l'Ile de « kopoo ».
D'après Jackie, nous pourrions là-bas trouver un Log Pose pour prendre la route de Grand Line.
Il était presque seize heures, et comme tous les jours, le capitaine Ishii et moi faisions le point de notre voyage devant une tasse de thé.
Tandis que « Soeur Marie-Thérèse » tentait d'expliquer à Iwa les mystère du divin, que Blake prenait un bain de soleil nu sur la dunette, Jackie briquait l'artillerie.
Alors que nous calculions nôtre itinéraire, Iwa entra dans la cabine. C'était Iwa.
-Shishou ! Adrienne m'a dit qu'il faut que je viendais vous chercher que c'était très important !
Adrienne était tout à fait capable de s'occuper des affaires de bord sans Ishii, le fait qu'elle nous fasse remonter sur le pont indiquait qu'il se passait quelque chose d'important. Iwa me prit sur son épaule et suivi d'Ishii, nous arrivâmes à l'air libre.
Adrienne scrutait à l'ouest où se dessinait un navire de la marine à moins d'une demi-lieu.
Une détonation se fit entendre et un boulet vint frapper l'eau à une centaine de mètre du « Bel espoir ». Je me retournai vers l'homme-Cachalot qui s’allumait un cigare, un de ceux qu'il aimait tant, un cigare de la « Tortue ».
-C'était un tir de sommation Capitaine... Devons-nous nous préparer à faire parler la poudre ?
-Shishou ? Ça parle la poudre ?