Ces dernières semaines s'étaient révélées être parfaite par rapport à ma vie de pirate. En effet, j'avais enfin attiré l'attention de la marine en recevant une prime sur ma tête et côté finance, je ne pouvais guère me plaindre, car à la plupart de mes escale sur une île, je m'appropriais le bien des gens tout en foutant le bordel sur mon passage. C'était la vie idéal pour un pirate digne de ce nom.
Malheureusement, après avoir côtoyé pendant un instant les étoiles, je fis une chute libre sur terre, je fus capturé par un groupe de marine, de quatre personnes, qui avait pour mission de me cueillir. En se basant sur mon trajet, ces astronautes d'eau douce avaient apparemment faits des sortes de calcul pour trouver ma prochaine destination et arrêter le jeune forban que j'étais.
Bref, on était au milieu de la nuit et on se trouvait donc sur un bateau de voyage dont le trajet passait près du QG de East Blue histoire de m'y faire déposer par ces messieurs de la marine. Une dizaine de sièges en bois, avec une largeur pouvant contenir au moins six personnes, occupaient le pont du navire et j'étais installé sur l'un deux avec à mes côtés deux agents de la marine. Mes mains étaient liés par une sorte de corde et ma précieuse lame, confisquée.
S'écria un gamin qui après avoir égaré une balle de tennis qui roula jusqu'au niveau de mes pieds, voulu la reprendre, mais mon pied posé exprès sur la balle, l'empêcha de la prendre. Il leva les yeux vers ma personne et me regarda avec des yeux d'agneaux voulant m'inciter à lui redonner sa balle, un geste qui aurait probablement corrompu la sensibilité de n'importe quel individu. Malheureusement pour ce gamin, je n'étais pas n'importe quel individu. J'affichai une expression des plus démoniaques et terrifiants puis je lui adressai la parole ainsi :
Cria le pauvre gamin qui s'éloigna du grand méchant loup en courant vers sa mère, pleurant comme jamais. " Biim" Un coup de poing sur la nuque de la part du soldat de la marine, à ma droite, me força à cesser sur-le-champ mes enfantillages. J'affichai par la suite comme guise de réponse, un grand sourire sournois au coin des lèvres, accompagné d'un léger rire
Soudain un éclair, pourfendit sans prévenir les cieux et dans un bruit assourdissant et une lumière aveuglante, atteignit le monde-ci bas en annonçant par la même occasion une tempête. En l'espace d'une seconde, le climat changea, les vagues commencèrent à se déchainer contre le bateau et c'était comme-ci Poseïdon lui-même souhaitait nous inviter dans son humble demeure..... au fin fond des abysses de la mer.
Malgré sa taille, le bateau après un bon instant à résister, finit par succomber aux secousses. Il faut croire que la qualité de ses planches n'étaient pas de taille, la coque fut le premier à souffrir. Aussitôt ce fut une panique totale et des cris d'hystérie qui animèrent l'ambiance parmi les voyageurs sur le navire, les gens n'arrêtaient pas de courir dans tous les sens et certains même tombèrent à l'eau à cause du bateau qui balançait de gauche à droite.
Merde, à présent la mer ouvrait grandement sa gueule pour avaler le navire entièrement, il me fallait vite réagir sinon ma vie allait probablement prendre fin ici même. " Baam !" J'assénai deux coups de coude rapide sur le visage de l'un des soldats de la marine qui était encore à mes côtés puis je pris mes jambes à mon cou en essayant de fuir ces soldats de la marine qui n'étaient pas décidés à me laisser m'échapper aussi facilement.
Alors que je pensais pouvoir m'en sortir, je fus malheureusement rattrapé par la poisse avec un tonneau qui en volant dans les airs, se heurta violemment contre ma tête avant de me faire perdre mes esprits. Je titubai un peu en reculant, le sang coulant de ma tête avant de trébucher et de passer maladroitement à la mer et perdre peu à peu conscience.
Argh ! Allongé sur le sable fin d'une plage, J'avais une migraine atroce qui me rongeait la tête et mon foutu corps semblait être tout à coup un peu trop lourd. Mes yeux s'ouvrirent à moitié, dérangés par ce soleil un peu trop lumineux à mon gout qui manquait presque de me rendre aveugle. Bougre de faux crétins des alpes ? Mais ou étais-je donc ? Qu'est-ce qui s'était passé ?.. Le bateau... La tempête... Le naufrage ? Ahh ! A présent, ça me revenait.
J'essayai tant bien que mal de me remettre sur mes deux pieds, mes habits en lambeaux avant de remarquer qu'il y avait aussi d'autres personnes sur le rivage, trois pour être précis. Après avoir scruté l'horizon pendant un instant, je me retournai pour admirer le background de l'île sur laquelle on était tombé. Cette dernière ne me disait rien qui vaille et vu la quantité de flore qu'elle contenait, elle devait probablement avoir en son sein des menaces pour des personnes de notre genre.
Punaise, dans quoi m'étais-je encore engagé ?
Malheureusement, après avoir côtoyé pendant un instant les étoiles, je fis une chute libre sur terre, je fus capturé par un groupe de marine, de quatre personnes, qui avait pour mission de me cueillir. En se basant sur mon trajet, ces astronautes d'eau douce avaient apparemment faits des sortes de calcul pour trouver ma prochaine destination et arrêter le jeune forban que j'étais.
Bref, on était au milieu de la nuit et on se trouvait donc sur un bateau de voyage dont le trajet passait près du QG de East Blue histoire de m'y faire déposer par ces messieurs de la marine. Une dizaine de sièges en bois, avec une largeur pouvant contenir au moins six personnes, occupaient le pont du navire et j'étais installé sur l'un deux avec à mes côtés deux agents de la marine. Mes mains étaient liés par une sorte de corde et ma précieuse lame, confisquée.
- Ma balle ! ma balle !
S'écria un gamin qui après avoir égaré une balle de tennis qui roula jusqu'au niveau de mes pieds, voulu la reprendre, mais mon pied posé exprès sur la balle, l'empêcha de la prendre. Il leva les yeux vers ma personne et me regarda avec des yeux d'agneaux voulant m'inciter à lui redonner sa balle, un geste qui aurait probablement corrompu la sensibilité de n'importe quel individu. Malheureusement pour ce gamin, je n'étais pas n'importe quel individu. J'affichai une expression des plus démoniaques et terrifiants puis je lui adressai la parole ainsi :
- GWAHAHAHAHA !! J'ai enfin trouver mon diner. Je vais te recouvrir de nutella et je vais te bouffer tout cru, mon enfant. Je suis sûr que tu as bon gout.
- AHHHHHH ! MAMAAAN !!
Cria le pauvre gamin qui s'éloigna du grand méchant loup en courant vers sa mère, pleurant comme jamais. " Biim" Un coup de poing sur la nuque de la part du soldat de la marine, à ma droite, me força à cesser sur-le-champ mes enfantillages. J'affichai par la suite comme guise de réponse, un grand sourire sournois au coin des lèvres, accompagné d'un léger rire
" ZAAAMM !! "
Soudain un éclair, pourfendit sans prévenir les cieux et dans un bruit assourdissant et une lumière aveuglante, atteignit le monde-ci bas en annonçant par la même occasion une tempête. En l'espace d'une seconde, le climat changea, les vagues commencèrent à se déchainer contre le bateau et c'était comme-ci Poseïdon lui-même souhaitait nous inviter dans son humble demeure..... au fin fond des abysses de la mer.
Malgré sa taille, le bateau après un bon instant à résister, finit par succomber aux secousses. Il faut croire que la qualité de ses planches n'étaient pas de taille, la coque fut le premier à souffrir. Aussitôt ce fut une panique totale et des cris d'hystérie qui animèrent l'ambiance parmi les voyageurs sur le navire, les gens n'arrêtaient pas de courir dans tous les sens et certains même tombèrent à l'eau à cause du bateau qui balançait de gauche à droite.
Merde, à présent la mer ouvrait grandement sa gueule pour avaler le navire entièrement, il me fallait vite réagir sinon ma vie allait probablement prendre fin ici même. " Baam !" J'assénai deux coups de coude rapide sur le visage de l'un des soldats de la marine qui était encore à mes côtés puis je pris mes jambes à mon cou en essayant de fuir ces soldats de la marine qui n'étaient pas décidés à me laisser m'échapper aussi facilement.
Alors que je pensais pouvoir m'en sortir, je fus malheureusement rattrapé par la poisse avec un tonneau qui en volant dans les airs, se heurta violemment contre ma tête avant de me faire perdre mes esprits. Je titubai un peu en reculant, le sang coulant de ma tête avant de trébucher et de passer maladroitement à la mer et perdre peu à peu conscience.
DES HEURES ET DES HEURES PLUS TARD !
J'essayai tant bien que mal de me remettre sur mes deux pieds, mes habits en lambeaux avant de remarquer qu'il y avait aussi d'autres personnes sur le rivage, trois pour être précis. Après avoir scruté l'horizon pendant un instant, je me retournai pour admirer le background de l'île sur laquelle on était tombé. Cette dernière ne me disait rien qui vaille et vu la quantité de flore qu'elle contenait, elle devait probablement avoir en son sein des menaces pour des personnes de notre genre.
Punaise, dans quoi m'étais-je encore engagé ?
