>> Alexander Der Nacht
une image 200*300 | Pseudonyme : Le Tombenuit Age: La trentaine Sexe : Homme Race : Humain Métier : Ancien prince Groupe : Marine But : Assouvir son insatiable envie meurtrière et apprendre à se découvrir, notamment sa "face cachée". Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le fruit de la nuit, puis intégrer le CP9 et maitriser le Rokushiki. Équipements : Aucun. Codes du règlement (2) : Parrain :Aucun. Ce compte est-il un DC ? : Non. Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique Après ces quelques heures de réflexion, j'avais pris ma décision : je m'engagerais dans la Marine. Mes actes inavouables seront légaux et je pourrais peut être apaiser cette partie de moi qui me réclame toujours plus de sang ... Je me décidai de rentrer au Manoir familial leur apprendre la nouvelle. La porte que je poussai donna sur le majordome de la famille. - Oh, Maitre Alexander ... Où étiez vous passé ? Nous nous sommes fait un sang d'encre ! - Je ... Désolé ... J'avais besoin de réfléchir. Je vais prendre la mer. Je vais m'engager dans la Marine. - Fort bien, c'est bien digne de vous, cela. Déjà tout petit votre regard inspirait l'ordre et la confiance, vous n'avez pas changé. Cela se lit dans vos yeux. Il se sont assombris avec l'âge, parce que depuis vous avez grandi, certes, vous êtes un bel homme désormais, mais toujours ces longs cheveux parfaitement peignés, toujours impeccable. Quelques muscles en plus, ni trop, ni trop peu. Le pas sur, même votre démarche est assurée. Studieux dans beaucoup de domaines, même votre maitre d'arme est fier de vous ... - Je vous remercie Wilhem ... Wilhem était un homme bienveillant. Il avait volontiers et volontairement occulté ma "double personnalité" depuis cet "accident". Au combat, je n'étais plus le même, la fièvre de la bataille s'emparait de moi je devenais un démon dans un corps d'humain. Mes habits devenait des haillons sous ma fureur et les coups, mes cheveux étaient en bataille, mes yeux s'injectait de sang et je n'étais plus l'homme que je paraissais être auparavant. Les poings et les lames volaient, le sang giclaient. Peu à peu, cette sensation qui me faisait vivre autrement porta ses séquelles sur la personne que j'étais : regard assombri, cicatrices, nervosité tant dans les gestes que dans la parole. J'étais en lutte permanent pour ne rien laissait transparaitre. >> Psychologie - Hop hop hop ! Pas d'inutiles rêvasseries, allez rassurer votre mère et votre frère. - Oui, vous avez raison. C'était vrai. L'on me reprochait assez souvent d'être trop timide, trop introverti, trop pensif. J'étais quelqu'un de sage, de réfléchi, de posé. Encore aujourd'hui quand je réussis à m'apaiser. J'étais studieux, juste. Je savais comment régler les conflits par la douceur et aborder les gens. Mais intérieurement, je bouillais et serrais des poings quand je voyais mon père. C'était un homme aimé et respecté en société. On disait que j'avais hérité de ces dons de lui. Il était Roi de ce petit royaume, de cette petite île. Il était gentil également avec nous mais il battait ma mère. Dans ces moments là, je voulais le tuer, en finir avec lui avant qu'il n'en finisse avec celle qui m'avait mis au monde, mon frère et moi. Mais je ne voulais pas apporter le déshonneur sur la famille et tué pour régicide et parricide. Non, à mes oreilles, ces mots sonnaient comme des horreurs telles qu'on ne pouvaient les prononcer ou les entendre sans être souillé à jamais. Finalement mon père mourut et ma mère prit la régence puisque nous étions trop petits pour s'accaparer du trône. C'est alors que des pirates tentèrent d'évincer ma mère et du haut de mon dernier âge avant l'accession au trône, je rentrai dans une colère noire et assassinai avec les gardes les assaillants. Je découvris ce jour mon goût prononcé pour le sang. Ce jour resta tabou pour toute la famille mais déjà, cette deuxième personnalité me hantait, purgeant moi même le royaume de la pègre pour satisfaire ... non, pour tenter de calmer et refouler mes pulsions sanguinaires secrètes. >> Biographie Encore aujourd'hui, je me trompe involontairement à cause de mon subconscient qui nie les faits. Mon père n'est pas bêtement mort, je l'ai moi même tué de mes propres mains. Je passais une tendre enfance jusqu'au jour où je vis de mes propres yeux que mon père battait ma mère en secret. Le cadre parental paraissait idyllique, bien bâti et solide. Je n'avais manqué de rien, mon frère et avions avions des professeurs attitrés, des jouets, du personnel entièrement dédiés à nos désirs. Nous voyagions souvent, l'entente entre nous tous étaient harmonieuse, mon père n'avait aucun souci avec les voisins ni même avec ses roturiers. Nous, vraiment, tout était parfait. Nous avions comme mot d'ordre de rester des gens simples et près des gens. Mais je pense qu'il n'existe pas de bonheur sans tâche et alors que j'allais poser une question à ma mère, je vis mon père la frapper violemment. Médusé, j'assistai à la scène, caché, tétanisé. J'hésitais entre fuir et secourir ma mère, mais finalement, je ne pus rien faire. Alors je me posais plein de question : Depuis quand ? Pourquoi nous n'avions jamais rien vu ? Pourquoi ? Toutes ces questions restèrent sans réponse, mes parents m'esquivaient à chaque fois que j'essayais de les questionner et je ne voulais en parler à personne. Ni à Wilhem ni à mon frère. C'était devenu tabou et j'imaginais souvent ma mère se faire frapper en silence, parce qu'elle l'aimait et nous aimait. Quand j'appris qu'il fricotais avec des pirates, je décidai de mettre cette affaire au jour pour prétexter un assassinat, un régicide seulement, et pas couplé d'un parricide. Le poison, c'était moi qui l'avait ajouté à son verre. Ma mère dut régner à notre place quelques temps, ces même pirates ont tenté de faire une percée dans le manoir pour nous évincer mais la douce joie qui ronflait depuis la mort de mon père au fond de me ventre se raviva en un brasier hors de contrôle. Je ne me rappelle plus de ce moment sanglante mais il était resté tabou. Comme beaucoup de choses dans notre vie finalement. Mais j'ai refusé le trône laissant mon frère y accéder. Comme je n'arrivais pas à me calmer, il fallait donc je prenne la décision. Je poussai donc la porte. - Maman ? Frangin ? >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. Quand vous estimez avoir terminé votre présentation, signalez le et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous titre de votre présentation [En attente de Test RP] Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs vous loupent. |
Dernière édition par Alexander Der Nacht le Dim 30 Juin 2013 - 12:34, édité 8 fois