Eh bien, il semblerait que sur le coup, Uriko soit laissé tout seul… Il se sent un peu seul, à rouler seul avec ses nouvelles roues qui font ptetre un peu trop de bruit, c’pas discret du tout… Quoi si un gros monstre ou une bête sauvage venait lui sauter dessus… La fôret est un peu dense quand même, et un peu sombre aussi. Ca commence à lui faire un peu peur, voilà pourquoi il préférait ne pas partir à l’aventure comme ça tout seul… Mais bon, avec ses nouvelles roues, il pouvait désormais s’enfuir en toute vitesse ! Mais, il espère quand même qu’un jour il récupèrera ses pieds, faut dire que les roues étaient pas forcément très pratique et pis…
« Ow ! »
Ouille, l’est tombé… Ah ? Bah voilà, plus de roues, ca a pas duré aussi longtemps qu’il le pensait, peut-être que les effets de ces légumes magiques avaient cessés également pour ses compagnons. Bien, peu importe, après tout, s’il arrivait en ville avec deux roues à la place des pieds, les gens auraient surement pris peur. Et en parlant de ville… Plus l’enfant avançait dans la forêt, plus il se demandait si peut-être il n y avait pas de ville, pourtant ces grosses constructions métalliques lui laissait penser le contraire… Jusqu’à ce qu’il les voient de près. Ah, nan, y a pas cité visiblement, la seule chose qu’il y avait c’était…
« UN PARC D’ATTRACTIOOOOOOOOOOOOOOOON ! »
Uriko n’a pas besoin de manger le même légume que Jajam pour pouvoir crier comme cela. Il fallait le comprendre, depuis le temps que l’enfant avait entendu parler d’histoire de parc d’attraction, celui-ci se faisait une joie de pouvoir un jour en voir un en vrai. Un de ses rêves venait de se réaliser. Et pourtant…
« Gnion… Il a l’air abandonné… J’me demande si y en encore qui marche… »
Uriko s’avançait auprès des débris, les lieux n’étaient pas entretenus, y a ptet moyen de le réparer… Faudrait qu’il demande a Fonfonse et Papiwan, ptet qu’ils pourraient faire quelque chose. Le jeune garçon ne voulait absolument pas raté cette occasion de faire un tour de manège. Et puis d’ailleurs… Pourquoi est-ce qu’il a été abandonné ? Où ils sont tous les gens ? Hmm ? Ah… Ce stand là semblait plus propre que le reste, le chasseur de primes s’approcha et tenta d’appuyer sur le joli interrupteur qui lui faisait de l’œil depuis tout à l’heure.
VOUUUUM !!!
« Aaaaaaaah ! »
Par réflexe et effrayé par ce soudain bruit, le petiot bondit en arrière, se cachant derrière un débris de stand, celui-ci zieuta la machine, ça faisait beaucoup de bruits, mais ca ne semblait pas exploser ou envoyer des rayons lasers… L’enfant, plus rassuré s’approcha de nouveau de la machine avant de l’éteindre. En son intérieur, une drôle de substance cotonneuse mais d’une jolie couleur rose… Impossible, se pourrait-il que… ?!
« De la Barbe à Papa ?! Ouaaah j’en ai déjà entendu parler avant, mais j’en avais jamais vuuu ! La machine marche encore ? J’veux goûteeer ! »
Ni une ni deux, l’enfant arracha un bout du nuage rose avant de la mettre dans la bouche. Surprise, la sucrerie fondait dans la bouche, dégageant par la même occasion une douce saveur de fraise. Le goût restait en bouche et pourtant c’était comme s’il n’avait rien mangé, une sucrerie dont il pourrait abusé sans faim ! Il fallait absolument en ramener à sa boutique pour que Mamie Gato puisse en refaire de son côté ! Ca marcherait trooow bian a Shimotsuki.
Mais dans son petit monde, l’enfant n’avait pas fait attention à ce qui se passait au tour, et les bruits de pas se rapprochaient de lui. L’adolescent se retourna, et put voir ce à quoi il avait à faire…
« Ow ! »
Ouille, l’est tombé… Ah ? Bah voilà, plus de roues, ca a pas duré aussi longtemps qu’il le pensait, peut-être que les effets de ces légumes magiques avaient cessés également pour ses compagnons. Bien, peu importe, après tout, s’il arrivait en ville avec deux roues à la place des pieds, les gens auraient surement pris peur. Et en parlant de ville… Plus l’enfant avançait dans la forêt, plus il se demandait si peut-être il n y avait pas de ville, pourtant ces grosses constructions métalliques lui laissait penser le contraire… Jusqu’à ce qu’il les voient de près. Ah, nan, y a pas cité visiblement, la seule chose qu’il y avait c’était…
« UN PARC D’ATTRACTIOOOOOOOOOOOOOOOON ! »
Uriko n’a pas besoin de manger le même légume que Jajam pour pouvoir crier comme cela. Il fallait le comprendre, depuis le temps que l’enfant avait entendu parler d’histoire de parc d’attraction, celui-ci se faisait une joie de pouvoir un jour en voir un en vrai. Un de ses rêves venait de se réaliser. Et pourtant…
« Gnion… Il a l’air abandonné… J’me demande si y en encore qui marche… »
Uriko s’avançait auprès des débris, les lieux n’étaient pas entretenus, y a ptet moyen de le réparer… Faudrait qu’il demande a Fonfonse et Papiwan, ptet qu’ils pourraient faire quelque chose. Le jeune garçon ne voulait absolument pas raté cette occasion de faire un tour de manège. Et puis d’ailleurs… Pourquoi est-ce qu’il a été abandonné ? Où ils sont tous les gens ? Hmm ? Ah… Ce stand là semblait plus propre que le reste, le chasseur de primes s’approcha et tenta d’appuyer sur le joli interrupteur qui lui faisait de l’œil depuis tout à l’heure.
VOUUUUM !!!
« Aaaaaaaah ! »
Par réflexe et effrayé par ce soudain bruit, le petiot bondit en arrière, se cachant derrière un débris de stand, celui-ci zieuta la machine, ça faisait beaucoup de bruits, mais ca ne semblait pas exploser ou envoyer des rayons lasers… L’enfant, plus rassuré s’approcha de nouveau de la machine avant de l’éteindre. En son intérieur, une drôle de substance cotonneuse mais d’une jolie couleur rose… Impossible, se pourrait-il que… ?!
« De la Barbe à Papa ?! Ouaaah j’en ai déjà entendu parler avant, mais j’en avais jamais vuuu ! La machine marche encore ? J’veux goûteeer ! »
Ni une ni deux, l’enfant arracha un bout du nuage rose avant de la mettre dans la bouche. Surprise, la sucrerie fondait dans la bouche, dégageant par la même occasion une douce saveur de fraise. Le goût restait en bouche et pourtant c’était comme s’il n’avait rien mangé, une sucrerie dont il pourrait abusé sans faim ! Il fallait absolument en ramener à sa boutique pour que Mamie Gato puisse en refaire de son côté ! Ca marcherait trooow bian a Shimotsuki.
Mais dans son petit monde, l’enfant n’avait pas fait attention à ce qui se passait au tour, et les bruits de pas se rapprochaient de lui. L’adolescent se retourna, et put voir ce à quoi il avait à faire…