Sanzo Emishi
Pseudonyme : Pivert - WoodPecker Age: 25 Sexe : Homme Race : Homme Métier : Médecin / Scientifique Groupe : Pirate (Futur membre de l'équipage du Griffon= But : Devenir le nouveau Vegapunk Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Gasu Gasu no mi qui irait bien avec mon personnage, ou un fruit inventé. Et sûrement le haki, mais d'en d'autres mesures. Équipements : Deux révolvers, une sacoche avec différentes balles donc deux inutilisables de sa propre création qui lui sert juste de modèle. Ainsi que deux grappins à pointe de serpent, qu'il utilise comme bretelle en dessous de son costume Codes du règlement (2) : Parrain : Mr. Prince Ce compte est-il un DC ? : non |
>> Physique Je mesure 1 mètre 82. Si nous comptons le chapeau qui se trouve sur ma tête, je pense que nous pouvons atteindre le mètre quatre-vingt-cinq. Comme vous pouvez le voir, mes yeux ainsi que ma chevelure sont de couleurs émeraude. Bérénice en serait verte de rage. Au niveau de la musculation, je n'ai pas grand-chose à me reprocher, je suis dans la moyenne. Je fortifie principalement mon esprit avant mon corps dans ce genre de démarche peu satisfaisante. Mais, si ma force physique devenait l'un des plus gros problèmes de ma vie, je pense que j'en ferais. Des mouvements amples qui décrivent mon euphorie dans n'importe quelles situations périlleuses ou usuelles. Le costume me va à ravir évidemment, le chapeau embellit ma tête si gracieuse et perverse. Le boléro noir au-dessus de ma chemise permet de me cerner un peu plus ainsi qu'une cravate pour représenter le gentilhomme qui se trouve en moi. Le noir ne montre certes, qu'une partie de ma vie, mais, contraste essentiellement avec ma façon de voir les choses un peu plus joyeuses que celle d'un homme ordinaire. Une double ceinture qui justifie seulement mon style. Déluré et imperturbable. Les deux crochets situés au-dessus de mon abdomen tolèrent l'utilisation de mes deux grappins. Sur celle-ci pour escalader les hauts murs et autres fantaisies du même type. Le seul problème de cet avantage stratégique, c'est que les deux crochets peuvent casser facilement si la pression est forte. Je reste un homme de l'ombre, celui qui va faire la sale besogne de son capitaine pendant qu'il reçoit toutes les louanges. Une vie idyllique à contrario du temps passé à retrouver mon véritable passé. Je crois ? En tout cas, je n'aime vraiment pas perdre. >> Psychologie Orgueilleux. Certes, il est fort possible que je le sois. Je pense avoir une intelligence très développée, et un sens accru de la perception. Différents détails peu subtils me sautent aux yeux, les plus importants, eux passe souvent très rapidement dans mon esprit avant de rester coincé dans un coin de ma mémoire. L'intelligence reste ma plus grande force, peut-être, peut-être pas, en tout cas, je sais que je nourrit plusieurs personnalités à travers mon corps. Non, ce n'est pas un dédoublement de personnalité, mais plutôt une euphorie de la vie. Comme la moutarde qui vous monte au nez, je peux vite changer d'humeurs. Lunatique jusqu'au plus profond de mon âme. L'avarice quant à elle, ne fait point partie de mes défauts, pourtant, j'en possède énormément. Être riche ? Qu'est-ce qu'on s'en fout ! Tant qu'on me donne ce dont j'ai besoin quand j'en ai réellement l'utilité, le monde se portera bien, l'inverse risque de laisser des séquelles plus ou moins pénibles à la vie en groupe. La colère est un atout comme un autre, je peux vite me mettre dans cet état. Mon surnom ne vient pas de là, mais pourrait s'en rapprocher grandement. Ma libido ne se porte pas plus mal que çà. Quelques conquêtes à mon actif, même si dans mon grand désarroi, j'ai perdu un être très cher à mes yeux. Les sucreries restent parmi la gastronomie mes plats préférés, après de nombreuses dissections, la puanteur des rats et autres bestioles difficilement comestibles, la douceur sucrée reste le meilleur des cadeaux. La paresse est un atout considérable dans la vie d'un scientifique, médecin. Étant généralement, le seul médecin à bord, vous pouvez presque laissez crever un de vos compagnons, car vous n'avez pas le coeur à le secourir. Très difficile à mettre en place, quand une foule de personnes vous recherche pour soigner ne serait ce qu'un pauvre rhume. Mais, ça, c'est une autre chose. Pour du temps, pour essayer de nouvelles méthodes d'éliminations, hum, de sommeil reste une passion débordante. L'invention du poison permet à mon véritable moi de se réveiller. Je n'ai qu'une envie, c'est de montrer à la face du monde que mon génie ou du moins ce qu'il en reste est supérieur à celui du Dr.Vegapunk. Je serais prêt à risquer ma vie pour mes ambitions, enfin, seulement si la flemme ne me torture pas. J'éparpille souvent mes forces dans les batailles, ou autres actions farfelues. On me le disait souvent. Comme dit un peu plus haut, je peux facilement changer d'humeur que ce soit du rire au pleure en une fraction de seconde, de la colère à un état calme. D'humeur euphorique en général, je risque d'en agacer plus d'un, et principalement mes adversaires. Le monde ne m'intéresse guère peu, je souhaite seulement être reconnu de tous en étant le meilleur dans mon domaine. Les races de cette planète sont remarquables. La grande différence des hommes poissons, des géants et autres variétés distincts. Des sous-genres d'une espèce, parfaits pour la médecine. Un hobby comme un autre me diriez-vous, oui, mais non, cela reste une partie de ma vie qui fut fragmentée en plusieurs croisements de vie peu similaires. J'aime vivre et si je devais supplier pour qu'on me laisse la vie sauve, je pense que je le ferais sans honte. La loi de la jungle est tellement affreuse dans ce monde divertissant, mais c'est le jeu de tout être vivant. Un magnifique jeu de sang dans les règles. Phrases préférées : Je hais la perfection. Ne te cache pas derrière ton masque pitoyable, avorton. Si tu ne veux pas que je te dissèque, abandonne maintenant ! Je vais traversé ce ciel infini, et toi ? Le pivert à encore gagné ! >> Biographie La vie m'appelait ! Je ressentais la tendresse de ma mère, l'espoir de mon père. Le sang quant à lui réchauffait mon corps froid. Les cris fusèrent dans toute la pièce, personne ne pouvait m'arrêter. La seule chose qui pouvait arrêter mes hurlements n'était que la couleur verte des arbres. Dès que je voyais les bûches s'embraser, je savais que mon père partait en mission tel un oiseau migrateur. J'aime le rouge, le vert, le noir... La première était celle de ma mère, dans laquelle elle m'avait donné naissance, la deuxième était ma nature d'homme ou plutôt celle de mes cheveux, la troisième quant à elle représentait l'interdit qui était régi par des lois. J'ai toujours aimé ces trois couleurs si vives et indescriptibles par des mots ordinaires. Les années passèrent très vite. Pleurer, manger et dormir était des choses rudimentaires pour un enfant. À partir de mes sept ans, mon père commença à m'enseigner petit à petit les rudiments pour devenir un bon marine. Ma mère elle était morte deux ans après ma naissance. Il m'éleva seul, le lieutenant qu'il était avait totalement rejeté la marine depuis la mort de sa femme. Il me le racontait souvent, que je n'étais pas son '' fils '', mais sa perle. Je fus sa seule source de bonheur. Il avait abandonné le poste de lieutenant pour m'élever. Quitter la marine pour son fils, louable comme tout. - Cela fait sept ans aujourd'hui. Vois mon fils. Dans ce monde, les hommes forts peuvent secourir ceux qui en ont besoin. Mais, le contraire existe aussi... Malheureusement. La force est l'un des seuls moyens de se faire un nom dans ce monde. Moi, je ne suis plus qu'une ombre, un fantôme du passé. - Papa ! Il pointa son doigt devant la lumière de l'aube avant de me regarder. - Si tu observes les mouvements, les voix des gens, tu pourras trouver la faille dans le coeur des gens et gravir les échelons, mon fils. Écoute les hommes, cherche les erreurs. - La faille du coeur ? Qu'est-ce que c'est ? - Tu dois analyser, décortiquer chaque indice que tu peux percevoir et les utiliser. Je suis sûr que tu pourras devenir un meilleur homme que j'ai été et surtout que je suis. Il avait dû obéir à des ordres immoraux. Assassiner des femmes, des enfants, pour le bien de la justice. - Je le sais, tu y arriveras... Les semaines passèrent rapidement. On se mettait sur un banc à discuter de son ancienne vie. On écoutait aussi les petits ragots sur les villageois. Divertissants, si on le voulait, on aurait pu devenir les maîtres de l'île rapidement juste en colportant des rumeurs. - Mon garçon... J'ai développé un style assez particulier de combat. Il avait sorti une rapière blanche. La lame était vierge comme si elle n'avait jamais eu de coup. - Tu vas comprendre très rapidement, ma méthode de combat se repose sur des pas vifs et précis. Des coups rapides visant souvent les points faibles de l'adversaire. Il me fit une démonstration. Il était prompt sur les attaques, difficilement évitables. Mon père attrapa juste après sa présentation, une épée en bois qu'il avait taillée bien des années avant. Il positionna une cible au milieu de la cour avant de prendre une position basse. Dix mètres le séparaient de la cible. Je fus subjugué par ce que je venais de voir. J'avais l'impression de voir un autre homme, et non le père que j'ai connu. Il s'amusait, ça se voyait à travers son regard. Mais, son style de combat était très spectaculaire. Il lui avait fallu que d'un pas pour planter la cible en plein centre avant de glisser en arrière sur la terre battue. Le deuxième coup arracha la totalité de la partie gauche avant de se replier rapidement. Il ne manquait plus que le côté droit, l'autre côté qui n'allait pas être épargné. Il s'élança à nouveau, tête la première. Il était arrivé devant la cible bien parallèlement à elle, avant de l'abattre d'un slash vertical grâce à un saut qui lui avait permis de passer dans le dos de la cible. Il recula promptement en moins d'une seconde. - C'est comme une danse, mon fils. Laisse-toi aller et suis le vent qui t'emporte. Ne fais qu'un avec lui et produis une mélodie capable de tout transpercer. Tes émotions seront ton guide. - Oui, PAPA ! J'essayais d'assimiler la cadence de marche, le rythme de mon père afin. Six mois d'apprentissage m'avaient permis de trouver une vitesse plus ou moins adéquate pour le style de combat de mon père. L'autre partie de l'année, on s'était entrainé sur l'arme idéale. Marteau, épée, lance, pistolet, dague... L'allonge la plus longue remporte souvent la victoire. - Papa... Je pense que le fouet m'irait très bien. Surpris, oui vraiment, mon père pensait que j'allais reprendre le flambeau avec une rapière. Mais, j'avais choisi une arme qui permettait une allonge adéquate couplé à une vitesse pouvait littéralement trouer des âmes démoniaques. - Bien ! Pas de problèmes. On était le lendemain, je m'étais réveillé en avance, et je raffinais mes déplacements en attendant l'heure de l'entraînement. Le pire de mon enfance fut que je n'avais pas prévu le retard de mon père. . Une heure ? Deux heures... Je ne le savais pas... J'attendais en position de méditation. Un filet de bave s'échappa de ma bouche qui noya une touffe d'herbe. Je n'avais rien perçu. Une balle m'avait atteinte. Ce n'était pas une vraie heureusement... La douleur était vraiment insupportable. L'extraction se passa facilement, sauf qu'une deuxième volée de balle à blanc me flanqua sur le sol. La dernière cartouche passa quant à elle tout près de mon visage. Une erreur ? Non, ce tir était intentionnel. - Je pensais que tu allais esquiver les balles... Tu as encore besoin d'entraînement Sanzo. - Père ? Il tenait deux pistolets sauf que ceux-ci étaient bien plus évolués. Deux canons sur les deux. Il fallait simplement baisser le canon et placer les balles à l'intérieur. Facile, maintenant, il fallait apprendre à viser et ça, c'était bien plus dur. Je dévisageais mon tuteur. - Et mon fouet ? - Oui regarde ça. Il récupéra l'arme derrière un arbre. Sa forme était simple. Il semblait lourd, mais était vraiment preste. Jour après jour j'apprenais à devenir un homme de la marine. Deux ans après, ce fut le deuxième désastre de ma vie. J'avais neuf ans, mon père aimait les barbecues. Surtout quand il pouvait manger de la viande avec des cornichons. L'un de ses péchés mignons. Ce fut un jour funeste... Un terrible jour. Il attrapa un énorme cornichon, les trois quarts en bouchent, il commença à s'étouffer. - Un problème papa ? Aucune réponse, le cornichon était tombé sur la table. Mon père ne bougeait plus. Papa ? Il avait du mal à le finir. - Ahahaha, s'étouffer avec un cornichon. Ton père n’est vraiment pas doué ! Ahahah. Des pirates venaient d'accoster sur l'île le jour même. Les pillages, les viols les incendies furent de la partie, tuant ceux qui résistaient et enrôlaient les enfants comme esclave ou comme futur pirate s'il se montrait digne de l'être. Le chef de cette troupe de pirates s'esclaffa devant notre maison. Notre résidence se trouvait à plusieurs centaines de mètres du village. Et vu qu'on se trouvait à l'intérieur aux moments des faits, on n'avait vraiment rien entendu. Mais, j'étais sorti à l'annonce du chef de détruire ma maison. - Pourquoi faites-vous ça ? ... Criais-je énervé. - AHAHA, parce qu'on est des pirates mon petit. J'aime ça ! Non, nous aimons ça gamin. Veux-tu faire partie de mon équipage, tu pourras découvrir ça par toi-même, alors intéressé ? Mes doigts glissaient sur le pistolet. Et avant d'avoir pu répondre, les mots du capitaine m'avaient ébranlé - Donne-moi ça petit. Ce n’est pas fait pour des gamins les pistolets. Le pire dans tout ça, c'est qu'il est bien foutu. - Tu ne l'auras jamais ! C'est celui de mon père et je ne veux pas devenir comme vous ! Ma propre arme était retournée contre moi. De nouveau une ironie du sort. Je fermais les yeux en attendant la fin. Le son de l'explosion avait retenti, mais je n'étais pas mort. La balle était passée à quelques centimètres à côté de mon oreille. Le pistolet se brisa en deux sous le choc. Deux pirates armés s'avanceraient près de moi. Les deux lames s'affaissèrent. Le glas avait sonné. La mort allait me soulager et j'allais retrouver ma mère. L'explosion de l'acier, et le son agonisant des pirates me réveillèrent. La vue d'une cape blanche me réveilla de ma stupeur. Un homme de la marine. L'insigne le présentait comme un lieutenant. C'était mon père qui avait revêtit ses habits. - Vous ne toucherez pas à mon fils. Je vais tous vous tuer. Il avait ressorti sa rapière blanche. On pouvait appeler ça un carnage. Bien que supérieur en nombres, les pirates mangeaient la poussière à tour de rôle. D'un coup en traite l'un des pirates me cogna avec la crosse de son pistolet. Je perdis connaissance. Mon père avait combattu la horde de pirates avant de mourir d'épuisement à cause d'une lame dans le ventre. Je me suis réveillé une journée plus tard, sur un bateau pirate. Le nom de ce groupe était '' Fushi Akumas. ''. Levé en trombe en insultant les pirates un à un. Ils avaient tué mon père... L'heure d'après mon réveil, j'avais appris que ce groupe de pirate était très différent de celui qui avait attaqué l'île. Trosième action ironique, vivre avec des pirates alors que mon père était un soldat de la marine... Mais, eux n'avaient nulle ressemblance avec les pirates monstrueux qui parcouraient les différentes mers. On avait rencontré un enfant qui avait à peu près le même âge que moi. On avait seulement un an de différence. Son nom était classe, il s'appelait '' Prince ''. On s'était vite lié d'amitié. Le quatrième désastre arrive plutôt vite. Une énorme vague percuta le bateau et avait engloutit l'équipage entier. Je fus le seul survivant après cinq ans de coexistence avec le groupe. On me retrouva plusieurs jours après. J'avais été retrouvé par de simples marines affiliés à une base marine pas très loin du naufrage. Il ne se doutait vraiment pas que je me trouvais sur un bateau pirate. Compliqué, car j'avais perdu de nombreux souvenirs à cause de l'immense vague. Je me suis retrouvé à voyager avec un colonel de la marine. La seule chose que je savais de lui en plus de son grade était son prénom. Satch. - Ton père était un marine. C'est ça ? - Affirmatif, mon colonel ! - Comment est-t'il mort ? - Après l'attaque d'un cornichon enragé, il m'a protégé en sacrifiant sa vie. Des pirates avaient attaqué mon île natale, mon colonel ! - Une mort digne. Très bien.[/i] [center] - Cependant, tu vas suivre mes ordres le temps que je règle quelques bricoles à ton sujet. Tu vas faire un parfait marine, mon petit. Nous allons à la chasse aux pirates cette nuit, prépare-toi. Nous avions qu'à suivre les explosions. Le Soleil quant à lui se couchait, et la lune se mettait à réfléchir les rayons de lumières des étoiles. Sous une lueur pourpre, Satch, et le pirate qui se trouvait être seul allaient s'affronter. Le colonel lui avait offert la cigarette qu'il avait allumée quelques minutes plus tôt. Stupide que je suis, je m'étais étouffé en essayant d'en prendre une bouffée. Ce fut aussi le seul cadeau qu'il m'offrit. La nuit mélancolique fit parler le sang. Les poings parlèrent pendant une dizaine de minutes avant que Satch remporte la victoire sans grande surprise. Malheureusement, les dégâts collatéraux étaient immenses. Les champs étaient ravagés, les maisons détruites, et de nombreux morts. Les rats commençaient à ronger les corps des hommes liquidés. - Magnifique Mr. Satch ! La marine n'était vraiment pas pressée. Il avait fallu plus de trois mois afin de faire des tests de comptabilité. Je fus envoyé dans la brigade scientifique, car mon profil correspondait vachement plus à ce corps d'armes que celle du marin régulier. On me faisait apprendre sur le tas, recoudre des marins blessés par des pirates, faire des analyses pour trouver un type de poison et substances étrangères. J'assimilais assez vite les informations, ainsi que les techniques qui permettaient de soigner les personnes. Soif de connaissance je me suis mis à lire des ouvrages, et essayer des remèdes, des armes à l'âge de dix-sept ans. J'avais réussi à synthétiser des molécules d'un gaz existant appelé '' gaz moutarde ''. Je me rappelle que j'avais pris un sacré coup quand celui-ci m'avait échappé. Deux jours pour enlever tout le gaz du laboratoire. Je m'entrainais chaque jour à maitriser ce type de gaz. On pouvait tellement faire de choses avec. Je m'étais aussi procuré deux pistolets de même famille et de même couleur. Ils possédaient deux canons et on pouvait y mettre en tout, huit balles. Avec l'aide d'un forgeron qui se trouvait sur l'île, mes deux armes s'étaient retrouvées avec une sorte d'hélices sur le chargeur. L'hélice de gauche permettait de connaître la position du vent. Celle de droite servait d'indication aux balles insérées. Au-dessus du manche on pouvait apercevoir une sorte de bouton. Celui-ci permettait de changer de balle sans pour autant être obligé de tirer avec. J'avais des balles lacrymogènes et des balles lourdes en plus des balles légères. Ce fut aussi à cette époque que la création de deux grappins fut partie de mes armes conventionnelles. Ma chambre ressemblait à un laboratoire caché dans une minuscule pièce. Trois ans après, mon attirail avait fort changé. Je m'étais vêtue de noir, les grappins remplaçaient mon fouet, et mes pistolets étaient beaucoup plus imposants. On aurait pu dire que j'étais en pleine puberté. - Hey, Sanzo ! Nous avons reçu de nouveaux corps, nous devons les disséquer, ramène-toi ! - J'arrive, j'arrive... C'est bon, on n'est pas pressé, si ? A ce moment-là, ce fut ma troisième erreur, mais je ne le savais pas encore. Une magnifique jeune femme m'accosta directement. Sa chevelure de braise me fit tomber à la renverse. Je ne savais pus penser, et j'e restais bouche bée. - Ne reste pas là mon beau ténébreux. Rejoins-moi à l'extérieur, seul ! J'étais juste obnubilée par sa beauté. Sauf que j'avais encore les pieds sur terre. - - J'aimerais bien jolie demoiselle, mais, les gars de la brigade scientifique risque de ne pas apprécier. Dans moins d'une heure, je serais là ok ? Elle s'éclipsa sans rien dire. Moi, je me suis remis à travailler, et disséquer de nombreux humains pour la science. L'heure arriva à sa fin, le scalpel vola à travers la salle, j'étais joyeux et je voulais surtout revoir cette beauté. Je regardais dans tous les sens, mais seul le vent soufflait. Je me fis agripper tel une sangsue, elle m'embrassa sur la bouche pendant plusieurs minutes. - Alors, qu'est-ce que t'en penses ? Je ne savais pas. Était-ce vraiment mon premier baiser ? Depuis la perte de mes souvenirs, sur plus de cinq ans de ma vie. Je ne pouvais que lui dire, j'ai aimé ! On se retrouvait en dehors de la base, on apprenait à se connaître. J'aiguisais mes talents de médecins, scientifiques pendant qu'elle dansait pour me divertir. On aurait pu dire qu'on était un couple parfaitement heureux, mais... Un bonheur n'arrive jamais seul. Même au bout de cinq ans, personne n'avait remarqué que cette femme avec qui je parlais était là. Je commençais à perdre la tête. Mes pleurs recouvraient tout mon visage. - Pourquoi pleures-tu mon chéri ? - Je ne sais pas... Le jour même je commençais à retrouver la mémoire que j'avais perdue. Petit à petit. Je me revoyais enfant, sourire à une bande de pirates. On était un groupe fort, sympathique et on n'avait aucun problème. Je l'avais compris que trop tard que je ne perdais pas la tête. Mon attirail en poche, je pris la fuite. Tous ceux que je rencontrais dans les couloirs de la base se faisaient soit endormir, soit paralyser. Certes, j'aurais pu parfaitement les tuer, un par un surtout avec l'effet de surprise, mais, on m'avait enseigné de ne tuer seulement si c'était nécessaire. J'avais réussi à atteindre la sortie, il pleuvait ce jour-là. Je regardais cette chose que je n'arrivais pas à savoir si elle était vraie ou pas. - Es-tu réelle ? - À toi de le découvrir mon poussin. J'avais aussi découvert, en passant devant un tableau où étaient répertoriés tous les pirates nuisibles, un nom familier. '' Howard ''. Je n’étais pas le seul survivant de cette tragédie. Je commençais vraiment à perdre la tête, les anciens souvenirs remontaient à la surface me perturbant psychologiquement. Il est vivant ? Huhuhu. Intéressant. Allons-y mon subconscient. Ma voie de pirate repris onze après la catastrophe. --------------------------------------------- >> Test RP |
[center] Flash Back :
Mon coeur me faisait mal. En plus de cela, je n'arrivais pas tout à fait à réfléchir comme je le faisais auparavant. La folie était beaucoup plus présente de jour en jour. Était-ce à cause d'un gaz inhalé par pur hasard ? Je ne savais pas... Devenais-je fou ?
En tout cas, mon temps de sommeil diminuait de façon cathartique. On me demandait de récolter certains ingrédients indispensables à la concoctions de remèdes, mais, aussi de sauver moult villageois des crises d'angoisses qui se propages. Une vraie plaie, je vous le dis.
Cette fois-ci, j'étais réquisitionné pour fouiller un bateau pirate. Certes, c'est sûrement le travail le plus marrant de ces dernières semaines. J'avais des bases en combats qui ne seraient pas négligeables si je devais aller au front, ça devait être pour ça que l'on m'avait choisi. Enfin, ça restait des suppositions.
- Hey, tu sais pourquoi ils m'ont choisi ?
- Qui sait, demande au colonel, il doit le savoir.
- Si tu le dis...
J'étais en train de préparer mon matériel, quand une étrange vision me vint à l'esprit. Une image plus prononcée de la dernière fois. Un souvenir perdu ? Une simple fadaise de mon esprit peut-être ? Une des fioles du plan de travail fit plusieurs tours. Elle s'arrêta en direction de la plage où le bateau pirate à accoster inopinément à cause d'une vague géante. Je me dépêchais, le colonel m'attendait avec l'attirail du scientifique, pour pouvoir trouver toutes traces illégales de substances s'ils en avaient. Mon chapeau sur la tête, je pris la route vers cette sombre forêt. Bien entendu, mes états d'âme me jouaient des tours.
ff]]- A votre service mon colonel ! Je suis vos ordres, et je suis prêt à mettre ma vie en jeu.
- Tu restes derrière, tu attends mes ordres et tu te caches tant que je ne te donne pas l'ordre de venir. Ok ?
- Oui !
Nous étions en routes vers la plage, mais mon coeur me pressait. J'avais comme un étrange pressentiment. La même vague avait déjà fait des ravages auparavant et je devais protéger les miens... Enfin, c'est ce que je ressentais au plus profond de moi. Un sentiment différent de celui d'être un soldat de la marine. Je me suis mis à rire, à plein poumon ? Non, non, j'aurais été repéré, one ne voyait qu'un sourire diabolique sur mon visage. Heureux, peut-être, content sûrement.
- Ce sont eux, j'en suis sur !
La plage n'était plus très loin. Mon coeur se précipitait, la tension dans l'air était lourde comme du plomb. Je voulais savoir si c'était vraiment eux. Les marines étaient regroupées en plusieurs unités de cinq personnes. Ils étaient en embuscades à différents endroits pour pouvoir submerger tout assaillant. Je devais faire quelques choses... Quelques choses... Mes sautes d'humeur furent d'une grande aide. Les grappins sous mon costume allaient me servir énormément. La première unité se trouvait sur une dune à l'écart des regards, recouvert de sable, il fallait vraiment se rapprocher pour voir le canon de leurs armes enfouies dans le sable. Créer une tempête de sable aurait été désastreux, et m'aurait fait repérer en un rien de temps. Je n'avais vraiment pas le choix, les deux crochets du grappin rentrèrent intégralement dans le coup des cinq marins qui se trouvaient là en embuscade. La dune quant à elle, était devenue toute rouge.
- Jolie, un vrai chef-d'oeuvre. Je nettoierais ça plus tard...
Le deuxième groupe se trouvait en hauteur, en arrière dans les arbres. Rien de plus simple, je n'avais qu'à les faire tomber. Tête la première sur le sol et badaboum ! Cinq morts. J'avançais lentement vers la position du colonel. Il attendait devant la plage, seul. Il se sentait assez puissant tout en étant soutenu par ses hommes cachés dans les environs.
- Petit à petit l'oiseau fait son nid.
Les soldats étaient tout neutralisés, morts, ou simplement évanouis. Je n'avais plus qu'à rejoindre l'emplacement du colonel. Il suffisait juste de l'assommer. Le tranquillisant que j'avais pris soin de cacher me semblait très utile. Comme les indigènes et leurs sarbacanes, le tranquillisant se planta directement dans la nuque de mon supérieur.
- Huhuhu... Il semblerait que l'entraînement sonne à ma porte...
J'avais fait une bonne action, enfin, je l'espérais. Aider des collèges pirates ? Mes amis... Mais, aucun d'entre eux n'avait survécu à cette vague. J'espérais... Sauf que je n'étais qu'un fou à la recherche d'une semi-gloire passée. Je rentrais à la base, colonel sur l'épaule. J'allais prendre du bon temps.
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[i]Informations IRL
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Prénom : Sylvain
Age : 19
Aime : De nombreuses choses
N'aime pas : Idem
Personnages préférés de One Piece : Shanks, Crocodile, Law, Vergo, et d'autres.
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Imaginatif, gentil, et serviable.
Fais du RP depuis : Quelques années.
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Au minimum 3 ou 4/7
Comment avez vous connu le forum ? Par un lien sur un certain forum.[/i]
Dernière édition par Sanzo Emishi le Ven 12 Juil 2013 - 16:28, édité 4 fois