Rappel du premier message :
On est sur l'île de Ptyx, île natale de Sound L. Kurumu.
C'était une petite île composé uniquement de Ptyx, une gemme trouvable uniquement sur cette île. Elle a la translucidité sereine du saphir blanc.
La végétation était présente, une diversification de fruits, plantes et faunes y faisaient son apparition. Il y avait également des plaines totalement vides, faîtes uniquement de Ptyx.
Au niveau des habitations, deux groupes de personnes y cohabitaient en paix.Les villageois qui s'étaient spécialisés dans l'agriculture et la production de vivres tel que l'élevage de moutons, chèvres et autres animaux, mais aussi de maïs, blé, pommes de terres et diverses fruits. Leur maisons étaient pour certains en béton, mais pour beaucoup d'autres en bois. Certains, c'est à dire les marchands faisant un bon chiffre d'affaire avaient le privilège d'avoir des maisons en Ptyx, leur assurant confort et sécurité.
Et de l'autre côté, il y avait les bourgeois, possédant soit des suites, ou grandes maisons avec jardins. Les plus riches étaient propriétaires d'immeubles ou d'hôtels Certaines habitations avaient des piscines, comme la maison de Kurumu par exemple.
Pour permettre une bonne symbiose entre les deux extrêmes, il n'y avait pas de murs, ni barrières entre les deux groupes de personnes et les bourgeois achetaient leurs nourritures aux paysans des contrées basses. Les agriculteurs pouvaient quant à eux, aller dans la haute ville sans être regardés de travers, ou même arrêtés par les gardes.
Kurumu était rentrée suite à l'attaque des Wreckers (groupe formé par Kal) sur une base de la marine. Elle eut ensuite une conversation avec sa mère qui a mal tourné. En effet, Kurumu s'était enfermée dans sa chambre et pleurait de rage. Des larmes coulaient de ses yeux.
Il était 22 h 15 et sa mère l'appela pour manger. La jeune fille ne lui répondit pas, mais sa mère insista. Elle prit cinq cent berrys, qui étaient posés sur sa table de nuit, sortie de sa chambre, descendit les escaliers et lui dit :
-"Tu sais quoi... tu me saoules. Je me barre d'ici, cette maison me rend dingue, et le pire c'est d'être avec une hypocrite comme toi."
-"Mais où vas-tu ma chérie ?" demanda sa mère en rajoutant "Tu sais que tu m'as fait beaucoup de peine avec ce que tu m'as dis tout à l'heure. Et je ne te permet pas."
-"D'une part, je ne suis plus ta chérie, et d'autre part, je m'en fout de ta vie. Tu crois que tu ne m'a pas blessée avec tes mensonges ? De toute façon, tu peux garder ta salive et par la même occasion ta réponse qui aurait surement été un autre bobard. Ah et j'oubliais, ne m'attends pas, je risque de ne pas rentrer."
Kurumu claqua la porte et se retrouva dehors. Il devait être aux alentours de 22 h 30. La jeune fille sortie de la propriété privé. La ville était encore éclairée, certains magasins continuaient leurs affaires. L'adolescente se dit :
*Ai-je le temps d'aller voir mon amie, et lui demander de sortir ? Hmmm... Finalement se serait une mauvaise idée, ses parents pourraient se mettre en colère, et j'ai pas envie qu'il lui arrive des histoires à cause de moi. Mais que puis-je faire en attendant ? Tiens je devrais aller m'acheter un petit quelque chose à grignoter, c'est vrai que je n'ai pas mangé depuis 9h.*
La jeune fille hâta le pas pour éviter que la boutique, spécialisée dans les gâteaux ne ferme. Elle n'avait pas envie de rentrer chez elle, et surtout de ne pas revoir sa mère.
On est sur l'île de Ptyx, île natale de Sound L. Kurumu.
C'était une petite île composé uniquement de Ptyx, une gemme trouvable uniquement sur cette île. Elle a la translucidité sereine du saphir blanc.
La végétation était présente, une diversification de fruits, plantes et faunes y faisaient son apparition. Il y avait également des plaines totalement vides, faîtes uniquement de Ptyx.
Au niveau des habitations, deux groupes de personnes y cohabitaient en paix.Les villageois qui s'étaient spécialisés dans l'agriculture et la production de vivres tel que l'élevage de moutons, chèvres et autres animaux, mais aussi de maïs, blé, pommes de terres et diverses fruits. Leur maisons étaient pour certains en béton, mais pour beaucoup d'autres en bois. Certains, c'est à dire les marchands faisant un bon chiffre d'affaire avaient le privilège d'avoir des maisons en Ptyx, leur assurant confort et sécurité.
Et de l'autre côté, il y avait les bourgeois, possédant soit des suites, ou grandes maisons avec jardins. Les plus riches étaient propriétaires d'immeubles ou d'hôtels Certaines habitations avaient des piscines, comme la maison de Kurumu par exemple.
Pour permettre une bonne symbiose entre les deux extrêmes, il n'y avait pas de murs, ni barrières entre les deux groupes de personnes et les bourgeois achetaient leurs nourritures aux paysans des contrées basses. Les agriculteurs pouvaient quant à eux, aller dans la haute ville sans être regardés de travers, ou même arrêtés par les gardes.
Kurumu était rentrée suite à l'attaque des Wreckers (groupe formé par Kal) sur une base de la marine. Elle eut ensuite une conversation avec sa mère qui a mal tourné. En effet, Kurumu s'était enfermée dans sa chambre et pleurait de rage. Des larmes coulaient de ses yeux.
Il était 22 h 15 et sa mère l'appela pour manger. La jeune fille ne lui répondit pas, mais sa mère insista. Elle prit cinq cent berrys, qui étaient posés sur sa table de nuit, sortie de sa chambre, descendit les escaliers et lui dit :
-"Tu sais quoi... tu me saoules. Je me barre d'ici, cette maison me rend dingue, et le pire c'est d'être avec une hypocrite comme toi."
-"Mais où vas-tu ma chérie ?" demanda sa mère en rajoutant "Tu sais que tu m'as fait beaucoup de peine avec ce que tu m'as dis tout à l'heure. Et je ne te permet pas."
-"D'une part, je ne suis plus ta chérie, et d'autre part, je m'en fout de ta vie. Tu crois que tu ne m'a pas blessée avec tes mensonges ? De toute façon, tu peux garder ta salive et par la même occasion ta réponse qui aurait surement été un autre bobard. Ah et j'oubliais, ne m'attends pas, je risque de ne pas rentrer."
Kurumu claqua la porte et se retrouva dehors. Il devait être aux alentours de 22 h 30. La jeune fille sortie de la propriété privé. La ville était encore éclairée, certains magasins continuaient leurs affaires. L'adolescente se dit :
*Ai-je le temps d'aller voir mon amie, et lui demander de sortir ? Hmmm... Finalement se serait une mauvaise idée, ses parents pourraient se mettre en colère, et j'ai pas envie qu'il lui arrive des histoires à cause de moi. Mais que puis-je faire en attendant ? Tiens je devrais aller m'acheter un petit quelque chose à grignoter, c'est vrai que je n'ai pas mangé depuis 9h.*
La jeune fille hâta le pas pour éviter que la boutique, spécialisée dans les gâteaux ne ferme. Elle n'avait pas envie de rentrer chez elle, et surtout de ne pas revoir sa mère.
Dernière édition par Sound L. Kurumu le Dim 21 Juil 2013 - 12:49, édité 1 fois