Huhuhu. Ces villes sont très amusantes, n'est-ce pas ?
En regardant le perroquet, Sanzo remarqua qu'il ne pouvait pas l'imiter. En revanche, celui-ci criait et lâchait des cris stridents répétés, à en faire jasser les passants. Une vie dure pour un pirate, devoir parler à des animaux pour essayer de se faire des amis, des faux amis.
Ce n'était pas pour ça qu'il était venu sur cette île un peu déserte. Il avait besoin d'informations sur une affiche qu'il avait repérée depuis quelque temps déjà.
Il n'était vraiment pas doué pour soutirer des informations utiles à des civils... Enfin, si, mais sans observations directes et bénéfiques pour ses recherches, il pouvait attendre plusieurs jours avant de trouver une information à bout de main.
Il s'éclipsa de l'animalerie. Il n'avait plus rien à faire devant cette boutique. Il n'avait pas pour habitude de perdre son temps pour des subtilités sans aucuns sens. Mais, il se faisait tard, et il devait se reposer. Que ce soit dans une auberge de basse qualité, ou à même la dure sur le sol. Bien avant cela, il devait voler un peu d'argent pour se payer une chambre ainsi que le repas. Un luxe qu'il devait prendre pour pouvoir continuer son voyage à la recherche d'un griffon.
Volons ! Volons ! Volons ! Chuchota-t'il... Avant d'aller allégrement vers la place du marché. Nous savons qu'il est plus facile de dérober de l'argent dans une foule que de le voler à une personne isolée ou tout peut arriver. Sanzo avait déjà réussi à prendre des berrys grâce à ses grappins cachés en dessous de son costume. Il n'avait qu'à planter le grappin dans la bourse et la tirer vers lui. Ni vu ni connu.
- Huhu. C'est l'histoire d'un pirate qui voguait au gré du vent. Des coffres d'or et d'argents étaient sur son passage. Mais, la suite qu'est-ce que c'était ? Ne même plus se rappeler les paroles d'une chanson...
Il avait réussi un trouvé un bon pigeon, un notable sûrement. Il pistait sa cible, attendant le bon moment pour sauter sur elle tel un fauve en quête de nourriture. Au bout de dix minutes de marche, ce fut le bon moment.
- Sa bourse est mienne maintenant ! Huhu.
Les deux grappins firent le boulot, le premier s'occupa d'agripper la bourse, l'autre coupa net les fils. Il n'avait plus qu'à se tirer avec son butin. Cela aurait été si facile s'il avait regardé les alentours avant de voler cet amas d'argent.
Nul ne sait qui est tapi dans l'ombre, hein ? Il s'était fait démasquer ? Oui, et non. Il s'était surtout fait pister depuis son arrivée sur l'île.
- Lâche cette bourse, pirate !
- Si vous me laissez partir, je vous la laisse volontiers, marché conclu ? Huhu.
Un peu d'humour dans une situation sinistre. Cela aurait pu être hilarant à côté de compagnons de fortunes... Mais, il n'y avait personne. Personne pour rire, pour pleurer. Enfin si, sauf que les passants étaient des sucreries peu divertissantes en général.
Sanzo lâcha la bourse sur le sol. Afin de garder la tête sur ses épaules, il se laissa la dernière seconde avant que la sacoche ne touche le sol pour agir. Une seconde de trop, et ça auraient pu être la mort. Il attrapa ses deux révolvers et défonça d'un coup de crosse le crâne de deux marins. Il lança ensuite ses armes en l'air pour enfoncer sa paume sous le menton du troisième soldat. Le quatrième avait un temps de latence proche de '' un '', ce qui empêcha le pivert de neutraliser les quatre sur le même assaut. Le pirate esquiva le coup de sabre et lui colla un bon coup de pied dans le ventre. De simple soldat...
- Bon, bah, la bourse est pour moi alors... Huhuhu. Allons-y sans attirer l'attention, Messieurs, bonne journée.
Il fit une révérence avec son chapeau laissant les charmants soldats à leurs siestes matinales. Il voulait être sûr d'avoir une place dans une auberge... Malheureusement, avec l'agitation qu'il avait provoquée, les auberges de la ville seront sûrement fermées pendant un petit moment. La seule solution viable serait de se rapprocher de la sortie et de la chance. La ville était grande. Très grande. Le pivert pouvait reprendre les expériences, il n'avait qu'à trouver un local abandonné, ainsi que du matériel.
Il lui fallut deux heures pour trouver un bâtiment qui lui servirait de clinique improvisée. Il avait capturé au passage deux hommes pour ses expériences. Il n'allait pas les tuer, ce n'était pas nécessaire, juste des tests, comme toujours.
- Alors mes poussins, la vie... Qu'est-ce qu'elle est belle, n'est-ce pas ? Huhu...
Aucune réponse. Logique, vu que leurs bouches étaient nouées avec du tissu.
- C'est vrai... Le problème, c'est que... Vous allez crier... Et criez, c'est chouette quand on n'est pas en ville, hum... vous voyez ?
Il s'arrêta brusquement. La porte s'ouvrit dans un fracas métallique. Il se demandait vraiment quelle ordure était venue l'ennuyer pendant ses expérimentations.
- Vous savez, il y a une pancarte à l'entrée qui dit '' interdiction d'entrée ''. Et vous n'êtes pas un de mes hôtes, en cette charmante journée.
Arme de tir en main, il pouvait faire fuir un civil à tout moment, en revanche, une autre personne allait-être plus difficile, car, il n'avait pas de munition.
En regardant le perroquet, Sanzo remarqua qu'il ne pouvait pas l'imiter. En revanche, celui-ci criait et lâchait des cris stridents répétés, à en faire jasser les passants. Une vie dure pour un pirate, devoir parler à des animaux pour essayer de se faire des amis, des faux amis.
Ce n'était pas pour ça qu'il était venu sur cette île un peu déserte. Il avait besoin d'informations sur une affiche qu'il avait repérée depuis quelque temps déjà.
Il n'était vraiment pas doué pour soutirer des informations utiles à des civils... Enfin, si, mais sans observations directes et bénéfiques pour ses recherches, il pouvait attendre plusieurs jours avant de trouver une information à bout de main.
Il s'éclipsa de l'animalerie. Il n'avait plus rien à faire devant cette boutique. Il n'avait pas pour habitude de perdre son temps pour des subtilités sans aucuns sens. Mais, il se faisait tard, et il devait se reposer. Que ce soit dans une auberge de basse qualité, ou à même la dure sur le sol. Bien avant cela, il devait voler un peu d'argent pour se payer une chambre ainsi que le repas. Un luxe qu'il devait prendre pour pouvoir continuer son voyage à la recherche d'un griffon.
Volons ! Volons ! Volons ! Chuchota-t'il... Avant d'aller allégrement vers la place du marché. Nous savons qu'il est plus facile de dérober de l'argent dans une foule que de le voler à une personne isolée ou tout peut arriver. Sanzo avait déjà réussi à prendre des berrys grâce à ses grappins cachés en dessous de son costume. Il n'avait qu'à planter le grappin dans la bourse et la tirer vers lui. Ni vu ni connu.
- Huhu. C'est l'histoire d'un pirate qui voguait au gré du vent. Des coffres d'or et d'argents étaient sur son passage. Mais, la suite qu'est-ce que c'était ? Ne même plus se rappeler les paroles d'une chanson...
Il avait réussi un trouvé un bon pigeon, un notable sûrement. Il pistait sa cible, attendant le bon moment pour sauter sur elle tel un fauve en quête de nourriture. Au bout de dix minutes de marche, ce fut le bon moment.
- Sa bourse est mienne maintenant ! Huhu.
Les deux grappins firent le boulot, le premier s'occupa d'agripper la bourse, l'autre coupa net les fils. Il n'avait plus qu'à se tirer avec son butin. Cela aurait été si facile s'il avait regardé les alentours avant de voler cet amas d'argent.
Nul ne sait qui est tapi dans l'ombre, hein ? Il s'était fait démasquer ? Oui, et non. Il s'était surtout fait pister depuis son arrivée sur l'île.
- Lâche cette bourse, pirate !
- Si vous me laissez partir, je vous la laisse volontiers, marché conclu ? Huhu.
Un peu d'humour dans une situation sinistre. Cela aurait pu être hilarant à côté de compagnons de fortunes... Mais, il n'y avait personne. Personne pour rire, pour pleurer. Enfin si, sauf que les passants étaient des sucreries peu divertissantes en général.
Sanzo lâcha la bourse sur le sol. Afin de garder la tête sur ses épaules, il se laissa la dernière seconde avant que la sacoche ne touche le sol pour agir. Une seconde de trop, et ça auraient pu être la mort. Il attrapa ses deux révolvers et défonça d'un coup de crosse le crâne de deux marins. Il lança ensuite ses armes en l'air pour enfoncer sa paume sous le menton du troisième soldat. Le quatrième avait un temps de latence proche de '' un '', ce qui empêcha le pivert de neutraliser les quatre sur le même assaut. Le pirate esquiva le coup de sabre et lui colla un bon coup de pied dans le ventre. De simple soldat...
- Bon, bah, la bourse est pour moi alors... Huhuhu. Allons-y sans attirer l'attention, Messieurs, bonne journée.
Il fit une révérence avec son chapeau laissant les charmants soldats à leurs siestes matinales. Il voulait être sûr d'avoir une place dans une auberge... Malheureusement, avec l'agitation qu'il avait provoquée, les auberges de la ville seront sûrement fermées pendant un petit moment. La seule solution viable serait de se rapprocher de la sortie et de la chance. La ville était grande. Très grande. Le pivert pouvait reprendre les expériences, il n'avait qu'à trouver un local abandonné, ainsi que du matériel.
Il lui fallut deux heures pour trouver un bâtiment qui lui servirait de clinique improvisée. Il avait capturé au passage deux hommes pour ses expériences. Il n'allait pas les tuer, ce n'était pas nécessaire, juste des tests, comme toujours.
- Alors mes poussins, la vie... Qu'est-ce qu'elle est belle, n'est-ce pas ? Huhu...
Aucune réponse. Logique, vu que leurs bouches étaient nouées avec du tissu.
- C'est vrai... Le problème, c'est que... Vous allez crier... Et criez, c'est chouette quand on n'est pas en ville, hum... vous voyez ?
Il s'arrêta brusquement. La porte s'ouvrit dans un fracas métallique. Il se demandait vraiment quelle ordure était venue l'ennuyer pendant ses expérimentations.
- Vous savez, il y a une pancarte à l'entrée qui dit '' interdiction d'entrée ''. Et vous n'êtes pas un de mes hôtes, en cette charmante journée.
Arme de tir en main, il pouvait faire fuir un civil à tout moment, en revanche, une autre personne allait-être plus difficile, car, il n'avait pas de munition.