-Mais.... Mais monsieur, je veux bien que la directrice vous ait mandaté pour aider à protéger la prison, mais pourquoi demander à avoir une fourche de gardien? N'êtes vous pas déjà suffisamment armé avec vos trois sabres?
-Parce que ces sabres sont des objets très précieux à mes yeux, et je n'ai aucune envie de souiller leurs lames en les utilisant pour taillader des criminels de bas étage.. De haut sous-sol plutôt, vu la situation. De plus, ce n'est pas parce que je sais me servir de sabre que ça signifie que je ne maîtrise aucune autre arme. Et maintenant coco, tu vas me filer une fourche fissa, ou je te ferais découvrir ce qu'on nous apprend à faire avec une fourchette et un gardien posant trop de question au Cipher Pol 9!
-T....Tout de suite monsieur! Tenez!
Enzo P. Hisachi, du haut de ses deux mètres, dévisageait le malheureux gardien à qui il était venu réclamer du matériel. Le CP avait très vite flashé sur les lances que possédaient les gardiens, et il s'était arrangé pour que la directrice d'Impel Down, Églantine K. Mellifleur, lui donne l'autorisation de prendre tous le matériel dont il aurait besoin pour sa mission, et donc de pouvoir embarquer en toute légitimité l'une des superbes fourches de la prison. Mais le désir d'avoir un nouveau "jouet" mis à part, Enzo savait parfaitement qu'une arme de la sorte ne serait pas de trop: vu les directives que lui avait donné la directrice, l'agent du gouvernement allait devoir affronter bon nombre d'ennemis, et pas du genre "enfant de coeur". Après la guerre de Drum et la bataille psychologique de l'île déserte, voila que notre bon cornu se retrouvait embarqué dans l'affrontement pour la liberté en enfer.
Décidément, Dame Fortune savait comment ré-équilibrer la balance, ça, c'était un fait!
Mais actuellement, le plus à plaindre était le petit homme en charge du matériel des gardiens, parce que cette grande asperge mandaté par sa patronne se croyait un peu tout permit, ou plutôt, elle agissait comme un enfant dans un magasin de jouets. Ainsi, après avoir fait main basse sur l'une des plus belles fourches de l'armurerie, l'épouvantail géant c'était servit dans la collection de couteaux et poignards exposée dans la salle, en emportant une demi-douzaine, pour finalement porter son attention sur les arme à feu stockées dans le coin. Et la, sous les yeux ébahit du petit gardien, ce ne fut pas le Cipher Pol qui fit son choix parmi le grand nombre de fusils et de pistolets entreposé dans la pièce, mais un serpent. Oui, un serpent qui était sortit de sous les vêtements de l'autre anorexique à tête de psychopathe pour attraper un fusil avec une crosse renforcée, avant de retourner se planquer avec sous le manteau qui lui servait de cachette.
Après avoir vu tout cela, le gardien utilisa pour exprimer sa pensé un vieux dicton venue d'un pays lointain, et parlant de ouate et de phoque. Surement des mots emplis de sagesse.
On pouvait comprendre sa surprise, car après tout, Enzo était déjà quelqu'un de plutôt original, que ça soit dans on apparence ou dans son comportement, mais en plus, savoir qu'il se baladait avec un anaconda sous ses vêtements (si vous avez vu une allusion sexuelle dans cette phrase, vous êtes un gros dégueulasse) le rendait encore plus étrange. Alors découvrir que le reptile en question savait se servir (de façon sommaire certes, mais cela restait mieux que son maître, qui n'avait jamais été doué avec les armes à feux ou les arcs) d'un flingue, ça vous laissait le plus stoïque des gaillards dans un état de semi-choc.
Car oui, Anko l'anaconda de Jaya savait tirer avec un fusil, même si elle avait décider d'embarquer cette arme non pas pour elle, mais pour son papa, afin qu'il s'en serve comme moyen de pression, ou comme matraque, au choix.
Et c'est avec un serpent, une fourche, des couteaux dans les manches, un fusil dans le dos et trois sabre à la ceinture qu'Enzo sortit de l'armurerie du premier sous sol, prêt à mater les prisonniers les plus récalcitrants qu'il rencontrerait.
Caressant une dernière fois les sabres d'Izya, espérant que la demoiselle arriverait à s'en sortir vu ce que leur préparait la directrice. En tout cas assez longtemps pour qu'il puisse la rencontrer. Quand aux autres membres de la prison, et bien, il n'espérait qu'une chose pour eux: que ces derniers avaient les dents bien accrochées.... ou une nuque assez solide. Parce que le démon n'avait pas l'intention de discuter avec qui que se soit d'autre d'un ange au cheveux rouges.
-Parce que ces sabres sont des objets très précieux à mes yeux, et je n'ai aucune envie de souiller leurs lames en les utilisant pour taillader des criminels de bas étage.. De haut sous-sol plutôt, vu la situation. De plus, ce n'est pas parce que je sais me servir de sabre que ça signifie que je ne maîtrise aucune autre arme. Et maintenant coco, tu vas me filer une fourche fissa, ou je te ferais découvrir ce qu'on nous apprend à faire avec une fourchette et un gardien posant trop de question au Cipher Pol 9!
-T....Tout de suite monsieur! Tenez!
Enzo P. Hisachi, du haut de ses deux mètres, dévisageait le malheureux gardien à qui il était venu réclamer du matériel. Le CP avait très vite flashé sur les lances que possédaient les gardiens, et il s'était arrangé pour que la directrice d'Impel Down, Églantine K. Mellifleur, lui donne l'autorisation de prendre tous le matériel dont il aurait besoin pour sa mission, et donc de pouvoir embarquer en toute légitimité l'une des superbes fourches de la prison. Mais le désir d'avoir un nouveau "jouet" mis à part, Enzo savait parfaitement qu'une arme de la sorte ne serait pas de trop: vu les directives que lui avait donné la directrice, l'agent du gouvernement allait devoir affronter bon nombre d'ennemis, et pas du genre "enfant de coeur". Après la guerre de Drum et la bataille psychologique de l'île déserte, voila que notre bon cornu se retrouvait embarqué dans l'affrontement pour la liberté en enfer.
Décidément, Dame Fortune savait comment ré-équilibrer la balance, ça, c'était un fait!
Mais actuellement, le plus à plaindre était le petit homme en charge du matériel des gardiens, parce que cette grande asperge mandaté par sa patronne se croyait un peu tout permit, ou plutôt, elle agissait comme un enfant dans un magasin de jouets. Ainsi, après avoir fait main basse sur l'une des plus belles fourches de l'armurerie, l'épouvantail géant c'était servit dans la collection de couteaux et poignards exposée dans la salle, en emportant une demi-douzaine, pour finalement porter son attention sur les arme à feu stockées dans le coin. Et la, sous les yeux ébahit du petit gardien, ce ne fut pas le Cipher Pol qui fit son choix parmi le grand nombre de fusils et de pistolets entreposé dans la pièce, mais un serpent. Oui, un serpent qui était sortit de sous les vêtements de l'autre anorexique à tête de psychopathe pour attraper un fusil avec une crosse renforcée, avant de retourner se planquer avec sous le manteau qui lui servait de cachette.
Après avoir vu tout cela, le gardien utilisa pour exprimer sa pensé un vieux dicton venue d'un pays lointain, et parlant de ouate et de phoque. Surement des mots emplis de sagesse.
On pouvait comprendre sa surprise, car après tout, Enzo était déjà quelqu'un de plutôt original, que ça soit dans on apparence ou dans son comportement, mais en plus, savoir qu'il se baladait avec un anaconda sous ses vêtements (si vous avez vu une allusion sexuelle dans cette phrase, vous êtes un gros dégueulasse) le rendait encore plus étrange. Alors découvrir que le reptile en question savait se servir (de façon sommaire certes, mais cela restait mieux que son maître, qui n'avait jamais été doué avec les armes à feux ou les arcs) d'un flingue, ça vous laissait le plus stoïque des gaillards dans un état de semi-choc.
Car oui, Anko l'anaconda de Jaya savait tirer avec un fusil, même si elle avait décider d'embarquer cette arme non pas pour elle, mais pour son papa, afin qu'il s'en serve comme moyen de pression, ou comme matraque, au choix.
Et c'est avec un serpent, une fourche, des couteaux dans les manches, un fusil dans le dos et trois sabre à la ceinture qu'Enzo sortit de l'armurerie du premier sous sol, prêt à mater les prisonniers les plus récalcitrants qu'il rencontrerait.
Caressant une dernière fois les sabres d'Izya, espérant que la demoiselle arriverait à s'en sortir vu ce que leur préparait la directrice. En tout cas assez longtemps pour qu'il puisse la rencontrer. Quand aux autres membres de la prison, et bien, il n'espérait qu'une chose pour eux: que ces derniers avaient les dents bien accrochées.... ou une nuque assez solide. Parce que le démon n'avait pas l'intention de discuter avec qui que se soit d'autre d'un ange au cheveux rouges.