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Mais il est génial ce parc

Il devait être environ huit heure du matin. Toute la maison était en encore en train de dormir, quand un petit bruit de porte se fit entendre. La jeune fille ne l'entendit pas et continua de rêver.
Elle se leva vers les dix heures et descendit les escaliers pour aller dans la cuisine. Sa mère avait pour habitude de faire le petit déjeuné de Kurumu à son réveil.

Une fois au rez de chaussé, Kurumu vêtue d'un pyjama vert clair avec des têtes de Gekota tourna la tête en direction du salon, vit deux personnes, puis continua son chemin vers la salle à manger. Quelques secondes plus tard, elle fit marche arrière, passa la tête par l'entrée du salon, se frotta les yeux et vit son père. Elle courut vers lui et sauta dans ses bras.

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-"Papa ! Ça faisait longtemps. Tu vas rester ? Tu veux que je fasse ton petit déjeuné ? Est ce qu'on pourra se promener ? Bonjour maman."
-"Ah ! Kurumu, ma fille préférée. Malheureusement, je ne reste pas. Je suis seulement ici, pour poser des affaires et donner de l'argent à ta mère. Mais tu es encore trop jeune pour comprendre. Donc on ne pourra pas se promener. Et pas la peine de te donner du mal à me faire à manger, ta mère m'a déjà servi. Et te connaissant, tu vas encore renverser quelque chose." En s'adressant à sa femme "J'ai une affaire à régler sur Suna Land. Des gens haut placé veulent me voir pour parler de certains projets. Je suis déjà las, rien que le fait qu'il y ai un parc d'attraction à proximité, va me rendre malade."
-"Emmène moi au parc alors !"
-"Je suis désolé mon poussin, mais j'y vais seulement pour des affaires, pas pour prendre du bon temps."

Elle s'accrocha à la jambe de son père
-"Je viendrais avec toi, rien ne m'y empêchera. D'abord je veux faire des manèges, donc prend moi avec toi ! Je serais sage. Aller, s'il te plaît, soit pas méchant. T'es mon papounet."
-"Prend la avec toi... Pour une fois, ne t'en fais pas, ça ne va pas te tuer." répondit sa femme.
-"Bon Kurumu, tu as gagné. Déjeune pour prendre des forces, prépare toi, et je t'emmène avec moi à Suna Land."
-"Merci. Tu sais que je t'aime hein..."

La jeune fille se hâta à déjeuner, prit une douche, se lava les dents et s'habilla d'un t-shirt rose avec Rainbow Dash comme symbole marquant et d'un jean bleu. Elle alla à l'entrée puis mit ses ballerines et attendit son père.

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Il arriva avec une valise et deux escargophones. Sans attendre, Kurumu demanda :
-"Papa, pourquoi tu as ces deux chose sous ton bras ? Tu dois passer du temps avec moi, tu le sais ?"
-"Je le sais bien ma puce, mais j'ai des coups de fil à passer. Et ils sont assez important. Si tu veux que je continue à t'offrir ce que tu demandes, je suis, on peut le dire, obligé de continuer."

Elle fit la tête et ouvrit la porte.
-"A tout à l'heure maman."
Kurumu prit la main de son père et marcha gaiement jusqu'au quai. En chemin, il acheta une glace à trois boules au parfum, vanille, chocolat et fraise à sa fille, qui était aux anges.
*Je suis avec mon papounet, il me donne la main, m'achète une glace et le meilleur est que je vais aux parc d'attraction avec lui. Que demander de plus.*

Arrivée au quai, le père de Kurumu se mit devant un navire luxueux et attendit que la passerelle se mette en place. Une fois en place, tous deux montèrent à bord. La fillette fut étonnée. A peine a bord du bateau qu'elle vit un volcan avec une cascade d’eau qui s’écoule jusqu'à la piscine, bordée d’une plage artificielle, au bout du pont.
-"Pourquoi tu ne nous l'as jamais montré à maman et à moi ? Et c'est vrai volcan ? Car je ne veux pas me faire brûler. Tu le sais hein ?"
-"Ne t'en fait pas, c'est un volcan artificiel, donc tu n'as à craindre. Je crois savoir qu'il y en aurait pour deux heures de trajet, donc tu peux aller dans la piscine. Et je sais que tu vas me répondre que tu n'as pas de maillots de bain. J'ai tout prévu, il y en a quelques-uns à ta taille. Tu as le choix. Gaetan va te montrer la cabine."

Mais il est génial ce parc Detail-tropical-render3

Elle suivit donc le jeune marin, et entra à l'intérieur du navire. Elle ouvrit la bouche, et eu des étoiles dans les yeux.
L'intérieur était vaste et propre, les lustres brillaient de milles feux. Gaetan monta les escalier de l'entrée puis arriva dans un long corridor où étaient disposée de part et d'autre, des cabines, environ une dizaine. Au bout du couloir se trouvait une sortie, qui était gardé par deux personnes.
Il montra à Kurumu la cabine pour qu'elle puisse se changer, et elle y entra, mit 10 minutes à trouver le maillot de bain idéal, puis sortie. Elle courra jusqu'à la piscine et y plongea sans réfléchir.

-"Gaetan, je vous prie de la surveiller. J'ai des affaires à régler."
Kurumu barbota dans l'eau, et nagea jusqu'à la cascade et se mit dessous. Toute heureuse, elle sortie de la piscine. Son père était sur le balcon, au dessus d'elle. Il lui fit un signe de la main et se retourna.
-"Papa ! Papa ! Regarde, je vais faire un plongeon de la mort. Tu regardes hein !"
-"Oui ma chérie !"

La fillette sauta, sortie la tête de l'eau et essuya ses yeux. Elle vit que son père ne l'avais pas calculé. Elle gonfla les joues et demanda à Gaetan :
-"Est ce que tu pourrais m'emmener voir mon papa s'il te plaît ? Le bateau est grand et j'ai pas envie de me perdre."
Kurumu se mit une serviette et suivit le jeune marin. Ils marchèrent pendant au moins cinq minutes et une fois arrivée, elle entendit son père.
Tout en restant discrète, elle écouta à travers le mur.

-"Excusez moi du retard Messieurs, mais j'ai eu quelques problèmes, comme par exemple, emmener ma fille. Mais j'arriverais à l'heure comme prévu. J'ai des projets qui pourrait vous intéresser."
-"Nous vous attendrons!."
-"Vous savez c'est mal d'espionner mon papa. Il faudra que vous partiez !" dit-elle à Gaetan qui partie
Le père de Kurume marmonna quelques phrases, puis l'entendit derrière le mur. Il prit le second escargophone, puis parla, tout en changeant de comportement et de voix.
-"Tu voulais me parler. Je t'écoute."
[...]
-"Tu veux dire que vous avez trouver des informations ?"
[...]
-"Laissez l'île de côté, si c'est un échec, elle ne me sert plus. Ma fille est derrière la porte, nous reparlerons de tous ça plus tard. Tu arrives dans combien de temps à Suna Land ?"
[...]
-"Nous nous retrouverons alors dans une taverne à l'extérieur du parc. J'aimerais que l'on parle dans de bonnes conditions."

Il reprit son ancienne voix.
-"Tu peux sortir Kurumu, je t'ai entendu parlé. La discrétion n'est décidément pas ton point fort."
Elle passa la tête par la porte.
-"Tu ne vas pas me punir hein ? Je n'ai rien fais de mal ! Je ne t'ai pas dérangé. Je voulais te dire de regarder mes plongeons car tu ne les as pas vu. En plus, y'a personne pour jouer avec moi."
-"Ce n'est pas grave. Je vais regarder tes sauts, en attendant d'arriver."
-"Viens sur le bord alors !" dit-elle en tirant la main de son père.

Ils retournèrent donc à la piscine du bateau. Kurumu s'amusait, alors que son père était sur une longue chaise, et attendit d'être à Suna Land. Il ordonna aussi à Gaetan de faire à manger.
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Le repas fut prêt. Au menu :
-Salade de langoustines au caviar
-Pommes de terre en robe des champs au caviar
-Carpaccio de St jacques aux copeaux de foie gras et aux topinambours
-Gambas Cameron à la plancha, confiture de tomate et pesto de Basilic
-Dinde moelleuse sucrée-salée à la vanille persillée
-Tarte au chocolat
-Gâteau aux 3 chocolats crousti-fondant.

Un filet de bave coulait de la bouche de la fillette. Elle n'en revenait pas de voir autant de plat chic sous ses yeux.
Gaetan commença à servir Kurumu qui lui montrait ce qu'elle voulait. Comme on pouvait s'y attendre, elle ne prit que les desserts.
-"Il faut que tu manges de tout et pas seulement les tartes et gâteaux. Si tu ne manges pas une entrée et le plat principale, alors je te laisse ici. Ce qui veut dire que tu ne pourras pas faire de manège."
-"Mais je connais pas cette nourriture. Je vais pas manger, c'est beau mais voilà. Dit papa, tu ne vas pas me forcer à manger la salade. En plus, il y a des trucs noirs dans l'assiette. Et si je mange trop, je n'aurais plus de place pour une barbe à papa. S'il te plaît, ne me fait pas manger ça."
-"Kurumu, tu ne mangeras qu'une cuillère de l'entrée et une autre du plat principale. Sinon pas de parc, donc si tu ne vas pas au parc, plus la peine de se soucier de place pour ta friandise. Qu'est ce qu'elle me dira ta mère si je ne te nourris pas ? Et les petits ronds noirs que tu vois est du caviar. Ça coûte très cher."
-"Une petite cuillère alors !"

Gaetan servit alors la jeune fille, qui grimaça devant son assiette. Elle prit sa fourchette et commença par manger les patates, puis goutta au caviar. Elle fit une nouvelle grimace, et pour effacer ce goût de sa bouche, elle se rua sur la tarte au chocolat.
Le marin murmura quelque chose au père de Kurumu, qui devait être assez important, puisqu'il quitta la table.
-"Mais pars pas ! On doit encore s'amuser. Et c'est quand qu'on arrive ? Je veux aller dans les attractions."
-"On se divertira ensemble, mais là, j'ai un coup de fil à passer. C'est urgent. Et ne m'espionne pas. D'ailleurs si tu passes la tête par dessus bord, tu pourras apercevoir Suna land."

Ni une, ni deux Kurumu se mit au bord du navire de luxe, puis tourna la tête. Elle put enfin voir l'île, et le bateau était assez proche pour permettre de voir la grande roue. Le sourire, elle faisait les 100 pas autour de la piscine.
Gaetan s'approcha de la fille, et lui dit de se préparer. Elle courut derechef vers la cabine où se trouvait ses habits, y entra et se changea. Kurumu sortie et le marin lui donna un sac à dos, pour qu'elle puisse y ranger ses futurs gains.

Le bateau accosta sur l'île, les bruits des manèges, et les cris de joies des enfants pouvaient s'entendre.
Le père sortie en premier, toujours avec sa mallette et ses deux escargophones.
-"Je sens que cette journée va être bruyante." En s'adressant à Gaetan : "Je vous prie de surveillez le bateau en mon absence. Je pense revenir en fin d'après-midi. Pour Kurumu, je ne sais pas. Dans le pire des cas nous l'attendrons."
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La fillette arriva sur la passerelle, et se dépêcha de quitter le navire. Son père l'accompagna jusqu'à l'entrée du parc. Kurumu commençait à courir, mais son père l'attrapa par la hanse du sac.
-"Avant que je ne te laisse seule..."
Elle lui coupa la parole.
-"Mais nan papounet, viens avec moi. On va beaucoup s'amuser. Laisse moi pas toute seule... Viens, je serai sage. Je demanderais rien. Je m'amuserai en silence. Mais tu ne vas pas partir hein ? C'est une blague ? Après je serais toute seule. C'est pas drôle de ne pas être accompagnée. Tu le sais hein ? Si tu m'aimes alors viens avec moi."
Elle s'agrippa à la jambe de son père qui la repoussa, s'accroupi, puis posa ses mains sur les épaules de sa fille.
-"Écoute mon petit poussin, tu le sais très bien que je t'aime. Mais je te l'avais déjà dit à mainte reprise que je ne suis ici que pour des affaires, et donc pouvoir t'offrir pleins de cadeau. Mais ne t'en fait pas, une connaissance à moi te surveillera de loin. Donc si'il t'arrive quoi que soit, il interviendra. Et si tu t'amuses bien pendant mon absence, je te ferais un joli cadeau."
-"Un gros cadeau ?"
-"Oui, ma puce."
-"Un très gros ?" répondit-elle en écartant les bras. "Un bateau ?"
-"J'ai peut être l'argent pour m'en acheter encore trois, mais pas de bateau. En plus tu es trop petite. Mais se sera un gros cadeau." Il regarda sa montre "Bon... des personnes m'attendent. Tiens Kurumu, si un million de berrys n'est pas une marque d'amour, alors je ne sais pas ce que c'est. Profite bien de cette journée. Une chose importante... Ne montre pas tous les billets aux gens, et ne les sors pas n'importe où. Et je ne me fait pas de soucis pour les calculs, je sais que tu te débrouilles en math. Et bon, des soustractions ce n'est pas la mer à boire. Va poussin, pour toi l'amusement ne fait que commencer."

Elle partie seule vers l'entrée du parc d'attraction, un peut triste d'être sans son père. Une majorité de l'argent était dans son sac à dos, et une liasse de cinquante billets de milles berrys entre ses deux mains. Ce qui lui fait donc cinquante milles berrys par liasses, et par conséquent, dans son sac, se trouvent dix neuf liasses de billets.
L'entrée coûta cinq mille berrys. Le réceptionniste, très honnête lui rendit la monnaie. Après avoir effectuer une petite vérification, elle entra dans le parc. Kurumu ne savait plus où donner de la tête. Voir la grande roue, le grand 8, le fameux bateau de pirate et d'autres attractions plus spectaculaires les une des autres rendirent la jeune fille heureuse à un point qu'elle en oubliait l'absence de son père.
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La petite fille marcha tranquillement en tournant la tête de gauche à droite et vice-versa.
Elle chercha la mare aux canards, comme guise d'échauffement, et la trouva au bout d'une dizaine de minutes, après avoir demandé son chemin à des passants.
La pêche coûtait deux milles berrys et il fallait avoir dans son panier le plus de canards en un temps imparti. Plus on a de canards, plus le cadeau sera gros. La partie se jouait avec deux autres personnes.

Le départ retentit, et tous commencèrent la pêche. Kurumu n'avait pas l'habitude de jouer à ce jeu, comparé aux deux autres garçons qui maniaient la canne avec une précision presque inégalable. Ils devaient avoir le même âge que Kurumu et prenaient toutes les cibles de la jeune fille, qui commençait à perdre son calme.
-"Mais vous allez arrêtez ? C'est pas drôle de jouer comme ça !"
-"On s'en fout, tu es une fille, tu es nulle de base. Et nous, on nous surnomme les NOOOBIES."
Finalement, elle réussit à pêcher deux canards, et n'eut pas le choix. Le seul cadeau possible était un truc à bulle.

La fille à papa quitta le stand, avec le truc à bulle en main et se dirigea vers une seconde attraction.
*Je vais où maintenant ? Le grand huit me tente bien, la maison fantôme aussi, ainsi que le train fantôme.... Je vais vers le grand huit, mais si j'en trouve un en chemin j'y vais.*

Elle marcha tranquillement en faisant des bulles le long du chemin. Ne regardant pas devant elle, elle se cogna contre la jambe d'une personne, renversant le liquide du truc à bulle sur le pantalon. Kurumu était par terre. Le monsieur était petit et grassouillet, avec des morceaux de hot-dog sur les joues.
Elle se releva.
-"Excusez moi. Voici cinq milles berrys pour que vous puissiez laver votre pantalon. Je suis désolé, mais vous me pardonné hein ? Je suis une enfant après tout. J'ai pas fait exprès."
Il prit les sous sans chercher à comprendre. Kurumu croyant que c'était fini, reprit sa route, mais l'homme la tira par le sac.
-"Et tu crois que c'est suffisant ? Enfant ou pas, mon pantalon m'a coûté une petite fortune. C'est un pantalon pour les grandes occasions. Je veux un dédommagement de cinq cent milles berrys. Je vois que tu as les moyens de payer petite vermine."
-"Lâchez moi ! Ce n'est qu'une tâche d'eau savonneuse, deux milles berrys sont largement suffisant. En plus je n'ai pas fait exprès."
La foule regarda le spectacle. Le grassouillet fut embarrassé et laissa partir la jeune fille.
*Je n'ai plus mon truc pour faire des bulles. Tant pis, je demanderais à mon papa chéri si'il peut m'en acheter un.*

Quelques mètres plus loin, elle vit la maison fantôme et y alla d'un pas décidé. Une fois devant, elle lu la pancarte.

Amateurs de fantômes, zombies, squelettes et autres monstres fantaisiste
Cet endroit sera parfait pour vous
Allez vous crier, ou vous en sortir indemne,
Découvrez le pour seulement sept milles berrys.

*Maintenant que je suis devant, j'y vais.*
Kurumu souffla un bon coup, puis paya son entrée. La jeune fille avait pour habitude de donner toujours la somme exacte. Elle ne voulais pas être dans un groupe de personnes et voulu être seule. Les cris des gens s'entendirent. Ils ressemblaient plus à des cris de peur que des cris de joie.
Ça y est, son tour arriva et entra dans la maison. Celle-ci avait des reflets violets et verts. Au loin, elle pouvait distinguer des tâches rouges.
A chaque pas fait, Kurumu avait l'angoisse qui montait, mais continua sachant qu'elle ne pouvait plus faire marche arrière.
Une main se posa sur son épaule droite. Elle s'arrêta de bouger, tourna lentement la tête et direction de la pression produite par la main, baissa ses yeux et vit que celle ci n'avait pas de chair, on ne voyait que les os.
BOUUUUHYAAA !!
-"HAAAAAAAA !! Une main m'a touché !"

Elle courut dans tous les sens, enclenchant tous les pièges. Ce qui revenait à : une troupe d'une dizaine de zombies environ qui la poursuivaient, des toiles d'araignées dans ses cheveux, l'apparition de vampires et des momies qui se sont réveillées de leurs tombeaux. Kurumu enchaîna les allers-retours. Elle parvint à sortir de la maison, essoufflée, avec des larmes aux yeux et des toiles d'arachnides sur tous ses vêtements.
Elle les enleva et alla à l'attraction suivante.
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*Piou... Ce fut mouvementé, mais j'ai bien aimé. Direction la prochaine attraction.*
Les cris des personnes s'entendirent toujours, et Kurumu se rapprocha vers l'attraction avec un bateau de pirate qui se balance.
La jeune fille fit la queue, mais une fois à l'accueil, le vigile la refusa à bord. Le refus était due à la taille de Kurumu. En effet, elle était trop petite, et n’atteignit pas l'âge réglementaire.
-"J'ai l'argent pour payer mon entrée. S'il vous plaît monsieur l'agent, vous n'allez pas me refuser l'entrée, hein ? Je veux vraiment faire cette attraction. Siouplaît..."
Il lui fit comprendre qu'elle ne pouvait pas passer, mais que si elle mettait plus de berrys, alors ça pouvait s'arranger.
Kurumu n'hésita pas une seconde et donna dix milles berrys pour franchir la passerelle du bateau pirate.

Une fois à bord, elle prit place et attendit le départ. Le navire se remplissait d'enfants, presque tous accompagné, et le bateau prit son élan et oscilla dans un plan, de part et d'autre de la verticale.
Au sol se trouvait une piscine dans laquelle le bateau plongeait une fois la hauteur minimale atteinte.
Un cri général s'entendit et la jeune fille émit le sien.
-"OUUUIII !! C'est génial"
Kurumu changea de place pour éviter d'être mouillée. Elle tituba et tomba plusieurs fois, perdit des billets puis se mis dans la rangée du milieu.
La petite môme était aux anges. Elle riait et s'amusait comme tout enfant qui étaient dans le parc.
Dix minutes plus tard, le bateau s'arrêta, mettant fin à ce moment de plaisir.

Elle descendit du bateau, et compta son argent. En main, il ne lui restait plus que quinze milles berrys. En revanche dans son sac, il y avait toujours les dix-neufs liasses de cinquante milles berrys.

Elle continua d'arpenter le parc, et vit une quinzaine de minutes plus tard, une boule en l'air. Un cri se fit entendre :
-"Venez tester Fulguroball !! Le projectile qui va vous couper le souffle ! Le principe : Etre dans une nacelle qui sera projeté à cent cinquante mètres de haut en quatre secondes, puis chute libre .. POWAAA !!"
*Mouai, ça va être sympa. J'y vais.*

La foule était présente tout autour, les hurlements des personnes de la nacelles étaient très nets. Kurumu se fraya un chemin parmi les gens. Ce qui était étonnant, était le fait qu'il n'y ait pas de file d'attente, comme pour les autres manèges. Les volontaires étaient prioritaires. La môme de dix ans s'était mise au premier rang pour pouvoir observer le délire de cette boule. Les personnes présentent dans la nacelle sortirent lors de l'arrêt de celle ci, puis vomirent. Une vague de "AH !! DÉGUEULASSE !!" fut émise par les spectateurs, mais le maître du jeu intervint :
"Alors, avons nous des volontaires ?"
Les gens constituant la première rangée, celle de Kurumu, reculèrent, laissant celle-ci seule devant la nacelle. Le gérant la prit par la main et la posa dans la nacelle.
-"Parfait ! Nous avons une vaillante." Puis il dit en enlevant le haut parleur : "Veux tu tenter ta chance ? Ça fera huit milles berrys. Tu m'as l'air jeune, donc si tu veux refuser tu peux."
-"Tenez monsieur, j'accepte." Elle tendit l'argent et s'installa confortablement dans cette fameuse sphère.
Il lui mit la sécurité et lança le décompte.
Le zéro atteint, la nacelle décolla.
-"OUUUIII ! Ça déchire !" Une fois en chute libre, elle cria :
-"Attention en bas ! J'arrive comme une bombe ! YOUUUPIII !!"

La nacelle était à l'arrêt, Kurumu sauta de joie, remercia le gérant et s'en alla vers le célèbre grand huit.
*Ce fut court, mais j'aimais bien les sensations. Si j'ai encore du temps et de l'argent; j'essaierais d'y retourner. La journée de fait que commencer, et je suis au paradis... Il ne faudra pas que j'oublie de faire un bisou à papounet.*
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Kurumu a quitté le dernier manège, il y a cinq minutes environ. Sur le sentier menant à l'attraction la plus connue de l'île, de South Blue et surement de toutes les Blues, elle vit quelque chose d'incroyable et de magnifique à ses yeux. Elle s'approcha du stand, regarda la liste des gains possibles, et leurs disponibilités. Dans la liste, la peluche Gekota y était inscrite.
Sans réfléchir, et sans savoir qu'elle type de jeu, la môme fit la queue. Elle se retrouva derrière un grand noir, plutôt costaud. Et devant cette personne, il y avait trois gamins.

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La petite fille avait peur, peur que sa peluche soit prise.
*Il ne faut pas qu'ils prennent Gekota. De toute façon, c'est des garçons, ils ne vont pas prendre une peluche pour enfants, surtout quand c'est une grenouille. Mais le grand monsieur noir, si'il a une fille, ou même un enfant plus petit que moi, alors là, il a de bonnes raisons de la prendre. Pitié, faites que personnes ne prennent la peluche, je la veux. Au pire, je pourrais lui racheter, j'ai tout l'argent nécessaire pour lui racheter dans le pire des cas.*

Le premier gamin fini sa partie et eut son cadeau. Elle souffla en voyant qu'il a prit un poisson rouge. C'était au second. Âgé de quatorze ans environ, peau mate, cheveu vert, avec un t-shirt noir où était écrit "ASSASSIN DE LA MARINE", il commença à jouer. Sa partie dura près d'une dizaine de minutes pour au final perdre.
Viens au tour du dernier môme, habillé correctement et simplement avec une chemise, t-shirt blanc, et un short bleu. Il paya sa partie, et commença à jouer. Derrière Kurumu, les adultes accompagnés pour la majorité de leurs enfants commençaient à s'impatienter, et à murmurer des jurons.

*Encore le garçon et le monsieur devant moi ! J'ai peut-être une chance d'avoir la peluche.*
La partie du jeune garçon fut terminé. Il choisit un den den mushi étant donné qu'il a fait un parfait. Le propriétaire du stand le lui remit, et le garçon l'essaya. Il sorti un bout de papier et utilisa le den den. Une sorte de test pour vois si'il marche. Il tenta l'appel plusieurs fois et pas de réponse.
-"Mais c'est de la merde ton truc. Ça marche pas d'abord."
-"Tu as entré le bon numéro ?"
-"Mais ouai, tu m'as pris pour qui ? Je suis pas un pécore du désert. S'il marche pas, tu m'en donne un autre. J'ai payé, j'ai gagné. T'as plus trop le choix."

Le gérant pris un second den den et le donna au gamin. Derrière, la file d'attente d'impatientait et un père non accompagné commença à dire :
"Mais tu vas te dépêcher ! On n'est pas venu pour entendre un gamin mécontent ! J'ai d'autre trucs à faire."
*Moi je m'en fiche, Gekota est encore à la boutique.*
-"J'ai payé pour avoir un cadeau qui marche. Je ne partirais pas tant que je n'ai pas eu ma récompense."
Il essaya le nouveau den den. Après une dizaine d'essaie, le den den ne marchait pas.
-"Ben file moi une paire de talkie walkie."
-"Mais c'est pas bientôt fini ce bordel, y'en a marre des mômes qui mettent vingt ans pour choisir un cadeau. Dépêche toi un peu, ma femme m'attend."
-"J'aimerais t'y voir toi, avec un jouet qui marche pas. Donc je resterais jusqu'à avoir un truc non défectueux."

Le grand noir avait l'air de s'en foutre royalement, c'était l'un des seuls qui n'avait pas râler. Il se retourna, et vit Kurumu en train d'attendre sagement que le garçon choisissent un nouvel objet.
Soudain le garçon tendit un talkie walkie à Kurumu.
-"Tiens, je l'ai allumé comme l'a dit la notice. Il faut que tu me dise si ça marche s'il te plaît."
Kurumu ne comprenait pas se qui venait de se passer, mais accéda à la requête du garçon. Donc celui-ci parla dans le talkie walkie, mais Kurumu lui annonça qu'elle n'entendait rien. Il fit de nouveaux réglages et elle lui donna la même réponse.
-"Toi le gérant, tu dois être un charla..."
-"Putain de merdeux ! Tu vas finir ta partie. Ça va faire plus de dix minutes que j'attends et que j'entends tes merdes."

Le grand noir, mécontent répondit :
-"Eh toi, tu vas laisser cet enfant twanquil. Il a le dwoit de choisiw son jouet."
-"Mais on vous a pas parlez à vous ! Normal que vous dîtes rien, vous êtes derrière lui."
-"Mais mwoi, j'en ai plus que mawwe d'entendwe vos pawoles qui sont insensées."
-"Pour la peine, je vais doubler cette gamine, car si c'est pour faire le même speech, ça ne vas passer." Puis il dit à Kurumu :
"Laisse moi la place morveuse."
-"Nan mais vous avez pas le droit ! Moi aussi j'ai attendu. Vous n'allez pas vraiment le faire hein ? Vous êtes un gentil monsieur ?"

Il vit les billets que tenait la fille et il lui dit :
-"Si tu me donne ce que tu as dans les mains, ça va passer. Je te laisse ta place."
-"Alows là, c'en est twop ! Elle est où la mowale dans ce que vous allez faiwe. Eh oui, il n'y en n'a pas."
-"Oh toi le nègre, on t'a assez entendu. Vas voir ailleurs si j'y suis."
-"Twop c'est Twop !"
Il arma son poing et le mit dans la tête de l'homme qui voulait prendre la place de Kurumu. Ce même homme vola à plus de quinze mètres.
-Tiens petite, je me met dewwièwe toi. Et oui, je te donne ma place. J'ai tout le temps devant moi, puisque mon fil n'awwivera qu'en fin d'apwès midi. Et les gens qui sont dewwièwe moi, ne pourront wien diwe."

Elle le remercia et tendit les sept milles berrys au généreux monsieur qui refusa.
Le marchand vit l'événement et demanda :
-"Et petit... C'est quoi ton nom ?"
-"Jules, pourquoi ?"
-"Car là, tu me cours sur le haricot. Donc si tu n'est pas content Jules, je te fais partir avec le Ferry."
-"Hahaha, je suis mort de rire" dit-il ironiquement. "De toute façon, un stand avec des jouets qui ne marche pas, c'est juste de la merde en boîte."
Il parti, et vint au tour de Kurumu.

-"Je t'explique les règles. Tu vois ces boites de conserves empilées et qui forment une pyramide, et bien le but est de les faire tombé avec ses balles. Tu n'auras qu'à lancer les balles. Si elles tombent toutes, alors tu as gagné et tu peux choisir ton cadeau. Si il te reste plus de la moitié des balles que tu as acheté lorsque toutes les boites sont tombées, alors tu as la possibilité de choisir un gros lot, ou un second cadeau. Une balle fait milles berrys. Tu n'as le droit qu'à une session. C'est à dire que si tu choisis d'avoir cinq balles, et que tu n'as pas fait tombé toutes les boites, alors tu as perdu. Donc même si tu veux rejouer, tu pourras mais toutes les boites seront remises en place. C'est bon pour les règles. Et le maximum de balles est de trente."
-"Oui, ça me va. Je voudrais dix balles. Tenez voici sept milles berrys."
-"Ce n'est pas assez pour dix balles."
Elle ouvrit son sac, quelques liasses tombèrent du sacs. Sous les yeux de tout le monde, elle les ramassa, les rangea et en garda une dans sa poche. Elle tendit les derniers billets au propriétaire.
Beaucoup furent étonné de voir une gamine avec autant de sous. Certains lui ont demandé d'où tenait-elle tout cet argent. Avec toute son innocence, elle répondit que c'était son père qui lui avait donné.

Elle commença à tirer, elle tira sur les boites. Mais ce fut vain, aucune n'était tombée, et il ne lui restait que sept balles.
-"Tiwe suw les boites qui sont en bas, comme ça les autwe tombewont toutes seules."
Elle suivit les conseils de la personne qui lui a laissé sa place, et les premières boites tombèrent.
Le gars qui a volé sur quinze mètres revint avec le nez cassé et en sang puis dit :
-"Cette gamine en est encore là ! Mais tu es nulle, quitte la partie, tu ne vas pas gagner."
-"Mais arrêtez de me déconcentrer. Laissez moi jouer. Je ne vous ai rien fait pourtant."
Il n'eut pas le temps de répondre que le grand noir le souleva et le balança par dessus la barrière.
Finalement la pyramide s'écroula à la dixième balle.
-"Alors ma petite, quel cadeau souhaites-tu ?"
-"La grenouille s'il vous plaît."
Il commença à prendre une grenouille en porcelaine, mais Kurumu lui montra la peluche qu'elle souhaitait le plus.
Il la lui donna, et la petite fille quitta le stand, toute contente de son gain et en serrant bien fort la peluche.
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*Piou, j'ai mal au pieds et j'ai faim. Je veux une barbe a papa ! Vivement que j'arrive au grand huit.*
Elle rangea sa peluche dans son sac à dos, puis scruta l'horizon pour tenter de trouver un vendeur de friandises.
Marchant tranquillement avec le sourire, elle tomba par hasard sur un marchand  et s'approcha.
-"Bonjour, vous savez que vous êtes bien placé. J'aimerais une maxi barbe à papa s'il vous plaît."
-"No problème. C'est parti ! Ça te fera quatre milles berrys."
Elle donna l'argent au commerçant, et attendit que sa commande soit prête. Elle écarquilla ses mirettes en voyant le volume de la barbe à papa augmenter. Une fois la taille maximale atteinte, elle récupéra sa gourmandise et continua son long chemin.

Kurumu parvint enfin a l'ultime manège. La foule y était présente et la file d'attente était longue. La fillette attendait patiemment en mangeant sa barbe a papa
*Heureusement qu'il y a cinq wagons de quatre places. Ça devrait être vite fait à moi. Mais je n'aurais pas due manger avant de commencer. Bof, au pire j'aurais mal au ventre, mais sans plus. Et oui, après le grand huit, il faut que j'essaie le grand toboggan, un stand où l'on utilise un pistolet, le manège ou on saute tous, la roue bizarre et bien sûr la piscine avec tous les toboggans.*
-"Venez tester MOUTAIN FRISSON, le grand huit avec la tête en bas à deux-cent cinquante kilomètres à l'heure... Les tarifs sont sur la pancarte !!"

Elle jeta un oeil à celle-ci
Un tour pour sept milles berrys.
Deux pour quinze milles berrys.
Trois pour vingt milles berrys.

*Allez, je suis grande maintenant, je vais faire les trois tours.*
Elle attendit près d'une vingtaine de minutes et se défaussa de vingt milles berrys au moment de payer. Kurumu regarda les wagons et les places de libres. Elle en vit une à côté d'un gamin roux, nez de cochon, avec un t-shirt rayé rouge et blanc. Celui-ci tenait un sac en plastique, mais n'hésita pas une seconde. Elle rangea sa liasse de billet dans sa poche, mis la sécurité et attendit le départ.
-"Excuse moi, mais c'est pour quoi faire ce sac ?"
Avec une voix enrouée, il lui répondit :
-"Bah j'ai l'habitude de vomir en faisant des manèges, et je trouve ça génial ! En plus, juste avant j'ai mangé un mégafun burger triple mayonnaise. Je peux te garantir, que ça va secouer. Je vais en mettre de partout. Mais ne t'en fait pas, c'est les gens d'en bas qui se prendront la douche."
-"Mais c'est sale !" En s'adressant à un vigile " S'il vous plaît, je peux changer de place. C'est une question de vie ou de mort !!"
Il lui fit bien comprendre que c'était impossible et le wagon démarra.
Au bout d'une demi minute, elle ne put s'empêcher de crier :
-"AU SECOURS !!" mais avec la foule qui criaient "OOOOOOOOH YEEEEEEEEAAAAAAAH !!!  YIIIIIIIIIIII   HAAAAAAAAAAAAA !!!!"ces cris ne s'entendirent pas.
*S'il vous plait, faite qu'il ne vomisse pas pendant mes trois tours.*

Kurumu tenait la barre fermement, fermait les yeux et criait tout comme la foule, qui elle en revanche, avait les bras en l'air. Le premier tour se passa sans accrochage, son voisin de wagon n'avait pas vomi, mais sa tête commençait à devenir verte.
-"Ça va pas tarder. Préparez vos parapluies !!"
Au milieu du second tour, il lâcha le colis. Il fallut peu de temps à la galette verdâtre pour s'écraser sur la tête des gens qui attendaient leur tour.
Kurumu était dégoûtée, et l'autre en a lancé deux nouvelles.
Milieu du troisième et dernier tour, la jeune fille commença à se sentir mal.

Les wagons s'arrêtèrent. Kurumu tituba mais souffla un bon coup. Elle n'a pas vomi et l'autre môme n'a pas fait sur elle. Malgré ce petit inconvénient, elle a bien aimé, et rigola de la tête de clients qui étaient vertes. Verte de rage surement, mais avec la galette posé par le gamin, il y a de quoi l'être.
Elle alla alors vers les coussins gonflables qui te permettent de sauter vers l'infini et l'au delà.
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*Mille berrys, deux milles, trois milles... douze milles,...vingt trois milles berrys. J'ai vingt trois milles berrys en main et logiquement dix-sept liasses dans mon sac. Je peux encore faire plein d'attractions. En tout cas se sera la meilleure journée que j'aurais passé.*

Elle demanda à des passants le chemin pour aller au manège où tu peux sauter très haut.
Après avoir passé quinze minutes à chercher l'attraction, elle tomba sur celle-ci un peut par hasard.
Il y avait une entrée rose et blanche.

Mais il est génial ce parc 1376560565-sans-titre

Le maître du manège rappelait à la foule qui serait tenté de faire cette distraction que les chaussures sont interdites et que c'est cinq milles berrys pour dix minutes.
Kurumu paya, enleva ses ballerines et les rangea dans les casiers situés à côté du jeu, mais garda toujours son sac avec elle.
La môme sauta dans tous les sens, s'amusait et riait très bien jusqu'à l'arriver d'un quartet de garçon.
Le premier, avec une longue mèche jaune, un peu sec était vêtu d'un t-shirt violet et d'un jean blanc.
Le second était sec, avec de grosse lunettes rondes, habillé d'un t-shirt à rayure bleue foncée et noire, d'un shirt marron. Il était en sandale avec des chaussettes bleues.
Le troisième était enrobé, roux, avec un pull à manche longue rouge, jean blanc.
Le dernier faisait paysans. Équipé d'un jean bleu et d'un pull à manche longue jaune, il avait en prime les incisives de la mâchoire du haut qui sortaient, et avait un appareil dentaire visible à tous.

Mais il est génial ce parc 1376562369-sans-titre-13

La petite fille se stabilisa, et les regarda.
-"Mwa, enlever mes pompes ? Mais t'es malade ! Déjà je paie pour ton jeu, tu veux mes baskets aussi ?"
-"Bien dit Tytouf ! On va pas se laisser faire."
-"Vous saviez que les gens qui demandent les baskets, c'est des pauvres. Si vous regardez bien, c'est les trucs qui coûtent le plus chers. Si si, c'est mon frère qui me l'a dit.

Ils payèrent leur entrée, et les festivités commencèrent. Ce quartet sautait de façon à se que les enfants présent se cognent entre eux, dans l'unique but qu'ils repartent avec des bleus.
Les larmes commençaient à couler. Kurumu se cogna contre deux garçons. N'en pouvant plus, elle alla voir celui avec l'appareil dentaire.
Tytouf la vit et appela Manouch, l'homme à lunette et Bhugoal le petit gros. Ils virent Jean-claudo, à la mâchoire d'acier en discussion avec une gamine et Bhugoal cria :
-"Vas-y Jean Claudo, accroche c'est la chance de ta vie."
Ils rigolèrent juste pour se moquer de leur pote, qui leur répondit avec un doigt d'honneur.
-"Salut, je peux te poser une question s'il te plaît ?"
Il regarda la gamine, avec de petites larmes et le visage commençait à devenir rouge
-"Bvah povze là" répondit-il en postillonnant.
Le trio rigola encore plus fort à la réaction de Kurumu, qui s'essuya.
Elle émit des petits rires en préparant sa question. Elle souffla un bon coup et lui demanda :
-"Est ce que avec ton.. hihihi... appareil dentaire, tu peux...hihihi... parler aux aliens ?"
Quelques secondes plus tard, elle ria à s'en rouler parterre.
-"Désolé, mais HIHIHI c'est parce que HIHI vous faîtes mal HAHAHA à tous le monde HIHIHI."
Le trio quand à lui n'en pouvait plus.
-"BAHAHAHAHAHA !!!"
-"HAHAHAHAHA !!!"
-"HIHIHIHIHI !!! Il s'est fait owned par une gamine !!"
-"AH AH AH ! Jve szuis mort dfe rivre. Toi ! fale gamine, tu vaf mle payer."

La petite blague effectuée, Kurumu retourna sauter, car il ne lui restait plus beaucoup de temps. Finalement Bhugoal sauta entre Tytouf et Manouch, qui se cognèrent. Et quand à Jean-Claudo, il fit un plat, l'appareil dentaire en avant.

BAAAAM !!!

Il venait de crevé le manège.
*Mais nan, il me restait encore un peu de temps !*
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Kurumu entendit le quartet parler d'un stand de tir. La meilleure dans tous ça : le fusil serait un authentique et qu'il tire du plomb. Donc la jeune suivit le groupe de garçons qui venait de détruire une attraction.
Le gérant était dégoûté, mais l'important était que la fillette se soit amusée.
Sur le chemin, ils rencontrèrent un de leur pote qui leur demanda :
-"C'est par là Megajump ?"
-"Ouai ! mais c'est Méganaze !"

Tous avaient des bleus au visage, le petit gros se retourna et vit Kurumu entrain de les suivre.
-"Bah alors, qu'est ce qui se passe t'as perdu ton chemin ?"
-"Nan, je veux juste aller là où on peut tirer avec une vraie arme. Et puisque vous vous y rendez, bah je vous suit. Je peux hein ? S'il vous plaît."
-"Ouai, mais nous on va a Tobospeed ! Donc si tu vas par là, tu trouveras le stand. Allez à plus, dans le bus."

La fille à papa suivit la direction indiquée par Manouch, puis arriva au stand. La file d'attente était composée d'une dizaine de personnes. Elle se mit derrière un homme poilu, et attendit son tour. Mais elle sentait qu'on la suivait, depuis quelques temps, et cela l'embarrassait.
Son tour arriva, le maître des lieux lui fit le topo.
-"Premièrement déjà, vu ta petite bouille, j'en conclu que tu as moins de douze ans. De base, c'est mort pour toi. Mais les règles, je m'en tamponne, tu vois le truc. Donc si tu as la mail, alors tu tentes ta chance.
Deuxièmement tu n'as le droit qu'à une session ! C'est à dire que chaque session est composé de trois tirs. Si l'objectif n'est pas atteint, tu dégages. L'objectif est ton cadeau. J'explique le truc. Genre si tu veux le poiscaille rouge, il faut toucher deux oiseaux en trois tirs. Si tu veux plus gros, tu dois toucher plus de cible mais toujours en trois tirs. Tout est une question de doigté. Alors partante la môme ?"


Elle regarda les cadeaux possibles et vit une peluche d'un mètre environ de Gekota. Il fallait toucher neufs oiseaux en trois tirs.
-"Je veux jouer pour l'énorme peluche."
-"C'est parti. Le prix est de quinze milles berrys. C'est un peu plus chère que les autres stands car c'est un vrai fusil, et c'est du plomb qu'il tire."
Elle donna la somme exacte. En retour, il lui passa le fusil chargé des trois munitions.
La chance n'était pas avec elle. Le comptoir était un peu haut pour elle et le fusil était sacrément lourd pour ses pauvres petits bras.
-"Si je me loupe, je peux vous l'acheter directement ? Car je n'ai quasiment aucune chance de gagner. Vous êtes un gentil monsieur ?"
-"Refuser ! Tu tires ou tu laisses ta place à la personne suivante ?"

La pauvre fille se loupa lamentablement, et quitta le stand à toute jambe.
*Édition collector ! Édition collector ! Édition collector ! Édition collector ! Édition collector ! Édition collector ! Édition collector ! Édition collector ! Édition collector ! Édition collector ! Je viens de passer devant un Gekota collector... Pourquoi il a fallut que ce soit un jeu si difficile.*

Pour tenter d'oublier son échec cuisant, elle s'assit sur un banc à côté d'une personne âgée qui était en train de jeter du pain aux oiseaux. Elle regarda la vielle dame, puis lui dit :
-"Merci madame, de me remonter le morale. Au moins je me dis que ma vie n'est pas aussi nulle." avec toute sa gentillesse et son innocence. L'ancêtre n'a pas compris grand chose, et Kurumu se leva, pointa un doigt en l'air et affirma :
-"Tobospeed !! Me voilà !!"
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La petite môme chemina jusqu'au lieu de la nouvelle attraction. Au passage, elle demanda l'heure à un passant, chic type, vêtu d'un costard noir, d'une cane avec les embouts dorés et qui portait un monocle. Il lui répondit qu'il était quinze heures quinze.
Elle le remercia et hâta le pas. Kurumu avait envie de finir la journée à la piscine et faire les toboggans.

Elle trouva tobospeed assez facilement, et surtout grâce à une voix qui disait :
-"Venez essayer le Tobospeed. Deux cents mètres de glissades avec virages à quatre vingt dix degrés."

Il fallait payer trois milles berrys. La petite fille fit la queue qui était cette fois ci, très longue. Au milieu des escaliers, un petit gros qui plus était chauve, essaya de lui prendre sa place.
Elle le regarda passer, puis mis son bras.
-"Il faut attendre son tour. Comme tout le monde, donc reste derrière moi. En plus, c'est pas bien de doubler !"
-"Mais moi, je suis au dessus des lois ! Mon père fait parti de la marine, et en prime il est classé. Et aussi, on est riche. Les pauvres dans ton genre doivent laisser la place aux meilleurs."
-"D'abord je suis pas pauvre ! Et mon papa à moi, il est... il est...  Bref, tout ça pour te dire que j'ai de l'argent, et le fait que ton papa soit un marine classé ou pas n'est pas une raison d'abord. En tout cas, je ne te laisserais pas passer."

Le grassouillet n'était pas content qu'une gamine lui parle comme ça, et commença à lui tirer les cheveux.
-"AIIIIEUH !! Lâche les tout de suite."

Au même moment, un autre gamin avec les dents cassées, tâches de rousseur, rouquin avait entendu la conversation, arriva et boxa le petit gros, qui lâcha les cheveux de Kurumu sous la pluie de coups.
-"Alors comme ça ton père est un marine... Le mien est pirate bouboule... Donc je vais te régler ton compte. On aime pas trop les gamins prétentieux dans ton genre, surtout s'ils sont fils de marine."

La fillette essuya ses larmes et attendit patiemment sa descente.
*Mais quel brute. C'est bien fait pour lui d'abord. Il n'avait qu'à pas me tirer les cheveux. Mais c'est vrai que je ne sais pas ce fait mon papounet... Il faudrait que je lui demande. En plus, je dois le remercier pour cette journée. Car j'ai quand même eu une peluche Gekota, bien que je sois passée à côté de l'édition collector.*

Son tour arriva enfin, elle écouta les consignes d'un vigile, et se lança dans le toboggan. Sur cinq environ, le chemin était droit, puis virage à quatre vingt dix degré, et ainsi de suite. De temps en temps, le chemin était spiralé, mais se terminait avec un virage. Le toboggan était tout en hauteur, et n'avais pas de largeur, ce qui faisait que les virages était verticaux. La glissade de même. Kurumu prit le premier virage sans trop de difficultés, mais pour les suivants, se fut la guerre.
Elle se cogna la tête à tous les tournants.
-"Aie... Aie... Ouille..."
*Mais qui a eu une idée de faire un toboggan comme ça !*

L'arrivée se finissait obligatoirement sur le ventre, et à la sortie du manège, il y avait du synthétique.
Elle arriva sur l'herbe qui était devenue marron en glissant sur deux mètres.
-"Ça fait même pas mal d'abord !" dit-elle avec son visage égratigné.
-"Maintenant la piscine !!"
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La piscine ne pouvait pas être loupée. Sur le toit se trouvait une statue de Flipper.
La fille à papa suivit un chemin par parmi tant d'autres.

A l'approche de la piscine, les cris s'entendaient, et transcendaient les cieux. Les portes étaient grandes ouvertes, Kurumu y entra.
-"Bonjour, j'aimerais une entrée s'il vous plaît."
-"Bonjour, quinze milles berrys l'entrée sans pouvoir aller au toboggan. Ensuite cinq milles berrys donne une descente, dix milles font deux descentes, et ainsi de suite." d'un ton las.
-"Euh, je sais pas combien de tours j'aimerais faire... peut-être dix, douze ou..."
Elle lui coupa la parole
-"Bon alors tu paies combien ? Dépêche toi un peu, la file attend" répondit-elle avec un air nonchalant et une cigarette à la bouche.
-"Bah tenez cent milles berrys, comme ça je peux faire 17 tours de toboggan. Et nah !"
Elle ouvrit le sac, prit deux liasses et les déposa sur le comptoir.

Kurumu alla au vestiaire et fut surprise par la décoration. Le longs des murs était dessinés de Rois des mers, et de tout autres animaux marins.
Elle se changea dans une cabine et mit ses affaires dans un casier. Elle vérifia plus de trois la solidité du casier, pour ne pas qu'on lui vole Gekota.

Une fois à l'intérieur, elle sauta dans la piscine, sans se soucier des autres personnes. Le quartet qu'elle a rencontré précédemment était aussi en ce lieu, mais pas pour nager. Elle sortie la tête de l'eau et les vit en train de baisser les maillots de bain des gens. Kurumu rigola devant ses scènes, mais voulait faire qu'une chose... Les toboggans.
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Elle pressa le pas et monta les escaliers d'un des toboggans. Le vigile expliqua à la va vite les règles et Kurumu fit sa première descente.
-"YOOUUUPII !"

Elle sortie en trombe du toboggan et vola sur deux mètres. L'arrivée dans l'eau fut violente et éclaboussante. Les maîtres nageurs étaient débordées par les conneries du quartet, qui les faisaient tourné en bourrique.
Kurumu sortie de l'eau couru puis glissa et tomba sur les fesses. Elle se releva et continua de courir pour retourner sur le toboggan. La jeune môme fit sa seconde glissade avec tout autant de bonheur que la précédente.

Soudain elle vit une ancienne connaissance, juste devant elle. Il s'appelait Jules. Il arrive sur la plateforme du toboggan et dit :
-"Hé les gens, venez ont fait une file de quatre personnes et on glissent tous ensemble. Pour une meilleure sensation."
Le maître nageur sensé s'occupé du toboggan, lui répondit :
-"C'est pas possible ça. Pour la sécurité des personnes, il n'y a pas possibilité de faire une file de x personnes."
-"Mais je veux le faire et je le ferais !"
-"Et bien, dieu sait que j'aurais essayer de te prévenir."
-"Dieu, dieu... Les gens n'ont que se mot à la bouche ! Il n'existe pas !"
-"Et pourquoi dis-tu ça ?"
-"Tu le vois ?"
-"Non."
-"Tu le touche ?"
-"Non."
-"Donc il n'existe pas."
-"Et ton cerveau tu le vois ?"
-"Non."
-"Tu le touche ?"
-"Non."
-"Donc tu n'en n'a pas. Ça résume la situation. Et bien fait donc comme tu le sens. Si y'a un quelconque problème, je ne serais pas responsable. "

Kurumu explosa de rire ainsi que Tytouf et Manouch, et tapèrent le sol du point. Elle se ressaisit et passa ses bras autour du torse de Jules. Manouch, qui avait enlevé ses lunettes, passa ses mains autour de la poitrine de Kurumu.
-"Enlève tes mains de moi !" en lui donnant une gifle.

Tytouf se roula par terre, et poussa Manouch qui entraîna la descente de Jules et de Kurumu.
-"HAAAAAAAAAAAA !! Pourquoi ça arrive à moi ?"
Ils arrivèrent dans l'eau, et dix secondes après Tytouf sorti du toboggan et tomba sur Jules et Kurumu. Bhugoal fit la bombe sur le joli petit groupe. Tous sortirent de l'eau et se tenait une partie du corps.
Kurumu s'assit sur une longue chaise et se frotta le genou.
-"Ils m'ont fait mal au genou. De vrai sauvages."

La fillette tourna la tête à gauche et aperçu un marchand de glace. Elle s'y approcha et regarda la carte. Elle saliva et retourna à son casier pour récupérer de l'argent.
Au vestiaire, la petite fille prit cinq billets, referma son casier et vérifia si celui-ci est bien fermé.
Elle accouru chez le marchand.
-"Bonjour"
-"Bonjour ma petite, alors qu'est ce que je te sers ?"
-J'aurais voulu une granita, mais j'ai quatre milles berrys. Donc j'en prendrais deux, et garder la monnaie."
-"Quel parfums ?"
-"Pour les deux, je voudrais pomme et framboise s'il vous plaît."

Elle repartie avec ses deux granitas, une dans chaque main et vit Jules, seul sur une longue chaise. Elle lui tendit une friandise.
-"Tiens, j'ai vu que tu étais seul, et j'en ai une en trop. Donc je te l'offre."
-"C'est gentil, mais j'ai juste une flemme d'aller chercher l'argent."
-"Bah prend là. Je te l'offre. Sinon je vais devoir la donner à une autre personne. Mais puisque tu m'as bien fait rire, je préfère que tu la prenne. J'ai entendu que tu t'appelais Jules. Moi c'est Kurumu. Enchantée."
-"Merci pour la glace, mais là, je dois rentrer. Mon père m'attend."

Elle jeta un oeil à l'horloge. Il était un peu plus de cinq heures.
*Ouai mon papa doit m'attendre. Mais avant je retourne au toboggan.*

Une fois au sommet, elle se mit sur le ventre et glissa tel un pingouin sur la banquise.
La môme continua de faire de la glisse jusqu'à que son forfait glissade soit épuisée.

Elle retourna au vestiaire, s'essuya, s'habilla et quitta la piscine. Il était un peu près dix huit heure quinze et le parc se vidait.
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*Maintenant, il faut que je trouve la sortie, qui peut être n'importe où. Je vais demander c'est la meilleure chose à faire.*

Elle trouva une personne vêtue de rouge de la tête au pied qui était devant la grande piscine.

Mais il est génial ce parc Pirate_SPAIN_by_NarutokingdoM

-"Excusez moi de vous déranger monsieur, mais elle est où la sortie. Il se fait tard et mon papa doit surement m'attendre au bateau."
-"J'attendais quelqu'un, mais ce n'est pas grave. Un joli petite fille comme toi doit être aidée."

Elle suivit l'homme rouge qui était en train d'aller dans un endroit isolé, et demanda en chemin :
-"Tiens si tu veux j'ai quelques bonbons. Ce sont des spécialités de Suna Land."
Kurumu accepta sans se soucier de la véracité de ses propos.

Environ cinq minutes plus tard, elle tituba et s'endormi.
-"Capturer cette gamine était beaucoup plus facile à faire." Il ouvrit le sac, et vit les liasses de billets. "Au moins je pourrais financer mon voyage pour GrandLine. Mais avant, je dois aller à la planque."
L'individu mit Kurumu sur ses épaules, et porta le sac de la main gauche. Une fois à la planque, l'homme ligota les mains et les pieds de la petite.

A son réveil, elle ne pouvait plus bouger. Elle regarda autour d'elle, et vit une maison en bois délabrée, en mauvais état et surtout très sale.
-"Eeeeooooh ! Libérée moi ! Je veux m'en aller. Et d'abord, elle est où ma peluche."
-"Arrête de parler, tu me les brises. Elle est sur la table ta peluche. Nous, ce que nous voulions, c'était l'argent. Ton jouet à la con n'a aucune valeur. Mais il faut vraiment être fou pour laisser une gamine seule avec plus de sept cent milles berrys. Finalement je vais te garder en otage, on appellera ton père et il pourra nous donner une fortune en échange de ta vie."
-"Nan je me laisserais pas faire. Détacher moi, sinon.. euh... euh... je vous ferais très mal."

Il alla vers la gamine, et commença à la gifler, puis à lui donner des coups de pieds. Elle était en sanglot, et un filet de sang apparu en coin de lèvres. Kurumu ferma les yeux et continuait de pleurer.
Elle renifla puis lui dit :
-"J'arrête de parler... AIIE !! s'il vous plaît arrêter de me battre AIIE !!"
L'homme s'arrêta de la frapper, et l'enferma dans un placard.
-"Ça me dégoûte les gamins qui ont tous ce qu'ils veulent juste en claquant des doigts. Pour te punir, tu resteras dans ce merdier, comme ça tu apprendras ce qu'est une vie difficile.
Avec ses poings liés, elle frappa sur la porte qui était fermée à clé.
-"Laissez moi sortir ! S'il vous plaît !"
-"Laisse tomber, tu n'arriveras à rien. Et ne devais tu pas arrêter de parler ?"

Kurumu se tue, s'assit et attendit. Il faisait sombre. Soudain elle entendit :
-"Capitaine, il y a un..." cria un des ses hommes
Il mourut sur le coup.
-"Un ennemi ! Capitaine, il faut se préparer au combat !" affirma un second.
Le gars en rouge eu à peine le temps de sortir son épée qu'une personne pénétra dans la planque.
-"Qui es tu ? De toute façon, tu vas mourir de mes mains. Regarde autour de toi, tu es cerné. Tu n'as aucune chance. Le nombre fait la force, la force fait les victoires, les victoires font de toi un roi, et le roi fait de toi le maître du monde. Tu as perdu. Mes hommes !! A l'attaque, éliminer moi ce fouteur de trouble."

La personne mystérieuse ne répondit pas aux paroles du guignol rouge, et se fit la dizaine de soldats. Ils tombèrent comme des mouches. Il était trop fort pour eux, et une fois débarrassé des sbires, il s'occupa froidement du chef. Il sorti de la planque en laissant la décharge en sang et fit signe à une bonne personne qu'une gamine est enfermée dans un placard.
Celle-ci se hâta, et vit que la couleur avait été refaite puis la libéra.
Kurumu sauta au cou de cette personne, et la remercia. D'un voix vieillotte, il lui répondit :
-"Ce n'est pas moi qu'il faut remercier. C'est la personne qui te surveillait qui a fait ça. Ensuite, il m'a vu en premier, car j'étais l'une des seule personnes qui passait par là, et il m'a expliqué ce qui venait de se passer. Malheureusement, il m'a défendu de dire quoi que ce soit à son sujet. Mais je peux toujours te ramener à la sortie du parc."
Le vieil homme sorti un mouchoir neuf, et lui essuya les larmes et le filet de sang de Kurumu qui prit son sac, avec sa peluche.

Devant la sortie du parc, le père de la petite fille l'attendait avec un gros cadeau. Kurumu remercia de nouveau la personne âgé, et courut dans les bras de son père.
-"J'espère que cette journée t'a plu ? Et comme promis voici ton cadeau."
-"Oui papounet, tu sais que je t'aime énormément. Bon, il y a des événements qui aurait pu rendre cette journée négative, mais si je ne les compte pas, bah tout était bien." fit la môme qui se jeta sur le cadeau.
Elle enleva le papier cadeau et vit la peluche collector de Gekota. Elle serra son père le plus fort possible et lui demanda :
-"Mais papounet, tu as fait le jeu du parc ?"
-"Oui ma chérie, et j'ai réussi. Ça devait être un gros coup de bol. Bon, on rentre, ou on attend la pleine lune, qui sera dans cinq mois environ ?" dit-il en se grattant la tête.

Gaetan porta la peluche au navire, et tous rentrèrent sur Ptyx. Il devait être neuf heure du soir, lorsque le père et la fille étaient à la maison. Kurumu expliqua sa journée à sa mère pendant le dîner, se lava et alla dans son lit.
*Fiouu... j'en peux plus moi. Papa part dans la nuit, mais il reviendra surement.*
Elle ferma les yeux et s'endormi aussitôt.
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