Pulu pulu pulu !
-Ouais, Hermès ?
-Bonjour, capitaine. Tout s'est bien déroulé, la livraison a été récupérée. Joli coup de filet.
-Et les marines ?
-Nous nous en occupons, comme prévu. Et vous resterez notre principal partenaire commercial quand tout sera terminé.
-Vous ne pouvez pas les faire disparaître purement et simplement. Leur supérieure est en contact permanent avec une commandante basée je ne sais où. Elle doit déjà être au courant de l'arrivée du groupe à Bulgemore...
-Aucun besoin d'aller jusque là, voyons. Nous avons tout ce qu'il faut pour les accueillir et les persuader de corriger leur rapport dans un sens qui nous conviendra.
-Sauf votre respect, Hermès, je pense pas qu'ils soient du genre corruptibles. La cheftaine est du genre à bouffer la viande crue au petit déjeuner, et les autres...
-Hum ?
-... disons qu'ils ont sans doute des raisons très personnelles d'en vouloir à quelqu'un qui fabrique des cosmétiques de merde en les vendant pour de la qualité.
-Je vois. Mais ne vous en faites pas, qu'est-ce que vous croyez ? Que je torture mes hôtes ? Ça se fera tout en douceur.
-C'est que, quand on les a laissé, la lieutenante commençait déjà à se douter que quelque chose tournait pas rond. Je m'en suis débarrassé comme j'ai pu, mais...
-Du calme, capitaine. Tout va bien. Rentrez chez vous, le relais est déjà prévenu. Votre paye vous attend à l'auberge du centre, table en entrant sur la droite. Vous connaissez déjà l'intermédiaire, c'est le même qu'il y a deux ans. Le petit brun avec la cicatrice sur la tempe.
-Bon, bon. Et si jamais...
-Si jamais, personne ne pourra remonter votre trace, capitaine, exactement comme convenu. Vous êtes un mercenaire, il n'y a qu'un contrat tacite qui nous lie. Vous vous taisez, je me tais. De toutes façons, ça ira. Ce ne sont pas les premiers fouineurs qui débarquent, vous savez...
-Peut-être, mais c'est la première fois que j'en vois de mes propres yeux.
-Je comprends bien votre émoi. Mais faites moi confiance. Vous n'entendrez plus jamais parler d'eux.
-Bien.
-Bonsoir, capitaine.
-Ouais, Hermès ?
-Bonjour, capitaine. Tout s'est bien déroulé, la livraison a été récupérée. Joli coup de filet.
-Et les marines ?
-Nous nous en occupons, comme prévu. Et vous resterez notre principal partenaire commercial quand tout sera terminé.
-Vous ne pouvez pas les faire disparaître purement et simplement. Leur supérieure est en contact permanent avec une commandante basée je ne sais où. Elle doit déjà être au courant de l'arrivée du groupe à Bulgemore...
-Aucun besoin d'aller jusque là, voyons. Nous avons tout ce qu'il faut pour les accueillir et les persuader de corriger leur rapport dans un sens qui nous conviendra.
-Sauf votre respect, Hermès, je pense pas qu'ils soient du genre corruptibles. La cheftaine est du genre à bouffer la viande crue au petit déjeuner, et les autres...
-Hum ?
-... disons qu'ils ont sans doute des raisons très personnelles d'en vouloir à quelqu'un qui fabrique des cosmétiques de merde en les vendant pour de la qualité.
-Je vois. Mais ne vous en faites pas, qu'est-ce que vous croyez ? Que je torture mes hôtes ? Ça se fera tout en douceur.
-C'est que, quand on les a laissé, la lieutenante commençait déjà à se douter que quelque chose tournait pas rond. Je m'en suis débarrassé comme j'ai pu, mais...
-Du calme, capitaine. Tout va bien. Rentrez chez vous, le relais est déjà prévenu. Votre paye vous attend à l'auberge du centre, table en entrant sur la droite. Vous connaissez déjà l'intermédiaire, c'est le même qu'il y a deux ans. Le petit brun avec la cicatrice sur la tempe.
-Bon, bon. Et si jamais...
-Si jamais, personne ne pourra remonter votre trace, capitaine, exactement comme convenu. Vous êtes un mercenaire, il n'y a qu'un contrat tacite qui nous lie. Vous vous taisez, je me tais. De toutes façons, ça ira. Ce ne sont pas les premiers fouineurs qui débarquent, vous savez...
-Peut-être, mais c'est la première fois que j'en vois de mes propres yeux.
-Je comprends bien votre émoi. Mais faites moi confiance. Vous n'entendrez plus jamais parler d'eux.
-Bien.
-Bonsoir, capitaine.