Kurumu a quitté le quai il y a déjà une bonne vingtaine de minutes. Elle avait fait ses au-revoir à son amie d'enfance. Épuisée et ne voyant pas l'ombre d'une île, l'adolescente fit une pause tout en laissant la barque dérivée et regarda les objets en sa possession.
*Donc j'ai cette arme, des berrys qui me permettrons de survivre encore quelques semaines, la mallette, des cartes des mers, une boussole, et des babioles que je peux vendre où échanger.*
La jeune adolescente regarda ensuite si elle avait des vivres à bord de la petite barque. Malheureusement pour elle, aucun aliments étaient présent.
Malgré le manque de nourriture et un morale à sec, elle continua à ramer. La fatigue se faisait de plus en plus sentir.
*Je suis trop fatiguée pour continuer. Mais je ne veux pas rester sur ces eaux, j'ai pas envies de me battre avec des poissons géants ou même des monstres bizarres.*
La jeune fille continua de ramer, mais sentie que le bateau basculait de gauche à droite et vice-versa. Elle passa la tête par dessus bord et vit l'ombre d'une bête. Celle-ci devait faire près d'un mètre quatre vingt.
-"Bon montre toi sale poiscaille !"
Le poisson tourna autour de la barque et donna des coups de queue. Kurumu prit son arme puis attendis le faux pas du poisson. La barque tanguait, puis le poisson sorti hors de l'eau puis sauta par dessus le bateau. Il s'avère être un cabillaud, mais l'adolescente coupa le poisson en plein vol. Les deux parties du poisson tombèrent de part et d'autre de la barque. La jeune fille reprit les rames en laissant la chair du poisson couler au fond de la mer.
Quelques heures avant la tombée de la nuit, Kurumu aperçut une île. Il y avait une montagne et un grand arbre au tronc large et haut, avec un immense feuillage dorée. L'arbre surplombait la montagne.
Fatiguée de ramer, elle se laissa dériver et parvint à accoster sur l'île, pris sa Pourfendeuse du ciel et partie en quête de vivres, et ce, malgré son épuisement.
*Donc j'ai cette arme, des berrys qui me permettrons de survivre encore quelques semaines, la mallette, des cartes des mers, une boussole, et des babioles que je peux vendre où échanger.*
La jeune adolescente regarda ensuite si elle avait des vivres à bord de la petite barque. Malheureusement pour elle, aucun aliments étaient présent.
Malgré le manque de nourriture et un morale à sec, elle continua à ramer. La fatigue se faisait de plus en plus sentir.
*Je suis trop fatiguée pour continuer. Mais je ne veux pas rester sur ces eaux, j'ai pas envies de me battre avec des poissons géants ou même des monstres bizarres.*
La jeune fille continua de ramer, mais sentie que le bateau basculait de gauche à droite et vice-versa. Elle passa la tête par dessus bord et vit l'ombre d'une bête. Celle-ci devait faire près d'un mètre quatre vingt.
-"Bon montre toi sale poiscaille !"
Le poisson tourna autour de la barque et donna des coups de queue. Kurumu prit son arme puis attendis le faux pas du poisson. La barque tanguait, puis le poisson sorti hors de l'eau puis sauta par dessus le bateau. Il s'avère être un cabillaud, mais l'adolescente coupa le poisson en plein vol. Les deux parties du poisson tombèrent de part et d'autre de la barque. La jeune fille reprit les rames en laissant la chair du poisson couler au fond de la mer.
Quelques heures avant la tombée de la nuit, Kurumu aperçut une île. Il y avait une montagne et un grand arbre au tronc large et haut, avec un immense feuillage dorée. L'arbre surplombait la montagne.
Fatiguée de ramer, elle se laissa dériver et parvint à accoster sur l'île, pris sa Pourfendeuse du ciel et partie en quête de vivres, et ce, malgré son épuisement.