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De princesse à esclave, il n'y a qu'un pas

"Aujourd'hui, rien que pour vous, nous avons un lot d'esclaves de bonnes. Il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses."

--- 30 minutes plus tôt ---

Goa. Cité royale de l'île Dawn.

Plusieurs heures après que Candy fut capturé par une bande de bandit du Terminal, la jeune fille se retrouvait pieds et poings liés. Elle était encore endormie, mais se trouvait au beau milieu d'une cellule. Près d'elle de nombreux lots, de nombreux vendeurs et quelques personnes en costume qui marchaient, inspectaient les lots, écrivent des notes sur des cahiers, marchaient sans dire un mot. Vendeur et lot ne bougent pas, ils restent à leur place et attendent que les allées et venues des hommes en noirs se termine.

Pendant plus d'une demi-heure, l'ambiance était très calme et personne ne parlait, chacun s'occupait comme il le pouvait en attendant que le gong résonne et que les lots soient classé par niveau de qualités. Chaque vendeur espérant que son lots soit classé dans la meilleure des catégories dans le but d'en tirer un plus grand lots. Pour les ravisseurs de la jeune femme, leur salut allaient dépendre de la catégorie dans laquelle la jeune femme allait se voir attribuer. Leur vie avaient été fixés à 5 millions de berry par leur patron, ce qui voulait dire que pour atteindre au moins cette somme, Candy devait au moins entrer dans la catégorie "B".

C'est au moment où l'un des inspecteurs des ventes venait de questionner les ravisseurs sur l'origine et la provenance de leur lot que la drogue qui plongea la jeune femme dans le pays des rêves cessa de faire effet sur elle. Quittant peu à peu son état de sommeil, la jeune femme réalisa une nouvelle fois que c'était bel et bien la réalité et que comme la première fois, qu'elle était encore entravée et qu'à ses côtés se trouvaient les personnes responsables de son état de captivité.


"Attendez que je me libère de mes liens et je vais vous éclatez la face. Attend, on est où là ? C'est quoi ce bordel."

Candy troubla le calme de la salle de vente à elle seule et provoqua même l'étonnement des autres vendeurs ainsi que des lots qui jusqu'à présent étaient résignés et n'osaient même pas lever la tête. Si les autres esclaves en devenir savaient ce qui allaient leur arrivée et ce qui allaient advenir de leur triste destin, Candy, elle l'ignorait et n'allait certainement pas accepter de vivre une vie comme une marchandise.

"Hum"

L'homme en noir regarda la jeune femme, griffonna sur son cahier, regarda de nouveau la jeune femme avant de poser quelques questions supplémentaires aux vendeurs. L'homme était celui qui attribuait les notes et manque de pot pour le petit groupe venu du terminal, celui qui notait la jeune femme était considérée comme étant le plus strict de toute l'équipe des hommes en noir et pour cause, il était celui qui arrivait le mieux à déterminer la valeur marchande d'un produit et les vendre aux meilleurs clients et aux meilleurs prix. C'était l'expérience, avec trente ans de métier, il était capable de voir les moindre défauts d'une personne, objet où toute chose vivante ou non qui tombe sous son regard.

La séance d'estimation dura plus longtemps que d'habitude étant donné que la jeune femme interrompait assez souvent les vendeurs dans leurs réponses en leur crachant dessus, puis quand sa bouche fut bâillonnée, elle se mettait à bouger dans tous les sens, de peur de la voir se blesser, on tenta de la calmer afin de lui retirer ses chaînes pour des entraves qui lui permettraient de faire ses caprices sans toutefois la blesser et donc perdre de la valeur.

Au bout d'un moment, las de ses bêtises, l'homme en noir demanda une seringue, puis piqua la jeune femme. Candy ne dormit pas, elle se retrouvait juste dans un était plus calme et apaisé. Pour la vendre, les organisateurs avaient besoin qu'elle soit quand même en état de se tenir debout et puisse parler, chose qu'une personne endormie ne peut pas faire. Quoi qu'il en soit, une fois drogué, l'homme jeta un dernier coup d’œil sur le produit, réajusta ses lunettes, puis passa à un dernier lot avant de quitter définitivement la salle.


"Tu penses qu'il nous as donné qu'elle note ?"

"J'en sais rien, elle à peut-être tout foiré en se réveillant."

"J'espère pour nous qu'elle rapportera assez d'argent, car je ne pense pas que le boss vous laissera une seconde chance."


Quelques minutes après, tous les commissaires priseurs, du moins, c'était le seul métier qui se rapprochait du leur, revinrent et attribuèrent des numéros de lot ainsi que des catégories à chaque vendeur et pour chacun de leur lot à vendre. Le numéro attribué à la jeune Candy était le 50 et elle entrait de justesse dans la catégorie "B", la catégorie des lots pouvant dépasser les 3 millions de berry.

"Ouf, on est dans la catégorie "B""
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La vente se déroula sans aucun problème. Les lots du début avaient un peu de mal à trouver acheteur, mais à force de baisser sur les prix, chacun fini par se retrouver. Un lot d'arme de faibles qualités fut vendue à un groupe de bandit provenant du Grey Terminal. Un pirate très faible et très peu connu fut vendu à un bourgeois. Quand l'homme se leva pour acheter son bien, la salle s'étonna, puis comme si de rien n'était la vente se poursuivi.

Toujours sous l'effet de la drogue qu'on lui avait administrée, Candy voyait son monde en trois dimensions. Elle avait beau voir ceux qui l'entouraient partir de plus en plus, elle n'imaginait pas, du moins plus ce qui se passait de l'autre côté de la scène. Avec la dose qu'elle avait, Candy se sentait bien, inconsciente, elle n'imaginait même pas que son tour finirait par arriver et qu'elle aussi finirait par se retrouver vendu comme du bétail.

Au bout d'une heure pleine de rebondissement, de dépense et de folie, les lots les moins prisés furent tous vendus. N'ayant plus de lots mineurs, le présentateur entra en scène et lança une annonce. Les habitués des lieux savaient qu'à partir de ce moment la seconde partie des ventes n'allaient pas tarder à commencer et qui dit seconde partie des ventes dit aussi droit de participation. Sur Goa, pour assister à la présentation et à la vente des lots de meilleures catégories, les participants devaient d'abord payer un droit de participation de l'ordre d'un million de berry.

Ceux n'ayant plus les moyens ou ne voulant pas participer à la suite des ventes se levèrent et quittèrent l'établissement pour ne laisser que les plus aisés ou ceux n'ayant pas dépensé leur bourse. Après cinq minutes d'attente, cinq hommes passèrent et récoltèrent l'argent des spectateurs, puis une fois l'argent récolté, la vente reprit de plus belle.

Il ne restait plus que les lots les plus importants, ceux qui rapportaient gros. Candy en faisait partie, mais bien quelle figure en bas de cette liste de lot important, elle ne passa pas en première. En tant que dernier lot de la meilleure catégorie, la jeune femme ne pouvait pas passer de suite, il fallait d'abord mettre en allène les spectateurs en leur proposant l'un des meilleurs produits histoire qu'ils se rendent compte que leur investissement d'un million de berry en valait le coup.

Le premier lot qui entra en scène fut une cargaison d'arme. Rien à voir avec la première cargaison qui fut vendue à bas prix, celle-ci était d'un tout autre niveau. Provenant directement de Grandline, un gatling fut proposé au public. Directement à l'arrivée de l'arme de guerre, les yeux des spectateurs furent comblé. Pour certain ils voyaient en cette arme une magnifique pièce de collection. Une arme qu'ils pourraient montrer aux autres bourgeois quand ceux-ci viendraient à leur rendre visite et pour d'autre, vivant dans le meurtre, le crime et la violence, cette arme était un outil parfait pour obtenir encore plus de territoire, encore plus de pouvoir.

Le gatling s'arracha à prix d'or. Les mains se levaient de tous les côtés et le prix ne cessait d'augmenter. Depuis la salle où se trouvait le reste des marchandises, on pouvait entendre le bruit de ces acheteurs fous. Cinq, dix, puis treize. Treize millions de berry, voilà le prix final de cette arme de guerre. L'homme qui réussi à obtenir l'arme d'assaut était un noble de l'île. Appartenant à la famille royale de l'île, l'homme était fier de son achat, mais malgré la somme dépensée, resta assis, comme s'il n'avait pas encore épuisé son budget.

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La folie des riches n'avaient donc aucune limite, treize millions de berry, combien de personnes sur cette île auraient aimé posséder un tel montant sur eux et malgré tout ce qui se passe sur Goa, personne ne lève le petit doigt pour le peuple et au lieu d'investir sur cette île et ses habitants, les riches préfèrent dilapider leur sous en achat inutile.

C'était cela la vie sur Goa et personne ne s'en plaigne du moins du bon côté de la ligne, celle qui délimite les riches des pauvres. Candy connaissait cela que trop bien, sur son île natale, sa famille très aisée constituait le sommet de la hiérarchie sociale de l'île, mais contrairement à Goa, sa famille aide le peuple et ne le laisse pas mourir de faim dans des montagnes d'ordure.

Revenons à la vente.

Après l'arme, ce fut au tour de pièce d'art d'être mis en vente. Une fois encore les oeuvres provenaient de Grandline et attisaient beaucoup les convoitises. Peut-être que le simple fait de provenir de cette partie du monde octroyait un certain prestige aux oeuvres étant donné le fait qu'il est très difficile et couteux de se rendre sur cette partie du monde. Bravé pirates, monstres marins et la mer elle-même accorde un certain prestige qui vaut son pesant d'or. Voilà comment ces hommes et femmes de la bourgeoisie de Goa devaient voir les choses, c'était sans doute l'une des raisons qui les poussent à dépenser autant d'argent en si peu de temps.

Entre deux gros lots, les organisateurs glissaient quelques lots de moindre importances. Leur méthode étaient bien rôdé, puisqu'une fois les clients à fond dans la vente, ils ne leur fallaient qu'une minute à peine pour écouler les lots secondaires tout en empochant un très bon montant.

Ce qui devait arriver se produisit. Le tour de Candy arriva enfin. La jeune femme n'était pas dans son meilleur état, cela ne faisait pas photo. Rien qu'en la voyant il était difficile même pour les organisateurs de tirer un maximum d'elle. Qui voudrait d'une femme qui semble dans les pommes, avec des lunettes sur le visage et des vêtements, pas sexy du tout, alors avant de la présenter, ils lui donnèrent un petit coup de neuf.

Au diable les lunettes, ils lui ôtèrent et les glissa dans sa poche. Si elle était myopes au final ils s'en mordraient les doigts, alors par mesure de sécurité ils lui laissèrent. Sa coupe de cheveux n'était pas vendeur, alors ils lui détachèrent les cheveux et lui fit des couettes façon jeune étudiante. Ce n'était pas tout, ils poussèrent le vice jusqu'au bout en coupant ses vêtements de façon à ce que son pantalon ne soit qu'une moitié de pantalon, pour ne pas dire un tiers façon short sexy. Son tee-shirt subi le même sort de manière à laisser son ventre sortir dehors.

La transformation ne s'arrêta pas à ces quelques détails. Son tee-shirt fut mouillé avant de monter sur scène afin de faire ressortir sa poitrine qui n'était pas bien grande. Vulgaire ? Oui, mais avec la manière étant donné qu'une fois sur scène, personne ne s'écria à la présentation de la jeune femme. Ils savaient y faire ses organisateurs, très professionnel, très pointilleux.

Bref, quand elle fut présentée, Candy était devenu une tout autre femme. Une véritable princesse entre les mains de crapules.


"A.. l'aide"

Le son était à peine perceptible à l'oreille, mais c'était la première fois que Candy demandait de l'aide. Elle savait qu'elle n'obtiendrait le soutient de personne et qu'avant elle sans doute des centaines, voir des millions d'esclaves en avait fait autant, mais c'était plus fort qu'elle, c'était d'ailleurs plus fort que l'Homme. Vivre en esclave, personne ne pouvait accepter cela et même les plus résignés au fond d'eux espère que l'inévitable pourra être évité.
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Transformé, la jeune femme reçue un très bel accueil de la part des clients de la salle. Les yeux s'ouvraient, les langues quittaient leur nid afin d'humidifier les lèvres, les mains commençaient à se frotter les unes aux autres, bref les acheteurs potentiels se faisaient de plus en plus nombreux.

Même les bandits qui l'avaient capturé plus tôt se frottaient les yeux tant la jeune femme ne ressemblaient plus à une femme ordinaire. Ils se regardèrent entre eux et pensaient à la même chose en même temps, s'ils n'étaient pas sous la coupe d'une mort certaine, ils auraient volontiers jeter leur bourse dans le but de la récupérer.

Malgré cette nouvelle beauté, le prix de Candy ne décolla pas au démarrage, comme prévu, son prix fut d'un peu moins d'un million. La méthode était rodée, car très vite les mains se levaient et le prix passa aussi vite la barre du million de berry, classique pour une très belle femme avec l'appellation "Capturer sur Grandline & membre d'un équipage pirate" même si cela n'était pas vrai.

Il ne fallait pas se faire des films quant au niveau du prix que pouvait atteindre Candy, deux millions, c'était le grand maximum qu'une femme pouvait atteindre. Ce n'était pas grand-chose comparer aux sommes folles qui passaient de main en main, mais pour une femme c'était déjà pas mal.

1M380 Berry, voilà le prix final de la jeune femme. 1m380 Berry, ce fut le prix à payer pour l'homme ayant acheté le Gatling pour ajouter Candy à sa collection. Comparer à son arme de guerre, la jeune femme ne représentait qu'une infime partie de ses dépenses et pourtant avec cette simple petite somme sur Goa cela représentait des années et des années de dur labeur pour certain et l'argent de toute une vie pour d'autre.

En entendant le marteau tomber et la décision de vente actée, Candy repensa à son aventure qui venait à peine de commencer et qui se terminait déjà en tant qu'esclave. Elle se rappela également des paroles de son père qui refusaient de la voir quitter son île et lui interdisait de nourrir des ambitions autres que chef de son clan. En y réfléchissant, il n'avait peut-être pas tord. Sur ses quelques pensés, la jeune femme ferma les yeux et s'endormi en tant qu'esclave.

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Concernant les hommes ayant capturé et mis en vente la jeune femme, ils s'en tiraient à bon compte. La vente de Candy dépassa leur attente et leur permit d'obtenir assez d'argent pour rembourser leur chef. Avec plus d'un million en poche, ce dernier fermerait les yeux sur leur incompétence et leur laisserait vivre quelques années de plus, du moins s'ils ne déconnent pas une nouvelle fois en chemin.

Tout est bien qui fini bien, du moins c'était sans compter sur la présence du bras droit du chef qui ne l'entendait pas de cette manière. Taupe depuis le début, ce dernier ne faisait que jouer un rôle depuis le début et avait toujours eu pour ambition de gravir plus vite les échelons, voilà pourquoi ils avaient vendu son propre groupe au camps adverse et maintenant qu'il en avait l'occasion, il ne se priva pas une seule seconde pour doubler les pauvres idiots qui ont capturé Candy et leur subtiliser l'argent de la vente destinés à leur boss.

Laissé pour mort, le groupe de bandits gisait sur le sol. Autour d'eux tout le monde les voyaient, mais personne ne leur venait en aide. Sur Goa la vie était vraiment impitoyable.



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