-T’as mal compté
-Oué t’es nul. On était à deux secondes de la liberté.
-Fermé là ! J’ai bien compté. C’est juste qu’il a pas terminé sa ronde. J’avais calculé avec une belle marge.
-Oué c’est ça…
-De toute façon, on risque pas de trouver une ouverture de sitôt.
-Boaf, la dernière fois que t’as dit ça on a retenté une sortie le jour même.
-De toute façon c’est toujours ta faute !
-Eh toi la dernière fois ta même pas voulu tuer le gars alors chute.
-Et puis toi t’as vus ce que t’as fait hier ? Tu t’es fait dessus.
-HOW HOW HOW. On se calme les gars. Puis j’vous signale que…
Le bruit du métal frappant ces semblables. C’est le premier son que j’entends. Puis cette immense douleur au niveau des épaules… C’est atroce. J’ouvre doucement les yeux. Encore une pièce bien sombre. J’vois un type à ma gauche attaché au bras. Il ne peut s’assoir, puis un autre à droite qui est dans le même cas. Je finis par prendre appui sur mes jambes pour soulager la douleur des épaules et finis par remarquer qu’on est trois dans ce cas.
-Hey le dragon céleste. T’aurais pu rester debout un peu plus longtemps. Si tu m’aurais libéré je serais plus là.
J’ignore totalement le gars et regarde mon épaule. La blessure faite avec le crocher a été cousue. Puis la balle extraite.
-Il soigne un minimum ici. Ça serait triste de te voir mourir. Non pour eux c’est pas drôle de voir un mec claqué. Ils sont fous ces longs bras.
Un gros cri m’a fait sursauter. Ça vient de tout proche. La porte s’ouvre et un homme est trainé. Celui-ci est torse nu et dispose de nombreuses traces de fouet. Accompagnés pars deux gus, il se fait enchainé comme nous. Même pendant le repos on est torturé ici…
-R.A.V. Après la pause repas c’est à toi.
-Je pourrais avoir de l’alcool ?
Le type me regarde et me lance un léger sourire. Il s’approche de moi tandis que je fronce les sourcils. Qu’est ce qu’il m’veut. ‘Tain enlève tes pattes de mon visage. Il touche ma vieille cicatrice faite par le commandant Scar.
-On passe un marché. Tu deviens mon joujou pendant cinq minutes et je t’offre une bouteille.
-Refuse.
R.A.V se prend un gros coup de poing américain dans les côtes. J’ferrais presque tout pour une bouteille. Alors je hoche légèrement la tête pour donner mon accord.
-hé hé hé super.
D’autres esclave arrive et modifie la façon dont nous sommes attachés. Toujours attaché au bras et aux jambes, mais cette fois on peut s’assoir. La nourriture nous est offerte. Une sorte de purée jaunâtre. Ça semble pas bon tout ça. Bon j’attaque à plein main et dévore l’assiette en quelque seconde. Beurk. Mais bon faut bien s’alimenter. Je prends le verre d’eau, le porte à ma bouche et m’arrête. Depuis tout à l’heure j’ai l’impression d’entendre quelque chose. Là c’est comme si le bruit de fond, le bourdonnement à prit fin. Je bois mon verre tranquillement et remarque un autre fellé dans le coin. Celui qui vient de se faire torturait. Il prend le l'assiette avec ces pied et se l'amène à la bouche.
-Purée... 85/62. Manque un peu de miel et de fruit de mer.
-Manque plutôt du sel.
-Non pas de sel. De citron c'est différent.
Étrange personnage. C'est quoi ces gars. Pas un pour rattrapé l'autre. Une fois que le repas est terminé, le son reprend. C’est un des prisonniers qui parle. Depuis le début il chuchote je ne sais quoi. Probablement un de ces tarés qui n’a pas goûté à la lumière du jour depuis trop longtemps.
On m’amène dans la pièce à côté qui n’est autre que la salle de torture. J’me demande bien ce que va vouloir faire le gars. J’suis attaché à une table et lui s’approche avec un chirurgien.
-J’ai un pote qui a perdu un œil. On va prendre le tient. De toute façon un seul te suffit hein ? Hé hé hé
‘Tain, il est fou. Je bouge et tente de me libérer mais impossible, les sangles sont trop serrées et j’ai pas de jeu. Si je perds un œil je ne pourrais plus esquiver aussi aisément. Je lève légèrement la tête et vois le doc en train de laver ses ustensiles. Puis l’autre me montre la bouteille et la pause sur la table comme pour me dire t’as vu je suis un homme de parole.
-T’as vus je suis un homme de parole.
-Tu vois ta tête. Elle va finir dans le cul du médecin. Tu verras. Je suis un homme de parole !
J’crois qu’il le prend mal parce qu’il me donne un coup de batte dans le ventre et me sangle au niveau du front.
Une grosse secousse, grosse explosion non loin. Les longs bras s’arrêtent. Le tortionnaire demande au chirurgien de commencer pendant qu’il va voir ce qui se passe. Avec ses instruments en main, le gars approche de mon œil.
-Psst. Hep. Vous avez un gars qui se nomme TNT sur le navire. Pour moi le coupable est déjà désigné. Hep attends attends. Ecoute. Tu n’entends pas une sorte de ruissèlement. Moi je dis qu’on est en train de coulé. J’vais te dire un secret. Un mec comme TNT, calme. C’est surement l’un des plus dangereux. Tu sais pourquoi ? Parce qu’on sait jamais ce qu’il prépare. Avec tout le grabuge de ces dernières heures il a s’en doute eut l’occasion de passer à l’action.
Le médecin légèrement songeur, décide d’arrêter à quelque centimètre de son objectif. Il avance vers la porte et l’ouvre. L’eau se met à rentrer abondamment. Ce peureux remarque que les autres long bras ont déjà fuis le secteur. Il prend ses outils et fait de même.
-Oué t’es nul. On était à deux secondes de la liberté.
-Fermé là ! J’ai bien compté. C’est juste qu’il a pas terminé sa ronde. J’avais calculé avec une belle marge.
-Oué c’est ça…
-De toute façon, on risque pas de trouver une ouverture de sitôt.
-Boaf, la dernière fois que t’as dit ça on a retenté une sortie le jour même.
-De toute façon c’est toujours ta faute !
-Eh toi la dernière fois ta même pas voulu tuer le gars alors chute.
-Et puis toi t’as vus ce que t’as fait hier ? Tu t’es fait dessus.
-HOW HOW HOW. On se calme les gars. Puis j’vous signale que…
Le bruit du métal frappant ces semblables. C’est le premier son que j’entends. Puis cette immense douleur au niveau des épaules… C’est atroce. J’ouvre doucement les yeux. Encore une pièce bien sombre. J’vois un type à ma gauche attaché au bras. Il ne peut s’assoir, puis un autre à droite qui est dans le même cas. Je finis par prendre appui sur mes jambes pour soulager la douleur des épaules et finis par remarquer qu’on est trois dans ce cas.
-Hey le dragon céleste. T’aurais pu rester debout un peu plus longtemps. Si tu m’aurais libéré je serais plus là.
J’ignore totalement le gars et regarde mon épaule. La blessure faite avec le crocher a été cousue. Puis la balle extraite.
-Il soigne un minimum ici. Ça serait triste de te voir mourir. Non pour eux c’est pas drôle de voir un mec claqué. Ils sont fous ces longs bras.
AAAAAAAAAAAAAA ! Douleur 14/10, 14/10 !
Un gros cri m’a fait sursauter. Ça vient de tout proche. La porte s’ouvre et un homme est trainé. Celui-ci est torse nu et dispose de nombreuses traces de fouet. Accompagnés pars deux gus, il se fait enchainé comme nous. Même pendant le repos on est torturé ici…
-R.A.V. Après la pause repas c’est à toi.
-Je pourrais avoir de l’alcool ?
Le type me regarde et me lance un léger sourire. Il s’approche de moi tandis que je fronce les sourcils. Qu’est ce qu’il m’veut. ‘Tain enlève tes pattes de mon visage. Il touche ma vieille cicatrice faite par le commandant Scar.
-On passe un marché. Tu deviens mon joujou pendant cinq minutes et je t’offre une bouteille.
-Refuse.
R.A.V se prend un gros coup de poing américain dans les côtes. J’ferrais presque tout pour une bouteille. Alors je hoche légèrement la tête pour donner mon accord.
-hé hé hé super.
D’autres esclave arrive et modifie la façon dont nous sommes attachés. Toujours attaché au bras et aux jambes, mais cette fois on peut s’assoir. La nourriture nous est offerte. Une sorte de purée jaunâtre. Ça semble pas bon tout ça. Bon j’attaque à plein main et dévore l’assiette en quelque seconde. Beurk. Mais bon faut bien s’alimenter. Je prends le verre d’eau, le porte à ma bouche et m’arrête. Depuis tout à l’heure j’ai l’impression d’entendre quelque chose. Là c’est comme si le bruit de fond, le bourdonnement à prit fin. Je bois mon verre tranquillement et remarque un autre fellé dans le coin. Celui qui vient de se faire torturait. Il prend le l'assiette avec ces pied et se l'amène à la bouche.
-Purée... 85/62. Manque un peu de miel et de fruit de mer.
-Manque plutôt du sel.
-Non pas de sel. De citron c'est différent.
Étrange personnage. C'est quoi ces gars. Pas un pour rattrapé l'autre. Une fois que le repas est terminé, le son reprend. C’est un des prisonniers qui parle. Depuis le début il chuchote je ne sais quoi. Probablement un de ces tarés qui n’a pas goûté à la lumière du jour depuis trop longtemps.
On m’amène dans la pièce à côté qui n’est autre que la salle de torture. J’me demande bien ce que va vouloir faire le gars. J’suis attaché à une table et lui s’approche avec un chirurgien.
-J’ai un pote qui a perdu un œil. On va prendre le tient. De toute façon un seul te suffit hein ? Hé hé hé
‘Tain, il est fou. Je bouge et tente de me libérer mais impossible, les sangles sont trop serrées et j’ai pas de jeu. Si je perds un œil je ne pourrais plus esquiver aussi aisément. Je lève légèrement la tête et vois le doc en train de laver ses ustensiles. Puis l’autre me montre la bouteille et la pause sur la table comme pour me dire t’as vu je suis un homme de parole.
-T’as vus je suis un homme de parole.
-Tu vois ta tête. Elle va finir dans le cul du médecin. Tu verras. Je suis un homme de parole !
J’crois qu’il le prend mal parce qu’il me donne un coup de batte dans le ventre et me sangle au niveau du front.
*BOUM*
Une grosse secousse, grosse explosion non loin. Les longs bras s’arrêtent. Le tortionnaire demande au chirurgien de commencer pendant qu’il va voir ce qui se passe. Avec ses instruments en main, le gars approche de mon œil.
-Psst. Hep. Vous avez un gars qui se nomme TNT sur le navire. Pour moi le coupable est déjà désigné. Hep attends attends. Ecoute. Tu n’entends pas une sorte de ruissèlement. Moi je dis qu’on est en train de coulé. J’vais te dire un secret. Un mec comme TNT, calme. C’est surement l’un des plus dangereux. Tu sais pourquoi ? Parce qu’on sait jamais ce qu’il prépare. Avec tout le grabuge de ces dernières heures il a s’en doute eut l’occasion de passer à l’action.
Le médecin légèrement songeur, décide d’arrêter à quelque centimètre de son objectif. Il avance vers la porte et l’ouvre. L’eau se met à rentrer abondamment. Ce peureux remarque que les autres long bras ont déjà fuis le secteur. Il prend ses outils et fait de même.