>>Gon Blacknife
Pseudonyme : Pas de surnom Age: 29 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Bretteur Groupe : Civil But : Rendre ce monde un peu meilleur / Devenir le plus grand bretteur du monde Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Meitous Équipements : Deux sabres basiques Codes du règlement (2) : Parrain : / Ce compte est-il un DC ? : oui Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Red |
>> Physique
Je suis quelqu’un d’assez basique. Le tape à l’œil, le bling-bling, le « m’as-tu vu », tout ça, c’est loin d’être mon truc. Ce qui m’importe, c’est de pouvoir passer partout sans que personne ne se souvienne m’avoir un jour croisé. Et ce n’est pas évident quand on fait 1m97. Vous pouvez me croire. J’essaye donc de porter les fringues les plus banales possibles. Un simple jean, une veste noire ou au moins très sobre et des chaussures à pointes.
Mon attitude aussi a pour but de me faire oublier. Je passe dans des rues bondées de monde, je me mêle à la foule le plus possible. J’essaye de me promener tête baissée et de ne jamais regarder les gens dans les yeux. Ce n’est pas de la soumission, c’est juste qu’on se souvient bien plus facilement des gens dont on a croisé le regard et que je n'y tiens pas. Je fume aussi. Ça n’a rien à voir avec la discrétion par contre. C’est juste que je ne peux pas me passer de cette merde.
Physiquement, je suis très mince. Les gens disent même « maigre » quand ils veulent me définir. C’est assez blessant, mais j’aurais du mal à les contredire. Mes côtes sont visibles à des kilomètres et j’ai beau me pincer, je ne suis pas fichu de me saisir d’un petit milligramme de graisse au niveau de ma ceinture abdominale. Ni nulle part ailleurs soit dit en passant. Mais ça ne me dérange pas. Au contraire. En étant fin, je suis plus difficile à atteindre avec une lame ou une balle. Je fais une cible plus petite.
Parlons de mon visage à présent. La maigreur le rend extrêmement anguleux. Mon menton est pointu et mes joues sont creusées. Beaucoup pensent que je suis très malade. Mais non, je n’ai pas le moindre problème de ce coté. Mes yeux sont marrons et brillent d’un éclat doré lorsque je suis dans un combat. Cela impressionne souvent les adversaires mais ce n’est pas non plus un très grand avantage. Mes lèvres sont quasiment inexistantes.
Voilà vous savez à peu près tout ce qu’il y a à savoir sur moi, niveau physique. Et si vous pouviez l’avoir oublié demain, ça m’arrangerait beaucoup.
Mon attitude aussi a pour but de me faire oublier. Je passe dans des rues bondées de monde, je me mêle à la foule le plus possible. J’essaye de me promener tête baissée et de ne jamais regarder les gens dans les yeux. Ce n’est pas de la soumission, c’est juste qu’on se souvient bien plus facilement des gens dont on a croisé le regard et que je n'y tiens pas. Je fume aussi. Ça n’a rien à voir avec la discrétion par contre. C’est juste que je ne peux pas me passer de cette merde.
Physiquement, je suis très mince. Les gens disent même « maigre » quand ils veulent me définir. C’est assez blessant, mais j’aurais du mal à les contredire. Mes côtes sont visibles à des kilomètres et j’ai beau me pincer, je ne suis pas fichu de me saisir d’un petit milligramme de graisse au niveau de ma ceinture abdominale. Ni nulle part ailleurs soit dit en passant. Mais ça ne me dérange pas. Au contraire. En étant fin, je suis plus difficile à atteindre avec une lame ou une balle. Je fais une cible plus petite.
Parlons de mon visage à présent. La maigreur le rend extrêmement anguleux. Mon menton est pointu et mes joues sont creusées. Beaucoup pensent que je suis très malade. Mais non, je n’ai pas le moindre problème de ce coté. Mes yeux sont marrons et brillent d’un éclat doré lorsque je suis dans un combat. Cela impressionne souvent les adversaires mais ce n’est pas non plus un très grand avantage. Mes lèvres sont quasiment inexistantes.
Voilà vous savez à peu près tout ce qu’il y a à savoir sur moi, niveau physique. Et si vous pouviez l’avoir oublié demain, ça m’arrangerait beaucoup.
>> Psychologie
Maintenant, vous allez apprendre à me connaître personnellement.
Ma seule motivation est d’offrir un monde meilleur à mes enfants. Nos mers sont sillonnées de pirates sanguinaires poursuivis par un gouvernement corrompu jusqu’à l’os. J’estime normal de laisser un monde plus propre après ma mort. Et pour ça, vu le tas de merde qui existe sur Terre, il ne faut pas hésiter à utiliser des moyens radicaux. Je poursuis la corruption avec autant de véhémence que les mauvaises personnes.
Je suis quelqu’un d’un calme à tout épreuve. Je suis très réfléchi et ne prend jamais de décision hâtive. De plus, je parle très peu. Avant de prendre une décision, je me garde toujours le temps de la réflexion. J’aime prévoir, anticiper, avoir un, deux, cinq dix coups d’avance sur mes adversaires. Le fait d’être déconcerté m’horripile.
Peu de choses ont de la valeur à mes yeux. Ma femme, mes deux merveilleux enfants et mon art. Je suis bretteur et développe un style de combat absolument unique. Je vais devenir le plus grand bretteur du monde. Comme Roronoa Zorro le fut en son temps. Je le désire pour rendre honneur à mon maître de kendo, maître Honda, que je respecte autant que ma propre famille.
Je ne peux pas vraiment dire que je suis quelqu’un de gentil ou de méchant. Si on tue quelqu’un d’innocent pour protéger sa famille, on est gentil ou méchant ? Question de point de vue. Ma famille me trouve gentil, celle de ma victime me trouve méchant. Je ne peux donc pas répondre, je fais tout ce qu’il y a en mon pouvoir pour protéger ceux qui me sont proche. Le sang ne me fait pas peur et je sais que mon chemin en sera recouvert.
Solitaire, je ne fais équipe avec personne si ce n’est mes sabres.
Ma seule motivation est d’offrir un monde meilleur à mes enfants. Nos mers sont sillonnées de pirates sanguinaires poursuivis par un gouvernement corrompu jusqu’à l’os. J’estime normal de laisser un monde plus propre après ma mort. Et pour ça, vu le tas de merde qui existe sur Terre, il ne faut pas hésiter à utiliser des moyens radicaux. Je poursuis la corruption avec autant de véhémence que les mauvaises personnes.
Je suis quelqu’un d’un calme à tout épreuve. Je suis très réfléchi et ne prend jamais de décision hâtive. De plus, je parle très peu. Avant de prendre une décision, je me garde toujours le temps de la réflexion. J’aime prévoir, anticiper, avoir un, deux, cinq dix coups d’avance sur mes adversaires. Le fait d’être déconcerté m’horripile.
Peu de choses ont de la valeur à mes yeux. Ma femme, mes deux merveilleux enfants et mon art. Je suis bretteur et développe un style de combat absolument unique. Je vais devenir le plus grand bretteur du monde. Comme Roronoa Zorro le fut en son temps. Je le désire pour rendre honneur à mon maître de kendo, maître Honda, que je respecte autant que ma propre famille.
Je ne peux pas vraiment dire que je suis quelqu’un de gentil ou de méchant. Si on tue quelqu’un d’innocent pour protéger sa famille, on est gentil ou méchant ? Question de point de vue. Ma famille me trouve gentil, celle de ma victime me trouve méchant. Je ne peux donc pas répondre, je fais tout ce qu’il y a en mon pouvoir pour protéger ceux qui me sont proche. Le sang ne me fait pas peur et je sais que mon chemin en sera recouvert.
Solitaire, je ne fais équipe avec personne si ce n’est mes sabres.
>> Biographie
Ma vie n’a rien de bien folichon, mais je vais quand même vous expliquer comment j’en suis arrivé là. Je suis né sur l’île de Shimotsuki où j’ai été élevé par une école concurrente de celle qui a autrefois enseigné le kendo à Roronoa Zorro. Même si cela fait plus d’un siècle à présent, la mémoire de ce bretteur hors pair y est toujours honoré avec ferveur. C’est en l’admirant que j’ai grandit. Orphelin à neuf ans, j’ai été accueilli par le maître Honda de l’école du sabre de plomb. Il est devenu mon mentor en même temps que mon père adoptif et je dois bien le dire, je lui dois tout. Ma vie déjà, mon éducation, ma façon de penser, mon apprentissage… Tout.
A 20 ans, j’étais l’élève le plus talentueux de l’école. Je maîtrisais le style nidoryu avec une grande habilité. Facile en un sens quand on habite en permanence dans le dojo d’être le plus doué. A aucun moment, dans mon existence, je n’avais songé à quitter l’île. Pourquoi le ferais-je ? Mon passé et mon présent se trouvaient sur cette île, entre ces quatre murs. Pourquoi mon futur aurait-il été autre part ? C’est même dans cette école que j’ai rencontré ma femme. Une élève aussi à qui j’ai donné des leçons particulières à partir desquelles notre relation s’est créée. Elle m’a offert deux magnifiques enfants, un grand garçon et une petite fille. Non, vraiment ma vie est banale et sans grands rebondissements. Ce qui ne l’empêche pas d’être très agréable. Tous les jours, une mouette m’apportait le journal pour que je me tienne au courant de ce qui se passait dans le monde. Les nouvelles étaient rarement bonnes. « Les Gun and Gun’s détruisent un QG », « La marine rase Syrup durant un affrontement avec Reyes et Satoshi Noriyaki», « Un révolutionnaire tue White Basara, membre du conseil 5 étoiles », « Les Saigneurs détruisent la troisième voie ; les SeaWolf s’occupent de la quatrième. », « Les pirates s’entretuent pour devenir corsaire après le décès de Kraabs »… J’en passe et des meilleurs. Le monde extérieur puait de tous cotés. J’en restais éloigné et voulait en préserver ma progéniture.
Seulement voilà, un beau jour, je suis parvenu à vaincre mon maître dans un duel de sabre. J’avais 28 ans. Ce jour a profondément bouleversé ma vie. Le jour où mon maître a prononcé cette phrase fatidique.
-Je n’ai plus rien à t’apprendre.
C’est alors que je me suis rendu compte qu’il avait raison. Si je voulais continuer à progresser, je ne pouvais pas rester ici. Je devais faire comme Zoro, partir à l’aventure, découvrir de nouveaux horizons. J’espérais même un jour pouvoir défier et vaincre Yamato Rinshi, le plus grand sabreur du monde. A moins que cela ne soit Don Lope Di Sangrin. Je comptais vaincre les deux de toute façon. Mais je ne pouvais pas laisser ma femme et mes enfants, les abandonner pour poursuivre des rêves égoïstes.
J’ai alors été voir mon maître et lui ai demandé de prendre mes enfants sous son aile. Il m’avait éduqué et protégé, je voulais que mes enfants aient cette même chance. Je savais qu’il accepterait, cela ne faisait aucun doute. Mais il y a émit des conditions. La première était que je devais perfectionner mon art pour revenir un jour botter le cul des écoles concurrentes à trois et quatre sabres. La seconde était que je devrais toujours utiliser mon talent pour rendre le monde meilleur.
-Okay, que je lui ai répondu. Je vais le faire.
Nous nous serrâmes la main pour la dernière fois. Une mouette lâcha un journal devant moi à ce moment précis. Le titre me sauta aux yeux. « Drum transformé en champ de bataille! Toutes les factions s'entretuent! ». Ce monde était vraiment pourri jusqu’à l’os. Fallait que je me dépêche. J’attrapai mon sac, mes deux sabres et embrassai tendrement ma famille.
-Désolé les enfants, Papa doit partir. Et vite, parce que ça urge là.
Et puis, je suis parti. Voilà. Je vous avais prévenu que ce ne serait pas de la grande tragédie. Mais voilà, c'est ma vie.
A 20 ans, j’étais l’élève le plus talentueux de l’école. Je maîtrisais le style nidoryu avec une grande habilité. Facile en un sens quand on habite en permanence dans le dojo d’être le plus doué. A aucun moment, dans mon existence, je n’avais songé à quitter l’île. Pourquoi le ferais-je ? Mon passé et mon présent se trouvaient sur cette île, entre ces quatre murs. Pourquoi mon futur aurait-il été autre part ? C’est même dans cette école que j’ai rencontré ma femme. Une élève aussi à qui j’ai donné des leçons particulières à partir desquelles notre relation s’est créée. Elle m’a offert deux magnifiques enfants, un grand garçon et une petite fille. Non, vraiment ma vie est banale et sans grands rebondissements. Ce qui ne l’empêche pas d’être très agréable. Tous les jours, une mouette m’apportait le journal pour que je me tienne au courant de ce qui se passait dans le monde. Les nouvelles étaient rarement bonnes. « Les Gun and Gun’s détruisent un QG », « La marine rase Syrup durant un affrontement avec Reyes et Satoshi Noriyaki», « Un révolutionnaire tue White Basara, membre du conseil 5 étoiles », « Les Saigneurs détruisent la troisième voie ; les SeaWolf s’occupent de la quatrième. », « Les pirates s’entretuent pour devenir corsaire après le décès de Kraabs »… J’en passe et des meilleurs. Le monde extérieur puait de tous cotés. J’en restais éloigné et voulait en préserver ma progéniture.
Seulement voilà, un beau jour, je suis parvenu à vaincre mon maître dans un duel de sabre. J’avais 28 ans. Ce jour a profondément bouleversé ma vie. Le jour où mon maître a prononcé cette phrase fatidique.
-Je n’ai plus rien à t’apprendre.
C’est alors que je me suis rendu compte qu’il avait raison. Si je voulais continuer à progresser, je ne pouvais pas rester ici. Je devais faire comme Zoro, partir à l’aventure, découvrir de nouveaux horizons. J’espérais même un jour pouvoir défier et vaincre Yamato Rinshi, le plus grand sabreur du monde. A moins que cela ne soit Don Lope Di Sangrin. Je comptais vaincre les deux de toute façon. Mais je ne pouvais pas laisser ma femme et mes enfants, les abandonner pour poursuivre des rêves égoïstes.
J’ai alors été voir mon maître et lui ai demandé de prendre mes enfants sous son aile. Il m’avait éduqué et protégé, je voulais que mes enfants aient cette même chance. Je savais qu’il accepterait, cela ne faisait aucun doute. Mais il y a émit des conditions. La première était que je devais perfectionner mon art pour revenir un jour botter le cul des écoles concurrentes à trois et quatre sabres. La seconde était que je devrais toujours utiliser mon talent pour rendre le monde meilleur.
-Okay, que je lui ai répondu. Je vais le faire.
Nous nous serrâmes la main pour la dernière fois. Une mouette lâcha un journal devant moi à ce moment précis. Le titre me sauta aux yeux. « Drum transformé en champ de bataille! Toutes les factions s'entretuent! ». Ce monde était vraiment pourri jusqu’à l’os. Fallait que je me dépêche. J’attrapai mon sac, mes deux sabres et embrassai tendrement ma famille.
-Désolé les enfants, Papa doit partir. Et vite, parce que ça urge là.
Et puis, je suis parti. Voilà. Je vous avais prévenu que ce ne serait pas de la grande tragédie. Mais voilà, c'est ma vie.
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Informations IRL
Prénom : Arnaud
Age : 23
Aime : Moi
N'aime pas : Blake et Zegaï
Personnage préféré de One Piece : Kizaru
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Génial
Fais du RP depuis : Que je sais écrire
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) 1
Comment avez vous connu le forum ? Si je me souviens bien, c’était avec forumactif. Je sais plus, ça fait si longtemps.