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Des retrouvailles après deux ans.

Après plusieurs journées de voyages, John et moi arrivions enfin au baratie, le navire-restaurant, je devais y retrouver un ami, Vandale.
Nous nous étions rencontré lors d’un tournoi sur l’île de Dawn, il m’avait alors donné rendez-vous ici, deux ans plus tard.

Nous étions donc arrivés sur le célèbre navire-restaurant John et moi, grâce à une embarcation volé à un inconnu pour nous enfuir de l’île de Goat où nous étions recherchés par la marine.
Nous étions donc débarrassés de ses problèmes et nous n’avions vu aucun avis de recherche nous concernant à l’heure actuel.

-Et bien, on va pouvoir faire une petite pause. Dit alors John.

-Ouai, une pause méritée je pense, quoi qu’il en soit, un ami m’a donné rendez-vous sur ce navire il y a deux ans de cela. Ça fait plaisir de savoir qu’on va se revoir.

Nous entrions donc dans le restaurant. L’ambiance était agréable, il y avait de la musique jouer au piano, la salle était circulaire et spacieuse, en son centre se trouvait un escalier permettant de monter à l’étage supérieur d’où descendait de nombreux serveurs, sûrement l’accès au cuisines.
On pouvait voir des serveurs servir dans la salle, des plats raffiné et plutôt luxueux.

-Je paye le repas, c’est cadeau. Dis-je alors à John.

-Merci bien, c'est gentil. Me répond-il.

Un homme vient alors nous accueillir, habiller avec un costume noir et tout le reste.

-Bonjour messieurs. Une table pour deux ? Nous demandait-il.

-Non, ce sera pour trois. Il manque quelqu’un, je crois qu’il n’est pas encore arrivé, mais il ne devrait pas tarder. Lui répondais-je.

-Très bien, suivez-moi je vous prie, par contre, les armes sont interdites, je vous demanderais donc de vous désarmer et de laisser tout cela au vestiaire. On vous les gardera et tous vous sera rendu après votre repas.

-Très bien. Je comprends.

Je laissais donc mes deux sabres et mon pistolet au comptoir du vestiaire et John y laissait sa propre épée. L’homme du comptoir rangeait alors le tout dans un casier et nous donna un ticket nous permettant de récupérer nos affaires avant de quitter le lieu.
Puis l’homme qui nous avait accueilli nous accompagnait jusqu’à une table où il nous laissait nous installer.

-Vous prendrez quelque chose en attendant votre ami ?

-Non merci, on va attendre qu’il arrive, il n’y a pas de problème.

Nous discutions alors John et moi en attendant l’arrivée de Vandale.
Quelques minutes plus tard, la porte du restaurant s’ouvrit à nouveau et un homme de grande taille entrait, en plus d’être grand, ce dernier était vraiment costaud, une vraie armoire à glace. Ses cheveux étaient blancs et il avait une cicatrice sur le visage, juste en-dessous de son œil droit. C’était Vandale, il était enfin arrivé.
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Une semaine avant le rendez-vous avec Ozzuru.   ≈


L’épopée d’un héros débute bien souvent de manière à se que l’ont comprenne que sa vie fut horrible, bien comblé et qu’il mordit la poussière bien des fois avant de devenir un grand homme. Vandale lui avait pour passé une histoire exemplaire, à vrai dire les conneries se n’était pas son truc. Il avait participé à un tournoi deux ans auparavant, puis s’était fait endurcir par un incompris de la nature, un certain double face. Outre ses petites rencontres, tout fut toujours fade, sans exception et, etc. Mais aujourd’hui, pauvre bougre touché par le destin, ce pauvre V trouvait que son aventure prenait une tournure bien différente. Un navire douteux l’avait récupéré à bord de son petit rafiot, puis il s’était bêtement fait droguer et capturer. Les trafiquants d’esclave l’avaient ainsi trimbalé, attaché, puis envoyé dans une grande cage dans la cale de leur navire.

Sans trop comprendre pourquoi, les gens qui l’entourait s’étaient bien occupés de lui, peut-être avaient-ils tous vécu le même calvaire qu’était cette drogue paralysante. Bref, les gens bougeaient, parlait, mais lui ne comprenait que la moitié de tout se qui se trimbalait, ça lui prit environ une journée, pour dissiper tout effet néfaste, mais ses forces n’était pas se qu’elle aurait dû être. Rapidement le géant blanc se lia d’amitié avec les autres détenues, car les hommes bons, peut importe leur taille se fessait facilement accepter de tous. Seuls quatre gaillards restaient en retrait, le genre sombre encapuchonner dans de grandes capes, tous mystérieux, voir peut-être des brigands déguiser en civil afin de pouvoir rapidement calmer une émeute. Dans tous les cas, le nombre de fois où tous lui demandèrent s’il pouvait les sortir de ce pétrin fut incalculable. Peut encombrer par les circonstances, V décida toujours de ne rien faire et disait simplement aux autres que la meilleure chose à faire était d’attendre le bon moment.

Tout changea, tout dégringola, pour mettre le géant en colère, il fallut un accident.
Alors que l’un des gardes venait remettre un sac de pommes de terre crues en guise de festin au prisonnier, un petit garçon d’à peine dix ans se faufila derrière le geôlier, le tout affin de saisir un morceau de bois, le petit était terrorisé, mais déjà un grand esprit de survie et de bravoure pouvait se lire en lui, peut importe la taille de son adversaire, se petit ne reculerait devant rien pour libérer sa famille. À ce moment, la panique s’empara de sa famille, puis Vandale se rappela du temps où lui aussi était petit, le temps où tous sont faibles… Le bandit aperçut le rebellé et tourna le dos au groupe, avec pour seule intention de punir le chenapan. Il allait lever contre cet enfant un morceau de bois dont le bout était recouvert de languette de cuir, quand une main imposante se posa sur son épaule bloquant son élan.

- J’ai bien beau me faire prendre, vous pouvez m’enlevez se que vous voulez, mais si je vous vois porter la main sure se gosse, attendez-vous à me connaître.

Un moment de silence suivi, puis le garde hésita, il tentât de prouver sa force, mais la main apposer sur son corps était trop puissante pour lui, le monstre venait de rencontrer une bête encore plus dangereuse que lui et comme il ne répondit pas, V lâchât son emprise et fou comme un taureau, le fouet s’éleva de nouveau, près à frapper indignement le dos d’un homme n’ayant fait que se qu’il lui semblait juste. Aussitôt, V fut dépasser par les évènements, les quatre inconnues qui s’était jusqu’à maintenant contenté de ne rien faire s’était pris d’élan pour bondir vers lui, il prit automatiquement une posture défensive, mais les quatre hommes passèrent à côté de lui et se jetèrent sur leur ennemi. Ils le maitrisèrent et tous trouvaient la situation bien étrange. Alors que V put voir comment se trouvait le garçon, il prit la direction du fond, là où il s’était assis un peu plus tôt. L’un des hommes se releva puis fit signe aux gens de sortir silencieusement. Il désirait s’entretenir en privé avec Vandale.

Une fois seul, le gars se présenta comme étant un citoyen du monde. Effectivement V aussi en était un, mais l’homme le corrige rapidement, se n’était pas se qu’il pouvait appeler une généralité. Il expliqua brièvement ce qu’était en fait ce petit groupe. Des gens qui désireux d’aider les autres s’était réuni pour faire le bien. V les contredits aussitôt en leur demandant pourquoi il ne rejoignait pas simplement la marine ? Mais ceux si lui confirmèrent que la marine n’était pas aussi blanche qu’elle le prétendait. Qu’eux au contraire s’abstenaient d’enlever la vie et que selon leur doctrine, tous mérite une chance dans ce monde. C’étaient donc des gens bien qui à leur manière aidaient les gens dans le besoin. Se côté lui plu, aider les faibles afin de leur donner espoir, puis un jour eux aussi aideraient surement une autre personne et en fin de compte, l’humanité s’en porterait mieux. Les quatre amigos lui expliquèrent qu’en à peine deux jours, il leur avait démontré les qualités nécessaires afin de rejoindre leur groupe. L’invitation était tentante, pourquoi pas faire sa part lui aussi ? et pour tout dire, se fut les remerciements du petit garçon qui amplifia son désire de devenir un grand homme. Il accepta donc de les aider, puis à eux cinq sans compter une calle pleine d’esclaves, ils retournèrent la situation, le navire fut repris et tous retrouvèrent leur liberté.

Le soir alors que beaucoup d’entre eux s’étaient réunis autour d’un feu pour célébrer leur renaissance, l’un des agents du monde vint lui aussi s’accoter sur la rampe du navire. V scrutait les étoiles d’un air songeur, mais son invité ne le perturba pas. Il rompit donc le silence en témoignant du ciel clair dont il avait la chance pouvoir regarder. L’homme acquiesça, puis lui demanda à quoi il pensait. Il lui expliqua bêtement la promesse qu’il avait faite à un ami deux ans auparavant, puis lui expliqua son interrogation. Allait-il venir ? Se souvenait-il simplement de lui ? L’homme le regarda dans les yeux et lui dit qu’il n’y avait qu’une façon de le savoir. Le conseil était bien vrai, mais que ferait-il une fois réuni ? Aucune idée… En conclusion, l’homme lui parla un peu plus de leur organisation, d’un certain Ivan, qu’il devait absolument rencontrer, un homme sage et puissant quoi qu’un peu étrange, mais le temps n’était pas encore venu pour lui de faire sa connaissance. V acceptait bien de les rejoindre, mais il n’était pas idiot, il lui faudrait plus, bien plus qu’un simple élan de confiance pour se faire accepter parmi eux.

Finalement, deux hommes reçurent l’ordre d’accompagner V vers le baratie, ils n’étaient pas nécessairement plus fort que lui, mais lui tiendrait compagnie, puis une fois les retrouvailles accomplies, ils le conduiraient ou le monde réclamait son aide.


Le jour de la rencontre.   ≈


Vandale franchit le seuil de la porte juste à temps, l’heure du diner arrivait et un homme qui devait travailler dans se splendide restaurent lui conseilla une table, il due vite refuser, heureux d’apercevoir son ami assis plus loin attabler avec un autre compagnon, étrangement ça ne lui dérangeât pas, lui aussi apportait bien des invités !

- Ozzuru Bava ! Cria-t-il !

Aussitôt son ami se leva de son siège et leurs retrouvailles se scella d’une accolade émouvante, tant de choses s’étaient produites en deux ans, tant d’anecdotes et tant de projets, mais de quoi son compagnon lui parlerait en premier ? De son passé ou de leur avenir !?

Peut importait réellement à V, il n’avait qu’une idée en tête, repartir à l’aventure !
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Vandale venait donc d’entrer dans le restaurant, un homme se dirigeait vers lui pour lui conseiller une table, mais il lui fit comprendre que c’était inutile, il m’avait vu, il s’avançait vers moi.

-Ozzuru Bava ! Crie alors V.

Je me levais, un peu gêné par le fait qu’il crie mon nom comme cela, avec la marine qui devait sûrement être à ma recherche avec l’incident sur l’île de Goat.
Mais personne n’avait l’air de réagir, du moins pas de façon hostile.
Tant mieux, ça nous permettra de déjeuner et discuter tranquillement.
Tout cela se conclut sur une accolade amicale.

-Vien t’asseoir.

John se leva à son tour et se tourna vers Vandale.

-À oui, j’allais presque oublier excusez-moi. Vandale je te présente John Silver, un ami avec qui on a vécu une aventure assez spéciale il n’y a pas si longtemps et John, je te présente Vandale un ami que j’ai rencontré lors d’un tournoi il y a deux ans. D’ailleurs je vois que tu es accompagné, toi aussi.

Je fis signe à un des serveurs lui demandant d’apporter des chaises supplémentaires. Il revenait donc avec deux chaises qu’il plaça autour de la table.
D’ailleurs en y repensant, notre table faisait un peu tache parmi toutes les autres, nous étions cinq à table. Comparé aux autres tables où ils n’étaient que deux ou trois.

-Je peux prendre votre commande ?

-Bien sûr monsieur, excuser nous pour vous avoir fait attendre.

Nous prenions alors notre commande auprès de l’employer du restaurant. Avant de nous remettre à discuter.

-Alors V, quoi de neuf depuis deux ans ? Je pense qu’on a pas mal de choses à se raconter, en autant de temps, il s’en passe des choses.

Le serveur nous ramenait alors les boissons commander.

-Vos plats arriveront après. Nous dit-il avant de s’en aller.

Je me demandais ce que vandale avait bien pu faire ses deux ans, lui était-il arrivé des aventures intéressantes ? Ou bien avait-il eu deux années plutôt paisibles.
J’avais hâte de savoir ce qui était arrivé à mon ami.

-Alors, raconte. Sauf si tu veux que je raconte d’abord, parce que niveau histoire, on en a fait une belle l’autre jour.

Il avait l’air intéressé, je prenais alors la décision de raconter en premier mon histoire de ces deux dernières années.

-Alors, pour commencer, il faut savoir que j’ai fini mon entraînement moins d’un an après le tournoi au royaume de Goa. Après cet entraînement, je me suis installé sur l’île de Goat, j’ai vécu dans une tente dans la forêt et j’allais en ville tous les jours pour décharger les navires qui arrivaient d’un peu partout.
Jusqu’au jour où j’ai entendu parler d’un meitou se trouvant sur l’île, j’ai donc décidé de me lancer à la chasse au trésor pour le récupérer et il se trouve que le sabre en question était en possession d’un lieutenant de la marine, j’ai donc réussi à m’infiltrer dans leur base après avoir mis hors d’état de nuire, une patrouille de matelot à qui on a volé les tenus, puis on a réussi à rejoindre le bureau du lieutenant qui nous a laissé seul dans le bureau avec le meitou, donc on l’a pris et c’est échappé.

-On a faillit se faire prendre pas loin de la sortie d’ailleurs. Heureusement que tu étais là pour créer une ouverture, sinon c’était fini.

-Ouai, c’est vrai qu’on a faillit se faire attraper, mais on a réussi à s’enfuir, puis on a volé un bateau pour s’échapper, le propriétaire du bateau s’en ai sûrement racheté un nouveau à l’heure qu’il est, ensuite on c’est rendu ici avec le bateau. Voilà, à toi maintenant, raconte moi un peu ton histoire.
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Après son récit assez intéressant, toute la table reçue leur commande, pour les deux premiers se fut une assiette normale accompagner d’une entrée et d’un dessert, pour les trois autres par contre, se fut un vrai bœuf braisé, on aurait pue croire à un véritable concours de nourriture, mais il faut l’avouer après une semaine passée dans la misère sur un navire ou les vivres avait été diviser en portion égale entre une foule de détenues, il était temps de se permettre une folie.

- Et bien mon cher, tu n’as pas chaumé ! Je te présente mes deux amis, Alvin et Bart.

- Salut ! s’écrièrent les deux hommes en cœur.

- QU’ON NOUS APPORTE DE L’ALCOOL ! C’EST DE BELLES RETROUVAILLES NON DE DIEU !

Le serveur plutôt content de l’ambiance festive qui s’emparait du navire restaurent, apporta d’énorme fut de bière aux cinq gaillards, cadeau d’un homme assis à une table un peu plus loin semblait-il. Enfin, peu leur importait, le moment était un réel délice !

- Pour tout te dire mon chère Oz, j’suis retourné m’entrainé dans la forêt après le tournoi, puis tout en devenant plus fort chaque jour à ma manière, les choses n’ont pas vraiment bougé, jusqu’à la semaine passée, la j’ai fait la connaissance de ces gars-là, des gens bien qui partagent le même but que moi ! enfin, eux veulent apparemment sauver le monde, mais pour le faire on doit être fort et c’est se que moi je veux, donc on réunie nos forces pour progresser. Tu sais Oz, j’ai entendu dire que la vie était incroyablement excitent sur Grande Line, mais avant d’y aller je souhaite encore papoter sur les blues, peut-être même essayer d’aller sur une autre mer ! t’imagines, c’est un terrai de jeu énorme et franchement j’espèrerais qu’on puisse parcourir tout se territoire ensemble qu’en dit-tu ?


Pendant ce temps, un peu plus loin, un gars un peu spécial se tenait en retrait, regardant son cadeau arriver et être dégusté par les plus gros clients de la journée. Jazz Kintoki, le Gérant en chef des cuisines du Baratie. Un homme apparemment comblé qui venait d’épuiser un gros stock de viande pour ses cinq hommes.

Et encore plus loin, dans le coin le plus éloigner du restaurent, un homme avec le bras en écharpe et avec un bandage impressionnant sur l’œil tenait maladroitement un den den mushi dans sa main valide.

Des retrouvailles après deux ans. Db131248a2760719f6d14f81bcd82d331248284654_full

- Ouais boss,  boss vous devinerez jamais qui je, je viens de voir… Ouais, non vous ne trouverez pas… Le mec ressemble comme, comme deux goute d’eau au fou qui nous à attaquer, oui, oui celui avec les longs cheveux noirs… Bava lui-même aux baratie… OK. Oui, je vous attends !


Dernière édition par Vandale le Sam 31 Aoû 2013 - 3:59, édité 1 fois
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- Et bien mon cher, tu n’as pas chaumé ! Je te présente mes deux amis, Alvin et Bart.

- Salut ! Disent-il.

-Salut ! Dit alors, John.

-Ravi de vous rencontrez. Leur dis-je

- QU’ON NOUS APPORTE DE L’ALCOOL ! C’EST DE BELLES RETROUVAILLES NON DE DIEU !

L’ambiance du restaurant changea radicalement, passant de celle d’un restaurant chicos à celle d’une sorte de taverne.
Mais étonnamment, les gens avaient l’air de bien s’amuser.
Les serveurs avaient l’air tout d’abord surpris, puis content de ce petit changement, qui était sûrement inhabituel chez eux.
De grands tonneaux de bière nous étaient apportés, offert par, je ne sais quel inconnu.
Il fallait bien avouer qu’après plusieurs jours sur la mer à bord d’un bateau tout petit, un bon repas et de la bière, ça faisait du bien.

- Pour tout te dire mon chère Oz, j’suis retourné m’entrainé dans la forêt après le tournoi, puis tout en devenant plus fort chaque jour à ma manière, les choses n’ont pas vraiment bougé, jusqu’à la semaine passée, la j’ai fait la connaissance de ces gars-là, des gens bien qui partagent le même but que moi ! enfin, eux veulent apparemment sauver le monde, mais pour le faire on doit être fort et c’est se que moi je veux, donc on réunie nos forces pour progresser. Tu sais Oz, j’ai entendu dire que la vie était incroyablement excitent sur Grande Line, mais avant d’y aller je souhaite encore papoter sur les blues, peut-être même essayer d’aller sur une autre mer ! t’imagines, c’est un terrai de jeu énorme et franchement j’espèrerais qu’on puisse parcourir tout se territoire ensemble qu’en dit-tu ?

-Je serais ravi de prendre la mer avec toi, on a un bateau d'amarré à se navire restaurant.

Mais malgré l’ambiance festive qui s’était installé, V qui, quelque minute plus tôt avait l’air de s’amuser, avait à présent l’air tendu, il regardait un homme.
J’avais l’impression d’avoir déjà aperçu cet homme, mais où ? Malheureusement, en plus d’avoir une impression de déjà vu, cet homme n’avait pas l’air d’être un allié, mais plutôt un ennemi.

C’est alors que je remarquais quelque chose. Ce qu’il tenait dans sa main droite, ce n’était quand même pas… non, ce n’est pas vrai ? Un den-den muchi, ce moyen de communication presque uniquement réservé à la marine. Plus de doute possible à désormais, c’était bien un ennemi.

Mais à qui parlait-il ? Je me le demande, mais je ne serais pas étonné de voir arriver un navire de la marine.

-Vandale ! Je le sens mal ce coup. C’est rempli d’innocent, on ne peut pas rester là, John, prépare le bateau et récupère nos affaires au passage, je m’occupe de payer pour le repas. V, tu nous suis ? Ou tu repars de ton côté ? Car vu comment c’est parti, la marine ne va pas tarder à débarquer et il vaudrait mieux que je sois partis quand ils arriveront.

-Mais qu’est-ce qui te met dans cet état Ozzuru ? Me dit alors John.

-Le grand type là-bas avec un bandeau sur l’œil, il est de la marine et il vient d’appeler des renforts.

-Tu es sûr ?

-Certain. Il avait un den-den muchi et j’ai rarement vu des civils avec un den-den muchi dans leur poche.

-Si tu le dis. Mais s’il est bien ce que tu dis qu’il est, il va nous suivre et indiquer notre position à ses supérieurs. Tu ne penses pas ?

-Je n’ai jamais dit qu’il n’y aurait pas de combat, j’ai seulement dit que si on se battait ici, les civils serait en danger. Lui dis-je avec un sourire.

-Ok, je vais au bateau.

-Et toi V, qu’est-ce que tu fais ?

En sortant, John demandait à un serveur de m’amener la note, ce dernier se dirigea vers moi, mais avant même qu’il n’arrive pour me donner la facture, une ombre mince, mais très grande se dessina sur le sol.
Je me retournais et me trouvais désormais en face d’un grand homme très mince, il n’était pas armé, mais avait l’air tout de même dangereux.

-Alors, on plie les bagages ? Ozzuru Bava. C’est trop tard, un bateau est en route pour toi. Tu vas pouvoir revoir une vieille connaissance. Le lieutenant Krezy est à son bord et il compte bien te reprendre ce que tu lui as volé, tu vas payer pour l’humiliation que tu nous as fait subir.

Le lieutenant Krezy. Tient, je sentais que j’allais bien m’amuser.
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Sans trop comprendre comment ou pourquoi, la situation dégénérait, V fit signe à A & B d’aller cueillir le type au den den mushi et lui s’occupait du plus important, faire les provision, il balança le chandelier dans les bras d’un serveur, tira une liasse de petite coupure avec à peine assez pour payer les couverts emporter et fit un énorme baluchon avec se qui restait de leur succulent repas !

- Vous passerez mes compliments au chef hein, s’était super je reviendrais manger ici assurément si je réussis à faire le tour du monde ! héhé !

Provision faite, Vandale jeta un coup d’œil en direction de ses acolytes, ils avaient non seulement capturer la taupe, mais comme de vrais professionnels s’était ramassé un ou deux petits barils d’alcool, ah se qu’il pouvait bien s’entendre avec ces gars-là, bien sûr ils avaient payé, mais quand même, l’intention était là ! Oz lui fessait face à un type peut-être même plus grand encore que V lui-même, mais la stature du grand homme n’était rien en comparaison. Il s’élança et de sa main valide récupéra Ozzuru avant de l’emporter sur son épaule et de foncer tête première dans la grande échalote. Libérant la voie par la même occasion ! les deux bouffons suivaient eux aussi puis tous les cinq se retrouvèrent sur le pont extérieur. V demanda rapidement ou était le navire, puis Oz lui pointa une direction comme si l’action s’était passée trop vite pour pouvoir parler, mais à l’extérieur, se tenait le probable navire qu’il avait volé et un autre encore plus imposant avec un signe bien distinctif en haut sur le drapeau, une mouette.

- Hé regarder ! On pourrait prendre celui-là non ?
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L’homme me faisait face et il avait l’air sûr de lui.

-Le lieutenant Krezy tu dis ? C’est parfait, s’il veut régler les comptes, on va les régler.

Je sentais alors, une main sur mon épaule qui m’agrippait. Puis, je me faisais tirer avant d’arriver sur l’épaule de Vandale.

« Bon sang il pourrait prévenir quand même. » Pensais-je.

-Je reviendrais un jour pour payer. Dis-je alors, au serveur en prenant la facture au passage.

Nous étions maintenant tous sur le pont du navire restaurant, John, lui, était déjà là et nous attendais en scrutant l’horizon, pour repérer un éventuel navire de la marine.
V me reposait à terre avant de me demander où était notre bateau.
Je lui pointais du doigt pour lui montrer. Mais V repérait alors, un vrai bateau, affichant clairement ses couleurs grâce à un drapeau au-dessus du mat, il s’agissait d’un navire de la marine, un petit, mais un bateau tout de même bien mieux équiper que le rafiot sur lequel nous sommes venu ici John et moi.

- Hé regarder ! On pourrait prendre celui-là non ?

-C’est pas une mauvaise idée, mais dit-toi bien qu’à bord de ce bateau, il y a sûrement tout un petit équipage qui attend ses supérieurs.

Je parlais bien sûr des deux gars croisés dans le restaurant. Mais V avait l’air déterminer.

-John, tu as mes sabres ?

-Oui bien sûr, tien les voilà.

-Merci beaucoup.

Je rattachais mes sabres à ma ceinture. Puis notre groupe s’avançait alors, vers ce navire de la marine.
Je dégainais déjà mes sabres prêts au combat, John lui aussi était prêt à combattre. Nous arrivions sur la planche déployer pour relier le bateau au quai pour monter à bord, une fois sur le pont, nous étions tous deux, face à une quarantaine de soldat de la marine.

-Bonjour messieurs. Leur dis-je.

-Pourquoi il faut toujours que tu déconnes comme ça Ozzuru ? Me dit-alors John.

-Je sais pas.

-C’est Ozzuru Bava, c’est lui qui c’est infiltré l’autre jour.

-Oh, ils me connaissent, t’as vu ça John ?

-T’es désespérant.

Un des matelots me sautait alors dessus, mais d’un simple pas, je l’esquivais et lui assénais un coup d’épée sur le côté.
L’homme tomba à terre, mais il n’était pas mort.

-John, la bataille commence. V dépêche toi de rappliquer si tu veux te battre, parce qu’on t’en laisse pas nous. Criais-je alors à l’intention de Vandale.

Le combat sur le pont avait commencé, les soldats de la marine étaient faibles, par rapport à nous et très vite, nous en avions terrassé une bonne dizaine.
Leurs corps gisaient sur le sol et une trentaine d’autre soldat nous regardait, certain avait l’air déterminer, d’autre apeurer, mais une chose était sûre, le combat n’était pas fini.

-Vandale ! Le gars qui m’a parlé dans le restaurant, je ne sais pas ce qu’il fout, il était derrière nous et il n’est toujours pas là. Fait attention, mais s’il arrive tu pourrais t’en occuper ?

Sur ces paroles, certains soldats s’avancèrent vers nous, prêt à combattre. J’esquivais leur coup, même si certain ne passait pas loin. Je passais ensuite à l’attaque, tranchant mes adversaires, comme de vulgaire morceau de viandes.

Un homme grand et costaud s’avança alors vers John. Ce dernier était trop occupé à combattre les soldats qui venaient vers lui. Le grand gaillard leva sa massue qui lui servait d’arme, prêt à frapper John par derrière.

-John attention derrière t…

Trop tard, l’homme avait frappé, envoyant valser John contre le mur de la cabine de commandant du navire.
John gisait par terre, il bougeait, mais pas beaucoup. Au moins il était en vie.
Son agresseur se rapprochait de son corps, prêt à frapper à nouveau.

-Pas cette fois mon gros !!! Criais-je.

Je me préparais à frapper, me mettant en position pour ma technique Surasshukurosu.
Je m’avançais vers tout en gardant la même posture, je m’élançais alors, vers lui.
J’étais maintenant derrière et j’entendais le gars crier.

-Enfoiré !!! Tu vas payer !

-Il manquait plus que ça. Bon, il veut se battre, ok c’est parti.

J’engageais donc le combat contre cette armoire à glace, j’avais complètement perdu mon calme et je n’avais qu’une seule idée en tête, vengé John, qui venait de se faire frapper par derrière, par cet espèce de bœuf armer d’une massue.
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Après sa proposition d’acquérir un plus gros navire, Ozzuru lui répondit qu’à son avis se n’était pas une mauvaise idée, mais qu’il y aurait surement un équipage important à l’intérieur, assurément tous ne seraient pas des guerriers impressionnants, mais se pourrais être un beau défi que de vaincre non pas seulement deux ou trois personnes ayant du galon, mais bien de leur prendre leur équipage également !

- Ouais probablement tout un équipage ! Lui rétorqua Vandale avec un énorme sourire en guise de satisfaction.

-John, tu as mes sabres ? Eut pour seule réponse le jeune Oz, se qui plu à V, le jeune n’avait pas perdu sa fougue du combat, se serais plaisant de voguer avec lui, après tout une étrange sensation de défi s’était toujours immiscée entre eux, comme si une rivalité fraternelle était présente.

Le temps de l’affrontement était arrivé ! D’ailleurs les marines ne laissaient rien au hasard et se précipitaient déjà sur l’épéiste aux deux sabres pour régler ce qui avait l’air d’une vieille histoire, sacrée Oz, déjà reconnue de la marine ! Il avait une petite longueur d’avance, mais peut importait, aujourd’hui lui aussi se ferait un nom ! D’un simple mouvement, il évita le bleu et fonça vers le gros navire.

-John, la bataille commence. V dépêche-toi de rappliquer si tu veux te battre, parce qu’on t’en laisse pas nous.

Oh ! Il n’allait pas se laisser plumer ça non ! V bondit à son tour dans le combat, assenant coup de poing après coup de poing, fessant tomber les marines comme des mouches.

-Vandale ! Le gars qui m’a parlé dans le restaurant, je ne sais pas ce qu’il fout, il était derrière nous et il n’est toujours pas là. Fais attention, mais s’il arrive tu pourrais t’en occuper ?

- Ouais ! Sans problème, mais de toute façon, A & B ont déjà pris un otage ! On devrait être tranquille si les choses se corsent ! D’ailleurs ils doivent s’être cachés quelque part !

Dans le feu de l’action, John le copain d’Oz se fit étaler par un gros type avec une massue aussi grosse que pouvait l’être ce genre d’arme, le pauvre aurait un mal de tête assez important à son réveil… En bon compagnon, son binôme s’élança à la poursuite de son agresseur, laissant V contre une armada de petit soldat inexpérimenté. Il aurait bien aimé affronter le géant, enfin un homme de sa corpulence… mais l’esprit d’équipe était une chose importante et s’était à Ozzuru de venger son compagnon, il lui laissa donc le gras du ventre en espérant qu’il n’aurait pas de mal à l’affronter.

- Alors moussaillons ! Prêt à passer par dessus bord ? On réquisitionne le navire !

Aussitôt, une vague d’environ une dizaine de soldats fondirent sur lui, le combat ne fut pas très long, tel un escrimeur de haut niveau, V pris une position d’attaque poing levé, puis quand l’impacte arriva, se fut un à un qu’il les étala tous. Étonnamment, ces gars-là étaient d’un niveau très faible, même A n’aurais eu aucune difficulté à tous les mettre K.O et pourtant il n’était même pas à la moitié de la puissance que V pensait avoir obtenue.

Par chance, le grand homme de tout à l’heure surgit de l’ombre, il s’était introduit sans faire de bruit sur le navire, le genre de personne avec un air supérieur et les lèvres retrousser en permanence.  Grand et mince, il s’élança pour enjamber quelques corps puis tous ceux encore debout s’écartèrent de son chemin. Voilà un gros poisson pensât Vandale. Puis l’homme le regarda d’un air qui disait, houlala comment j’en suis arrivé ici, je devrais être affecté à de bien plus grandes choses. Et comme l’éclair il se retrouva face à ce mastodonte de V.

- Est-ce que je pourrais osé vous demander de foutre le camp de mon navire vil pirate ?

- Je ne suis pas un pirate, ou pas encore haha tout se que je fais, je le fais parce que j’en ai envie mon vieux, pas pour être reconnue comme un pirate ! en plus on est que cinq tu considères ça comme un équipage ?

- Monsieur à la tignasse blanche veux jouer sur les mots, et bien soit.

Puis sur ce dernier mot, un air bien différent s’empara de son visage, un mélange de dégout et de frustration, il allait frapper ! Vandale contracta tout les muscles de son abdomen pensant pouvoir diminuer l’impact du coup, mais son adversaire n’étaient pas franc jeu, il détenait des armes de poing, des morceaux de métal moulé pour être enfilé comme des gants. Le coup n’était pas si fort qu’il aurait pu le penser, mais la douleur elle n’était pas vraiment pas proportionnelle. Au sommet de chaque arme de pointe se trouvait de petits pics de métal qui s’était tout bien enfoncé dans la chair de V, heureusement pour lui il ne fessait pas plus d’un centimètre…

Suivant un petit instant d’hésitation, V frappa à son tour, fessant décoller le maniaque de son corps, il n’avait vraiment pas l’air content et en plus se salaud avais ridiculisé sa magnifique chevelure blanche, il devait payer !



Voici la tête de notre méchant marine
Harmis Scarow
Sous-Lieutenant:
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J’attaquais sans m’arrêter, tranchant l’air sans cesse, ne laissant aucun répit à mon adversaire qui se contentait d’éviter maladroitement mes attaques.

Puis, après une très belle parade de sa part, il m’attaquait à son tour, frappant violemment le sol, laissant des marques sur le pont du bateau. C’était moi à présent qui esquivais. Je ne pouvais rien faire d’autre.

V, qui était monté sur le bateau juste après le début de la bataille, se battait désormais avec un homme de grande taille, je ne l’avais pas remarqué. Comment était-il monté à bord, c’était une bonne question, mais pas le temps d’y réfléchir, Ozzuru devait esquiver les coups de son adversaire.

Pendant ce temps, les deux amis de Vandale s’occupaient des soldats et John était toujours au sol, il n’avait pas l’air d’avoir repris conscience, toujours allonger face contre terre à côté d’un mur de bois presque entièrement détruit lorsque John s’était fait frapper par la massue de mon adversaire et qu’il s’est envolé vers ce mur avant de le frapper de plein fouet.

Le pont du bateau subissait de gros dégât et ce n’était pas spécialement bon signe, il ne fallait pas le détruire, mais bien se l’approprier.
L’homme que je combattais élevait alors son bras, avant de l’abattre sur moi, essayer en tout cas, car il avait été trop lent, le temps de préparer son coup, je fendais l’air avec mes deux sabre, le blessant au torse, deux grandes plaies croisaient l’abdomen de mon ennemi.

Ce dernier tombait à genoux devant moi, ne lâchant pas pour autant son arme, les plaies saignaient, pas au point de vider l’homme de son sang, mais suffisamment pour montrer la gravitée de la chose, faire comprendre que ce n’était pas une blessure bénigne.

-C’est terminé. Lui dis-je.

Je lui assénais alors un dernier coup fatal. Il s’effondrait devant moi, mort. J’étais enfin débarrassé de l’homme qui avait blessé John, il était enfin vengé du coup qu’il avait reçu.
Vandale de son côté avait l’air occupé avec son adversaire, l’homme du restaurant. J’apercevais des marques sur les épaules, les mêmes qu’ont les soldats de la marine, son appartenance à la marine n’était pas un secret, mais je déduisais de l’insigne sur ses épaules qu’il s’agissait d’un sous-lieutenant.

Je m’élançais vers Vandale pour lui porter main forte dans son combat contre le marine.

-Il a l’air plutôt fort, je te donne un coup de main.

-Ozzuru Bava, on t’as chercher pendant un certain temps et te voilà, tu es au courant de la nouvelle te concernant. Dit alors le sous-lieutenant.

Il sortit alors une feuille de sa veste, celle-ci était enroulée, il la déroula devant nos yeux, nous montrant ainsi un avis de recherche à mon nom, dont la prime s’élevait à 3.800.000 Bérrys.
J’étais surpris, je ne m’attendais pas à une prime aussi élever. Sans prévenir, le sous-lieutenant de la marine m’assénait un coup de poing, son poing américain s’enfonçait dans ma joue et m’envoyait au sol, j’étais par terre, légèrement sonné par ce coup, sans crier garde, il avait repris le combat.

PS:
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  • https://www.onepiece-requiem.net/t8753-presentation-d-ozzuru-bava-en-attente-validation
Le combat était donc relancé, je m’étais fait attaquer par surprise, il avait utilisé une technique tellement simple que cela la rendait presque génial, mais je n’étais pas là pour assister au combat de vandale, mais bien pour y participer, pour attaquer ce sous-lieutenant, pour vaincre ce sous-lieutenant.
Peut-être serons-nous amenés à achever cet homme, mais ce n’était une fois de plus pas le moment de penser à autre chose qu’au combat.

Je me relevais et m’élançais à corps perdu dans la bataille, tentant tout ce qui était en mon pouvoir pour taillader cet homme. Je fendais l’air avec mes deux sabres, quant à lui, il esquivait, parfois mis en difficulté, mais toujours sans aucune blessure sérieuse.
V attaquait lui aussi, essayant de lui porter des coups à main nues, mais n’arrivant à rien de concret. Etant deux et lui seul, on pouvait clairement dire qu’il dominait le combat.
Nous étions en plus obligés d’esquiver les coups qu’il portait, parfois avec la lame, parfois avec le côté contendant de son arme.

Sur le pont, les deux acolytes de Vandale se battaient contre les soldats restant, il devait en rester cinq ou six, mais les deux avaient l’air en mauvaise posture.

-Vandale, vas aider tes compagnons, ils ont l’air d’avoir du mal à se débarrasser des derniers soldats, moi je m’occupe de monsieur.

Il partit alors, sûrement à contrecœur, aidé ces camarades, son absence ne serait pas longue, vu qu’il ne restait pas beaucoup de soldat.
Mon combat était comme en pause, je scrutais mon adversaire et il faisait de même. L’atmosphère était tendue. Je me permettais tout de même de jeter un coup d’œil vers mon ami, John, qui était toujours au sol, inconscient

Le combat repris d’un coup, mais cette fois pas de surprise, j’étais déterminé. Il fallait que je gagne ce combat, pour que l’on puisse s’en sortir tous ensemble, il fallait que je batte ce type.
Je m’avançais rapidement vers mon adversaire fendant l’air avec mes sabres, avant de sentir de la résistance sur l’une de mes lames. Je m’apercevais alors, que j’avais enfin atteint ma cible. Tranchant la chair de mon ennemi, la chance tournait et je prenais enfin l’avantage dans ce combat, c’est ce que j’espérais. Mais contre toutes attentes il trouva la force de m’asséner un nouveau coup.
Gauche, droite et encore droite il enchaînait les coups de poings sans me laisser le temps de reprendre ni mon souffle, ni mes esprits. Mais cela ne dura pas, car il tomba à genoux devant moi quelques instants plus tard.
Je reprenais enfin mon souffle, avant de me lever et de marquer son torse avec mon meitou. Son torse était maintenant barré d’une plaie écarlate.
Je n’avais pas eu l’intention de le tuer avec ce coup et je sentais qu’il survivrait à cette blessure. Je voulais le combattre à nouveau, car bien que court, ce combat m’avait intéressé. Il avait résisté à mes coups, il s’était bien défendu.

Il était temps de partir désormais. Je débarquais le sous-lieutenant sur le quai, puis, je prenais avec moi l’avis de recherche qu’il avait sur lui, avant de remonter à bord du bateau.
Le pont du bateau était craquelé d’un peu partout, mais celui-ci pouvait encore naviguer.
John avait été placé dans la cabine du capitaine où i pourrait tranquillement se reposer.
C’est donc de cette façon que Vandale, ses deux compères, John et moi partîmes de ce bateau restaurant à la nourriture exquise pour reprendre la mer et j’étais personnellement impatient de voir ce que donnerait la suite de ce voyage.
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