>> Nom & Prénom
une image 200*300 | Pseudonyme : Volesprit. Age: 22 ans Sexe : Femme Race : Humain Métier : Pistoléro spectaculaire. Groupe : PIRATE ! But : Trouver Rough Tell, parce qu’elle a rien trouvé d’autre à faire, et au fond d’elle peut être afin de trouver la paix avec elle-même durant ce voyage. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Une aptitude en rapport à de la téléportation . De la courte portée bien sûr. Équipements : Un pistolet… Un équipage et un vaisseau ? Si c’est pas le cas, j’ai déjà une fin alternative que j’ai écrite et qui me fait passer solo. Codes du règlement (2) : Parrain : / Ce compte est-il un DC ? : Nee Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique Volesprit mesure vers le mètre soixante, et est donc assez courte. Elle a des cheveux noirs de jais, une carrure athlétique, et soignée, par une pratique du sport régulière. C’est bien une femme, mais les vêtements qu’elle porte, sa petite poitrine et l’effet que provoque le masque sur sa voix laisse passer un timbre androgyne qui feront douter maints interlocuteurs. Car en effet, elle est constamment vêtues d’habits plutôt amples, une cape de velours noir, avec une capuche qui la recouvre entièrement. Ce qui nous fait douter de son sexe, et elle peut s'amuser avec ça avec certains étrangers.Il lui arrive de porter sur elle une tonne de bracelet, de colifichets, et de bijoux sans aucune valeur, à la manière d'une femmes au moeurs légère, ce que je notifierai dans les RP. Ce sont toujours des bracelets bon marché, car elle veut se donner un aspect de "pirate", pas de "prostituée" comme elle pense, même si ça n'a aucun sens. Mais le plus interessant chez elles sont ses yeux, découverts par le masque. C'est une jeune femme aux yeux verts, qui ne sont jamais (vraiment, genre, jamais quoi) dirigés vers l’interlocuteur mais vers l’objet derrière lui, lui donnant l’air perdu, et hagard. Cela est particulièrement noté chez les hommes, car elle est incapable de fixer un homme droit dans les yeux. C'est quelqu'un de très rapide dans ses mouvements, et elle fait tout très rapidement pour ne pas changer d'avis au milieu de ce qu'elle fait. >> Psychologie Dans Phèdre, Socrate faisait l’apologie des « inspirés des dieux », des « enthousiastes » (le terme exact), ces pythies et ces mystiques présentes dans moult mythes grecs. Volesprit en est une, c’est-à-dire une schizophrène dont la vision du monde est bien différente de celle du réel. Elle est complètement folle sans même s'en rendre compte. Elle pense que chaque chose qu'elle fait a une explication rationnelle, et si jamais elle est mise devant le fait accompli, elle le nie. Ou encore l'oublie, ou fait semblant de l'oublier. La plupart du temps, elle est dotée d’un humour noir, d’un comportement imprévisible, et la plupart des émotions qu’elle ressent sont souvent mal placée. La pitié par exemple, dans le sens où elle serait capable –Non, je ne souhaite pas vraiment tuer des gosses, c’est un exemple !- de tuer un enfant sans hésiter, mais également d'épargner un soldat au milieu du combat qui voudrait la tuer. Elle n’essaie jamais de justifier ses actes, et préfère laisser aux autres le soin de les expliquer. Il peut lui arriver de ressentir de l'affection envers une personne, mais elle est extrêmement sensible à son passé, et peut se retrouver parfois à sangloter , ou à hurler, si on fait écho à son passé (même par une simple allusion qui n’aurait aucun rapport) en présence d'un de ces gens qu'elle juge "proches". Extérieurement, lorsqu'elle arrive à retenir sa sanité, elle a l'apparence d'une femme sévère, autoritaire et dangereuse. En face d'un ennemi, elle préfère rester silencieuse. Si elle n'a aucune question à lui poser, elle préfère se taire. Il lui arrive parfois d'entrer dans un état second ou elle est simplement dans l'incapacité de parler, seulement de hurler et de grogner. >> Biographie Tout n’avait pas commencé il y a 22 ans, un jour de pluie printanière sur East Blue, dans l’hôpital d’une ville aussi ordinaire qu’ennuyeuse, un père et une mère aux anges, tenant leur nouveau-né dans les bras. Ni quand ils ont décidé de la nommer… De la nommer… Comment l’avaient-ils nommé déjà ? Cela n’avait pas encore commencé quand…La petite était encore à l’école, et qu’elle était très débordante d’une énergie presque surnaturelle. Ses parents la soupçonnaient d’être hyperactive, car elle n’était pas capable de se concentrer sur une chose plus de cinq minutes. Mais elle avait deux qualités qui tendaient à canaliser ce handicap : C’était d’abord quelqu’un qui possédait une capacité de mémorisation au-dessus de la moyenne, et aussi très appliquée, voire perfectionniste, dans ce qu’elle faisait et cela précocement. Couplez cela à un amour des livres et vous avez une première de la classe promis à un brillant avenir en n’importe quel débouché, enseignement supérieur, recherche, politique même ! Et elle n’hésitait pas à le dire : « Quand elle sera grande, elle sera chef de tout ! » promettait-elle à ses parents. Mais au fond d’elle, elle pensait bien autrement. Elle voulait aligner les amers radouber la varangue, virer au cabestan, border la brigantine ! Bref, elle voulait souquer les artimuses. Mais elle ne le disait pas. Elle comptait mettre ses parents devant le fait accompli, lorsqu’elle sera suffisamment grande pour accéder à l’école navale. Beaucoup de pirates commencent leurs vies ainsi. Des marins honnêtes qui ont mal tournés. Des gens qui voulaient faire partie de la marine, mais qui, finalement avaient jugés qu’ils valaient mieux que la marine. D’autres encore, parce qu’ils pensaient qu’ils feraient bien plus de profit en portant le pavillon noir plutôt qu’en le craignant. Et elle était sur la bonne voie pour finir ainsi. Chaque soir, après l’école, elle allait voir les marins débarquer la marchandise, et le matin elle se levait bien en avance pour les voir appareiller. Mais l’hiver… L’hiver, quand on se lève trop tôt, il fait nuit. Et quand il fait nuit… Il est facile de prendre une petite fille par les cheveux, lui mettre un foulard dans la bouche et l’embarquer dans son bateau et la jeter dans la cale, ou elle avait passé plusieurs jours. Chérie… IL l’appelait Chérie. Mais ce n’était toujours pas son prénom. Elle n’arrivait plus à se souvenir de plus rien,. Où habitait-elle ? Pourquoi était-elle arrivée là ? Qui était-IL ? Et qui était les autres avec LUI ? Et pourquoi ils lui faisaient du mal ? C’est quelque chose de dur à écrire. Très, très dur à écrire. Et si ça ne tenait qu’à elle, elle n’écrirait pas. Mais elle a envie d’oublier. C’est étrange, car l’on dit que plus on essaie d’oublier, et plus on s’en rappelle. L’être humain, quoiqu’on en pense, possède également des mécanismes de défense mentale. Relativisation. Evanouissement. Amnésie. Mais rien ne marchait avec elle. Elle ne savait pas relativiser sa terreur et sa douleur. Et quand arrivait un cauchemar, elle fermait les yeux pour se réveiller dans le monde des rêves. Mais ça ne marchait pas, ça ne marchait pas parce qu’à la fin, elle finissait toujours par revenir au cauchemar. Alors, elle ne sait plus quand, elle a oublié. Elle ne sait pas comment d’ailleurs. C’est peut-être arrivé progressivement. C’est peut-être à cause de l’alcool. Mais un jour elle n’arrivait plus à retrouver son prénom. Ni celui de ses parents, ni où elle habitait. Mais ça aussi, ça ne marchait pas. Mais l’histoire de Volesprit n’avait pas encore commencé. Lorsqu’un jour,elle vit un clou rouillé dépassé, lorsqu’un jour IL avait ouvert la porte et que le soleil s’était engouffré. Et chaque jour, elle essayait de le tirer de là. Et lorsqu’elle l’avait sorti, elle ne savait pas quoi en faire. Mais un jour, brusquement, elle utilisa son dernier moyen de s’évader de toute cette horreur, et quelque chose se brisa en elle. Et à ce moment-là, plus de regrets. Plus de rêves ni de cauchemars. Juste un clou rouillé dans SA gorge. Elle prit alors son pistolet. Elle savait se servir du pistolet. Elle ne savait pas pourquoi pourtant.Elle sortit de la remise. Le soleil l’aveugla complètement pendant quelques minutes, et puis ensuite, elle vit qu’elle était sur un mont, et que très loin il y avait un village. Peut-être qu’elle pourrait y demander de l’aide. Mais avant… Elle entra dans SA maison, dont l’intérieur était bien plus confortable que la remise, bien que miteux. Elle y avait trouvé de l’eau. Et de l’alcool, mais pas de viande. Mais ce n’était pas grave. IL la nourrira, comme il l’avait fait de son vivant, pensait-elle. Avant, l’idée lui aurait été abominable, maintenant, elle allait de soi. Elle savait cuisiner. Il y avait quelques herbes dans des pots. Elle sortit un briquet d’amadou et prépara un festin digne de… Indigne. Après avoir fini, elle décida qu’il était temps qu’elle se nettoie. Elle remplit un seau d’eau au puit, et pris du savon, entreprit de se laver. La sensation du savon était agréable et douce, tant au toucher qu’à l’odeur. Lorsqu’elle finit, elle mit une cape sur elle, et ajusta au couteau un pantalon. Puis elle admira le résultat devant le miroir. Elle avait vieilli. Quatre ans ? Cinq ans avaient passés ? Elle avait l’air grande maintenant. Elle avait l’âge de travailler, pensait-elle. Et alors elle ressentit une sensation qu’elle avait oubliée depuis longtemps : l’espoir Avait-elle l’âge d’être marin ? Sans crier gare, elle courut vers le village. Peu importe la distance. Elle ne s’était arrêtée de courir que quelques heures plus tard, à l’entrée. Et là elle courut vers le petit port de pécheur. La main serrant son pistolet, elle demanda à un homme soulevant des caisses : « Excusez-moi, cherchez-vous un mousse? » demanda-t-elle. L’homme leva sa tête, et c’est à ce moment-là que Volesprit logea une balle dans sa trachée. L’homme se tenait la gorge en fixant la fille emmitouflée avec de grands yeux. Elle marcha sur son corps, et traversa le quai, pendant que les gens couraient dans tout les sens sans même savoir ce qui s’était passé, juste qu’il y avait un coup de feu. Et Volesprit tirait. Mais de façon méthodique ; elle s’assurait de ne pas rater son coup en se mettant à moins d’un mètre de sa victime, et visait dans la gorge. Beaucoup de gens s’étaient enfuis, mais tout ceux qui avaient fait la faute de se cacher dans un bateau l’avaient payés de leur vie. Lorsqu’il n’y eut plus de vie sur le port, elle se recroquevilla en position fœtale. Les gens du village, accoururent donc, quelques un armés de fusil, d’autres de leur fourches. Les rescapés reconnurent immédiatement la meurtrière, lui arrachèrent sa cape, dévoilant des long cheveux ébouriffés et un visage barrée d’une cicatrice. Ils étaient stupéfait, mais ça ne les avait pas empêchés de l’attraper, et de faire un bucher de fortune pour brûler celle qui avait tué une trentaine de marins de l’île. Tandis qu’elle, elle pleurait. Elle ne savait pas pourquoi on l’emportait avec tant de violence, et qu’on voulait la brûler, et elle était chagrinée par les pleurs de ces jeunes et vieilles femmes tout à coup devenues veuves sans même en connaître la raison. Un homme vint la ligoter sur un arbre, tandis que d’autres mettaient du bois sec jusqu’à ses genoux tout autour d’elle, elle sanglotait silencieusement… Et elle ouvrit les yeux. Elle tenait une plume, et un tas de feuille était posé sur la table. Elle relit en intégralité ce qu’elle venait d’écrire. Elle hurla alors de rage, ouvrit l’écoutille et jeta les papiers. Lorsqu’elle atteint un niveau de calme suffisant,elle se doucha silencieusement, sans dire un seul mot à voix haute. Elle remit en place sa cape noire en velours bien plus luxueuse que celle d’il y a sept ans. Elle mangea son petit déjeuner et se lava les dents, avant de mettre son masque. Elle avait si bien appris à bien gérer son hygiène afin de ne pas puer sous cette couche d’habits que c’en était devenue une manie. Une manie au sens propre du terme. Elle monta sur le pont. Ses bottes faisaient un bruit caractéristique que l’équipage avait appris à reconnaître. « Kwartiermeester Barnabé ! » Apostropha-t-elle. « Oui, capitaine ? » « je me rappelle encore de tout. J’ai tout écrit mais je n’oublie rien. » C’était maintenant la troisième fois que ce dernier écoutait le même discours, chaque jour, à la même heure. Elle lui avait demandé un service : comment oublier sa vie passée ? Il lui avait répondu « Racontez moi ça, peut être que ça vous fera du bien ». Rien n’y fait. Alors il lui avait suggéré l’alcool. Elle disait que ça avait presque marché, mais le lendemain elle se sentait toujours aussi mal. Alors, en désespoir de cause, il lui avait demandé de tout écrire, et de jeter le tout par une écoutille. Et voilà le résultat. « Eh bien, je sais pas quoi vous dire moi, fit le vieux vétéran. Vous pouvez pas me reprocher de pas savoir comment oublier des choses. » « Vraiment ? » Demanda-t-elle. La question semblait vraiment sincère, tant et si bien qu’elle prit le quartier maître au dépourvu, même après de si longues années passées en sa compagnie. « Eh bien je pense… oui. Si vous arrivez pas à oublier, je peux rien faire. Je sais pas moi… Essayez de vivre avec ? » Elle le regarda pendant un long moment. Elle le dévisageait d’une telle façon qui fit que le vieux second baissa les yeux. Une minute passée, il se rendit compte qu’elle ne le regardait pas. Il fit un pas en arrière, puis un autre… puis il se retourna. Elle resta dans la même position jusqu’à l’heure du déjeuner, fixant le lointain horizon bleu. Barnabé se contenta d’ignorer le capitaine. Il avait ses phases, comme tout les bons capitaines avaient ,alors pourquoi pas ? Après avoir donné des ordres à l’enseigne, il rejoignit alors ses confrères sur une table. Ils faisaient une partie de Tonk. « Bandes de mécréants, pesta-t-il. Vous n’avez pas mieux à faire ? Allez me briquer ce pont jusqu’à ce qu’il n’y ait plus un seul poil de sanglier sur ces brosses. » « Ben voyons, s’écria Crapaud. T’as déjà trois gamins dessus. Viens faire une partie avec nous. » Il grommela, puis s’assit. Crapaud se fendit la poire. Il devait son surnom à son affreux sourire qui s’étirait jusqu’à ses oreilles, lui donnant l’apparence d’un batracien pustuleux. Il prétendait que c’était à cause d’un fruit du démon, mais ce n’était qu’un mauvais mensonge justifiant son incapacité à nager. Mais il était agile sur un mât, on pouvait lui accorder ça. « Bon Barnabé. Tu distribues ?» demanda Singh. Il mélangea les cartes. « Alors, le capitaine ? » « Je sais pas ce qu’elle à depuis presque une semaine. Tout les matins elle se lève en hurlant. Terreur nocturne. Cauchemar.Son passé la rattrape. » « Eh. déconnez pas. Mon village, avant que je m’engage, ils ont entendu parler d’elle. Il parait qu’elle se livre à des rituels cannibales. (Crapaud baissa le ton) Et qu’on est pas le premier équipage qu’elle ait engagée. Y parait qu’elle fait des pactes avec le Diable pour trouver les bons bateaux, et viser aussi bien avec un flingue. M’est avis que maintenant, le Diable veut la reprendre.» Singh, Elmo et Candi frissonnèrent. Barnabé, lui, soupira. Il en avait entendu des vertes et des pas mûres sur Volesprit. Les rumeurs ont toujours un fond de vérité, mais s’il ne la défendait pas, ils risquaient une mutinerie. « Crevure à l’haleine de guano, n’as-tu pas honte de colporter des rumeurs sur le capitaine ? Moi je sais des choses que vous, vous savez pas. Mais vu que cette espèce d’enflure de conspirateur a déjà insufflé le venin dans vos âmes… Je vais devoir vous dire une partie de la vérité. Que jamais rien ne sorte de cette table, ou sinon… » Il mima quelqu’un qui tirait entre ses deux yeux. « Lorsqu’elle était gamine, elle m'a raconté qu’un village l’avait lynché, et qu’ils allaient la mettre au bûcher. J’étais dans la Marine à l’époque, et nous passions près de chez moi. J’avais eu l’intention de démissionner, pour trouver un boulot honnête en tant que pêcheur, afin de vivre avec ma femme et mes gosses. Alors j’étais descendu, avec les troufions, pour acheter du singe. Et là… (il lève sa main de façon théâtrale, puis serre le poing) Rien. Personne. Pas un petit marmot morveux qui court les rues. On avance dans la rue, et on commence à voir des corbeaux au loin. Et puis une odeur affreuse. Alors on commence à courir, on arrive à la forêt et là… » Il ouvrit grand les yeux. « La mort. Vous allez me dire : On a tous vu des gens mourir. Mais vous avez pas vu la mort. Vous avez vu des hommes donner leur vie dans un combat d’homme. Vous avez vu vos vieux rendre leur dernier soupir. Mais vous avez pas vu un village entier crever ainsi. Alors on se dit que c’est pas possible. Et on cherche des survivants. Il y en avait qu’un seul. Il était emmitouflé dans des capes souillées. C’était une gamine de quinze ans. » « Le capitaine… » murmura Singh . « Pile. C’était elle. Et on l’a prise avec nous. Et vous savez c’était quoi la première chose qu’elle m’a demandé ? Un masque à gaz. Pour la puanteur. Elle l’a plus jamais enlevé. On a du donc l’abandonner sur la prochaine île, parce qu’on pouvait pas garder une fille folle dans notre équipage. C’était un boulet. Mais comme moi j’en avais marre de toute façon, j’ai demander mon dernier afin de payer un bateau pour chez moi.» Crapaud intervint alors. « Tu as trouvé ton village cramés par des bandits. Et ta femme et tes gosses étaient morts, tu t’es vengé et t’as fait un équipage avec… » Barnabé l’interrompit en riant. Un rire sincère, pourtant, il sentait que c’était déplacé…. Mais il ne riait pas au sujet de la mort de sa femme, non. Il riait à cause de l’ironie de la chose. « Si seulement ça s’était passé comme ça, mon petit Crapaud. Ma famille vivait à Water Seven, sur Grand Line. Si seulement. Les gars du village avaient racontés que les bandits du coin avaient fait une sortie, et une femme, avec son fils, avaient voulu défendre un pauvre gars qui se faisait agresser. Elle m’a alors raconté la vérité sur le massacre du village. Et j’ai senti quelque chose de bizarre en moi… Et j’ai décidé de lui apprendre comment se servir d’une arme, mais à plus de dix mètres..» « Deux ans plus tard, une balle dans les yeux de chacun de ses salopards. Alors j’ai décidé de faire mon propre équipage de pirate pour réaliser mon rêve d’être pirate. Fin de l’histoire. Début de cette aventure. Un autre commentaire, zeilmaker Crapaud ?» Crapaud et Singh se regardèrent, puis regardèrent Barnabé. Il n’avait pas fini son histoire. « Non Capitaine. Et …(il déglutit) je n’ai pas entendu ce maudit mot-là sur ce navire. » balbutia Crapaud. « Eh bien parfait. Dit-elle sur un ton inquiètant, avant de prendre une voix guillerette pour annoncer ce qui suit : «Allez tout le monde ! Ready your breakfast and eat hearty. Nous partons pour Grand Line demain matin, faites passer l’annonce à ceux dans les hamacs ! » Les cinq hommes à table restèrent cois. « Eh bien, Barnabé, vous êtes étonné ? Nous allons sur Grand Line, trouver le One Piece, le rêve de chaque pirate. On va partir à Water Seven. Vous allez revoir votre famille. Vous devriez être content ! » « Mais… Tout le monde sait que ce rêve est un rêve de fous ! Entre le gouvernement mondial, les capitaines corsaires et autres saloperies qui pourraient nous tomber dessus… » « Premièrement... (elle regarda par terre, avant de reprendre) Et deuxièmement, je n’ai que ça à faire et troisièmement, je pense que Crapaud ici présent est assez brave pour nous protéger. Espérons y arriver dans un mois ou deux, disons. Nous règlerons quelques détails, parmi eux la compétence de nos…élements. » « A vos ordres capitaine. » Soupira Barnabé. Cela devait être une de ses lubies habituelles. Elle allait lui passer, il en était sûr. [/color] >> Test RP Volesprit regarda l’équipage, sous le choc de la nouvelle qu’elle venait d’annoncer. Elle se raidit, puis elle déclara : « Laissez tomber. Je vais leur annoncer la nouvelle moi-même, le soir venu. Racontez-le si ça vous amuse, mais j’officialiserai cela. Sinon, Singh, si tu comptes bien, tu remarqueras que tu as un tonk. » Elle se détourna alors, monta les marches qui la séparaient du gaillard et mit ses deux mains sur le bastingage. Elle aimait la partie arrière du bateau, car de là elle pouvait voir tout ce qu’ils avaient parcouru comme distance pour en arriver là. Elle en avait fait, de la route avant d’arriver jusqu’ici. Tant proprement que métaphoriquement. Elle sortit son pistolet et s’amusa à viser les nuages. Elle savait très bien viser, maintenant. Grâce à Barnabé ici présent, d’ailleurs. Il était peut-être son second aujourd’hui… Mais avant il était celui qui pouvait le plus se rapprocher de son père. Il avait eu la bonté de ne pas raconter l’histoire dans son entièreté. Et tandis qu’elle visait un nuage en forme d’oiseau en murmurant un « boum ! », elle maudissait intérieurement Barnabé d’avoir raconté ce maudit épisode. Elle rangea son pistolet et se remémora la scène. C’était durant le crépuscule. Elle était bien coupable d’avoir tué quelques un de ces marins, même si elle n’en souvenait pas vraiment. Elle était aussi d’accord avec la version de Barnabé jusqu’au bûcher. Les villageois l’avaient accrochée autour de l’arbre, en jetant des feuilles et des branches mortes par-dessus. Mais enfin villageois… Avaient-ils vraiment l’air de villageois ? Leurs traits déformés par la haine et la peur les faisait plus ressembler à des chiens. Volesprit tournoya autour d’elle-même comme une toupie. A la fin de son trajet, elle s’assit en tailleur, le dos contre le bastingage, les yeux fixés sur le dos du timonier, qui préférait l’ignorer pendant ses phases de " méditation " Elle ouvrit soudainement les yeux. Mais il ne s’ouvrait pas dans ce monde ci, non. Sur les hommes qui tenaient des torches. Et qui s’apprêtaient à les jeter sur elles. L’œil vif, le regard dans le coin, l’esprit agressif, la bête ne semblait plus craintive. Ce n’était plus la jeune qui s’appelait… qui s’appelait… Volesprit maintenant. Elle les avertit sur un ton inaudible : « Libérez-moi. Libérez-moi ou je vous tue. » Le feu brûla en elle en même temps qu’il crépita sur ses pieds. Elle tira sur ses liens comme la forcenée qu’elle était. Etait-ce la rage de vivre qui lui donna la force de s’arracher de ses liens, ou était-ce en réalité les flammes qui enflammèrent plus vite la corde sèche que l’arbre empli de sève ou les bottes humides de sang ? Mais lorsqu’elle réussit à s’en tirer, elle sauta sur l’homme en face d’elle qui tenait un pistolet chargé, mais qui n’arrivait pas à l’utiliser tant il était sous le choc de voir une bête sauvage lui sauter à la gorge. Elle lui arracha le pistolet des mains tout en mordant sa gorge. De sa trachée jaillit du sang qui bouillonnait sur le visage de Volesprit. Elle éclata le poignet d’un homme armé d’un fusil avant d’en attaquer un autre avec un dague ramassée là. Au début, les gens pensaient qu’ils pouvaient la maîtriser mais ni homme, ni animal parvenait à arrêter s danse macabre. Alors, vers la fin, l’un d’entre eux décida de prendre la fuite, en vain. Elle avait prit la main avec le pistolet, et était capable de toucher quelqu’un à une dizaine de mètre,avant de l’achever. Certaines femmes nouvellement veuves s’enfuirent, terrorisée par la scène. Ce fut probablement l’une d’entre qui prévint la Marine qu’un « démon » venant des montagnes avait massacré leurs maris lorsqu’une patrouille s’approcha. Barnabé était stationné à North Blue à cette époque là. Sa patrouille était donc venu inspecter les lieux. « Merde… Ils sont tous mort, chef. Et à l’odeur, ça doit un sacré bout de temps. » fit une voix bourrue. «Et on a trouvé une cabane à quelques heures d’ici, au pied des montagnes, continua-t-elle. Le propriétaire a décanillé depuis un moment. On l’aura pas, visiblement.» «Continuez les recherches, On va avoir cet espèce de …boucher. Eh, mais attendez… regardez là bas ! un peu plus loin de la boucherie, y a un corps qui bouge. Barnabé, va voir. » Alors, l’homme à la voix bourrue, étant le plus proche, s’avança vers le corps. Ou plutôt vers la jeune fille qui rampait doucement. « Eh, petite, bouge plus. C’est la marine. On va te sortir de là et te soigner … p’tite fleur ? » Il prononca ses mots en lui touchant l’épaule. Alors, brusquement, elle lui attrappa la main. « L’odeur… Je vous en supplie… » Après presque huit heures dont 5 sous un soleil bien brûlant, les corps commençaient à empester, et certains corps ayant été partiellement calcinés par le feu près de l’arbre, l’odeur était insoutenable. Mais les Marines étaient entraînés à cela. Et Barnabé venait de Grand Line. Il avait vu pire. « Tiens petite. Prend mon masque à gaz. » Il lui attacha le masque à gaz. « Ou sont ton père ? Ta mère ? » « J’ai essayé de les réveiller, mentit-elle. Ils n’ont pas voulu. » Elle commença à sangloter. La sale menteuse. Mais enfin, elle avait fait bien plus atroce, et c’était plutôt inespéré que de s’en sortir qu’avec un simple mensonge. Il lui enleva ses habits en miettes, et lui mit son manteau de marine, avant de la porter. « Je vais la prendre avec moi sur le navire. » « Je ne suis pas sûr si le capitaine sera d’accord… » « Laissez moi m’en occuper, sergent. Le capitaine et moi, c’est une longue histoire d’amour. » ironisa-t-il. Il allait se faire engueuler pendant une bonne semaine, mais tant pis. Il allait présenter sa démission de toute façon. Il la souleva et l’amena jusqu’au bateau. Il l’emmena au toubib. « On a une fille blessée là. Peut-être brûlée, va falloir que tu t’en occupes…» La Volesprit d’aujourd’hui tira une balle qui s’enfonça net dans le garde-fou. Le timonier sursauta : « Capitaine, qu’est ce qu’il y a ?!... Bon sang vous m’avez fait peur. » « C’est rien, c’est rien ! Reprenez vos postes ! (annonça-t-elle à tout le monde) Timonier Kip, Laissez-moi la barre. La mer est calme et vous méritez bien une sieste avec tout ce boulot…Kip ? » « Oui ? » « La prochaine est pour moi, mais surtout, taisez vous. » Il hocha la tête. Volesprit n’avait vraiment pas besoin de détracteurs pour ce soir. C’était étrange pourtant. C’était la première fois qu’elle semblait se rendre compte à quel point son acte était inconsidéré. Peut-être était-ce cette lubie qui la rendait… responsable ? Qui ne la faisait plus tourner en rond et donc qui lui forçait à faire moins d’erreur ? En tout cas le raisonnement était simple, elle n’avait pas envie de perdre son équipage sur Grand Line. Cela signifiait la mort. Elle mit une main sur la barre, et l’autre sur son masque. Elle essaya de l’enlever, d’essayer de respirer l’air pur du large. Rien n’y fait. Elle ne sentait que l’odeur pestilentielle de la mort et du cadavre incinéré. Elle se retint de vomir en réajustant son masque. Elle n’a jamais réussi à l’enlever depuis ce maudit jour, ce jour maudit. Elle prit une grande bouffée de l’air vicié par son masque, et commença à chanter. Chanter pour oublier, chanter pour élever un peu les cœurs, ça ne mangeait pas de pain ! Sa voix claire ne se faisait pas tellement entendre à cause du masque, mais bien vite les gens à côté reprirent le célèbre refrain, et bientôt tout le vaisseau retentissait de musique et de bonne humeur. « Yo ho ho, Yo ho hooo… !… » *Manau c’est pour toi lol. Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. Quand vous estimez avoir terminé votre présentation, signalez le et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous titre de votre présentation [En attente de Test RP] Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs vous loupent. |
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Informations IRL
[list]Prénom : Shrek
Age : …
Aime : Les oignons, l’âne, Fiona, Chat
N'aime pas : les Farquaads, l’âne
Personnage préféré de One Piece : Jinbei (Il ressemble à Shrek)
Caractère : on dit que j’ai un caractère d’ogre
Fais du RP depuis : fort fort longtemps
Disponibilité : . 2 jours par semaine, parce qu’il y a le wifi au Fort Fort Lointain. Le reste de la semaine, c’est aux marais que je vis.
Comment avez vous connu le forum ? Quelqu’un m’a donné le lien. C’est assez rigolo, parce que je cherche qui est ce quelqu’un en question.
Sinon je voulais juste vous dire que je pourrais pas faire le Test RP avant vendredi vu que je reviens en France. Et aussi si vous pouviez changer mon pseudo en Volesprit s'il vous plaît. Et un dernier truc : vous pouvez voir que j'ai pas trop détaillé au niveau de l'équipage, de l'entraînement tout ça... Suis-je obligé de le faire tout de suite? je préfère faire des fbs. Mais c'est vous les patrons.
Eh euh... Dernière chose. Je viens de tenter quelque chose d'expérimental. donc je pense qu'on va vraiment pas aimer pour certains. Si jamais c'est le cas... Ben désolé. Je sais pas quoi dire d'autre.
Dernière édition par Volesprit le Jeu 29 Aoû 2013 - 0:04, édité 4 fois (Raison : J'avais laissé traîner un Longshadow. ^^)