Une île dépourvue de civilisation ! En êtes-vous si sûr ?
Quand un enfant pas si sage rencontre un grand corbeau noir
Ile de Gaimon, East Blue, dans l’après-midi
« Non s’il vous plait… Pas le plumeau… »Me réveillant avec la tête chaude, le front ainsi que la nuque perlant de sueurs, tout ceci n’était qu’un mauvais rêve. Reprenant mon calme et par la même occasion un rythme respiratoire normal, me remettant également d’aplomb sur ma petite chaloupe, main sur le front, regardant l’horizon, je zyeutais dans l’espoir de trouver une terre d’accueil.
Droite, gauche, gauche, droite, haut, bas, derrière, devant. Eureka la voilà ma terre promise droit devant.
Le soleil était haut dans le ciel et ce dernier dépourvue de nuages, donc le temps était parfaitement superbe, il y avait assez de vent pour pouvoir déplacer mon petit navire d’une allure non-négligeable, pas trop rapide, mais pas trop lente non-plus. D’ici une bonne heure je serais pied à terre. A espérer qu’il n’y est pas d’animaux marin au large.
Ouf ! Enfin arrivé sain et sauf au bout d’une heure et demie, bah je n’étais pas loin j’avais dis une heure. Bref. A première vue l’île s’emble déserte, j’amarre ma petite chaloupe au bord de la plage en veillant à bien attacher ma proue à un énorme rocher à l’aide d’une corde. Ceci fait je m’aventure alors dans la végétation, non loin de la plage, afin de ramasser écorce, petit bout de bois ou encore débris, afin de réaliser un feu de camps. Une fois fait je pourrais alors pénétrer dans la forêt pour ainsi trouver de quoi me nourrir. De plus le feu avait une deuxième utilisation, celle de donner ma position au cas où si je me perdrai. Au pire si je trouverai rien il me resterait la pèche. Mais je commençais à en avoir marre de manger du poisson.
Trop de végétation ! Effectivement la forêt… ou plutôt la jungle…, en fait je n’en sais absolument rien car les arbres son celle d’une forêt, mais il y a également des lianes qui la parcourt on dirait une « Forungle ».
Voilà maintenant de nombreuses heures que je parcours cette forungle et je n’ais pourtant trouvé aucun signe d’animaux quelconque. Cependant mes dires se sont vite vus erronés puisqu’un bruit se fit entendre de derrière les buissons non loin de là. Une ombre passa devant moi, vite, je la pris en chasse.
Le rongeurs était petit, mais il courait vite, j’avais presque du mal à le suivre, enjambant arbuste, tronc d’arbre, et bien d’autres choses, je perdais en temps et en énergie. Arrivé à sa hauteur je pris une petite extension et décida de lui sauter dessus. Mais en vains le rongeur me fila entre les doigts. Le dinais de ce soir allait encore être du poisson.
Faisant chemin arrière, je me contenterai de ses simples baies trouvés dans la forêt, je savais qu’elle n’était pas nocives pour l’homme car je l’ai avait soumis au test. Un test simple, il suffisait d’écraser la baie en question sur sa peau et si celle-ci devenait rouge ou bien héritait alors elle n’était pas comestible si à contrario rien ne se produisait alors elle l’était. Arrivé sur la plage je me mis dans la réalisation d’une canne à pèche.
Après seulement quelques minutes j’avais déjà amassé bon nombre de poisson.
Bougre d’extrait de cornichon, ces dernières semaines ma cote de popularité avait haussé d'un cran. En effet, le gouvernement avait finalement reconnu ma crédibilité en tant que pirate par le biais d'une prime récemment mise sur ma tête. De plus niveau financier, les affaires étaient plutôt fructueuses grâce à des rackets de plus en plus fréquents. Huun ! Que pourrait-on souhaiter de plus en tant que pirate ? C'était la belle vie pour un type de mon genre.
Malheureusement toute bonne chose avait une fin et cette règle semblait à présent s'appliquer à moi. Alors que je m'apprêtais à quitter East blue pour North blue à bord de ma fidèle barque, Je tombais dans une embuscade de la marine qui eu l'avantage grâce à la taille de son rafiot.
Les mains liées, je fus tout d'abord accueilli sur le paquebot à coup de moqueries et d'insultes avant d'être conduit dans une cabine préparée pour l'occasion avec deux gardes armés postés devant la porte. Affolé, je faisais les cents pas en pensant au sort qui était destiné aux pirates. Bordel de merde, il me fallait par n'importe quel moyen sortir de ce pétrin. Mais comment ?... Bonne question.
Il se mit soudain à pleuvoir, annonçant progressivement une tempête sur la zone quand soudain, l'officier chargé de la flotte s'invita dans ce qui faisait d'office de prison provisoire pour ma personne. Tsss ! il était certainement là pour me narguer. Ma précieuse et fidèle lame fut la 1ère chose que je remarquai à sa ceinture.
Dit-il sous ses airs de grand homme en affichant un sourire moqueur au coin des lèvres. Je restais silencieux en guise de réponse avec une expression sur la gueule qui en disait long sur mon humeur. Il reprit la parole :
Le bateau fut brusquement secoué à cause de la pluie qui devenait de plus en plus violente et qui ne faisait que ressortir l'aspect agressif de la mer. Mon interlocuteur perdit l'équilibre, mais grâce à de bons réflexes, il manqua de tomber. Il se ressaisit par la suite et prononça les mots suivants :
Le bateau fut encore une fois secoué, sauf que cette fois-ci c'était un peu plus périlleux et ça n'a pas duré en une fraction de seconde. Une puissante tempête fut convié à la p'tite fête, faisant déferler des vagues violentes contre le bateau qui penchait, sans cesse, de gauche à droite. Les marins perdirent le contrôle du navire, certains soldats se retrouvèrent à la mer quand soudain, un canon qui bougeait à cause des secousses, vint subitement traversé le mur de la cabine heurtant au passage l'officier qui s'écroula par terre en se frappant le front contre le plancher. Il perdit aussitôt conscience.
Je saisis cette occasion pour retirer de mes deux mains attachées, mon meitou au niveau de sa ceinture que je plantai ensuite sur le plancher. Je me mis à frottais mes liens contre le tranchant de la lame jusqu'à ce que mes mains finissent par se libérer quand tout à coup l'inévitable se produisit. En Effet, le navire ne pouvant plus résister face à l'agressivité de l'océan, succomba face à la pression et se renversa.
En une fraction de seconde, l'eau envahie presque tout le rafiot, l'entrainant petit à petit au fond des abysses. Après avoir rangé ma lame dans le fourreau suspendu à ma ceinture, je sortis du navire en nageant avant de me propulser à coup de pied vers la surface. Là haut, hors de l'eau, la situation à laquelle j'assistais était catastrophique. Le navire était sur le point d'être avalé par l'océan, le peu de soldats qui avaient réussi à atteindre la surface, luttait tant bien que mal pour y rester. Et alors que je croyais avoir une chance de m'en sortir en m'agrippant à un tonneau d'alcool qui flottait sur l'eau, une immense vague nous pris soudainement par surprise et nous entraîna dans sa course tout en nous malmenant dans tous les sens. Ayant perdu mes forces, je tombais finalement dans les pommes. Le dernier souvenir que j'avais, fut d'avoir d'essayer de lutter contre les vagues et d'avoir de l'eau qui me rentrait dans les narines et la bouche.
Des instants et des instants plus tard, trois soldats de la marine et moi étions affalés, inconscient, sur la rive d'une île un peu isolée de East Blue. Etions nous vivant ? Huun !... Telle était évidemment la question.
Malheureusement toute bonne chose avait une fin et cette règle semblait à présent s'appliquer à moi. Alors que je m'apprêtais à quitter East blue pour North blue à bord de ma fidèle barque, Je tombais dans une embuscade de la marine qui eu l'avantage grâce à la taille de son rafiot.
Les mains liées, je fus tout d'abord accueilli sur le paquebot à coup de moqueries et d'insultes avant d'être conduit dans une cabine préparée pour l'occasion avec deux gardes armés postés devant la porte. Affolé, je faisais les cents pas en pensant au sort qui était destiné aux pirates. Bordel de merde, il me fallait par n'importe quel moyen sortir de ce pétrin. Mais comment ?... Bonne question.
Il se mit soudain à pleuvoir, annonçant progressivement une tempête sur la zone quand soudain, l'officier chargé de la flotte s'invita dans ce qui faisait d'office de prison provisoire pour ma personne. Tsss ! il était certainement là pour me narguer. Ma précieuse et fidèle lame fut la 1ère chose que je remarquai à sa ceinture.
-Uryu... Kusanagi. Vous êtes un foutu casse-couille vous savez ? Je viens juste de raccrocher avec mes supérieurs et apparemment nombreux sont les personnes qui souhaiterait vous voir guillotiner et privé de vos parties intimes. héhé ! Grâce à vous, je vais à coup sûr obtenir une promotion et c'est pourquoi, je tenais à vous remercier en personne.Merci... Beaucoup.
Dit-il sous ses airs de grand homme en affichant un sourire moqueur au coin des lèvres. Je restais silencieux en guise de réponse avec une expression sur la gueule qui en disait long sur mon humeur. Il reprit la parole :
- Bien, à présent j'ai une question à vous poser. Le mois passé à Shimot...Argh !... Qu'est-ce que ? tu as, avec l'aide d'une bande de malfrat du coin
"BroOUm BroOUm BroOUm !! "
Le bateau fut brusquement secoué à cause de la pluie qui devenait de plus en plus violente et qui ne faisait que ressortir l'aspect agressif de la mer. Mon interlocuteur perdit l'équilibre, mais grâce à de bons réflexes, il manqua de tomber. Il se ressaisit par la suite et prononça les mots suivants :
-Merde ! saleté de pluie... Bon, où en étais-je déjà ? Le mois passé à Shimotsuki, tu as, avec l'aide d'une bande de malfrat du coin, cambriollé une ba.. Argh !... Putaain !
"BroOUm BroOUm BroOUm !! "
Le bateau fut encore une fois secoué, sauf que cette fois-ci c'était un peu plus périlleux et ça n'a pas duré en une fraction de seconde. Une puissante tempête fut convié à la p'tite fête, faisant déferler des vagues violentes contre le bateau qui penchait, sans cesse, de gauche à droite. Les marins perdirent le contrôle du navire, certains soldats se retrouvèrent à la mer quand soudain, un canon qui bougeait à cause des secousses, vint subitement traversé le mur de la cabine heurtant au passage l'officier qui s'écroula par terre en se frappant le front contre le plancher. Il perdit aussitôt conscience.
Je saisis cette occasion pour retirer de mes deux mains attachées, mon meitou au niveau de sa ceinture que je plantai ensuite sur le plancher. Je me mis à frottais mes liens contre le tranchant de la lame jusqu'à ce que mes mains finissent par se libérer quand tout à coup l'inévitable se produisit. En Effet, le navire ne pouvant plus résister face à l'agressivité de l'océan, succomba face à la pression et se renversa.
En une fraction de seconde, l'eau envahie presque tout le rafiot, l'entrainant petit à petit au fond des abysses. Après avoir rangé ma lame dans le fourreau suspendu à ma ceinture, je sortis du navire en nageant avant de me propulser à coup de pied vers la surface. Là haut, hors de l'eau, la situation à laquelle j'assistais était catastrophique. Le navire était sur le point d'être avalé par l'océan, le peu de soldats qui avaient réussi à atteindre la surface, luttait tant bien que mal pour y rester. Et alors que je croyais avoir une chance de m'en sortir en m'agrippant à un tonneau d'alcool qui flottait sur l'eau, une immense vague nous pris soudainement par surprise et nous entraîna dans sa course tout en nous malmenant dans tous les sens. Ayant perdu mes forces, je tombais finalement dans les pommes. Le dernier souvenir que j'avais, fut d'avoir d'essayer de lutter contre les vagues et d'avoir de l'eau qui me rentrait dans les narines et la bouche.
Des instants et des instants plus tard, trois soldats de la marine et moi étions affalés, inconscient, sur la rive d'une île un peu isolée de East Blue. Etions nous vivant ? Huun !... Telle était évidemment la question.